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Logistique Master Miage Paris X

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Présentation au sujet: "Logistique Master Miage Paris X"— Transcription de la présentation:

1 Logistique - @business Master Miage Paris X
2008 / 2009

2 Logistique - Ebusiness
Rappels SCM Introduction et définitions Les points clefs de l’Elogistique Logistique amont : Entreposage & préparation des commandes Logistique aval : Transport & livraison Le dernier kilomètre ! Conclusion

3 Rappels : SCM (1) 2 flux en bouclage :
Supply Chain Management / Gestion intégré de la logistique : Intégration des flux logistiques entre fournisseurs, fabricants et distributeurs La Logistique : les relations avec les fournisseurs (achats) ; l'organisation des stocks (réapprovisionnements) ; l'organisation de la fabrication des produits ; la mise en place des réseaux de distribution des produits. 2 flux en bouclage : Un SI de prévisions des ventes (du client vers les fournisseurs) Un SI de production (du fournisseur vers le client) Les entreprises qui s’en sortent sont celles qui ont mis en place une SCM A l’origine : domaine d’ingénieur & de technicien : aujourd’hui d’informaticiens

4 Rappels SCM (2) Prévisions des activités ERP ERP ERP CRM
Fournisseur Fabricant Distributeur Client ERP ERP ERP CRM Ici : toute la problématique de la logistique plus on arrive à accélerer le bouclage entre les différents flux, plus on est performant Les problèmes sont toujours les même : comment passer d’un acteur à un autre acteur : il faut gérer ces inter-connexions (normes, technologies) Exécution des activités

5 Rappels : SCM (3) Principales difficultés : Partage des informations :
Entre prestataires : EDI, eb-XML Venant des ERP internes à chaque partenaires Serveur commun et standards d’échanges Synchronisation des opérations : L ’approvisionnement doit débuter quand le client a fait sa demande Principales difficultés : Communication informatique entre SI différents Confiance entre les entreprises (ouverture du SI aux partenaires) Gestion des processus Voir cours Processus R Marciniak Norme EDI : échange de données informatisées : norme de transfères : Séries de descriptions de format électronique documents Plusieurs normes pour plusieurs secteurs industriels Comment imposer ces normes (EDI) : le profit est pour le « gros » (celui qui impose), le cout est pour le « petit » (celui qui « subit »)

6 Introduction : Logistique & Ebusiness
Définition logistique : l’ensemble de tous les flux existants à l’intérieur comme à l’extérieur de l’entreprise avec ses partenaires et ses clients Entreposage & préparation / Transport & Distribution Les spécificités de Elogistique : Flux gérés en continu Flux en « temps réel » Exigence du client Comparaison des prix et des services Opposition au modèle brick&mortar : 1/ Impossible de traiter l’information de manière séquentiel 2/ Nécessité de traiter l’information le plus vite possible 3/ Clients plus exigeants

7 Les différents temps du Ebusiness
Choix et commande Instantané ! Assemblage, préparation, expédition, transport et livraison Plusieurs jours Il y a eu une évolution de l’attente du client. Il y a 4/5 ans le client voulait être rassuré car manque de confiance dans la technologie / les offreurs. Aujourd’hui il est simplement exigeant, il veux un maximum de service, et donc celui de pouvoir suivre l’évolution de la commande. Rassurer par le suivi de la commande Informer par le traçage

8 La difficulté du multi canal
En 2001 66% des personnes interrogées disent utiliser 2 canaux de distribution pour tout achat 34% des acheteurs utilisent 3 canaux de distribution Un même client sur différents canaux Intégrer les données Assurer la qualité du suivi de la relation

9 La difficulté du multi canal
La majorité des VAD utilisent : Vente par catalogue Vente par Internet Vente en magasin Assurer la cohérence des prix Gérer le risque de rupture de stock Gérer le risque de cannibalisation Importance du SI logistique

10 Introduction : Elogistique les points clefs
Recherche d’économie d’échelle Optimisation des sites Optimisation des commandes Recours à l’externalisation 90% des entreprises sous-traitent (source Aslog) Les transporteurs n’ont que 2 à 3% de marge / CA Pour l’Elogistique : Le livreur est le SEUL contact physique avec le client Vital pour l’image de marque Importance de la qualité de service ! Sous traitante de la livraison (poste, UPS, etc.) Important : le transport dégage peut de marge unitaire : il faut avoir un commerce de VOLUME pour que ca marche Important : la relation (bonne ou mauvaise) est cristallisée sur le livreur. Beaucoup d’entreprise ont eu du mal à l’admettre

11 Elogistique les points clefs
La concurrence en Ebusiness se joue sur : 1 Le prix et la marge 2 La diversité de l’offre 3 La qualité des services source : « le défi logistique du commerce électronique » Sénat 2004 Difficile de concilier ces 3 objectifs Voir exemple slide suivant

12 Elogistique les points clefs
PRIX Augmentation des stocks limitation des stocks OFFRE Plus on limiter les stocks => plus on peu proposer des prix attractifs => moins on a une offre intéressante => plus il faut gérer les services de rupture de stock => ça se reporte sur les prix Il faut donc trouver un bon compromis … Il faut des prévisions de ventes les plus exactes possibles rupture SERVICE

13 Elogisitique : exigences des clients
Qualité de la préparation : Ce que l’on a commandé ! Qualité de la livraison : En bon état Au moment voulu Être informé Qualité du suivi : Réactivité en cas de problème Pour le coût : Le client est prêt à payer en partie Il est donc plus exigent !

14 Les évolutions de Elogistique
Transport direct du centre de production ou de stockage jusqu’au client final L’information est le lien entre producteur / distributeur / client Le client veut savoir où est sa commande Importance cruciale des TIC Suppression des stocks tampons Externalisation vers des prestataires logistiques L’externalisation remonte vers l’amont (préparation des commandes)

15 Importance des SI logistique :exemple
Les BALISEO Tracers permettent de suivre les expéditions depuis la prise de commande jusqu’à la livraison, selon 3 différents niveaux de visibilité (Entrepôt, Transport, Intégrale) Utilisation possible en mode ASP Utilisation possible par le client pour suivre sa commande et vérifier son contenu

16 Logistique amont : les obstacles
Gérer les volumes : Si trop faible  artisanat Gérer les pics Accroître ses capacités est risqué (coûts fixes) Gérer les stocks Maîtriser la sécurité : Vols organisés Bris et casses

17 Entreposage : les activités
Les activités de base : Réception des produits et contrôle Enregistrement des entrées Stockage Déstockage en fonction des commandes Préparation de la commande Répartition des documents et des commandes Enregistrement de sortie des articles La complexité vient : Nombre de produit, de la quantité, des contrôles et du nombre de mouvements

18 Entreposage Gestion du ou des dépôts : Les SI de gestion des dépôts :
Un dépôt central  Augmentation du transport Des dépôts  Augmentation du stockage Les SI de gestion des dépôts : Intégration des commandes prises sur Internet Préparation de la commande Gestion des stocks Accès aux statistiques Le FCS majeur : dans la qualité de la préparation des commandes

19 Entreposage : La technique RFID
La (Radio Frequency Identification) est une méthode pour stocker et récupérer des données à distance en utilisant des marqueurs : « radio-étiquettes ». Les radio-étiquettes peuvent être collées ou incorporées dans des produits. Les puces électroniques contiennent un identifiant de type EPC (Electronic Product Code). (source Wikipédia) Puce RFID EPC utilisée par Wal-Mart Problème majeur : le cout. MAIS il va aller décroissant (il y a 3 ans : 0.25 €, aujourd’hui moins de 0.20 €)

20 Entreposage : une technique RFID
L’étiquette est activée par un signal radio de fréquence variable que le lecteur, fixe ou mobile, émet. L’étiquette transmet un signal radio en retour que le lecteur transforme en code binaire. Un dialogue s’établit permettant l’échange d’informations. Etiquette passive (type code barre) ou active (lecture / écriture) Avantage majeur : possibilité de lire instantanément tout un carton (par opposition au « produit par produit »)

21 RFID : fonctionnement (http://www.awt.be)
Impact sur la sécurité IMPORTANT ! Dès que le camion franchit le portique RFID, le stock de marchandises est automatiquement augmenté de la quantité livrée. A l'arrivée aux caisses, inutile de vider le chariot, le contenu est comptabilisé par le portique et les quantités vendues déduites du stock. Impact sur la sécurité IMPORTANT !

22 Entreposage : quatre techniques
Picking : Prélèvement des marchandise dans un entrepôt (souvent un point de vente proche du client) Pour des références de base Cross docking : Plate-forme de groupage-dégroupage sans vocation de stockage qui fonctionne en flux continus Arrivées de marchandises de N points fournisseurs, regroupement des différentes composantes destinées à un client et expédition des commandes complètes quelques heures plus tard Demande des flux parfaitement maîtrisés

23 Entreposage : quatre techniques
Comanufacturing : Concerne des opérations d’assemblage ou d’intervention sur le produit Exemple : la pose d’une carte SIM sur un téléphone portable Copacking : Conditionnement à façon, Exemple : l’ensachage, la mise sous blister Intérêts du comanufacturing et du copacking Différencier le produit au dernier moment, Répondre à l’augmentation continue du nombre de références, Sous-traiter des tâches de plus en plus techniques,

24 Logistique aval : les obstacles
Complexité administrative TVA, Formalités douanières = Barrières d’entrées PME cantonnées à e-ventes nationales Incidents de livraisons Responsabilité du vendeur : 2 délai légaux

25 Obstacles logistiques aval
Délai de rétraction : 7 jours à compter de la réception « sans avoir à justifier de motifs ni à payer de pénalités, à l’exception, le cas échéant, des frais de retour » art. L121-20

26 Obstacles logistiques aval
Délai livraison de 30 jours « à compter du jour suivant celui où le consommateur a transmis sa commande »

27 Obstacles logistiques aval
Délais livraison doivent être indiqués Au-delà du délai le marchand doit Proposer un nouveau délai Rembourser dans les 30 jours

28 Le coût du dernier Kilomètre
Distribution adressée : « livraison d’un produit à une adresse indiquée par le client final » Deux modalités : Remise au client Remise dans un point relai

29 Le coût du dernier Kilomètre
Dans le processus de livraison : Passage de flux massifs : B2B A des flux éclatés : B2C Le coût du dernier Km représente 23% du total du coût de livraison Le coût du dernier KM : Livraison Paiement Échec de livraison Retour de marchandise

30 Les modes de livraison Livraison à domicile Livraison en point relais
Sans RDV Avec RDV Livraison en point relais Livraison en consigne Consigne = ?

31 Livraison à domicile sans RDV
Un acteur principale : La Poste Coliposte Chronoposte Principe de l’avis de passage Deuxième chance : Bureau de poste (voir point relais) Inconvénients : Surcoût en cas d’absence Qualité du service

32 Organisation du groupe La Poste
le métier Colis / Express représente avec près de 3,5 milliards € de CA, 19 % de l’activité du Groupe La Poste est 1er en France, 2ème en Allemagne et 4ème en UK ColiPoste, l’opérateur interne, spécialiste de la livraison aux particuliers GeoPost, la holding regroupant les filiales françaises

33 Livraison à domicile avec RDV
Exemple de processus pour un cybermarché : Prise de RDV intégré au processus de commande Pilotage de la préparation en fonction du RDV Transport internalisé ou externalisé Les inconvénients : Coût de la prise de RDV (2€ par appel) Coût de la livraison Coût de la re-présentation non totalement évité Organisation des tournées : Tout le monde veut le créneau 18h-22h

34 Coût domicile Versus Point relais
Source d4Hauteville, univ Paris dauphine, 2005

35 Livraison point relais
S’affranchir du dernier kilomètre : Limiter les coûts de transport Et les transférer aux clients ! Tenir compte des contraintes de circulation en centre ville Éviter de chercher l’adresse Le client est prévenu par mail, sms, … Les problèmes posés : Horaire d’ouverture Capacité de stockage limité Dans le cas de la boulangerie de quartier Déplacement du client

36 Un acteur majeur : Kiala
Kiala : leader en europe 20.6 millions € de CA en 2005 26% de croissance / 2004 4 années d’existence Origine Belgique – Luxembourg Les principes : Des partenariats : camif, cdiscount, Alapage Un suivi du colis via internet Livaison dans : boulangerie, cyber-café, … Retour de marchandise et paiement possible

37 Livraison en consigne Livraison B2B ou B2C Protection des consignes :
D’un fournisseur vers une consigne Entre consignes Protection des consignes : Code barre de la commande ou carte personnelle Code secret Demande un SI performant : Suivi des colis Que pour les agglomérations importantes Taille critique

38 Consigne : un acteur : E-box
Services proposés aux particuliers : Réception de tous les colis quelque soit le transporteur. Coffre est accessible au livreur même sans le client Information de la livraison par et SMS Accès 24h / 24 Sécurité Agence de consigne : Entièrement informatisée

39 Processus de livraison E-Box
Contrat pour un particulier 2 à 3 € par livraison Frais de dossier Procuration pour les recommandés Attribution d’une carte personnelle Livraison Dans l’agence commerciale de Paris Ou par un distributeur agréé e-box Prise des colis par le client dans une des agences automatiques Source :

40 Mode de livraison alternatif
Sur le lieu de travail A domicile dans un « frigidaire » Porte vers l’extérieur avec code Porte vers l’intérieur Exemple : Tesco (leader de la distribution en UK) Drive in Exemple : supermarché via Internet

41 Dans tous les cas : pollution
L'augmentation des besoins de mobilité des personnes et des biens a pour conséquence une consommation de plus en plus importante d'énergie, et fait du secteur des Transports le principal responsable de la croissance des émissions de gaz à effet de serre et le responsable de rejets importants de polluants dans l'atmosphère. En effet le secteur des Transports c'est : 35 % de la consommation totale d'énergie en France (50 % de l'énergie est consommée en ville) et 60 % des importations de pétrole, 69 % des émissions de Nox (oxydes d'azote), 64 % des émissions de CO (monoxyde de carbone), 49 % des émissions de COV (composés organiques volatiles), 33 % des émissions de particules en suspension, 33 % des émissions de CO2 (gaz carbonique). Source ADEME Agence de l'Environnement et de la Maîtrise de l'Énergie

42 Dans tous les cas : responsabilités !
Le champ de responsabilité : il s’agit de toutes les « obligations » (sécurité de la transaction, des produits, du conditionnement, de livraison etc.) quel que soit le « prestataire de service » (fabricant, logisticien, transporteur etc.). les risques pour : l’accroissement des budgets de contentieux ; la charge d’établir la preuve de la faute s’il veut se retourner contre un partenaire ; une différenciation des régimes de responsabilité en fonction des modes de distribution et par conséquent une discrimination entre professionnels opérant sur le même marché mais usant de canaux différents un déséquilibre entre acteurs sur le marché européen en fonction du pays où opère le marchand ; un risque de délocalisation des entreprises dans un pays voisin, européen ou non. source : « le défi logistique du commerce électronique » Sénat 2004

43 Les textes sur la responsabilité
Responsabilité du transporteur ou du sous-traitant Code civil art … Code de commerce art. L133-1 Décret n° : contrat spécifique


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