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ETUDES DE CAS DES PECHERIES SÉNÉGALAISES Par Moustapha DEME, économiste Centre de Recherches Océanographiques de Dakar-Thiaroye.

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1 ETUDES DE CAS DES PECHERIES SÉNÉGALAISES Par Moustapha DEME, économiste Centre de Recherches Océanographiques de Dakar-Thiaroye

2 2 TYPES DE RESSOURCES Forte diversité biologique, 4 groupes d’espèces aux caractéristiques bioécologiques et à l’importance socio-économique différentes :  ressources pélagiques côtières : sardinelles, chinchards et maquereaux.  ressources pélagiques hauturières : albacore, listao et patudo  ressources démersales côtières : crustacés (crevette blanche, langouste, crabe, etc..), des céphalopodes (poulpe, seiche, calmar) et des poissons (rouget, dorades, mérous, soles, capitaines, etc)  ressources démersales profondes : crevettes (gamba) et poissons (merlus, rascasses, requins- chagrins, baudroies et langouste rose).

3 3 FLOTILLES  Pêche artisanale : Près de 14 000 unités de pêche, une vingtaine de techniques de pêche, 55 000 pêcheurs.  Pêche semi-industrielle 3 à 5 petits senneurs de 15 à 28 m, faible autonomie, sorties journalières.  Pêche industrielle sénégalaise composantes chalutière et thonière, forte prédominance de chalutiers congélateurs et baisse continue des effectifs (167 en 2000 contre 124 en 2004).  Pêche industrielle étrangère, chalutiers originaires principalement CE (20 à 40 bateaux) comme les thoniers (30 à 45 unités).

4 4 CAPTURES ET VC Moyennes des captures et des VC Période 2000-2004 Captures (T) VC (1000FCFA)  Pélagiques 295 350 31 312 144  Démersaux 50 825 40 908 518

5 5 PIROGUE DE SENNE TOURNANTE  Deux pirogues, moteurs hors-bord de 40 cv, filet de 300 à 400 m, capture du poisson par encerclement.  Espèces cibles : sardinelle plate, sardinelle ronde, chinchard jaune, maquereau bonite, la thonine, grande carangue.  Sardinelle plate et sardinelle ronde comptent pour plus de 60 % des captures de PPC  Zones de pêche : de la Mauritanie jusqu’au Cap- Vert et la péninsule du Cap-Vert jusqu’à la frontière avec la Gambie, dans les 6 milles nautiques.  Coûts d’investissement : 16 880 000 FCFA  Coûts d’exploitation : 18 026 000 FCFA  Revenus générés : 32 175 000 FCFA

6 6 PIROGUE DE FILET MAILLANT ENCERCLANT  Pirogue de 16 m de long et de 5 tonnes de capacité, moteur hors-bord de 40 cv et filet de 300 à 500 m.  Deux types de filets en fonction des espèces ciblées: filet à grande maille pour les ethmaloses et filet à petites mailles plus adapté à la pêche des sardinelles plates.  Assure quasi exclusivement le débarquement des ethmaloses et bonne proportion des sardinelles plates.  Zones de pêche : du Cap-Vert jusqu’à la frontière avec la Gambie, dans les 6 milles nautiques.  Coûts d’investissement : 6 330 000 FCFA  Coûts d’exploitation : 9 761 000 FCFA  Revenus générés :14 675 000 FCFA

7 7 PIROGUE GLACIERE  Pirogue motorisée de 16 à 18 m, caisse isotherme à glace, plusieurs types de lignes à chaque marée selon l’espèce-cible.  Proportion importante de démersaux : pageot, chinchard jaune, sériole, lutjanus agennes et lutjanus goreensis  Zones de pêche : A : de la Mauritanie jusqu’au Cap-Vert, de la péninsule du Cap-Vert jusqu’à la frontière avec la Gambie et de la frontière Sud avec la Gambie jusqu’à la Guinée-Bissau.  Coûts d’investissement : 4 305 000 FCFA  Coûts d’exploitation : 8 298 000 FCFA  Revenus générés :26 350 000 FCFA

8 8 PIROGUE DE LIGNE  Les lignes de fond (ligne poulpe, ligne traîne, ligne normale, ligne seiche) généralement appâtées avec des sardinelles.  Proportion importante de démersaux : sars, ceinture, thonine, carpe blanche et aiguillette.  Zones de pêche : A : de la Mauritanie jusqu’au Cap-Vert, de la péninsule du Cap-Vert jusqu’à la frontière avec la Gambie et de la frontière Sud avec la Gambie jusqu’à la Guinée-Bissau.  Coûts d’investissement : 4 020 000 FCFA  Coûts d’exploitation : 2 848 500 FCFA  Revenus générés :11 675 000 FCFA

9 9 CHALUTIER COTIER  Proportion importante de démersaux : poulpe, sole langue, seiche, brotule et crevette blanche.  Zones de pêche : chalutiers côtiers glaciers autorisés à opérer à partir des 6 milles marins des lignes de base au niveau de la Grande Côte et de la Casamance et 7 milles nautiques sur la Petite Côte, chalutiers de fonds, les limites se situent au-delà de 12 milles marins.  Coûts d’investissement : 1 123 551 000 FCFA  Coûts d’exploitation : 484 531 000 FCFA  Revenus générés :508 596 000 FCFA

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