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Projets parallèles de AVSI et NRC financé par ECHO

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1 Projets parallèles de AVSI et NRC financé par ECHO
Réponse d’urgence en sécurité alimentaire avec l’approche Cash and Voucher Projets parallèles de AVSI et NRC financé par ECHO

2 Sommaire L’historique: l’origine et le pourquoi d’une réponse d’urgence en sécurité alimentaire La première phase du projet: un début encourageant La deuxième phase: innovations et nouveaux défis Etude de cas AVSI et NRC Vers la troisième phase: analyse des changements et chantiers à venir

3 L’historique, l’origine et le pourquoi d’une réponse d’urgence en sécurité alimentaire
2011: gap en assistance alimentaire. Les besoins sont importants et les DGV (distributions générales de vivres) ne suivent pas le rythme du RRMP dans l’assistance d’urgence. Le manque de complémentarité AME/Vivres réduit l’impact de l’assistance : en 2010/2011, la revente des AME pouvait parfois atteindre les 70%, le motif principale de la revente était l’achat des vivres (40%), suivi par les dépenses pour santé et éducation (entre 12 et 30%). En novembre 2011, ECHO finance parallèlement les projets de AVSI et NRC pour une assistance alimentaire rapide complémentaire au RRMP en utilisant l’approche C&V.

4 PHASE 1: un début encourageant
Indicateur NRC AVSI Nombre des BNF individus (5479 ménages) (5100 ménages) Typologie des bénéficiaires 59.8% retournés, 39.9% déplacés, 0.3% famille accueil vulnérables 89% déplacés, 11% autochtones vulnérables Type d’assistance 3 cycle + cash pour autres besoins 2 cycle Moyenne de jours entre AME et Vivres 12 jours 20 jours % MNG qui n’a pas revendu les NFI 95,3 % 85% % MNG avec SCA >42 69,4% 71% % des BNF ayant augmenté nombre de repas 76 % 80%

5 PHASE 1: Bref rappel sur les leçons apprises
Une bonne analyse des risques avant toute intervention permet de comprendre la faisabilité et l’opportunité d’une intervention C&V La typologie et la durée de l’assistance dépend de la nature du déplacement Une bonne étude du marché permet de comprendre la faisabilité d’une intervention C&V, de définir la méthodologie d’intervention et prévoir l’impacte sur l’économie locale La méthodologie C&V a un impacte positif sur l’économie local dont en bénéficie toute la communauté locale (bénéficiaires indirectes) L’analyse des vulnérabilités socioéconomiques et alimentaires permet un ciblage plus accepté par la communauté La méthode scooping nécessite une longue phase de préparation et de vérification et un système de vérification de la taille de ménage fiable, et peut s’avérer être peu pertinente à la rapidité de l’intervention

6 PHASE 2: Innovations et nouveaux défis
Plus de flexibilité: nombre de cycle à déterminer selon la nature du déplacement et les besoins Intégration de l’alternative: vouchers en marché ouvert Expériences de foire conjointes AME/vivres faite par les équipes RRMP et ECHO (améliorer la rapidité des interventions)

7 PHASE 2: Simultanéité et Foires conjointes
Analyse du Marché et Options de réponse Préparation de réponse Vivres Intervention Vivres Enquête ménage SecAlim et Vulnérabilité, ciblage Enquête ménage SecAlim et Vulnérabilité, ciblage Analyse du Marché et Options de réponse Préparation de réponse Vivres Intervention Vivres Enquête ménage AME Vulnérabilité, ciblage Préparation de réponse AME Alerte humanitaire Activités FS Décalées Intervention AME MSA Analyse du Marché et Options de réponse Activités FS Simultanées Activités AME (RRMP)

8 Etude de cas NRC: Foire Conjointe de Bunyatenge
Information générales Lieu Bunyatenge, Sud Lubero, GNK Dates du 1er au 3 mars 2013 Type d'intervetion Foire conjointe AME/Vivres/Education Nombre des bénéficaires 8282 individus Type de bénéficiaires 88% retournés et 12% déplacés Métodologie scooping (taille réelle du ménage) Valeur du voucher 16$ par individus

9 Etude de cas NRC: Foire Conjointe de Bunyatenge
Zone très enclavée, majorité des produits amené par moto Deuxième expérience de foire conjointe avec RRMP 61% des BNF trouvent que la formule foire conjointe donne plus des avantages, seulement 12% pense le contraire (raison principales: vole, transport) 49,6% des BNF est très satisfait et 41% est satisfait (seulement le 7% est insatisfait) Le 77% des vivres achetés sont consommé, le 22% est encore en stock, le 4% partagé avec les familles d’accueil. Seulement un 0,4% est revendu.

10 Etude de cas NRC: résultats Bunyatenge

11 Etude de cas NRC: Foire Conjointe de Bunyatenge
Items le plus souvent revendus: tôles, matelas

12 Etude de cas AVSI: Foire Conjointe de Kamituga
Information générales Lieu Kamituga, Mwenga, Sud Kivu Dates Juillet 2013 Type d'intervention Foire conjointe AME/Vivres Nombre des bénéficaires 2944 ménages Type de bénéficiaires Déplacés (en majorité) et familles d’accueils/autochtones vulnérables Valeur du voucher Vivres: 65$ par ménages AME: 75$ par ménages

13 Intervention multisectoriel AVSI-IRC
Première intervention multi-acteurs au Sud Kivu -Ciblage conjoints (tous les agents formés sur la méthodologie de ciblage conjointe) -Définition claire des responsabilités des différentes activités par organisation au préalable (3 réunions avec la coordination + 2 rencontres des équipes de terrain) -Engagement des capacités des partenaires séparés par vendeurs -2 Acteurs différents pour la Sécurité Alimentaire (IRC et AVSI à travers le projet ECHO) Paiement à travers institution financière locale Inclusion des producteurs locaux comme vendeurs Première tentative de site conjoint

14 Intervention multisectoriel AVSI-IRC
-Optimisation des ressources -Connaissances du contexte partagée parmi les acteurs -Approche multisectoriel -Partage de bonnes pratiques entre acteurs -Difficulté d’organisation entre différents acteurs -Applications des approches de ciblages inter-secteur (premier intervention)

15 Difficultés et leçons apprises
Pour NRC: majorité des interventions dans des zones reculées, pas des IMF, pas de possibilité de cash pour autres besoins (taux de revente AME reste plus élevée que en précédence) Ciblage reste capitale mais plus difficile à cause de « l’habitude » à l’assistance et au fait de faire un ciblage « multisectoriel » (et multi-acteur) Intervention sur les déplacés présentent plus de difficultés liés à la lecture du contexte et à l’utilisation de l’assistance à cause de l’incertitude des BNF Seulement un cycle par endroit? Quid des indicateurs? Intensification des problématiques de sécurité avec les groupes armés locaux. La valorisation de l’approche participative permet d’atténuer ces problèmes et d’améliorer la redevabilité.

16 Vers une phase 3 Vers une phase 3, défis à relever:
Amélioration de la coordination multi-acteur Harmonisation des pratiques et procédures entres acteurs d’urgence et stakeholders Possibilités d’utilisation d’outils et d’une base de données uniques entre différents acteurs travaillant sur les urgences La formation d’équipes compétentes et multidisciplinaires pour donner une assistance rapide holistique (AME, Vivres, Education et aussi autres besoins) L’introduction déjà dans la phase des MSA d’une analyse rapide et multisectorielle du marché, pour augmenter la rapidité de décision du type d’intervention possible Une réflexion plus approfondie sur les capacités de réponse et de déploiement (comment garder le même rythme surtout quand la FS doit répondre en plusieurs cycles ?) Réflexion sur comment inclure d’avantage la production locale et mesurer les effets des interventions sur l’économie locale Quels possibilité à part le foire? Comment mieux analyser le contexte pour choisir des approches différents? Collaboration avec institutions de transferts monétaire (compagnie téléphonique et IMF)

17 Chantier à venir Sur la méthodologie:
Comment calculer plus efficacement le valeur de l’assistance et éviter des distorsions? Etude sur le panier de la ménagère d’une famille en sécurité alimentaire dans le NK et SK Comment améliorer le ciblage vulnérabilité en gardant la rapidité, surtout dans les interventions conjointes avec RRMP? Comment mieux définir les vulnérabilités? Améliorer l’acceptation de l’intervention à travers une meilleure analyse du contexte (ex mesures locales, recours au francs congolais, implication des producteurs locaux)?

18 Chantier à venir Au niveau stratégique: Impact économique:
-Comment mieux évaluer l’impacte de l’intervention sur la production locale/zonale? (Evaluation externe) Capacités: Comment prioriser entre zones, quand les besoins sont multiples et aucun acteur se positionne? Quels capacités pour couvrir tous les gaps prioritaire? Comment résoudre le dilemme intervention rapide vs impacte à moyen terme? Quel lien entre l’assistance d’urgence et le relèvement précoce? Coordination: Faut-il intégrer la Sécurité Alimentaire dans le système multisectoriel de réponse aux urgences (sur le modèle RRMP)? Si oui, comment (afin de préserver la rapidité et la qualité des interventions)? Quel cadre d’action, de décision rapide et de coordination pour les assistances d’urgence (type Comité de Pilotage RRMP)? Possibilités d’harmonisation sur la vision des approches liées aux interventions de sécurité alimentaire d’urgence

19 Capacités futures de réponse
Nouveaux acteurs dans les interventions de sécurité alimentaire d’urgence (IRC au Sud Kivu) Ouverture d’autres bailleurs vers l’approche cash and voucher (PAM au Nord et au Sud Kivu) Actuellement les acteurs présents n’arrivent pas à assurer 3 cycles d’interventions sur toutes les zones couvertes par le RRMP Quelles Solutions? Plusieurs acteurs pour couvrir les 3 cycles partout Séparation entre acteurs « premier  cycle » et «suivi de l’urgence »  +Intégration des concepts de premier développement - Nouvelles approches à construire +Standardisation de l’approche d’urgence - Nécessité de trouver de nouveaux acteurs

20 Questions? Merci! Asante Sana!


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