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DEUXIEME PARTIE : ESPACES DE RENOVATION ET LEVIERS DE CHANGEMENT Espace 1 : L'extension de l'enseignement et son ancrage à l’environnement économique Levier.

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1 DEUXIEME PARTIE : ESPACES DE RENOVATION ET LEVIERS DE CHANGEMENT Espace 1 : L'extension de l'enseignement et son ancrage à l’environnement économique Levier 1 : Généraliser un enseignement fondamental de qualité dans une école plurielle Généraliser l’enseignement signifie la propagation d’une éducation de qualité à tous les enfants et les jeunes du Maroc (4- 6 ans au préscolaire, 6 - 15 ans au primaire et au collège). Le défi de la généralisation de l’enseignement préscolaire, primaire et collégial sera une priorité des acteurs de l’éducation.

2 La qualité de l’enseignement exige premièrement la mise en pratique les différents leviers inclus dans la charte, puis la reconstruction des cycles d’enseignement préscolaire, primaire et collégial. Autrement dit, il est important d’améliorer les méthodes exploitées et de rendre la réhabilitation à l’école. L’enseignement est obligatoire à partir de l’âge de 6 ans jusqu’à 15 ans. En effet, il faut motiver, aider les élèves à réussir et assurer une continuation de leurs études. La généralisation de l’enseignement est cernée par un calendrier : -A partir de la rentrée scolaire de septembre 2002, tout enfant marocain, âgé de six ans révolus, doit pouvoir trouver une place pédagogique en première année de l'école primaire la plus proche du lieu de résidence de ses parents.

3 A l'horizon 2004, l'inscription en première année du préscolaire sera généralisée. Aux horizons ci-après, les élèves inscrits en première année du primaire parviendront : En fin d'école primaire, pour 90 % d'entre eux en 2005. En fin d'école collégiale, pour 80 % d'entre eux en 2008. En fin d'enseignement secondaire en 2011, pour 60 % d'entre eux. Le rapprochement de l’école de la résidence des parents est une condition pour la réussite de la généralisation de l’enseignement notamment en milieu rurale et semi urbain. Dans ce cas, il est nécessaire de faire participer les organisations non gouvernementales compétentes en matière de l’éducation et les promoteurs immobiliers. De même, il est obligatoire d’encourager l’enseignement des jeunes filles.

4 Fournir des efforts pour augmenter progressivement la proportion des personnes professionnellement qualifiées, arrivant chaque année sur le marché du travail d'environ 20 % actuellement au moins 50 %, à l'horizon 2010. Pour ce projet, il faut une orientation plus active vers les branches scientifiques, techniques et professionnelles, qui devront accueillir des effectifs de l'enseignement secondaire et de l'enseignement supérieur.

5 Levier 2 : L'alphabétisation et l'éducation non formelle L'alphabétisation La lutte contre l’alphabétisation est une obligation sociale de l’Etat. Le Maroc vise à réduire le taux globale de l’alphabétisme en donnant la priorité aux travailleurs/aux travailleuses analphabètes, des adultes chômeurs et les jeunes ayant moins de 20 ans. La propagation des opérations d’alphabétisation nécessite un programme spécifique à chacune des catégories suscitées. Son but réside dans le fait de rehausser le niveau des compétences professionnelles de ces catégories et d’améliorer la productivité. Pour les travailleurs et les travailleuses, la réalisation des opérations de l’alphabétisation professionnelle implique les employeurs par le biais des chambres des associations professionnelles. Ces opérations ciblent aussi les mères : cela permet une vie active, une santé productive et la gestion des affaires familiales.

6 La création des bulletins d’information et une revue spécialisée pédagogique facilite la communication entre les bénéficiaires des programmes d’alphabétisation, les formateurs et les chercheurs. Pour la catégorie, non scolarisée ou scolarisée, des jeunes âgés entre 8 à 16 ans, également elle fait partie des bénéficiaires du programme national intégral d’éducation non formelle.

7 Décentralisation et partenariat dans l'alphabétisation et l'éducation non formelle Afin de réaliser ce dernier but, il y aura lieu une stratégie cohérente : Renforcer les instances nationales d'alphabétisation, chargées de la planification des programmes et de la supervision de leur réalisation, en adoptant la déconcentration ou /et la décentralisation dans l'exécution. mobiliser les établissements d’éducation-formation, les organisations non gouvernementales compétentes et les opérateurs locaux et mettre en place les mécanismes importants pour réaliser cette opération.

8 La télévision contribue de même à la réalisation de telle opération. Elle consacre une partie de ses programmes à l’alphabétisation : elle programme alors des cours complémentaires. L’organisation des compétitions annuelles participe à la motivation des bénéficiaires d’alphabétisation.

9 Levier 3 : Adéquation du système d'éducation et de formation à son environnement économique. La dimension pratique doit caractériser le processus éducatif par le biais de : Renforcer les travaux manuels : activités de pratique. Instaurer une collaboration basée sur le partage entre les structures d’enseignement général et technique et de formation professionnelle. ouvrir les institutions d'éducation et de formation sur le monde du travail, de la culture, de l'art, du sport et de la recherche scientifique et technique.

10 Réseaux d'éducation formation Les autorités d’éducation et de formation visent à instaurer, aux niveaux régional et local, des réseaux d’éducation et de formation. Elle prend donc en considération la distribution et la capacité d’accueil des établissements. Chaque institution réalise ce qu’elle peut faire en s’appuyant sur les institutions annexes. Ces réseaux sont pilotés par les autorités éducatives déconcentrées et/ou décentralisées. Ceci sera appliqué sous forme d’exemple à partir de 2000-2001. Au niveau de l'enseignement collégial, chaque fois que possible, le collège sera relié en réseau à un centre voisin de formation professionnelle, où à des centres d'initiation des jeunes et d'éducation féminine.

11 Au niveau de l'enseignement secondaire, et chaque fois que cela est possible, le lycée sera relié en réseau à un centre de qualification professionnelle, et/ou un institut de technologie appliquée. Au niveau de l'enseignement supérieur, l'intégration interdisciplinaire pourra également se fonder, progressivement, sur des réseaux régionaux, reliant les établissements universitaires et les grandes écoles.

12 Passerelles entre l'enseignement général, la formation professionnelle et la vie active A la fin de l'enseignement collégial, les élèves non titulaires du brevet de l'enseignement collégial peuvent être orientés vers une spécialisation professionnelle sanctionnée par un diplôme du même nom qui permet à son titulaire : de rejoindre le marché du travail, de continuer sa formation en qualification professionnelle, généralement après un passage dans la vie active, de reprendre les études en accédant au tronc commun de l'enseignement secondaire. Les élèves titulaires du diplôme de l'enseignement collégial peuvent être orientés vers une qualification professionnelle sanctionnée par un diplôme du même nom. A la fin de l'enseignement secondaire, les élèves peuvent être orientés vers une formation professionnelle sanctionnée par un diplôme de technicien.

13 Les élèves titulaires du baccalauréat technique et professionnel peuvent être orientés, soit vers l'Université, soit vers une formation en technologie appliquée et spécialisée sanctionnée par un diplôme de technicien spécialisé. Après le tronc commun prévu au premier cycle de l'enseignement universitaire, les étudiants peuvent être orientés vers les instituts et les écoles supérieures de l'enseignement professionnel et technique, éventuellement après un passage dans la vie active, sous réserve de satisfaire aux prérequis en vigueur.

14 Ouverture de l'école à son environnement et à tous les horizons créatifs La collaboration des établissements d’éducation et de formation et les organismes publics et privés permet le renforcement du volet pratique des enseignements. Elle est réalisée l’échange des visites et les supports pédagogiques. Apprentissage et formation alternée L’apprentissage est une formation qui se déroule essentiellement en entreprise : c’est la relation entre l’employeur et l’apprenti. Il peut durer jusqu’à 3 ans et deux niveaux encadrent cette formation : vers la fin de l'enseignement collégial.

15 La formation altérée est assurée entre l’entreprise et l’établissement d’éducation et de formation. L’encouragement de l’apprentissage en milieu de travail et de formation altérée est fait par l’implication des partenaires (autorité d’éducation et de formation centrales et décentralisée, les chambres d’agriculture, d’artisanat, d’économie, de commerce et d’industrie). Pour motiver ces partenaires, l’Etat met en place un système d’assurance.

16 Formation continue La formation continue est un facteur essentiel pour répondre aux besoins en compétences des entreprises, et les accompagner dans le contexte de la globalisation des économies et de l'ouverture des frontières. Cette formation concerne l'ensemble des populations en cours d'emploi ou menacées de perdre leur emploi. Ainsi, La différence des secteurs professionnels et les spécificités propres à chaque secteur en termes de développement des compétences liées à chaque métier exigent de mettre en place un système de formation continue contractualisé, adapté à chaque branche professionnelle, aux niveaux national et régional.

17 Le système de la formation continue permet à chaque individu de faire valider ses acquis professionnels et de déterminer ses besoins en formation. Il est articulé autour de la logique du marché, seule capable d'accompagner de manière dynamique les besoins en compétences des entreprises. La réforme de la formation continue est basée sur la loi dictant que chaque individu a le droit et le devoir de la formation tout au long de la vie.


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