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« Trajectoires d’Alcoolisations Festives » à Marseille

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Présentation au sujet: "« Trajectoires d’Alcoolisations Festives » à Marseille"— Transcription de la présentation:

1 « Trajectoires d’Alcoolisations Festives » à Marseille
« Trajectoires d’Alcoolisations Festives » à Marseille. Des éléments explicatifs des pics d’alcoolisation Présentation axée sur l’individu, dans l’objectif de déconstruire nos représentations pour s’améliorer. Prégnance ici de l’ethnographie, de l’approche expérientielle, ressentir pour éprouver, vivre pour comprendre. D’où la reconnaissance de la propre expertise de l’individu. Aperçu de la réalité marseillaise, pas généralité. Plan : 1 PBLN, (approche en composante multiple dont principale interventions) 2 TAF 3 RDR alcool et PSS Nicolas Matenot psychologue social de la santé praticien chercheur militant  Le 27/02/2015

2 I. Plus Belle la Nuit Association Bus 31/32 : CSAPA Bus méthadone, CAARUD 31/32, Plus Belle la Nuit. Initialement Médecins du Monde Marseille dès Création du Bus 31/32 en 2004, et alors développement d’un pôle d’interventions en milieux festifs alternatifs. Création PBLN en 2010 : Plaidoyer local, Appui sur l’innovation européenne : AFR, Fêtez Clairs, Quality Nights, NEWIP. « MP 2013 ». Dispositif interinstitutionnel de promotion de la santé en milieux festifs marseillais. Bus 31/32 maître d’œuvre et d’ouvrage. 2014 : 2eme année de fonctionnement réel de PBLN avec formations et interventions. 40 interventions dont 65% avec partenaires, 30 bénévoles dont 15 actifs et 1,15 ETP PBLN. 46000 outils de santé délivrés (14000 bouchons d’oreilles, préservatifs masculins, 9500 RTP) et 5000 brochures (439 taz, 306 coc…) Projet structurant avec philosophie de militantisme RDR au sein d’espaces festifs « commerciaux ». Stand PBLN à la Psychédélices #2 Au Dock des Suds. 19/09/14

3 Une approche professionnelle et communautaire
Publics cibles : Usagers de drogues récréatifs en milieux festifs urbains, Professionnels de la fête, Avec : Aides, Aléas, ANPAA, asud, Avenir Santé, Le Tipi, MDM, Tremplin, Wimoov… Institutions publiques : ARS, CG, Mildeca, Région, Ville (santé, sécurité, cohésion sociale…)… Recherches actions : étude de faisabilité de PBLN (2011), « quanti-festif 2 » pour l’OFDT (2012), « Trajectoires d’Alcoolisations Festives » avec l’IREB (2013 et 2014). Tableau 1 : objectifs initiaux de PBLN depuis 2010 Renforcer la coordination des acteurs concernés Amplifier la capacité d’intervention des acteurs de prévention et RDR Couvrir l’hétérogénéité des milieux festifs en impliquant les responsables d’établissements Public cible de PBLN : tous publics festifs, pas une « catégorie », beaucoup de mineurs et de jeunes adultes, mais peu de « primo-consommateurs ». Ethique d’intervention : Objectifs : informer, faire réfléchir sur les pratiques individuelles et collectives. réduire les prises de risques en seconde intention. Intervention dans l’ici et le maintenant. Non-jugement, respect de la personne et de ses choix, ni moralisation ni prosélytisme. RDR par les pairs. PBLN : un repère « cool » en matière de santé dans le temps festif. Quelques points forts de PBLN : partenariat - communication – souplesse – autonomie et adaptabilité en soirées - actions multiples (maraudes, formations…) – label – et recherche!

4 Lieu de passage et de squat au Dock des Suds
Chill-out à l’IA # 14 L’objet de PBLN : toutes les pratiques festives, dont les usages de drogues : produits, modes de consommations, effets, plaisirs, risques… Les usages festifs sont récréatifs ! Mais parfois l’usager est en difficulté dans sa consommation.

5 II. La recherche-action « TAF »
Un objectif spécifique : « Compléter en permanence le diagnostic sur les besoins en matière de prévention et de RDR en fonction des publics et des espaces considérés. » Besoin et envie d’aller plus loin, « de la rue de la soif au Dock des Suds ». Démarche de recherche-action en alcoologie en milieux festifs urbains : Comité de suivi : Bus 31/32 + inCittà (psychologues, sociologues, cartographes), Comité de pilotage : ARS + DADD + Mildeca + SSPH + SPD, Articles dans « Les Cahiers de l’IREB » (Matenot N. et al, 2013, à paraître 2015). Objectifs de ce diagnostic psycho-social : Créer et ajuster des actions aux besoins réels, Produire des connaissances et outils innovants, Augmenter l’expertise des usagers, Contribuer à l'élaboration de réponse publiques locales. Participation à une étude du Crimso sur les jeunes et la « défonce » en 2008 comme étudiant-relais. Initiative du Bus 31/32. Omniprésence de l’alcool en milieux festifs, Présence de PBLN surtout en événementiel, Mobilité nocturne à Marseille complexe, Offre de santé la nuit peu développée. IREB.

6 Phase qualitative Méthodologie :
Observations ethnographiques (Becker, 1963), récits de pratiques (Bertaux, 1997). Cartographies (Béguin, 2005) : analyse de l’implantation et la distribution géographique des établissements autorisés à diffuser de la musique amplifiée de nuit (liste Ville de Marseille) et des débits de boissons (CCI) = 2678 entrées. TAF entendues comme « usages d’alcool au cours des soirées festives avec déplacement entre différents lieux d’alcoolisations. Soit les consommations d’alcool des individus dans des perspectives festives, temporelles et spatiales. » Principaux résultats via 3 niveaux d’analyse : Représentation géographique de l’offre commerciale et festive des consommations d’alcool à l’échelle de la ville : principaux territoires festifs. Offre festive par territoire. Pratiques festives et TAF influencées par l’alcoolisation, la programmation des scènes festives et leur temporalité, la mobilité nocturne. Approche pluridisciplinaire : psy-socio-carto. Démarche inductive : pas d’hypothèse forte de départ. distinction parcours au sens biographique voir Le Hénaff et trajectoire 

7 Niveau 1 représentation géographique globale
A partir ERP nuit et débits de boissons, 2 678 entrées. a permis de géolocaliser les lieux repérés comme lieux commerciaux de consommation d’alcool et d’observer leur distribution générale et objective. L’analyse de l’implantation de ces lieux a permis de confirmer certaines zones géographiques identifiées empiriquement comme les principaux territoires festifs urbains : la Pointe Rouge / les plages du Prado, la Plaine / le Cours Julien, le Vieux Port / le Cours d’Estienne d’Orves, la Friche Belle de Mai, la Joliette / les Ports.

8 Niveau 2 Offre festive par territoire
Recherche concentrée sur un espace central et emblématique situé entre le quartier du Vieux-Port à l’Ouest et le quartier de La Plaine à l’Est, concentre une offre de consommation d’alcool importante. Une typologie cartographique des lieux commerciaux de consommation d’alcool y a été construite. Associée à l’analyse des pratiques festives identifiées, cette catégorisation qualitative du territoire a permis de qualifier et de définir des micro-territoires festifs. Pour aller plus loin, on constate que par sa grande concentration de lieux festifs, l’offre du Vieux-Port est plus développée et diversifiée que dans d'autres territoires marseillais. D'après les entretiens, le Vieux-Port est le territoire festif de référence à Marseille. Deux tendances se dégagent : de nombreuses personnes sortent spécifiquement dans ce territoire même si elles n'habitent pas à proximité ; les individus sélectionneraient d'avantage les lieux où ils sortent sur le Vieux-Port. Tout ceci caractérise ce territoire et confère une fonction identitaire importante aux lieux festifs commerciaux. La Plaine est un second territoire festif représentatif de ce grand-centre. Il présente une offre festive moins variée que le Vieux-Port, ce qui amène un public moins hétérogène à le pratiquer. De plus nombre d’usagers des lieux festifs de ce quartier sont des personnes qui y vivent, ce qui lui confère une dimension de village (Matenot, 2011).

9 Essai de typologie de TAF : Evénementielle, Ordinaire, Spontanée.
Illustration d’une TAF via une première modélisation : Lieu de départ, Déplacements, Lieux festifs, Consommations, Lieu de fin. Essai de typologie de TAF : Evénementielle, Ordinaire, Spontanée. Niveau 3 pratiques festives et TAF l’alcoolisation : pas indispensable aux bonnes soirées, mais omniprésent comme amis et musique ; la programmation des scènes festives et la temporalité de ces dernières essentielle. Chaque lieu festif propose alcool et musique. Il oriente son offre festive, son identité vers différents publics ; la mobilité nocturne : lieu de domiciliation, moyens de locomotion, lieux et territoires festifs dans lesquels individu sort… = contraintes et possibilités intégré aux TAF; Comportements perçus risqués et donc évités : rentrer à pieds seul et/ou sur de longues distances (notamment pour les femmes), conduire alcoolisé (peur du gendarme plus que du risque d’accident) D’autres liés à l’alcoolisation sont plus acceptés (consommation excessive d’alcool, association avec d’autres produits psychoactifs).

10 Phase quantitative 120 questionnaires entre janvier et mars sur les territoires festifs du centre-ville marseillais du jeudi au samedi entre 19 et 21h ou 22h et minuit : Comportements (lieux fréquentés, déplacements, consommations, horaires…). Raisons invoquées, Informations recherchées et supports privilégiés, Précautions prises. « Quelle est votre dernière soirée festive sur Marseille ? » Traitement statistique des données via le logiciel SPSS : analyses descriptive puis inférentielle. Puis modélisations. Durée ~ 30mn. Vue de l’extérieur du Dock des Suds en soirée Durée 30mn Entre janvier et mars 2014. Informations recherchées : La programmation festive (20.7%) et amis présents (16.4 %). Les horaires et la localisation du lieu (9.5%). Alcool (4.3%) ; Transport (2.6%) ; Public de la soirée (2.6%) ; Plan du lieu (1.7%). Sécurité ; Prévention ; Secours ; Drogues = 0%.

11 Echantillon et déplacements
Thèmes Données relevées La population Etudiants (42.5%), employés et personnel de service (20%), Moyenne d’âge de 24,4 ans, 72% résident dans l’hyper-centre de Marseille (13001, 02, 04 et 06). Leurs soirées Dernière sortie : le jeudi et week-end (80%), Fréquentation de deux lieux festif à 60% (bars et espace privés), Départs entre 19 et 23 heures (69%), Retours entre 1h à 3h (34.2%) ou au-delà de 5 heures (30%). Déplacements En majorité s’effectuent à pieds, La raison principale invoquée est « rejoindre des amis ». Raisons du retour La fatigue (50%), La fermeture du lieu (27.5%), Les impératifs du lendemain (25%). Les allers en soirées sont facilement organisés et sont souvent précédés d’apéritifs alcoolisés dans des lieux privés. Le déplacement entre territoires festifs au cours d’une même soirée est une pratique occasionnelle et minoritaire, alors que le déplacement entre lieux festifs dans un même territoire est très généralisé. A noter que le fait de changer de lieu festif est souvent associé à de nouvelles consommations d’alcool. Les retours de soirées sont eux soumis à beaucoup de variabilité. La faible offre de transport en commun la nuit à Marseille (fermeture des métros à 01 h) et les conduites de suralcoolisation amènent les individus à prendre plus de risques. Ils sortent plus longtemps, consomment plus et augmentent la durée du trajet de retour de soirée. 42,5% cannabis. Autres prods cocaïne

12 Consommations d’alcool et motivations
Thèmes Données relevées Consommations Consommation de 10.2 unité d’alcool (écart type de 7.08), Lieu de départ : 1,8 verres standards, Premier lieu : 4,6 Second lieu : 2,1 Déplacements au cours de la soirée : 0,68 (écart type de 1,72), Autres consommation (50.8% cannabis, cocaïne). Motivations « Le plaisir » : première motivation de la venue dans chaque lieu et à 65% pour le premier lieu. Puis « être dans l’ambiance » et « accompagner les amis ». « Continuer à boire » est sélectionnée à 28.3% dans le lieu 2, soit seconde raison à la consommation après « le plaisir » (31.7%). « Continuer à boire » et « ne sait pas » sont les seules raisons qui connaissent une augmentation en lieu 2.

13 Chill-out et stand lors d’une intervention en free-party en 2011 avec Bus 31/32 + Le Tipi + MDM

14 Précautions les plus prises
Score cumulés Scores de sélection Manger 3.93 66.7% Eviter d’être seul 3.09 41.7% Boire de l’eau 3.53 52.5% Faire des pauses dans la consommation 40.8% Souffler dans un éthylotest 1.7 5% Se limiter à 2 verre 1.25 10.9% Les sujets devaient se positionner sur 14 précautions, admises et diffusées par les structures de santé festive, sur une échelle de Likert de « 1 : je ne prends jamais cette précaution » à « 6 : toujours ». Les conduites de protection prises visent à : Contrôler son état d’ébriété Prévenir le risque routier Sécuriser l’environnement Les personnes régulent leurs pratiques en fonction de : Leur état subjectif (23/108) : ressentis physique et mentale Des situations particulières (15/108) : événement particulier, contexte nouveau ou inconnu. Les situations habituelles peuvent donc entraîner des prises de risques. En prévention du lendemain (12/108) : éviter des effets négatifs d’une suralcoolisation, impératifs (cf. motivations).

15 Facteurs de risque Catégories Facteurs Caractéristiques individuelles
Les hommes consomment plus que les femmes (10.9 Unités d’Alcool versus 7.9) Les Catégories Socio-Professionnelle – avec les employés (10.4 U-A) et les personnes sans activité professionnelle (10.6 U-A) Les espaces de consommation Chez quelqu’un et les espaces publics L’intensité de la soirée Il existe une corrélation positive entre le nombre de lieux fréquentés, l’heure de retour et la consommation d’alcool Le contexte de consommation Plus il y a d’hommes, plus le niveau de consommation augmente. L’objectif des personnes Les personnes qui témoignent « rechercher l’ivresse » s’alcoolisent plus. Les situations habituelles peuvent donc entraîner des prises de risques.

16 Approche cartographique analytique
Les logiques de fréquentation : Répartitions des lieux festifs commerciaux (carte 3) et des consommations effectives (carte 4) sur les territoires. Exemple d’observation : Si le quartier de l’Opéra semble être pourvu d’une offre festive conséquente, aucune consommation d’alcool n’y a été relevée lors du recueil de données quantitatives. Objectifs : Mise en place d’une chaîne de traitement des données quantitatives. Spatialiser et cartographier les pratiques festives. Méthodologie : Localisation des consommations : intégration des données quantitatives au sein de la base de données cartographiques à partir de l’identification du lieu de consommation. Analyses spatiales sur les consommations d’alcool et la distribution des lieux festifs commerciaux. Cartographie des consommations selon différents paramètres : types d’alcool, temporalités.

17 Approche cartographique analytique
La concentration des espaces de consommation : Les lieux de consommations au sein du territoire de la Plaine semblent être plus diffus que ceux du Vieux-Port où l’on peut noter une plus forte concentration des consommations. Cette concentration s’accentue d’avantage après 1h (en bleu sur la carte 6), ce qui peut indiquer une spécialisation de certains lieux festifs commerciaux. Ce type d’indications peut aider à orienter les modalités d’intervention dans ces secteurs.

18 III. RDR festifs alcool et psychologie sociale
Positionnement dans une approche transactionnelle : Evaluation d’une situation et coping (Lazarus et Folkman, 1984) : stratégies pour faire face à un événement. Coping centré sur la situation (fonction de maîtrise) ou coping centré sur l’émotion (fonction de régulation émotionnellle). Se placer dans une perspective de triangulation psycho-sociale (Apostolidis, 2006) permet de mieux comprendre puis d’agir sur les alcoolisations des publics : L’individu : l’âge, les groupes sociaux de référence, les pratiques doivent être respectés, nécessité de la prise de risque pour la construction bio-psycho-sociale… Le contexte : continuité prévention, RDR et soin, complémentarité santé et sécurité publique, L’objet : drogues = alcool, tabac, cannabis, ecstasy, MDMA… Couseling (Rogers, 1962) : empathie, non-jugement, congruence, acceptation. + la temporalité! Exemple : on me propose de consommer un produit, qu’est-ce que je fais? Evaluation : 1 Type et enjeux de la situation 2 Comment gérer la situation coping 3 Réévaluation 8 copings : Evitement : déni, Substitution : faire autre chose plus agréable Minimalisation : pas grave, Soutien social : aide d’autrui Remplacement : améliorer une faiblesse ou insuffisance, Recherche d’info : avt décision, Rejeter la responsabilité sur autrui Renversement : faire l’opposé de ce qu iest ressenti

19 Les risques liés aux abus d’alcool
en milieux festifs Produit le plus consommé dans tous les milieux festifs avec pour conséquences : Désinhibition : entraîne d’autres prises de risques. Sur consommations, poly consommations… Dépendances comportementales : sortir = boire. Comas éthyliques : PLS, premiers secours, gérer l’entourage. Gueules de bois! Conseils de prévention : Manger, ne pas boire à jeun, Boire un café, des softs, Faire des pauses, espacer ses consommations, Ne pas boire des verres trop chargés en alcool, Éduquer aux notions de verre standards, de taux d’alcoolémie, Alterner les verres avec et verres sans alcool. Apéro dans la rue

20 Gérer son alcoolémie La sécurité routière : une très bonne raison pour maîtriser ses consommations. Conseils de RDR : Boire de la bière ou du ricard (plus fort en eau), se réhydrater le lendemain, manger des fruits… Urine foncée = déshydratation! Urine claire = ok Slowdrinking : boire lentement, sinon diluer l’alcool pour en boire toujours autant dans plus de liquide. Éduquer aux notions d’équivalence, de calcul de taux d’alcoolémie pendant l’alcoolisation. Mieux vaut arriver à 2g d’alcoolémie en 6h qu’en 1h! L’important n’est pas le taux d’alcoolémie atteint, mais la rapidité avec laquelle il est atteint. Plus le changement est rapide, moins le corps pourra s’adapter. Boire lentement, étaler la consommation dans la soirée, pour en profiter plus et gérer la montée plus facilement.

21 Conclusion Quelques préconisations :
Encadrer, informer avant, réduire les risques, orienter et prendre en charge les cas graves… Mais surtout augmenter l’expertise des usagers. Impliquer les personnes concernées : parents ; professionnels de santé, de proximité, de la fête… Et surtout les pairs. Développer la connaissance des pratiques des publics. Développement d’une démarche de soutien méthodologique aux acteurs de santé festive dans le 06 par PBLN : Faire du lien entre acteurs, Amorcer un état des lieux situé des besoins, Favoriser l’essor d’un réseau local d’intervenants via la création d’un projet global. L’usage de drogues est la norme en milieux festifs. Mais selon les contextes, les individus, les consommations (produits, quantité…) ne sont pas les mêmes. ne pas interdire

22 Merci pour votre attention!
Fin de soirée pluvieuse sur l’espace public

23 Gérer un bar et ses amis Comment repérer quelqu’un de suralcoolisé?
Observer s’il a des difficultés à s’exprimer, ou à « bien se tenir », s’il est agressif, si c’est son 17ème verre… Que faire s’il demande un verre d’alcool : Communiquer avec même si c’est complexe, Restez calme, agissez fermement et sans agressivité, Lui dire clairement qu’il semble trop alcoolisé, le tranquilliser, Lui proposer de : retrouver ses potes / danser / se reposer / attendre 30 mn / faire une pause / boire un verre d’eau ou un soft / manger, L’inciter à boire de l’eau pour éviter la gueule de bois! Mettre des glaçons pour faire monter le dose d’alcool Tremper les rebords du verre dans de l’alcool Ajouter une goutte d’alcool en dernier… Et s’il insiste encore ? L’orienter vers le responsable du bar ou de la soirée pour vous soutenir, Vous référer à la « règle », Lui servir un verre moins chargé!

24 Equivalence des verres d’alcool

25 Fin de soirée rue de la soif

26 Courbes d’alcoolémies
Fin de soirée rue de la soif


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