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Comité départemental Olympique Sportif La Roche / Foron

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Présentation au sujet: "Comité départemental Olympique Sportif La Roche / Foron"— Transcription de la présentation:

1 La prévention des traumatologies : l’échauffement TRINCAZ Pauline BALMAT Stéphane WIDLAK Sébastien
Comité départemental Olympique Sportif La Roche / Foron 16 novembre 2013 16 NOV 2013 pppp16 NOV 2013

2 Présentation Nous sommes heureux de vous faire part de notre expérience dans le ski et dans la préparation physique de celui-ci. Au travers de la gestion des blessures, une réflexion sur l’échauffement a été menée au pôle interrégional de ski de Chamonix. Comprendre l’échauffement devient alors chargé de sens. Pauline TRINCAZ : coordinatrice au PEI Stéphane BALMAT : kinésithérapeute du sport/ Master 2 éducation en santé Sébastien WIDLAK : kinésithérapeute du sport/ ostéopathe/ Master 2 éducation en santé 16 NOV 2013 pppp16 NOV 2013

3 L’échauffement Un constat
Un moment important incontournable qui fait l’unanimité. Il est souvent délégué et des questions Bien s’échauffer ? L’apprend-t-on ? Et finalement pourquoi s’échauffer ? 16 NOV 2013 pppp16 NOV 2013

4 Échauffement : prévention des blessures…?
16 NOV 2013 pppp16 NOV 2013

5 Il n’y a pas de preuves formelles pour affirmer qu’il faut ou qu’il ne faut pas mettre en oeuvre une routine d’échauffement avant l’effort afin de réduire le risque de blessures. Mais, les preuves sont en faveur d’une diminution de ce risque. (Fradkin et al.2006) 16 NOV 2013

6 Peut-être… mais pas que…
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7 Définition de l’échauffement
«…toutes les mesures permettant d’obtenir un état optimal de préparation psychologique et motrice avant un entrainement ou une compétition et qui, jouent en même temps un rôle important dans la prévention des lésions» (Weineck, 1998) 16 NOV 2013 pppp16 NOV 2013

8 Les rôles de l’échauffement
Préparation à la performance paramètres physiologiques Paramètre mécanique Préparation technique (habilité motrice) Préparation psychologique Proposition de réponse au thème de cette rencontre 16 NOV 2013 pppp16 NOV 2013

9 Mais quelle est la vraie problématique de l’échauffement ?
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10 Produire de l’énergie sans en perdre et conserver la chaleur
16 NOV 2013 pppp16 NOV 2013

11 L’échauffement : une mise en route physiologique
Mise en route cardio-pulmonaire (non abordé ici) Mise en route de l’appareil locomoteur (articulation, muscles et tendons) 16 NOV 2013 pppp16 NOV 2013

12 L’échauffement : préparation à la performance
Augmenter la température pour améliorer la performance 16 NOV 2013 pppp16 NOV 2013

13 L’échauffement : paramètres physiologiques La température
La température musculaire (Masterovoi 1966, Mohr et Coll 2004) La température corporelle (Joch et Uckert, 2001) Température de départ 36° rendement optimal est à 39° + 2° de la température centrale permet  la vitesse de contraction Le rendement optimal du système nerveux est compris entre 38° et 39° 16 NOV 2013 pppp16 NOV 2013

14 Paramètres physiologiques : la température
Evolution de la température musculaire et centrale (selon Bishop, 2003) 16 NOV 2013 pppp16 NOV 2013

15 Les effets de la température
L’augmentation de la température permet d’améliorer : la viscosité du liquide articulaire L’élasticité musculaire Meilleure transmission de l’influx nerveux 16 NOV 2013 pppp16 NOV 2013

16 Mise en œuvre de l’échauffement
T° musculaire T° corporelle Augmenter la vascularisation (mouvement analytique pour effet de pompe amplitude et intensité) Effort progressif de 20 mn sur ergocycle 16 NOV 2013 pppp16 NOV 2013

17 Mise en œuvre de l’échauffement
Selon le protocole de Masterovoï (1964) Phase 1 : analytique : travail concentrique, Des séries brèves, une dizaine de répétitions, un temps d’échauffement réduit Phase 2 : globale: mouvements spécifiques (proche de l’activité) Mise en contrainte mécanique, mise en tension des tendons (cf exposé sur le tendon) 16 NOV 2013 pppp16 NOV 2013

18 Au delà de nos représentations et de nos croyances….
Des études ont montré que : Le footing n’augmente pas la température des IJ Les mouvements rapides, contractions statiques, travail en fréquence ne permettent pas une bonne vascularisation Les étirements ne permettent pas une irrigation sanguine (Alter 1996, Wieman et Klee 2000) Les pommades chauffantes agissent sur l’ouverture des vaisseaux sanguins de la peau (et non sur masses musculaires). 16 NOV 2013 pppp16 NOV 2013

19 Rappel de quelques fondamentaux
ADAPTER - aux groupes musculaires sollicités - à ses besoins personnels - au sport - à ses antécédents de blessure - aux conditions environnementales - A LA POPULATION (âge, niveau de pratique,…) 16 NOV 2013 pppp16 NOV 2013

20 Quelques fondamentaux
Plus il fait froid, plus l’échauffement doit être long. Le matin l’échauffement sera plus long que plus tard en journée Après 45 mn l’effet de l’échauffement a disparu, la température musculaire descend très vite (Mohr et Coll, 2004) 15 mn pour revenir à l’état antérieur FC comprise entre 130 et 140pul/mn 16 NOV 2013 pppp16 NOV 2013

21 Rappel de classification
Les enfants : de 5-6 ans à l'âge pré-pubère (11-13 ans chez les filles et ans chez les garçons), Les adolescents (jusqu’à 19 ans), Les jeunes adultes. seb widlak MK-DO master2 sciences de l'éducation

22 Quelques données chez les jeunes
Quand pour un adolescent ou un adulte, il faut min de récupération pour refaire un exercice à intensité maximale, un enfant n'a besoin que de 30s. La course d’un adolescent est plus économique que celle d’un enfant à la même vitesse La fréquence respiratoire et FC sont plus élevées chez l’enfant Une faible concentration de lactates produite par les enfants à haute intensité/ adulte. Le niveau des microlésions musculaires est moindre que chez l'adulte pour une même intensité (fibre de collagène) 16 NOV 2013 pppp16 NOV 2013

23 Ce n'est pas le tendon (capable de bien encaisser les contraintes), mais le périoste ou le cartilage de croissance qui vont être la cible des traumatismes. 16 NOV 2013 pppp16 NOV 2013

24 TRAUMATOLOGIE SPORTIVE
PREVENTION DES LESIONS TENDON PATELLAIRE L’ECHAUFFEMENT : QUELLE PLACE ? 16 NOV 2013

25 16 NOV 2013

26 La prévention des lésions tendineuses
attitude ou ensemble de mesures visant à prévenir un risque en supprimant ou en réduisant la probabilité d'occurrence du phénomène dangereux :  Charge mécanique inappropriée. 16 NOV 2013

27 « Les charges mécaniques d’ampleur, de durée et de fréquence inappropriée sont des facteurs majeurs en cause dans le développement des tendinopathies» (Wang, 2005) 16 NOV 2013

28  BEAUCOUP D’INCERTITUDES
REACTION DU TENDON FACE AUX CHARGES MECANIQUES D’ENTRAINEMENT ET DE COMPETITION ?  BEAUCOUP D’INCERTITUDES 16 NOV 2013

29 Quasi-Impossibilité de déterminer à priori la charge mécanique à ne pas dépasser
« La notion de charge excessive varie en fonction du tendon, de l’athlète considéré » (Cook, Khan 2007) 16 NOV 2013

30 SE FIER A L’ABSENCE DE DOULEUR ?
« Un tendon anormal peut rester sans douleur pendant des années » (Kannus 1991,Khan et al.1997; Cook et al.2000) « Un tendon anormal et asymptomatique peut se normaliser, rester en l’état ou empirer » (in Edwards, 2010) 16 NOV 2013

31 Difficile de définir le niveau de réalité pathologique du tendon
Est-ce qu’un tendon normal devient pathologique soudainement ? « Non, l’évolution pathologique du tendon est un continuum » (Malliaras, Cook, 2011) 16 NOV 2013

32 Il semble donc très difficile de savoir si un tendon est réellement en mesure de faire face aux charges mécaniques qu’on lui propose. DOSAGE = CHANCE 16 NOV 2013

33 REDUIRE L’INCERTITUDE A PRIORI
PREPARER LE TENDON PATELLAIRE AU GESTE SPORTIF MISE EN TENSION CONSTRUITE ET PROGRESSIVE DANS L’ECHAUFFEMENT 16 NOV 2013

34 Mise en tension excentrique du tendon patellaire
ECHAUFFEMENT Mise en tension excentrique du tendon patellaire 16 NOV 2013

35  S’inspirer de la mise en œuvre d’un programme de rééducation excentrique du tendon patellaire en cabinet Traitement de Choix (Larsson Systematic Review, 2012) Niveau de charge différent renforcement musculaire Mechanotransduction = agir sur la biologie du tendon grâce à la charge mécanique 16 NOV 2013

36 DOIT ETRE SYSTEMATIQUE
Concevoir cette mise en tension comme un entrainement préalable du tendon POUR ENTRETENIR LE METABOLISME TENDINEUX Et renforcer le tendon 16 NOV 2013

37 IMPACT MISE EN TENSION Tendons: Mise en tension fibres de collagène
Optimisation des qualités mécaniques élastiques Préparation aux contraintes Préparation des zones critiques : Jonction muscle-tendon Insertion tendon-os 16 NOV 2013

38 Principes Augmentation Température préalable
Etirements quadriceps 3 * 30 s Mouvement excentrique : flexion / Retour concentrique non souhaité. Nombre répétitions : chaque côté 16 NOV 2013

39 L’ampleur de la mise en charge La durée d’installation
L’effet final dépend de : L’ampleur de la mise en charge La durée d’installation La vitesse d’installation Le nombre de répétitions 16 NOV 2013

40 Progression de Mise en tension
Poids de corps Bipodal unipodal > poids de corps Charges additionnelles Bras de levier (bracelets lestés, gilet, sac à dos) 16 NOV 2013

41 Paramètre de base = Bipodal / Monopodal
Paramètres d’augmentation de la mise en charge : Augmentation vitesse Augmentation Bras de levier tronc / tendon patellaire Augmentation angle de flexion du genou Charges Additionnelles Intégration de réception 16 NOV 2013

42 Progression de Mise en tension
Vitesse d’installation : Lente : zone insertion plus ciblée (in Klein 2004) À Rapide : Zone mid-tendon plus ciblée (in Klein,2004) Augmente le niveau de MET 16 NOV 2013

43 Progression de Mise en tension
Bras de levier : Pied à plat Plan incliné > 15 ° Les squats excentriques monopodaux sur plan incliné > 15° augmentent de 40 % la force exercée sur le tendon patellaire.(Zwerver, 2007) « Les squats excentriques sur un plan incliné produisent des résultats encourageants en terme de réduction de douleur et de retour fonctionnel à court-terme. (Purdam, 2004) Verticalisation tibia / sangles Sac à dos lesté (Zwerver, 2007) 16 NOV 2013

44 Angle de genou : Recommandations (Purdam et al, 2003) : ne pas dépasser 50 / 60 ° lors d’un squat sur plan incliné en vue de maximiser la force appliquée au tendon patellaire tout en se prémunissant d’une compression fémoro-patellaire excessive, qui apparait à partir de 70° de flexion > 70° : risque de compression fémoro-patellaire. De plus à > 70 °, la force de traction du tendon patellaire est fortement réduite par rapport au tendon quadricipital : F(TP) = 50 % F(TQ) 16 NOV 2013

45 Progression de Mise en tension
Vitesse d’installation avec résistance à l’écrasement lors de réception : Poids de corps Bipodal Unipodal + charges additionnelles Depuis un contre-haut 16 NOV 2013

46 VIDEO 16 NOV 2013

47 L’échauffement : versants psychologique et moteur
16 NOV 2013 pppp16 NOV 2013

48 Une mise en condition psychologique au service de la performance
L’ECHAUFFEMENT Une mise en condition psychologique au service de la performance Un moment privilégié pour « entrer » dans son activité sur le plan psychologique. 16 NOV 2013 pppp16 NOV 2013

49 LE PHYSIQUE LE PSYCHOLOGIQUE
Outre les effets préventifs, l’échauffement influe sur la valeur de la performance « Le positionnement spatial, le déplacement, l’accélération, les gestes techniques sollicitent divers capteurs: musculaires, tendineux, visuels, vestibulaires, qui sont autant de « béquilles » permettant à l’homme de se situer dans l’espace et de coordonner ses mouvements ». G. Pasquet, L. Hascoat. 16 NOV 2013 pppp16 NOV 2013

50 Théorie de l’activation
degré d’activité de l’organisme L'activation optimale au regard de la tâche à réaliser nécessite un état particulier de tension ou de vigilance Moteur Perception Cognition 16 NOV 2013 pppp16 NOV 2013

51 ACTIVATION CONTEXTE ENVIRONNEMENT PERSONNALITE PRATIQUE SPORTIVE /
CONTEXTE ENVIRONNEMENT SOMMEIL VEILLE VEILLE ATTENTIVE STRESS ACTIVATION PERSONNALITE PRATIQUE SPORTIVE / DISCIPLINE 16 NOV 2013 pppp16 NOV 2013

52 Se connaître s’apprend, l’échauffement est un apprentissage
Débutant Pratiquant régulier Compéti- teur Haut Niveau Mimétisme Ludique/ Plaisir (# ennui) Feedbacks/ Explications Ritualisation Recherche de sensations SE CONNAITRE Choix de méthodes personnalisées Jeune public Adolescent Adulte AMELIORATION DE L’APPRENTISSAGE, DE LA PERFORMANCE 16 NOV 2013 pppp16 NOV 2013

53 « La mise en condition psychologique permet une adaptation à l’environnement aussi bien matériel que technique et au contexte (…)  Un état d’esprit favorisant la performance, peut être obtenu si les facteurs physiques et psychiques sont conjugués. Un entraînement mental stimulant la compétition peut contribuer, avec l’échauffement, à optimiser la performance » G. Pasquet & L. Hascoat. 16 NOV 2013 pppp16 NOV 2013

54 Une Proposition de réponse au thème de cette rencontre….
16 NOV 2013

55 L’échauffement chez les jeunes : une éducation au service de la performance et de la santé
16 NOV 2013 pppp16 NOV 2013

56 L’échauffement s’apprend…
L’idée que l’échauffement mérite une attention particulière suppose qu’il représente quelque chose d’important, il possède une certaine valeur Au delà d’un rituel, une conception fonctionnelle plutôt que formelle. DONNER DU SENS 16 NOV 2013 pppp16 NOV 2013

57 À retenir… Les effets de l’échauffement :
- effet thermique. La T° musculaire progresse plus vite que la T° corporelle - effet mécanique par la mise en tension : un tendon pathologique n’est pas forcément douloureux - effet psychologique par l’activation personnalisée dans la gestion du stress (anxiété) 16 NOV 2013 pppp16 NOV 2013

58 L’échauffement s’apprend
En conclusion… L’échauffement AMELIORE LA PERFORMANCE et se compose d’un CONTENU ADAPTÉ et INDIVIDUALISE L’échauffement s’apprend 16 NOV 2013 pppp16 NOV 2013

59 À ces conditions, l’échauffement pourrait devenir UN MOYEN DE PREVENTION des blessures et de la préservation du capital santé. 16 NOV 2013 pppp16 NOV 2013

60 Bibliographie -Alter M. J., Science of flexibility, Champaign, 1996
-Bishop D., Warm up I: potential mechanisms and the effects of passive warm up on exercise performance. Review. Sports Med Fradkin AJ, Gabbe BJ, Cameron PA,Does warming up prevent injury in sport? The evidence from randomised controlled trials? J Sci Med Sport. 2006 -Joch W., Uckert S, Aufwärm-effekte : kriterien für ein wirkungsvolles aufwärmen im sport Leistungssport ALLEMAGNE 2001 -Masterovoï L., “la mise en train : son action contre les accidents musculaires”, - Liëgkaya Atletica (URSS), n°9, septembre 1964, traduction française, document INS n° 560, traducteur M. Spivak. (disponible à l’insep) -Mohr M., P. Krustrup, L. Nybo, J. J. Nielsen, J. Bangsbo, Muscle temperature and sprint performance during soccer matches - beneficial effect of re-warm-up at half-time, Scand J Med Sci Sports Jun -Shrier Ian, stretching before exercice does not reduce the risk of local muscle injury : a critical review of the clinical and basic science literature, Clin. J Sport Med 1999, 16 NOV 2013

61 Backmann J.(2011) Low Range of Ankle Dorsiflexion Predisposes for Patellar Tendinopathy in Junior Elite Basketball Players A 1-Year Prospective Study. Am J Sports Med December 2011 vol. 39 no Cook JL, et al. (2001) Reproducibility and clinical utility of tendon palpation to detect patellar tendinopathy in young basketball players. Victorian Institute of Sport tendon study group. Br J Sports Med ;35:65–9 EDWARDS S et al. (2010) Landing Strategies of Athletes with an Asymptomatic Patellar Tendon Abnormality /10/ /0 MEDICINE & SCIENCE IN SPORTS & EXERCISE Copyright 2010 by the American College of Sports Medicin Hamilton B. Purnam C. (2004) Patellar tendinosis as an adaptive process: a new hypothesis. Br J Sports Med 2004;38: Kannus P, Josza L (1991) Histopathological changes preceding spontaneous rupture. Journal of bone and joint surgery 73 A, Khan et al. (1997) Patellar tendon ultrasonography and jumper’s knee in elite female basketballplayers: a longitudinal study. Clinical journal of sports medicine 7, Khan K., Cook J. Maffuli N. (2000) Where is the pain coming from in tendinopathy? It may be biochemical, not only structural, in origin. Br J Sports Med 2000;34:81-83 Klein P. Sommerfeld P. (2004) Biomécanique des membres inférieurs. Ed. Elsevier Wang Jhc (2005) Biomechanical Basis for Tendinopathy. Clinical orthopaedics and related research Number 443, pp. 320–332 V a n d e r W o r p , H et al. 2011Risk factors for patellar tendinopathy: a systematic review of the literature BJSM Online First, published on March 2, 2011 as /bjsm Zwerver J, Bredeweg SW, van den Akker-Scheek I.(2011) Prevalence of Jumper's knee among nonelite athletes from different sports: a cross-sectional survey. Am J Sports Med Sep;39(9):

62 Larsonn Me et Al. (2012) Treatment of patellar tendinopathy--a systematic review of randomized controlled trials. Knee Surg Sports Traumatol Arthrosc. Aug;20(8): Lorenzen J. (2010) [Systematic review about eccentric training in chronic patella tendinopathy]. Sportverletz Sportschaden Dec;24(4): Epub 2010 Dec 14. Purdam C R, Cook J L, Hopper D M. et al (2003)Discriminative ability of functional loading tests for adolescent jumper's knee. Phys Ther Sport. 43– 9.9. Purdam C. (2004) A pilot study of the eccentric decline squat in the management of painful chronic patellar tendinopathy. Br J Sports Med. 2004 Zwervzer J. (2007) Biomechanical analysis of the single‐leg decline squat. Br J Sports Med April; 41(4): 264–268.

63 Nous vous remercions de votre attention
16 NOV 2013 pppp16 NOV 2013


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