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Les traumatismes crâniens représentent l’étiologie la plus fréquente des troubles de mémoire de l’adulte, Mais les traumatisés crâniens ne sont pas.

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1 REEDUQUER LA MÉMOIRE , OU READAPTER DES TRAUMATISES CRANIENS AMNESIQUES ?

2 Les traumatismes crâniens représentent l’étiologie la plus fréquente des troubles de mémoire de l’adulte, Mais les traumatisés crâniens ne sont pas les meilleurs candidats à une rééducation de la mémoire.

3 On ne rééduque pas la mémoire ...

4 Objectif Pas de : Restaurer une fonction déficitaire Mais :
Aider le traumatisé crânien à être le plus autonome possible malgré ses troubles Lorsque c’est possible, réorganiser le fonctionnement de certains processus mnésiques.

5 LES TECHNIQUES

6 Ce qui ne marche pas chez l’amnésique :
Répétition mentale (mental rehearsal)

7 Les techniques Améliorer la mémoire de travail
Favoriser l’encodage et la récupération Exploiter les capacités préservées Aménager l’environnement

8 Améliorer la mémoire de travail : c’est possible, et ça marche.

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10

11 Pour les informations nouvelles en mémoire épisodique…
Améliorer l’encodage et la récupération . Par des techniques d’imagerie mentale . Par l’utilisation de stratégies verbales . En s’appuyant sur le contexte

12 Peu efficace pour les amnésies sévères
Imagerie mentale Créer un double encodage Méthode des Lieux Si : capacités cognitives conservées, apprentissage suivi de la méthode, le patient est capable d’élaborer lui-même les images. Peu efficace pour les amnésies sévères

13 Stratégies verbales Listes : liens entres les premières lettres
Récits, textes : améliorer l’encodage profond par la compréhension (ex: méthode PQRST) Spaced retrieval Vanishing Cues Errorless learning

14 Améliorer l’encodage et la récupération en s’appuyant sur le contexte
La madeleine de Proust Craik et Lockhart : encodage superficiel, encodage profond Automatique : remettre le patient dans le contexte de l’apprentissage Conscient et volontaire : remémoration (peu efficace chez l’amnésique sévère)

15 Pour les informations nouvelles en mémoire épisodique…
2. Exploiter les capacités préservées

16 Utiliser les mémoires implicites
Effet d’amorçage perceptif ou sémantique Mémoires procédurales +++ Rendre routiniers : les habitudes de vie quotidienne la prise des médicaments des trajets certaines activités professionnelles Conditionnement fragile, car non flexible et non généralisable

17 Pour les informations nouvelles en mémoire épisodique…
3. Aménager l’environnement

18 Aide-mémoire externes
Affichages, balises Disposition ordonnée des objets Minuteries, Palm, GPS Carnet aide-mémoire

19 Utilisation du carnet-mémoire

20 Sohlberg et Mateer (1989) Acquisition Utilisation Adaptation
Plusieurs rubriques adaptées aux besoins du sujet Plusieurs phases: Acquisition Utilisation Adaptation

21 INDICATIONS et CONDUITE PRATIQUE

22 Principes : Modestie et réalisme
Rôle des facteurs émotionnels, des intérêts, des attentes, des intentions du patient,

23 Principes : Modestie et réalisme
Rôle des facteurs émotionnels, des intérêts, des attentes, des intentions du patient, Evaluation approfondie distinguer : conscience du trouble / anosognosie, amnésie isolée / associée (Sd frontal)

24 Principes : Modestie et réalisme
Rôle des facteurs émotionnels, des intérêts, des attentes, des intentions du patient, Evaluation approfondie distinguer : conscience du trouble / anosognosie, amnésie isolée / associée (Sd frontal) Travail sur des objectifs concrets, chaque fois que possible en situation de vie naturelle.

25 Phase précoce, amnésie post-traumatique
Peu d ’impact réel sur les systèmes de mémoire rassurer et mettre en sécurité balises spatiales et temporelles horaires routiniers ergothérapie : mémoires procédurales

26 Phase secondaire Toujours la conscience du trouble !
Analyse des besoins (domicile) Accord sur les objectifs concrets à atteindre Information / éducation de l ’entourage

27 Phase secondaire Stabiliser des comportements routiniers utiles pour le quotidien Espace : repères externes : balises, trajets Temps : horaires, agenda Objets : disposition spatiale Personnes, consignes : prise de notes, carnet aide-mémoire (Sohlberg et Mateer)

28 Phase secondaire Si évolution favorable :
Travailler sur le transfert des routines à des situations nouvelles ( généralisation) Tenter des stratégies de renforcement de l ’encodage

29 Phase tardive, déficits mnésiques modérés
Entraînement spécifique de la fonction déficitaire : mémoire de travail ++

30 Déficits mnésiques modérés
Entraînement spécifique de la fonction déficitaire : mémoire de travail ++ Développement de stratégies conscientes de renforcement : imagerie mentale, vanishing cues, spaced retrieval, errorless learning

31 Déficits mnésiques modérés
Entraînement spécifique de la fonction déficitaire : mémoire de travail ++ Développement de stratégies conscientes de renforcement : imagerie mentale, vanishing cues, spaced retrieval, errorless learning Diminution de la charge en mémoire : listes, scenarios Pas de jogging mental, mais bonne hygiène de vie

32 Déficits mnésiques modérés travail sur les mémoires procédurales directement en situation professionnelle

33 Bibliographie La rééducation en neuropsychologie. Etudes de cas. Solal. Van der Linden, Coyette, Seron . Traité de neuropsychologie. tome 2. Solal T. Meulemans…Evaluation et prise en charge des troubles mnésiques. Solal. 2003

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