La présentation est en train de télécharger. S'il vous plaît, attendez

La présentation est en train de télécharger. S'il vous plaît, attendez

A quelles conditions l’externalisation de l’action éducative pourrait-elle permettre un retour en classe durable de l’élève ? Deux recherches-action avec.

Présentations similaires


Présentation au sujet: "A quelles conditions l’externalisation de l’action éducative pourrait-elle permettre un retour en classe durable de l’élève ? Deux recherches-action avec."— Transcription de la présentation:

1 A quelles conditions l’externalisation de l’action éducative pourrait-elle permettre un retour en classe durable de l’élève ? Deux recherches-action avec le Centre Alain Savary (IFE-ENS Lyon) - Le retour en classe de l’élève après une session en dispositif relais - Deux phases (2010-2012) dans le département de l’Isère - Culture écrite et prévention du décrochage. Dans un ECLAIR de Lyon (2011-2013)

2 Phase 2 : Observations des pratiques dans les DR Nos hypothèses : a) « Pour améliorer le retour de l’élève dans sa classe d’origine, il est nécessaire de fédérer les équipes des collèges et des DR sur un objet commun d’apprentissage. L’élève doit progresser réellement dans sa maîtrise des contenus de savoirs et en être conscient. » b) « L’implication des acteurs de terrain à la recherche-action doit permettre de déclencher un processus de changement dans les pratiques. » Deux indicateurs retenus : a)Assiduité et ponctualité b)Quels contenus de savoirs travaillés pendant la session ? (ce peut être des items du socle commun)

3 Quelques constats absence d’informations écrites formalisées internes au DR qui peuvent être transmises au collège pour chacun des élèves ; peu de contacts ; absence d’adulte tuteur diagnostic des difficultés d’apprentissage trop général pour être utile (en amont comme dans le bilan de fin de session) Absence de ce qui constitue la forme scolaire : leçons à apprendre, devoirs à la maison, cahier de textes, manuels, notes… peu (ou pas) de regards croisés sur l’élève (concordances comme discordances), sur ses points forts, ses limites ; pas de mutualisation des connaissances fines acquises par l’équipe du DR quelle professionnalité pour les personnels des DR ? ; un travail d’équipe peu structuré et régulé, parfois non piloté par le principal

4 Des propositions 1) Quel matériel l’élève doit-il apporter au DR ? Quel est le rôle du cahier de textes ? 2) Si l’élève retourne chaque semaine dans son collège d’origine : a-t-il ses devoirs à rattraper ou/et occupe t-il ce temps à rencontrer son tuteur ? ses pairs ? à aller en cours ? lequel ? 3) La rencontre avec le professeur-tuteur du collège : quand ? où ? quel contenu pendant la session ? A quel rythme et sur quel contenu après le retour de l’élève ? 4) Quels contenus de savoirs privilégier ? comment les déterminer en commun (enseignants des deux équipes) ? Positionner le DR comme lieu d’apprentissage

5 Des choix institutionnels expérimentés dans la phase 3 (2011-2012) Axes de travail retenus Un tuteur enseignant du collège obligatoire pour assurer le retour et le suivi tout le reste de l’année Un PPRE obligatoire au retour Un bulletin du DR ou /et carnet de suivi renseigné par les professeurs et autres professionnels du DR et inséré dans le bulletin du collège Priorité aux deux indicateurs: assiduité/ponctualité et 1 ou 2 items de compétences du socle commun Identifications claires dans le carnet de suivi des difficultés de l’élève et des compétences visées et attendues au retour par le collège.

6 Des hypothèses confirmées Continuité impérative entre avant, pendant et après la session Tutorat obligatoire, dans la durée Le collège d’origine/retour a un rôle majeur Besoin de temps de mises en commun, de partage d’expériences, avec traces écrites, de croisement des regards, de mutualisation Réguler davantage le travail d’équipe ; s’appuyer sur le binôme coordonnateur-principal du collège support pour la médiation externe (réunions de bassin..) Davantage travailler sur le cognitif, pour permettre à l’élève de devenir un apprenant. Apprentissage des méthodes du travail intellectuel (observer, classer, catégoriser, se documenter, résumer, prendre des notes…) La question du retour est au moins autant celle du collège d’origine de l’élève, et de sa classe, que celle du dispositif relais, transitoire.

7 Culture écrite et prévention du décrochage L’hypothèse de recherche s’appuie sur les travaux d’Yves Reuter. En particulier, Observation des univers scolaires de l'écrit : 18 fonctions (d’après Giguère & Reuter, « Présentation d’une grille d’analyse de l’univers de l’écrit à l’école primaire », Cahiers Théodile, 4, 2003) Punir Valoriser S'appliquer / s'entraîner Passer le temps Socialiser le travail Corriger Répondre à ses intérêts S'inscrire dans une histoire Améliorer Développer l'imaginaire, le goût, la culture S'exprimer / communiquer Evaluer Réguler la vie collective Mettre en place le savoir Réfléchir sur son travail Réguler le travail Institutionnaliser le savoir Servir de recours

8 Un dispositif de prévention pour les exclus temporaires ModAccès Fonctionnement jusqu’en 2012

9 Des éléments de convergences qui interrogent l’ensemble des acteurs sociaux et éducatifs Difficultés à articuler les prises en charge du jeune inclus dans un espace local d’interdépendances, à rendre effective une « logique de continuité éducative ». Absence d’articulations fortes, claires, explicites entre le social et le scolaire. L’élève doit le plus souvent faire les liens, construire seul de la cohérence. (4 pôles : collège, classe et pairs, dispositif relais, extérieur à l’école) Besoin d’un accompagnement tutoral, dans la durée mais être vigilant pour ne pas surétayer. Tension entre étayage et autonomie (qui ne s’improvise pas). Besoins de formation initiale, de formation continue, de temps d’analyse et de mutualisations des pratiques pour une indispensable professionnalisation (le bénévolat et la bonne volonté ne suffisent pas). Mais quelle professionnalité ? quel réel partenariat ? Quelle complémentarité entre l’enseignant coordonnateur du dispositif et l’animateur CEMEA ou FRANCAS ou les assistants d’éducation ? Quels temps pour y réfléchir ?

10 Manque de cohérence dans la gestion des absences et retards. Points à éclaircir et travailler collectivement dans les établissements, ils ne concernent pas que la vie scolaire. La faible part, voire l’évitement volontaire de l’écrit et de la culture écrite (pour protéger l’élève) : l’effet pervers d’une bonne intention. La socialisation passe-t-elle uniquement par l’oral ? La régulation du comportement aussi ? Effacement de la forme scolaire, et de ses supports. Peut-on rescolariser en ignorant/laissant de côté temporairement ce qui la constitue ? Quelle socialisation dans les DR et autres modules de prévention ? Part trop restreinte du travail collectif entre élèves. Les interactions maître- élève/élèves sont dominantes. Pourquoi aussi peu de coopération entre pairs ? Un élève tuteur ? Quelles perspectives d’avenir pour le jeune ?  Quid des méthodes actives ? De l’Éducation nouvelle ? Pourquoi aussi peu de visibilité ? Les dispositifs doivent aussi être des lieux d’acculturation à des pédagogies alternatives, centrées sur les apprentissages effectifs de l’élève.

11 Parents Tuteur et référent Coordon nateurÉlève CPEPrincipal professeurs AED animateurs professeurs Autres membres de la famille Frères et sœurs Élève référent AS collège COP Autres professeurs Pairs de la classe Pairs du collège Principal du collège support AS du secteur Tutorat par la Bouture CMPP CMP AEMO, PJJ éducateurs PRE / DRE Pôle extérieur à l’école Pôle classe/pairs Pôle dispositif relais Rectorat IA bassin contrat Infirmière Commissions de recrutement Médecin scolaire ^Pôle ceôle Pôle collège


Télécharger ppt "A quelles conditions l’externalisation de l’action éducative pourrait-elle permettre un retour en classe durable de l’élève ? Deux recherches-action avec."

Présentations similaires


Annonces Google