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LA COLLABORATION INTER- PROFESSIONNELLE Le partenariat « psychosocial-médical »

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Présentation au sujet: "LA COLLABORATION INTER- PROFESSIONNELLE Le partenariat « psychosocial-médical »"— Transcription de la présentation:

1 LA COLLABORATION INTER- PROFESSIONNELLE Le partenariat « psychosocial-médical »

2 Présentateurs  Mariesol Gagnon  Travailleuse sociale  Programme accueil psychosocial/suivi adulte au CSSS- IUGS (depuis 2012)  Clinique Plateau Marquette (depuis 2013)

3 Présentateurs  Philippe Lamontagne  Médecin de famille, responsable médical GMF du Plateau Marquette  «Co-gestionnaire» programme santé mentale du CSSS- IUGS

4 Plan de présentation  Introduction  Caractéristiques du GMF Plateau Marquette  Origine de la collaboration  2016 : où en sommes nous ?  Conclusion - pistes pour le futur

5 Introduction  Présenter la collaboration dans la vraie vie  Ce qui marche, ce qui marche moins  Les efforts à consentir Ce qui semble simple en apparence, est souvent assez complexe

6 Introduction  La collaboration des 2 côtés de la clôture Qui collabore avec qui ?!  Développer (ou avoir) la «foi»

7 GMF Plateau Marquette  Ville de Sherbrooke : 150,000 habitants  25,000 inscriptions pondérées  18 omnipraticiens  Groupe avec pratique diversifiée; hospitalière, obstétrique, chsld, csss …  5 infirmières  2 infirmières auxillaires  1 pharmacienne (3 jours/semaine)

8 GMF Plateau Marquette (suite)  2 travailleuses sociales (5 jours/semaine)  2 psychologues (2.5 jours/semaine)  1 nutritionniste (2 jours/semaine)  1 inhalothérapeute (2 jours/semaine) *Toutes ont un lien d’emploi avec le CSSS

9 Origine du partenariat  Centré sur les problématiques de santé mentale  Exigences particulières de la clientèle  besoins complexes, chronicité, nécessite un travail d’équipe  Limites du médecin de famille  contrainte de temps, manque d’expertise

10 Origine du partenariat (suite)  Liens non efficients entre le GMF et le CSSS  Entente particulière en 2011 entre le CSSS et le GMF pour obtenir les services d’une travailleuse sociale en échange de la prise en charge de clientèle lourde

11 Origine du partenariat (suite)  Au départ : la clientèle visée était uniquement adulte ayant des problèmes de santé mentale  Arrivée d’une professionnelle (1 jour/semaine)

12 Origine du partenariat (suite)  Contexte facilitant :  Intervenante «triée sur le volet» Choisie pour sa connaissance des problématiques de santé mentale Choisie pour son expérience de travail avec les médecins et son désir d’être en contact avec le monde médical

13 Origine du partenariat (suite)  Malheureusement elle nous a quitté  Roulement de personnel;  Au cours des années, 3 départs : 2 pour des raisons «professionnelles» 1 pour des raisons «personnelles»  Heureusement, on en a trouvé d’aussi bonnes

14 2016, où en sommes-nous ?  Le travail en collaboration :  Point de vue de la travailleuse sociale

15 2016, où en sommes-nous ? (suite)  Mon arrivée au GMF  Prise de contact  Intégration  Le travail  Fonctions : Suivi Évaluation- orientation Agente de liaison

16 2016, où en sommes-nous ? (suite)  Références des médecins, infirmières et autres professionnels du GMF  Faites sur papier incluant informations pertinentes avec priorisation (délai de prise en charge)

17 2016, où en sommes-nous ? (suite)  L’orientation de toutes les demandes psychosociales est effectuée par un seul professionnel  Orientation en fonction de critères établis (psychologue vs TS)

18 2016, où en sommes-nous ? (suite)  Critères pour référence en service social  Demandes avec une ou plusieurs caractéristiques Problème ponctuel, transitoire Problème de santé mentale léger ou modéré Situation de crise Stabilisation d’une situation ou prévention de la détérioration

19 2016, où en sommes-nous ? (suite)  Intervention dans une perspective psycho-sociale en agissant sur l’environnement social, le milieu de vie et en utilisant les ressources de l’individu

20 2016, où en sommes-nous ? (suite)  Critères de référence en psychologie :  Problématiques plus complexes de santé mentale (ex.: co-morbidité)  Nécessité d’une évaluation psychologique  Problèmes chroniques ou récurrents (ex.: dépression récidivante)

21 2016, où en sommes-nous ? (suite)  Balises d’intervention :  Court terme (5 rencontres, exceptionnellement jusqu’à 10)  4 entrevues par jour selon la complexité  Entrevue de 50 à 60 min.

22 2016, où en sommes-nous ? (suite)  Avantages de la collaboration :  Interventions multidisciplinaires  Échange direct avec les autres professionnels et médecins  Optimise les interventions de chaque intervenant

23 2016, où en sommes-nous ? (suite)  Facteurs favorisant la collaboration  Respect des expertises de chacun  Ouverture au travail d’équipe  Proximité des professionnels

24 2016, où en sommes-nous ? (suite)  Quelques résultats en 2015 :  153 suivis (3 jours/semaine)  Nombreuses interventions ponctuelles (tel la recherche d’informations sur les ressources, orientation vers les services du CSSS etc…)

25 2016, où en sommes-nous ? (suite)  Éventail des problématiques orientées vers la travailleuse sociale :  Trouble d’adaptation  Perte d’emploi  Épuisement  Deuil  Arrêt de travail

26 2016, où en sommes-nous ? (suite)  Agression sexuelle  Isolement  Problème de consommation, de jeux  Anxiété  Dépression  Difficultés familiales, conjugales, parentales

27 2016, où en sommes-nous ? (suite)  Exemples de collaboration :  Suivi pour rétablissement de dépression et collaboration avec md traitant et pharmacienne  Rencontre pour difficultés familiales et orientation vers les services du CSSS et les organismes communautaires  Agent de liaison avec partenaires du réseau

28 2016, où en sommes-nous ? (suite)  Après plus de 5 ans de partenariat  Les médecins sont très satisfaits de la collaboration  Ce fut un «work in progress»  La courbe normale s’est déplacée avec le temps  Il y a toujours place à l’amélioration

29 2016, où en sommes-nous ? (suite) Quelques remarques pour se faciliter la vie :  En préalable: les liens GMF- CSSS (s’entendre entre les gestionnaires : ça aide !)  Préparer l’arrivée (rencontre préliminaire gestionnaires-intervenant)

30 2016, où en sommes-nous ? (suite)  Définir les tâches, le fonctionnement, les attentes mutuelles…  La première journée : («comme en visite» les md, les secrétaires, les autres intervenants, etc…)  Prévoir une rencontre officielle (réunion GMF)

31 2016, où en sommes-nous ? (suite)  Préciser les tâches (dans les grandes lignes) et la clientèle visée  Préciser le nombre de rencontres attendues (1 ETP TS vs 25000 inscriptions)  Ne pas faire ce que d’autres font (bien connaître le réseau) mais parfois suppléer en attendant

32 2016, où en sommes-nous ? (suite)  Exclure dans la majorité des cas ceux qui ont des assurances privées (ex.: psychothérapie, rôle du référant)  Préciser qui peut référer : la majorité des références viennent des médecins mais pas uniquement (infirmières, pharmaciennes)  Le médecin traitant doit savoir sans être le goulot d’étranglement

33 2016, où en sommes-nous ? (suite)  Rencontres périodiques sur le fonctionnement de l’équipe, délai de prise en charge, orientation des demandes  Un seul intervenant fait la gestion des demandes (clarifie la demande, la priorité, suit les listes d’attente)

34 2016, où en sommes-nous ? (suite)  Les médecins sont avisés qu’une demande adressée à un psychologue pourrait être vue par un travailleur social et inversement  Un médecin est responsable de l’interface médicale– psychosociale (gestion des différents, développement du partenariat)

35 2016, où en sommes-nous ? (suite)  La collaboration ne s’impose pas, elle se développe par la confiance. S’assurer d’avoir des expériences positives dès le départ  La collaboration doit être plus que la somme des contributions individuelles (sinon chacun chez soi)

36 2016, où en sommes-nous ? (suite)  La communication est au centre de la collaboration : D’abord et avant tout les contacts directs (discussion de couloir) Mais aussi : Résumé ou conclusion d’évaluation Tâche internet (DME) Rencontres périodiques (ensemble des médecins et des professionnels)

37  La collaboration se fait dans les deux sens : Qu’est-ce que je dois faire comme médecin pour collaborer : Offrir la disponibilité pour discuter des cas Respect pour l’expertise d’un autre professionnel Ouverture aux solutions proposées 2016, où en sommes-nous ? (suite)

38  Beaucoup d’appelés, pas autant d’élus (des deux côtés) Commencer avec les médecins motivés, Contaminer vos collègues et assurez-vous que les récalcitrants n’aient pas d’impact négatif

39 Conclusion  Préparer l’arrivée  Entretenir les liens/ régler les différents  Faire le suivi

40 Conclusion  Intégrer une travailleuse sociale provenant des services généraux ou du programme santé mentale (idéalement)  Éviter le dédoublement des services  Maximiser l’utilisation des ressources du milieu  Conserver l’appartenance à l’équipe du CSSS (incluant des activités cliniques)

41 Conclusion  Pistes pour le futur :  Apport du psychologue à l’équipe (pédo et adulte)  Apport du psychiatre répondant (rencontre d’équipe)


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