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La Promotion de la santé (PS) et prévention (hors décret)

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1 La Promotion de la santé (PS) et prévention (hors décret)
 Données épidémiologiques  Vaccination  Lutte contre la tuberculose  Santé dans le sport (dopage)  Prévention cancers (programme cancer du sein et du colon)  Dépistage des anomalies métaboliques et de la surdité néonatale

2 Données épidémiologiques
Données de natalité et mortalité : statistiques relatives aux naissances et aux décès Données émanant de la déclaration obligatoire des maladies transmissibles Laboratoires vigies Médecins vigies Données émanant de registres de pathologies spécifiques, tels que : - registre de la tuberculose - registres de l'infarctus - registre du diabète - registre du cancer - registre du sida et d'autres

3 Surveillance maladies transmissibles
Recueil exhaustif des cas pour établir l'incidence ; Le lancement, s'il y a lieu, d'une alerte si un cas préoccupant mérite une réaction rapide et la prise de mesures prophylactiques pour prévenir une propagation épidémique ; Le déclenchement, s'il y a lieu, de mesures d'épidémiologie d'intervention, (investigations pour déterminer l'origine de la contamination et organisation de la prévention requise autour des cas).

4 Surveillance des maladies transmissibles
les maladies qui, de par leur gravité, justifient des mesures exceptionnelles à l'échelon international telles que la peste, le choléra et la fièvre jaune, et qui doivent faire l'objet d'une déclaration à l'Organisation Mondiale de la Santé; les maladies qui nécessitent une intervention urgente à l'échelon local, régional, national ou international : leur signalement doit déclencher des enquêtes, des mesures préventives (méningite à méningocoque, poliomyélite, diphtérie, tuberculose, .) et des mesures correctives pour agir sur la source de contamination (toxi-infection alimentaire collective, légionellose) ;

5 Surveillance des maladies transmissibles
les maladies qui font l'objet d'un programme d'éradication (polio, rougeole, ...), qui bénéficient d'une prévention vaccinale (coqueluche, oreillons,...), pour lesquelles on souhaite évaluer des programmes de prévention et de lutte spécifiques (ex. : sida ou de la tuberculose…) ou pour lesquelles il est particulièrement nécessaire de suivre la létalité, la morbidité et le risque de séquelles (ex. : légionellose, lyme...) ; les maladies pour lesquelles il existe un spécial besoin de connaissances nouvelles comme les maladies émergentes ou mal connues (maladie de Creutzfeldt-Jakob, S.R.A.S...) ; les cas correspondants à des problèmes sanitaires particuliers, comme le fait de résulter d'un phénomène de résistance antimicrobienne ou d'infections nosocomiales ou encore de résulter d'une malveillance organisée (cas de bioterrorisme par exemple).

6 La déclaration obligatoire des maladies transmissibles : comment
La déclaration obligatoire est basée sur la transmission de données individuelles vers l'administration de la Communauté française. Les médecins et les laboratoires ont l’obligation légale de déclarer auprès de l'inspecteur d'hygiène certaines maladies transmissibles, en application de l’arrêté-loi du 1er septembre 1945 et de l’arrêté d’exécution du 1er mars 1971 modifié par celui du 18 novembre 1976.

7 La déclaration obligatoire des maladies transmissibles : comment
Au niveau de la population scolaire en particulier, le décret du 20 décembre 2001 et ses deux arrêtés d’application (arrêtés du 17/07/02 : 1° & 2°) relatifs à la promotion de la santé à l’école imposent notamment des mesures de prophylaxie pour éviter la propagation des maladies transmissibles particulièrement auxquelles les enfants sont exposés en milieu scolaire. Ces maladies relèvent de la déclaration obligatoire générale et, en plus, de dispositifs particuliers à appliquer par le médecin scolaire. Ces mesures impliquent une étroite collaboration avec le médecin responsable désigné au sein du service de promotion de la santé à l’école pour chaque établissement scolaire lorsqu’il y a lieu, par exemple, d’organiser une vaccination ou une chimioprophylaxie aux élèves d’une classe.

8 Organisation de la FARES
ASBL Une Unité Centrale et cinq Unités de Secteurs un médecin 1/4 temps personnel para médical une secrétaire permanence et consultation Budget annuel de 1,3 millions d’Euros accordés par la Communauté française Rapport moral et Rapport épidémiologique

9 Principales activités de la FARES
dépistage sélectionné en milieu scolaire Groupe à risque (au bilan de santé ou primo arrivant) cas de tuberculose active stage dans institutions de soins dépistage ciblé groupes à risque suivi socioprophylactique cadastre de la tuberculose mobilisation secteur curatif

10 Groupes à risque Demandeurs d’asile Prisonniers
Primo-arrivants pays à haute prévalence Publics défavorisés Toxicomanes IV Entourage de cas Professionnels en contact avec malades (ou à risque)

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26 LE DEPISTAGE EST UN SERVICE DE SANTE PUBLIQUE QUI CONSISTE A PROPOSER UN TEST OU UN QUESTIONNAIRE A UNE POPULATION DEFINIE, QUI NE SE PERCOIT PAS NECESSAIREMENT A RISQUE OU DEJA ATTEINTE D’UNE MALADIE OU D’UNE COMPLICATION, DANS LE BUT D’IDENTIFIER LES INDIVIDUS QUI VRAISEMBLABLEMENT BENEFICIERONT D’AUTRES TESTS OU TRAITEMENTS POUR REDUIRE LE RISQUE DE MALADIE OU DE COMPLICATIONS. UK National Screening Comittee (2000)

27 ALL SCREENING PROGRAMMES DO HARM.
SOME DO GOOD AS WELL, AND OF THESE, SOME DO MORE GOOD THAN HARM AT REASONABLE COST J.A. MUIR GRAY ANGELA E. RAFFLE

28 CRITERES DE QUALITE D’UN DEPISTAGE ORGANISE WILSON ET JUNGNER - 1968
1. LE DEPISTAGE DOIT CONCERNER UN PROBLEME DE SANTE IMPORTANT 2. UN TRAITEMENT EFFICACE DOIT ETRE DISPONIBLE POUR LA MALADIE DEPISTEE 3. LES RESSOURCES EXISTENT POUR LE DIAGNOSTIC ET LE TRAITEMENT 4. LA PHASE LATENTE (OU SYMPTOMATIQUE PRECOCE) DOIT POUVOIR ETRE IDENTIFIEE 5. IL FAUT UN TEST DE DEPISTAGE EFFICACE

29 FIABILITE D’UN TEST DE DEPISTAGE
SENSIBLE (ne pas rater les cas positifs) SPECIFIQUE (éviter les faux positifs) REPRODUCTIBLE (performance indépendante de l’opérateur et de ses outils)

30 CRITERES DE QUALITE DU DEPISTAGE WILSON ET JUNGNER - 1968
6. LE TEST DOIT ETRE ACCEPTABLE PAR LA POPULATION 7. L’HISTOIRE NATURELLE DE LA MALADIE DOIT ETRE BIEN COMPRISE 8. IL FAUT UNE POLITIQUE BIEN ETABLIE DE DEFINITION DES CAS QUI BENEFICIERONT D’UN TRAITEMENT 9. LE DEPISTAGE DOIT ETRE UN PROCESSUS CONTINU ET PAS UN PROJET ONE SHOT 10.RECHERCHER L’EQUILIBRE FINANCIER ENTRE LE COUT [DEPISTAGE + TRAITEMENT] ET COUT DU NON PROGRAMME

31 programme de dépistage
population générale population éligible test de dépistage dépistage test positif test diagnostic test négatif programme de dépistage résultats anormaux intervention résultat négatif clinique Bénéfices individuels et collectifs

32 PROPOSITION DE CRITERES DE QUALITE POUR LA GESTION D’UN PROGRAMME DE DEPISTAGE
COMPETENCES - PLANIFICATION – ORGANISATION - COMMUNICATION PROFESSIONNELLE ET GRAND PUBLIC - THEMATIQUE IMPLIQUER TOUS LES ACTEURS (LES REPRESENTANTS du(des) PUBLIC(S), LES PROFESSIONNELS DE SANTE PUBLIQUE, LES SERVICES PUBLICS, LES DECIDEURS FINANCIERS)

33 PROPOSITION DE CRITERES DE QUALITE POUR LA GESTION D’UN PROGRAMME DE DEPISTAGE
METTRE EN PLACE UN SYSTEME D’ASSURANCE ET DE CONTRÔLE DE QUALITE DE TOUTES LES PROCEDURES EVALUATION CONTINUE EN TERME D’IMPACT SANTE ET PRODUCTION REGULIERE DE RAPPORTS ANALYTIQUES

34 Le Cancer du sein est un problème majeur de Santé Publique
En Belgique : +/ nouveaux cas par an 1 femme sur 10 en sera atteinte 1 femme sur 25 en mourra principale cause de décès des femmes de 40 à 65 ans

35 Incidence du cancer du sein en Belgique :
5737 cas dont plus de 75 % au-delà de 50 ans 3/4 des cas

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39 Recommandations européennes
Pour qui ? Toutes les femmes de 50 à 69 ans - sans symptômes cliniques - sans antécédents Comment ? Radiographie des seins « Mammotest » Quand ? Tous les 2 ans, systématiquement

40 Dépistage cancer du sein
 Fédéral : - INAMI - Institut de Santé Publique  Communauté française : - Centre de référence communautaire dépistage du cancer du sein

41 Les objectifs A long terme (7 à 10 ans)
- diminution du taux de mortalité de 30 % auprès des femmes de 50 à 69 ans - participation de 70 % de ces femmes A court terme (2 ans) 1. l'implantation du programme 2. l'assurance d'un dépistage de qualité 3. l'accessibilité à toutes les femmes

42 2. L'assurance d'un dépistage de qualité
La qualité des appareillages et des clichés RX l’agrément des médecins radiologues premiers et seconds lecteurs des centres de radiologie la double lecture des «mammotests» le délai le plus court pour les résultats l’accueil des femmes dans les centres les groupes de travail et le comité de pilotage la formation des professionnels l’évaluation continue

43 3. L'accessibilité à toutes les femmes : l'invitation
le mois de l’anniversaire en 2006, les femmes nées un jour pair en 2007 pour les femmes nées un jour impair (rappel à 6 mois si pas de réponse)

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47 Dépistage de cancer colorectal
Epidémiologie : 7 700 nouveaux cas par an mortalité de 40 à 50 % incidence faible avant 50 ans

48 Organisation du dépistage
Envoi par le Centre de gestion d’une invitation à toutes les personnes âgées de 50 à 74 ans Le généraliste réalise le test de recherche de sang dans les selles (lecture au Centre de gestion)

49 Organisation du dépistage
Si négatif – réinvitation dans 2 ans Si positif : coloscopie chez un gastroentérologue (réinvitation après 5 ans en cas de test négatif) Le centre réalise une collecte des données et une évaluation de qualité

50 Coloscopie d’emblée chez
les personnes à risque Antécédents héréditaires Maladie inflammatoire des intestins Maladie héréditaire

51 Evaluation à 6 mois participants (taux de participation de 7,4 %) 60 % des généralistes participent au programme 2,7 % de tests positifs sang dans les selles 5 % de personnes à risque (coloscopie directe)


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