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Laetitia SICARD Cours N2 du Vendredi 8 janvier 2016

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Présentation au sujet: "Laetitia SICARD Cours N2 du Vendredi 8 janvier 2016"— Transcription de la présentation:

1 Laetitia SICARD Cours N2 du Vendredi 8 janvier 2016
Les dangers du milieu Laetitia SICARD Cours N2 du Vendredi 8 janvier 2016

2 Les dangers du milieu 1 . L’essoufflement 2 . La narcose 3. Le froid
SOMMAIRE 1 . L’essoufflement 2 . La narcose 3. Le froid

3 Objectif Connaitre les facteurs de risque en plongée que ce soit lors des plongées en autonomie ou lors des plongées profondes encadrées Identifier et prévenir les situations de danger potentiel pour soi et pour les autres

4 1 .L’essoufflement En plongée un essoufflement est semblable à une suffocation Un taux trop élevé de CO2 dans le sang en est la cause : c’est l’hypercapnie

5 La ventilation devient alors superficielle
Mécanisme Sur terre Effort Production de CO Elimination par expiration En plongée Augmentation du taux de CO2 Cerveau commande inspiration Expiration insuffisante Essoufflement Un taux élevé de CO2 entraine l’envie d’inspirer au détriment de l’expiration La ventilation devient alors superficielle

6 L’essoufflement se caractérise par une inefficacité de la ventilation
Notre cerveau nous commande des inspirations courtes et fréquentes alors qu’il faut forcer l’expiration

7 Effort inadapté contre courant , mauvaise condition physique
Causes Effort inadapté contre courant , mauvaise condition physique Facteur émotif stress , panique Froid hyperventilation Manque de technique surlestage , mauvaise technique de palmage Matériel détendeur mal réglé , bouteille mal ouverte Environnementale viscosité de l’air , effort inspiratoire, port d’une combinaison

8 L’essoufflement en immersion
Un essoufflement de surface ne peut qu’empirer au fond Plus la profondeur est importante plus il sera difficile de récupérer

9 Accidents de désaturation incapacité à réaliser les paliers
De nombreux risques : Panne d’air Noyade Accidents de désaturation incapacité à réaliser les paliers favorise la naissance et la croissance de bulles d’azote Panique Surpression pulmonaire (remontée panique)

10 Que faire en cas d’essoufflement ?
Pour vous Le signaler immédiatement à votre encadrant ou équipier Cesser tout effort Se forcer à expirer profondément pour évacuer le CO2 en excès Un plongeur essoufflé se repère à un panache de bulles quasi permanent Pour un équipier Lui faire cesser tout effort Le calmer, le rassurer pour éviter la panique Fin de plongée , remontée lente à l’aide des gilets Forcer l’expiration Augmenter les temps de paliers

11 Prévention Une apnée de contrôle peut permettre de déceler un début d’essoufflement Une bonne condition physique , un entrainement régulier en piscine Ne pas s’immerger déjà essoufflé prendre le temps de récupérer en surface Demander une ligne de vie si courant de surface Mesurer les efforts sous l’eau : pas de palmage à contre courant Demander à ralentir le rythme si nécessaire Ne pas plonger fatigué , stressé ou malade Ayez un matériel performant , bien réglé et que vous maitrisez

12 2. La narcose La fameuse ivresse des profondeurs est un trouble du système nerveux du à l’azote La zone à risques commence vers 30 m jusqu’à 60 m, dés 40m tous les plongeurs y sont soumis Les personnes les plus sensibles ressentent les effets dés 30 m

13 Jusqu’à 40 m les effets de la narcose sont très limités

14 L’azote se fixe sur les graisses et donc sur la myéline des axones, ralentissant ainsi les connexions entre les neurones

15 Que ressent on ? Rétrécissement du champ visuel
Lenteur de réflexion , difficulté à ordonner ses idées Rétrécissement du champ visuel Perte de repères temporels Euphorie ou au contraire angoisse Perte de technicité Pour les cas les plus graves : hallucinations visuelles et / ou auditives

16 Les facteurs favorisants
Chaque individu réagit différemment face à la narcose une descente rapide , tête en bas fatigue, stress, anxiété le manque d’accoutumance les conditions de plongée : eaux troubles, froid La sensibilité d’un même individu peut varier d’un jour sur l’autre

17 Précautions pour limiter les effets
Il suffit de remonter dans la zone des 30 m pour voir disparaître les symptômes Précautions pour limiter les effets Descendre doucement tête en haut avec si possible un repère visuel Ne pas plonger en cas de fatigue physique ou nerveuse Avoir un encadrement expérimenté pour accéder à cette zone d’évolution Faire une plongée de réadaptation après un arrêt prolongé de l’activité

18 3. Le froid Dans l’eau nous nous refroidissons 25 fois plus vite que sur terre Il faudrait une eau à 34 °c pour que le corps ne se refroidisse pas

19 Fatigue Profondeur Ressenti du froid Mauvaise Stress condition physique

20 Le froid : facteur d’essoufflement Froid Tremblements (travail musculaire) Augmentation de la production de CO2 Hyperventilation Essoufflement

21 Favorise la saturation en azote Augmentation des effets de la narcose
Le froid : facteur de narcose Froid Favorise la saturation en azote Augmentation des effets de la narcose

22 Le froid : facteur d’ADD Froid Augmentation Epaississement de la saturation du sang en azote Augmentation du risque d’ADD

23 PREVENTION Une alimentation équilibrée avant de plonger, jamais a jeun Ne pas plonger en cas de fatigue importante Se tenir à l’abri du vent et du froid avant l’immersion Une combinaison adaptée à la température de l’eau Signaler aux équipiers si on a froid Demander aux équipiers si ils ont froid, bref communiquer Mettre fin à la plongée Boire de l’eau après d’autant plus si on a eu froid

24 Merci de votre attention


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