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C. HALLER - IFSI CHU NICE - 09 08 ROLE INFIRMIER DANS LA PRISE EN CHARGE ET L’EDUCATION DU PATIENT ASTHMATIQUE C. HALLER - IFSI CHU NICE - 09 08.

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1 C. HALLER - IFSI CHU NICE - 09 08
ROLE INFIRMIER DANS LA PRISE EN CHARGE ET L’EDUCATION DU PATIENT ASTHMATIQUE C. HALLER - IFSI CHU NICE

2 PLAN DE LA PRESENTATION
ETAT DES LIEUX ASTHME EN FRANCE PREVENTION, INFORMATION AU PATIENT EDUCATION DU PATIENT PRECAUTIONS A PRENDRE (voyages, sport …) DESENSIBILISATION DU PATIENT DEMARCHE EDUCATIVE ET METHODOLOGIE

3 Pourquoi éduquer les patients ?
1ère maladie de l’enfance et de l’adolescence 1ère cause d’absentéisme scolaire et professionnel 15% d’asthmatiques en plus par an 2000 décès / an dont 1 décès d’enfant / semaine hospitalisation / an

4 seulement 1/3 des patients observent le traitement
beaucoup ne respectent pas les règles d’éviction des allergènes

5 ALORS …POURQUOI ?? INOBSERVANCE déni de la maladie
crainte des B2 mimétiques corticophobie mauvaise technique de prise contestation de la nécessité d’un traitement au long cours

6 1 L’objectif prioritaire d’une prévention efficace de la crise consiste à :
Eviter les facteurs aggravants ou favorisants : éviction des allergènes éviction de la pollution environnementale (tabac) atmosphérique, agents irritants professionnels ou domestiques

7 La vaccination antigrippale est fortement conseillée
- observer le traitement de fond, même si amélioration clinique prendre les médicaments dès l’apparition des symptômes : bronchodilatateurs ou béta 2 mimétiques - traiter précocement toute infection ORL La vaccination antigrippale est fortement conseillée

8 2. nécessité d’informer le patient pour:
récupérer une fonction respiratoire maximale retrouver une vie normale apprendre à reconnaître une crise d’asthme (chatouillements laryngés, sibilants, expectoration perlée en fin de crise)

9 3. Connaître le profil de l’asthmatique
facteurs socio-démographiques histoire de la maladie (hospitalisations récentes) facteurs de risque non observance du traitement mauvaise éducation du patient et de l’entourage

10 4 les signes d’alerte de AAG
Les signes de menace: augmentation de la fréquence des crises et de leur gravité qui résistent au traitement Les signes de gravité immédiate (nécessite l’hospitalisation) DEP < 150 l / mn Agitation, cyanose, sueurs, tachycardie (PaCO2 > 40 mmHg) Contraction des muscles sterno – cléîdo - mastoïdien

11 Les signes de détresse : urgence extrême
- troubles de la conscience - respiration paradoxale (inversion des mouvements du thorax) avec risque de collapsus gazométrie: hypercapnie > 50 mmHg

12 5. Les facteurs aggravants que le patient doit connaître:
Les facteurs allergiques : - les allergènes domestiques: acariens, blattes, cafards, souris, chat, lapin… - les allergènes atmosphériques : pollens, moisissures - les irritants : tabac - les infections respiratoires hautes : sinusite, angine, bronchite

13 - les facteurs physiques: le froid, l’exercice, les émotions, le stress
les facteurs médicamenteux: AINS, aspirine les facteurs alimentaires: conservateurs, colorants - les facteurs endocriniens: grossesse, problèmes thyroïdiens - les facteurs professionnels : exposition répétée à un agent sensibilisant (teintures, colorants …)

14 asthme allergique et rhinite
l’asthme d’effort

15 6 Nécessité d’informer le patient :
- connaître et éviter les situations à risque - connaître les indications et posologies du traitement - savoir quand appeler un service d’urgence

16 Conseils d’éducation et de prévention concernant les allergènes
1.Supprimer le tabac, éviter le tabagisme passif 2.Précautions au domicile: protection de la literie contre les acariens housse anti acarien, lavage du linge à 60°, couette en synthétique, pulvériser un produit anti-acarien 2 x / an aérer souvent les pièces (sauf en périodes polliniques et pics de pollution)

17 privilégier les sols en carrelages , parquets plutôt que tapis, moquette
lutter contre l’humidité (T° entre 18 et 20°) bannir les nids à poussières, les tentures laver régulièrement les peluches des enfants

18 3.L’éviction des animaux
le chat: allergènes au niveau des glandes sébacées le chien à poil court , les rongeurs les oiseaux, présence d’acariens sur les plumes les blattes les chevaux

19 4. En voyage Se renseigner sur le lieu de vacances : montagne : pas d’acarien si altitude > 1300 m campagne : attention aux périodes de pollinisation Pour les voyages en voiture : attention à la pollution extérieure préférer les ventilations avec des filtres anti pollens partir avec un asthme stabilisé, une ordonnance pour renouvellement du traitement avoir le traitement sur soi et dans la valise avoir un traitement d’urgence en cas de crise

20 La plongée en bouteilles est une contre-indication absolue
5. La pratique du sport pratiquer un sport régulièrement, en endurance programme adapté: 1 séance de 45 mn, 3 fois / semaine avec échauffement au préalable surveiller la fonction cardiaque et respiratoire , éventuellement donner un broncho dilatateur ¼ d’heure avant l’effort sports déconseillés : escalade, équitation La plongée en bouteilles est une contre-indication absolue

21 La prise en charge d’un facteur déclenchant
Les sinusites, les rhinopharyngites moucher une narine après l’autre lavage de nez avec 5 à 10 ml de sérum physiologique / narine en mettant la tête en arrière et en prononçant « kékéké » (ferme le voile du palais) éviter de se moucher les 2 narines simultanément (hyperpression)

22 2. les tests cutanés leur but est de déclencher et rechercher une allergie avant de pratiquer les tests, arrêt la semaine précédente des corticoïdes et des anti histaminiques le test est positif au bout de 15 à 20 mn : on recherche l’allergie par rapport à un témoin méthode du PRICK TEST

23 3. L’immunothérapie spécifique : désensibilisation DS
on administre progressivement et de façon croissante en s/c des doses d’un vaccin allergénique afin d’obtenir une dose d’entretien et une amélioration des symptômes voie stricte en s/c sur la face externe du bras toutes les semaines pour arriver ensuite à des injections 1 fois / mois

24 on pratique au préalable un bilan allergisant avec des tests cutanés
la DS ne se pratique que si des facteurs allergisants ne peuvent être évités ou en présence de l’aggravation des symptômes

25 4. Buts de la DS faire disparaître l’allergie
Le traitement est long : 3 à 5 ans minimum 1 injection / semaine pendant 3 à 6 mois puis 1 injection / mois pendant 3 à 6 mois La DS ne se débute que lorsque l’asthme est stabilisé Le carnet de désensibilisation permet le suivi entre le médecin et l’IDE hospitalière (seule l’IDE hospitalière peut pratiquer la DS en présence d’un médecin)

26 5. les réactions après la DS
surveiller le patient dans la ½ heure qui suit l’injection pour dépister tout signe de choc (choc anaphylactique rare ) risque de réaction locale au point d’injection (douleur, rougeur, gonflement) parfois déclenchement d’une crise d’asthme

27 6. Les CI à la DS : les maladies immunitaires ou malignes
les pathologies cardiaques : HTA, IDM la femme enceinte ou allaitante

28 7.Les bonnes pratiques de la DS
consentement éclairé du patient pas de DS si fièvre, prise ATB, maladie… pas de sport dans les 5 heures qui suivent l’injection (augmente l’absorption du produit) en ville, la DS est pratiquée par un médecin à l’hôpital l’IDE peut la pratiquer en présence d’un médecin pouvant intervenir à tout moment.

29 LA DEMARCHE EDUCATIVE POUR LES PATIENTS ASTHMATIQUES

30 OBJECTIFS DE LA DEMARCHE EDUCATIVE
Pour le patient: acquérir une compétence développer son autonomie accepter un suivi régulier prendre son traitement de façon adaptée améliorer sa qualité de vie

31 Pour les professionnels de santé:
élargir ses compétences utiliser le diagnostic éducatif optimiser le temps passé assurer un suivi plus efficace du patient renforcer la relation soignant / soigné

32 Sur le plan santé publique:
diminuer la morbidité diminuer la mortalité améliorer la qualité de vie diminuer le rapport coût / efficacité

33 Elle repose sur: le diagnostic éducatif pour adapter l’éducation à chaque patient le contrat éducatif en accord avec la patient partenaire pour acquérir les compétences utiles en proposant un plan de formation personnalisé l’évaluation des compétences et des acquis

34 LE DIAGNOSTIC EDUCATIF
Poser un diagnostic éducatif, c’est repérer: les facteurs facilitants les points forts de la pratique du patient sur lesquels l’activité éducative s’appuiera pour faire progresser le patients dans l’acquisition de nouvelles compétences

35 Le diagnostic éducatif recueille les
informations dans 5 domaines: - bio-médical: qu’est-ce qu’il a ? - socio-professionnel: qu’est-ce qu’il fait ? - cognitif: qu’est-ce qu’il sait ? - psycho-affectif: qui est-il ? - projet du patient: quelles sont ses attentes ?

36 LE CONTRAT D’EDUCATION
Il précise les compétences que le patient doit acquérir pour gérer sa maladie, en les hiérarchisant par ordre d’importance et d’acceptation par le patient +++

37 LA STRATEGIE EDUCATIVE
Elle comprend des activités organisées: de sensibilisation d’information orale et écrite d’apprentissage de la gestion de la maladie et du plan de traitement d’évaluation des compétences

38 L’EVALUATION Vérifie les acquisitions du patient: savoir
savoir – faire savoir – être Analyse les incidents (crise, hospitalisations) Évalue sa qualité de vie

39 MERCI DE VOTRE ATTENTION


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