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1 LA PLONGEE SOUS-MARINE COURS NIVEAU 1 2/3. 2 La décompression L’essoufflement Le froid La faune/La flore La mer, lac, carrière Les risques en plongée.

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1 1 LA PLONGEE SOUS-MARINE COURS NIVEAU 1 2/3

2 2 La décompression L’essoufflement Le froid La faune/La flore La mer, lac, carrière Les risques en plongée (suite):

3 3 Pourquoi la décompression ? Un plongeur respire de l’air sous pression, ce qui modifie sa physiologie. => il ne peut remonter n’importe comment à la surface. Règles à suivre pour remonter en toute sécurité (en plus de celles pour ne pas subir de surpression pulmonaire) La remontée en plongée: la phase la plus délicate, notamment vis-à-vis de la gestion de la décompression.

4 4 Les causes de la décompression En plongée, respiration d’air sous pression (pression ambiante), composé de 20% d’02 (oxygène) et 80% d’N2 (azote). Oxygène consommé par l’organisme et ne pose aucun problème de décompression. Azote non consommé par l’organisme mais accumulé par celui-ci tout au long de la plongée (descente, au fond). Lors de la remontée, l’azote accumulé doit être évacué progressivement par l’organisme. La restitution de l’azote accumulé est appelée « la décompression ». Si remontée à vitesse normale (15m/min, vitesse des petites bulles), azote évacué progressivement par notre ventilation (expiration) => Bonne décompression. Si remontée trop rapide, la ventilation ne peut évacuer tout l’azote accumulé dans l’organisme, des petites bulles se forment (état dissout => gazeux). En remontant, ces bulles grossissent => cela peut provoquer un accident de décompression (ADD)

5 5 Les procédures de décompression Afin d’assurer une décompression en toute sécurité, le moniteur ou le guide de palanquée utilise une procédure de décompression. La FFESSM a adopté les tables MN90 (marine nationale 1990) comme procédure de décompression utilisée dans le cadre des formations en plongée. Les tables MN90 sont calibrées pour une vitesse de remontée de 15-17m/min (vitesse des petites bulles). Une vitesse de 15m/min correspond à une vitesse de 3m en 12sec ou 1m en 4sec. Ces tables exploitent un algorythme de modélisation du comportent corps humain vis-à-vis de l’azote. L’usage de l’ordinateur a peu à peu remplacé celui des tables car il est plus simple. Chaque fabricant d’ordinateur a son algorythme propre avec des vitesses de remontée correspondantes (ex: marque SUUNTO: vitesse de 10m/min)

6 6 www.plongee-plaisir.com - illustra pack1 – Alain FORET

7 7 Courbe de sécurité www.plongee-plaisir.com - illustra pack1 – Alain FORET

8 8 Les paliers Un palier est un arrêt à une profondeur donnée pendant une durée donnée. Sauf conditions exceptionnelles de plongées, les Niveaux 1 ne sont pas concernés par les paliers de décompression (obligatoires). Dans certaines conditions, un guide peut décider de faire un palier de sécurité de 3mns à 3m. Les paliers de décompression sont donnés par les tables de décompression ou par l’ordinateur de plongée. C’est le guide de palanquée qui gère la phase de décompression. Les paliers dépendent de la profondeur de la plongée,de sa durée et de ses conditions.

9 9 Préventions 1/2 Avant la plongée: –Ne pas plonger en étant fatigué –Attention à la prise de certains médicaments contre-indiqués (demander à son médecin), pas d’alcool. Pendant la plongée: –Ne jamais descendre en dessous du guide de palanquée –Être au même niveau que lui ou légèrement au dessus (maîtrise de l’équilibre). A la remontée: –Suivre le guide de palanquée sans jamais le dépasser, en étant juste au dessous de lui –Remonter à une vitesse de 15-17m/min (vitesse des petites bulles).

10 10 Préventions 2/2 Au palier: –Rester au niveau ou juste au dessous du guide de palanqué –Pour que ce palier soit efficace, il est nécessaire de maîtriser son équilibre ainsi qu’une bonne ventilation –Jamais de Valsalva au palier (risque d’ADD). Après la plongée: –L’azote n’est pas complètement évacué. –Éviter de faire des efforts physiques (pas d’apnée, pas de sport intense, …), ne pas monter en altitude ou prendre l’avion.

11 11 Symptômes de l’ADD Même si le niveau 1 ne risque pas un ADD de part ses prérogatives, il est utile d’en connaître les symptômes: –grande fatigue générale, –fourmillements, pertes de sensations, –nausées, vomissements, vertiges, –démangeaisons, douleurs cutanées, –douleurs articulaires, –coup de poignard dans le dos, –troubles visuels, auditifs et de la parole, –paralysie, … –douleur thoracique, –troubles ventilatoires, –incapacité à uriner,

12 12 L’essoufflement Sous l’eau, nous respirons avec un détendeur : la ventilation est modifiée. => Notre capacité à récupérer d’un effort est diminuée

13 13 L’essoufflement : mécanisme Au début de l’essoufflement, la respiration est haletante, trop rapide et pas avec une assez grande amplitude, La ventilation devient superficielle: on a l’impression de manquer d’air, de s’asphyxier => l’essoufflement s’aggrave. En plongée, le matériel et la spécificité de l’activité facilitent l’apparition de l’essoufflement qui peut amener le plongeur à paniquer: risque de remontée panique (surpression pulmonaire, ADD), noyade (par réflexe, le plongeur enlève son détendeur pour inspirer plus profondément. => éviter à tout prix l’essoufflement !!

14 14 L’essoufflement: prévention 1/2 Avant la plongée: –Avoir une bonne condition physique: connaître ses limites. –Maitriser la technique du palmage et de la ventilation. –Ne pas être fatigué, ni prendre un repas trop copieux avant, ne pas prendre froid. –Ne pas être surlesté => besoin de gonfler sa stab, augmente la résistance dans l’eau Avant l’immersion: –Dégonfler son gilet lors du déplacement en surface –Garder le détendeur en bouche et le masque sur le visage si la mer est mauvaise: éviter des apnées de surface. –À partir d’un bateau: utiliser la ligne de vie au lieu de palmer dans le courant.

15 15 L’essoufflement: prévention 2/2 Au moment de l’immersion: –Ne pas s’immerger si déjà essoufflé (portage de bloc, palmage excessif): ca ne peut que s’aggraver sous l’eau. Pendant la plongée: –Ne pas lutter inutilement contre le courant, s’accrocher aux rochers, aux laminaires => imiter le guide dans sa façon de se déplacer. –Dès les 1ers symptômes, prévenir le guide de palanquée, arrêter tout effort et insister sur l’expiration. –Ne pas faire d’effort supplémentaire pour prévenir; le guide reviendra vous voir.

16 16 Le froid Causes: Le corps se refroidit 25 fois plus vite dans l’eau que dans l’air. L’eau doit être à 33°C pour qu’il n’y ait pas de perte de chaleur corporelle. On perd de la chaleur par la peau (eau dans la combinaison) et par la ventilation. La combinaison se comprime avec la pression: moins bonne isolation au fond. Conséquences: Frissons, claquement dents, désintérêt de la plongée => perte de vigilance. Augmentation de l’activité physique, de la ventilation => favorise l’essoufflement,

17 17 Le froid : Prévention Préventions: –Alimentation correcte et énergétique (sucrée) avant la plongée. –Combinaison correctement ajustée (+ gants, chaussons): Humides : l’eau pénètre dans la combinaison, notre corps la réchauffe. Cette eau nous protège ensuite du froid. Les combinaisons ont plusieurs épaisseurs selon les modèles. En Bretagne, 7 mm est un minimum Semi-étanche : les matériaux, les manchons et les fermetures éclairs utilisés font que l’eau rentre moins facilement dans la combinaison. Sèche/Etanche : Il n’y a pas d’eau qui rentre. Elle permet de plonger dans les eaux froides. L’isolation est assurée par une couche d’air. Du fait qu’un volume d’air se déplace dans la combinaison, plonger avec ce type de matériel ne s’improvise pas et est plutôt réservée à des spécialistes. T° de l’eau dans la Manche: 7°C en Mars, 18°C en Aout. –Ne pas prendre froid sur le bateau ou en attendant le début de plongée.

18 18 Le froid : Conduite à Tenir –Dès que les symptômes se font ressentir, faire signe au guide de palanquée. Ne pas attendre en se disant que ça va s’arranger: ça ne peut qu’empirer !!! –A noter qu’en remontant, la combinaison retrouve son épaisseur initiale et donc une meilleure isolation thermique. –Se couvrir à la fin de la plongée (manteau, bonnet). Boire chaud et sucré, mais pas d’alcool. –Laissez le corps se réchauffer naturellement, ne pas frictionner, ni se passer de l’eau chaude sur les mains.

19 19 La flore/La faune Quand on ne connaît pas, on ne touche pas Particules irritantes à la surface des algues Anémones, congre, homard/araignée/crabe

20 20 La faune Vives Raies Méduses Oursins, Cones Phoques Corail Seiches

21 21 Plongée et environnement Charte du plongeur responsable FFESSM Respect de l’environnement: –Ne rien jeter à la mer –Ne pas ramasser de faunes ou flores –Éviter de déplacer les rochers (perturbe la vie installée)‏ –Ne jamais donner à manger aux animaux Maîtrise du palmage: –Ne pas toucher la flore, ni la faune avec ses palmes, –Ne pas soulever de sédiments qui vont altérer la visibilité, Maîtrise de l’équilibre: –Ne pas s’écraser ni prendre appui sur la végétation par non maîtrise du gilet, ni du poumon ballast Avoir une attitude calme: –Ne pas se fatiguer, –Ne pas trop consommer, de façon à ne pas raccourcir le temps de plongée de toute la palanquée Avoir un bon lestage: –Objectif: fin de plongée, stab vide avec 50 bars en bouteille, tenir équilibré sans effort à 3m.

22 22 La mer, l’eau Vagues: –Sur un bateau: mal de mer, mise à l’eau, sortie de l’eau (position, fixation des bouteilles) –Si plongée en bord de mer: toujours garder son détendeur en bouche tant que l’on n’est pas au sec, masque ôté autour du cou Marées: –Visibilité peut se dégrader –Génère du courant –Sorties bateau toujours à l’étale, et surtout par petit coefficient. Courants: –Visibilité peut se dégrader rapidement –Risque d’essoufflement Absorption des couleurs quand on descend Meilleure audition

23 23 Plongée en lac et carrière Lac, Carrière: –Eau douce :le lestage n’est plus le même –Froid : combinaison plus épaisse, risque d’essoufflement augmente –Visibilité peut être très mauvaise


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