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B.O. Spécial n°9 30 septembre 2010

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Présentation au sujet: "B.O. Spécial n°9 30 septembre 2010"— Transcription de la présentation:

1 B.O. Spécial n°9 30 septembre 2010
NOUVEAUX PROGRAMMES 1ères séries générales GEOGRAPHIE B.O. Spécial n°9 30 septembre 2010

2 DYNAMIQUES DES TERRITOIRES DANS LA MONDIALISATION »
« FRANCE ET EUROPE : DYNAMIQUES DES TERRITOIRES DANS LA MONDIALISATION »

3 >> ruptures et continuité >> les études de cas
>> le programme >> proposition de découpage horaire >> indications sitographiques (Laurent Arnaud et Thierry Dobbels)

4 RUPTURES ET CONTINUITE

5 RUPTURES ? VOLONTE D'INTEGRER LES GRANDES ORIENTATIONS DE LA GEOGRAPHIE. 4 THEMES EMBOITANT LES ECHELLES. UN PROGRAMME GEOGRAPHIQUE ET MOINS DIRECTIF.

6 >> VOLONTE D'INTEGRER LES GRANDES ORIENTATIONS DE LA GEOGRAPHIE.
** focalisation sur les « territoires ». Notion dans l’intitulé général du programme, dans 3 des 4 thèmes ainsi que dans l’énoncé de plusieurs questions ou indications de mise en œuvre : la notion de territoire apparaît 14 fois au total. Il s’agit d’étudier des espaces terrestres humanisés, occupés, appropriés, aménagés et gérés (notion de « dynamiques »). Le territoire prioritaire est la « France » : il s’agit de lui redonner une place. ** mise en place des questions liées à la mondialisation.   Cf. dans le titre global : « les territoires dans la mondialisation ». Dans l’ancien programme, il n’y avait pas de mise en perspective mondiale. Ici, simple introduction à la mondialisation car il faut ménager le programme de Terminale. En fait, elle est en toile de fond : du local à l'Europe, dans chaque question abordée, on met en évidence ses logiques à l'œuvre dans l'évolution des territoires. ** mise en place des questions de DD.   Chaque thème doit être aussi l'occasion de réactiver les problématiques du développement durable, appliquées aux territoires français et européen.

7 >> 4 THEMES EMBOITANT LES ECHELLES.
Le programme vise d'abord la compréhension par les élèves du fonctionnement de chaque échelon territorial qui est replacé dans un système d'échelles emboitées. C’est un objectif d’apprentissage dans Capacités et Méthodes. Pour faciliter cette appropriation, le programme propose une nouvelle approche en quatre thèmes correspondant chacun à un échelon territorial, du local au mondial. Les échelles sont dans le sens inverse de l’ancien programme : locale, régionale, nationale et internationale. Volonté de valoriser les nouveaux territoires de la France à l’échelle locale ou régionale. Ici : Thème 1 - Comprendre les territoires de proximité ( heures) Thème 2 – Aménager et développer le territoire français ( heures) Thème 3 – L’Union européenne : dynamiques de développement des territoires ( heures) Thème 4 – France et Europe dans le monde

8 >> UN PROGRAMME GEOGRAPHIQUE ET MOINS DIRECTIF.
Exclusion des allusions historiques (ex. l'aménagement du territoire). Le fil conducteur étant la gestion des territoires. Avant, caractère directif du programme : « on présente, on met en valeur, on fait ressortir ».   Désormais, les intitulés sont plus courts et moins directifs mais il faudra se référer aux fiches ressources d’EDUSCOL. => Le programme invite à des entrées concrètes et dynamiques dans les territoires : > organisation ? > conditions de développement ? > acteurs pour leur aménagement et leur gestion.

9 CONTINUITE ? Une logique 2nde / 1ère….
>> dans les connaissances, les méthodes et les capacités abordées, les démarches mises en œuvre. >> dans les références à deux grilles de lecture majeures du monde : la mondialisation et le développement durable. … et Terminale en 2012. Le programme de Terminale L/ES en consultation prolonge ces apprentissages dans « Mondialisation et dynamiques géographiques des territoires » avec les mêmes capacités et méthodes.

10 LES ETUDES DE CAS

11 LES ETUDES DE CAS : Elles ont désormais une place substantielle mais pas d'entrée exclusive pour toutes les questions. 10 questions dans le programme avec 6 études de cas dont 2 contraintes : région du lycée et Roissy. Il y a une certaine continuité : > L’étude de cas occupe la moitié du temps consacré au thème et ouvre obligatoirement le traitement de la question. > démarche inductive en partant d'une situation précise, localisée, ancrée dans un territoire pour dégager notions et réflexions. > mise en œuvre d'un raisonnement géographique. Pourtant, il y a aussi des spécificités :  En 2nde : « chaque question est abordée à partir d’une étude de cas mise en perspective et prend appui sur les problématiques indiquées ».  Ici, l’étude ne peut pas traiter tous les aspects de la question. Elle permet d’aborder la question de façon concrète (avec une mise en perspective possible mais non exhaustive) avant d’étudier 1 ou 2 entrées plus générales et problématisées. De plus, elle prend une forte dimension civique : il s’agit de faire intervenir les acteurs géographiques qui jouent un rôle dans l'aménagement de l'espace.

12 Des études à traiter dans l’optique de l’épreuve anticipée d’histoire-géographie au baccalauréat de la série S : >> Les études de cas doivent avoir une portée générale par les problématiques qu'elles soulèvent, les méthodes qu'elles mettent en œuvre, les enjeux et les choix qu'elles illustrent. Cela permet de les rendre compatibles avec une évaluation à l'examen. >> Les études de cas et les différents thèmes doivent donner lieu à la réalisation de croquis et/ou de schémas. Ceux-ci peuvent être demandés aux élèves lors de l’épreuve.

13 LE PROGRAMME

14 Un thème obligatoire pour commencer, l’ordre des autres est au choix même s’il y a une logique d'emboitement d'échelles. Il apporte un éclairage renouvelé sur la compréhension des territoires de proximité (commune, structures intercommunales, département). Il vise à donner aux élèves les outils d'analyse d'un territoire, démarche qui sera ensuite transposée dans les autres études territoriales. Il peut être l'occasion de rencontres d'acteurs et d'observations ou de recherches sur le terrain, lors de sorties de classe, ou d'enquêtes conduites par les élèves, ces travaux pouvant s'étaler pendant toute une partie de l'année scolaire. Problème de mise en œuvre avec les manuels : cela suppose une recherche documentaire non habituelle d'où le travail sur les sites avec des infos actualisées.

15 Pièges à éviter : -Traiter, comme étude de cas, un aménagement à l’échelle locale dans un espace autre que le territoire proche du lycée. Il faut au contraire impliquer les élèves en les faisant travailler sur un lieu qu’ils connaissent. -Faire un historique de l’aménagement en France : la question porte sur les réalités actuelles, pas sur les politiques menées il y a plusieurs décennies.

16 Une réflexion sur l’aménagement du territoire au niveau national.
Il s’agit de mettre en évidence les choix d'aménagement et la politique de développement du territoire de la France, en s'appuyant sur le constat des disparités et des inégalités aux différentes échelles territoriales. Q1 : 4-5h, notion de milieu à valoriser et ménager. Besoin de connaître les milieux, les localiser. Des tensions entre volonté de sanctuariser et valoriser. Ici étude de cas à l’échelle infra-nationale mais plus grande que la locale. Cette étude de cas se prête à la réalisation d’un croquis. Piège à éviter : - Ne pas choisir un espace urbain. - Dresser une liste des potentialités et des contraintes du territoire sans les aborder dans la perspective suggérée par l’intitulé de la question : « valoriser et ménager les milieux ».

17 Q2 : étude urbaine. Chercher les spécificités françaises de la métropolisation (cf. 2nde). Les politiques de la ville, dans la ville et en relation avec les espaces ruraux (SCOT ?) Faire de la Géographie, démarche spatiale, possibilités de croquis. Pièges à éviter : - Traiter de la population française en oubliant la problématique centrée sur la ville. - Construire un exposé général sur la ville sans se démarquer suffisamment de ce qui a été fait en classe de seconde : l’accent est à mettre sur les fractures sociales et spatiales, les aménagements visant à les réduire ; ce sont les spécificités françaises qui sont à privilégier.

18 Q3 : Entrée par un territoire de l’innovation.
ex. au niveau local : réseau d’entreprises et de savoir-faire locaux. Espaces productifs (et non secteurs productifs). On est bien sur des dynamiques : pas de description, quelques exemples (seulement 3 à 4 h) dans le cadre de la mondialisation. Comment (dans le territoire de l’innovation, l’entreprise) les acteurs sont-ils en synergie et répondent aux défis de la mondialisation ? Comment le fonctionnement des marchés conditionnent l’évolution des territoires de production ? Qu’est ce qui explique la localisation des lieux de production ?

19 Pièges à éviter : - Proposer aux élèves une vision trop statique ou dépassée de l’espace économique français : cette question porte sur ses dynamiques actuelles. - Envisager uniquement les aspects négatifs des dynamiques des espaces productifs (ex. : délocalisations) alors que, globalement, ces dynamiques sont sources de richesses, d’emplois et de revenus fiscaux.

20 Q4 : 5 à 7 heures EDC Roissy : l’organisation spatiale d’une plate-forme multimodale, ses effets économiques, son importance pour la métropole parisienne et la région Ile-de-France mais aussi dans l’espace national et européen. Schémas attendus. L’EDC permet de dégager les problématiques suivantes : la desserte inégale du territoire français par les réseaux les principaux flux de voyageurs et de marchandises (hiérarchie-évolutions actuelles) -Csq : les grands débats relatifs aux options d’implantation des grands équipements de transport. Enfin la notion d’enclavement à travers la question des réseaux numériques dans les territoires de faible densité : on montrera les stratégies des acteurs privés et les politiques publiques pour remédier au problème. Croquis attendu : l’organisation des réseaux de transport en France et leurs connexions avec l’Europe et le monde.

21 Pièges à éviter : - Donner l’illusion que les réseaux numériques sont une solution miracle pour les territoires enclavés susceptible de gommer les inégalités de desserte par les réseaux classiques. - Centrer la réflexion sur un seul mode de transport (fer, air, route ou numérique). - Omettre d’aborder les réseaux téléphoniques et numériques (Internet). - Traiter seulement d’un type de flux (fret ou passagers).

22 Q1 : Ne pas étudier l'UE mais ses territoires et leurs évolutions.
Par ces trois entrées, il s’agit de montrer comment les Européens s’approprient un espace mal défini et mal délimité : l’appropriation est intellectuelle, politique et économique. Le pluriel de « territoires » indique que l’appropriation reste inégale dans les trois domaines. Croquis ou schéma des disparités et inégalités socio-spatiales dans l’UE. Pièges à éviter : -Présenter l’Europe et l’UE comme des ensembles géographiques aux limites déterminées a priori alors qu’il s’agit de faire réfléchir les élèves sur celles-ci. -Faire un cours d’histoire sur la construction européenne et s’écarter de l’analyse de l’espace et des territoires. -Axer les développements sur les aspects institutionnels en oubliant l’espace : ce sont les conséquences des politiques communautaires sur les territoires qui sont au cœur de la problématique.

23 Q2 : EDC sur un des territoires ultramarins des pays de l'UE (RUP ou PTOM). Dans la 2ème question, porter un regard sur l'ensemble des territoires des pays européens avec des différences de statut mais une politique globale d'aide de l'UE. L’enjeu majeur est donc le développement de ces territoires mais celui-ci doit être mis en œuvre selon des voies et des choix adaptés aux sociétés locales. Questions de l'intégration de ces espaces dans leur aire régionale mais aussi dans l'UE. Pièges à éviter : Présenter uniquement l’Outre-mer français.  - Traiter l’étude de cas en ne prenant pas suffisamment en compte la problématique majeure de la question : les liens de ce territoire avec l’Union européenne et avec ses voisins du bassin régional.

24 Q1 : 5-6 heures : 1er thème à articuler avec le suivant « la France dans la mondialisation » et les espaces productifs et  mobilités, flux et réseaux de communication du thème 2. Schémas attendus faisant apparaitre flux et centres de commandement par ex à partir de planisphères. - L’étude de la « Northern Range » doit montrer l’ouverture économique de l’UE sur le monde. Elle peut donner lieu à la construction d’un croquis de son organisation spatiale en relation avec son arrière-pays et, à plus grande échelle, d’un schéma de l’organisation spatiale d’un port d’estuaire. - L’étude sur la Méditerranée doit insister sur l’interface UE/PSEM, sur la dissymétrie des échanges, sur les clivages. Elle répond à la question : En quoi la Méditerranée est-elle un espace d’ouverture de l’UE au Sud ? Pièges à éviter : -Etudier la Méditerranée pour elle-même, alors qu’il s’agit de caractériser les relations que l’UE entretient avec ses voisins des autres rives. -Se limiter aux critères économiques pour définir les relations UE/Méditerranée ou développer exagérément l’histoire des accords diplomatiques.

25 Q2 : 5-6 heures Présenter des mutations territoriales qui découlent de l’intégration de la France dans la mondialisation. On associe ces mutations aux dynamiques d’ensembles de l’UE. -France dans le monde : indicateurs et marqueurs territoriaux (Francophonie par ex) et dimension géostratégique (avec outre-mer par ex), attractivité-rayonnement et limites/freins. -France pôle touristique mondial : images multiples et contrastées de la France, politiques d’aménagement et acteurs. -Paris, ville mondiale : pas d’EDC mais possibilité d’en construire une. Analyse du grand Paris existant et en gestation, sur toute l’Ile de France et intégré dans l’espace métropolitain européen. Montrer ses spécificités, son poids mondial + débat : comment conserver son poids et son rayonnement voire l’étoffer ? Finir sur les problèmes de gouvernance d’un aussi vaste ensemble, sur les projets d’aménagement du Grand Paris. Schémas attendus à différentes échelles.

26 Pièges à éviter : Réduire la question de la France dans la mondialisation à la seule problématique de la présence française dans le monde. Penser la présence de la France dans le monde en négligeant les questions de l’attractivité et de l’influence. - Tirer l’analyse vers les seuls bilans économiques et ne pas prendre en compte les aspects qui tiennent à la culture, ainsi qu’aux représentations pérennes de la France vue de l’étranger.

27 DECOUPAGE HORAIRE POSSIBLE

28 PROPOSITION DE DÉCOUPAGE HORAIRE POSSIBLE : (Julien BABEIX et Marc TAVERDET)
Principes retenus et volume horaire global : Horaires a minima, intégrant les évaluations Une année scolaire de 31 semaines, du 6 septembre 2011 au 01 juin 2012, soit 124 h Choix de retenir 8 h (motifs divers) = total de 116 h effectives réelles.

29 Evaluations 2 h + 1 h et Correction 1 h
Géographie 11h 4 h 5 h Evaluation 1 h + 1 h 24h 4 h 6 h 6 h 4 h Evaluations 2 h + 1 h et Correction 1 h 11h 6 h 4 h Evaluation 1 h

30 Evaluation et correction 1 h + 1 h
Total horaire en Géographie = 57 h

31 SITOGRAPHIE ? >> Les fiches EDUSCOL proposent de nombreuses pistes. >> le site Géoconfluences propose des ressources pour accompagner les nouveaux programmes :


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