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INTEGRATION JEUNES EMBAUCHES FILIERE EQUIPEMENTS

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Présentation au sujet: "INTEGRATION JEUNES EMBAUCHES FILIERE EQUIPEMENTS"— Transcription de la présentation:

1 INTEGRATION JEUNES EMBAUCHES FILIERE EQUIPEMENTS
GROUPE QUALICONSULT PRESENTATION GROUPE / INTEGRATION JEUNES EMBAUCHES FILIERE EQUIPEMENTS Juin 2012

2 LE GROUPE Créé en 1982 par des professionnels du contrôle technique, Qualiconsult a toujours conçu sa mission comme une assistance technique générale aux maîtres d'ouvrages. Nos prestations sont complètes et se déclinent au travers sociétés principales, filiales du « Groupe Qualiconsult ». Notre groupe est ainsi capable d'accompagner le maître d'ouvrage dans la plupart des étapes de la construction et de la maintenance des bâtiments et ouvrages de génie civil.

3 Création de Qualiconsult Immobilier
Historique 2006 Création de Qualiconsult Immobilier 2003 Création de Qualiconsult Exploitation 2005 Découpage en sept territoires 2000 Acquisition d’Elyfec SPS 2002 Création de Qualitalia iBiZa software, Qualiconsult international 1994 Acquisition de Bergeret Jeannet 1995 Création de Qualiconsult Sécurité 1985 Acquisition de Contact Sécurité 1987 Création de Qualibérica 1982 Création de Qualiconsult

4 Evolution du Chiffre d’affaires en M€
148

5 Evolution des effectifs

6 LE GROUPE ET SES FILIALES

7 8 METIERS COMPLEMENTAIRES
- Contrôles techniques construction. - Coordination SPS. - Inspection et vérifications réglementaires des équipements. - Diagnostics immobiliers. - Diagnostics, audits et assistance technique. - Construction durable et environnement : audits énergétiques, ICPE, AMO H&E et HQE... - Assistance à Maîtrise d’Ouvrage. - Formation.

8 LE CYCLE DE VIE DU BATIMENT

9 Organisation France 2010

10 Filières d’évolutions au sein du groupe

11 La direction Technique Groupe
METHODES QUALITE AGREMENTS SUPERVISION AUDIT FORMATION VEILLE Reglementaire La direction technique définit les méthodologies, procédures et outils nécessaires à la bonne réalisation des missions et apporte des réponses aux problèmes techniques complexes.

12 AGREMENTS ET SAQ Pour pouvoir procéder aux vérifications réglementaires, nous devons disposer d'un certain nombre d'agréments. Certains de ces agrément imposent une accréditation selon la norme EN (équivalent ISO 9000). Les vérifications réglementaires sont sous Assurance Qualité. Le maintien de ces agrément est lié au respect du MAQ (Manuel d'Assurance Qualité) et à la qualité des prestations, jugées au travers des rapports.

13 Le contrôle Technique (CTC)
Le contrôleur technique est indépendant de toute activité de conception, d'exécution ou d'expertise d'un ouvrage.

14 Le cadre juridique - CTC
C'est la loi N du 4 janvier 1978 relative à la responsabilité et à l'assurance dans le domaine de la construction qui a donné un cadre juridique au métier de contrôleur technique. Les articles L à L définissent notamment sa mission, sa responsabilité et les conditions d'exercice de cette activité. La norme NF P de septembre 1995 précise les modalités d'intervention de contrôleur et indique une liste de missions (missions de base et missions complémentaires).

15 La profession - CTC Il existe environ 40 organismes de contrôle technique agréés en France, les 5 principaux réalisant plus de 90 % du chiffre d'affaires. CA total évalué à environ 300 millions d'euros. Les contrôleurs techniques sont représentés par une organisation professionnelle : le COPREC. Outre le Contrôle Technique Construction, les organismes de contrôle interviennent dans d'autres types d'activité : Diagnostics techniques, coordination Sécurité et Protection de la Santé, Vérifications Réglementaires, etc ...

16 Les deux missions de base - CTC
La solidité des ouvrages Fondation Ossature Équipements indissociables Clos et couvert La sécurité des personnes Protection incendies Installations électriques Ascenseurs

17 Missions complémentaires - CTC
Isolation thermique et acoustique Accessibilité pour les personnes handicapées Fonctionnement des installations etc.

18 Ses responsabilités - CTC
Le contrôleur technique est soumis, dans les limites de sa mission, à la présomption de responsabilité éditée par le Code civil. Néanmoins, il s'agit d'une responsabilité de second rang dans la mesure où il n'est pas un constructeur au sens strict de la loi ( il ne conçoit pas et ne réalise pas les ouvrages). Le contrôleur technique est soumis à l'obligation d'assurance pour cette responsabilité.

19 Son agrément - CTC L'exercice de l'activité de contrôle technique est soumis à un agrément délivré, pour une durée maximale de 5 ans, par le ministre chargé de la construction, sur l'avis motivé d'une commission d'agrément.

20 La phases de la mission CTC
1. Phase de conception Examen critique du projet Sa contribution à la prévention des aléas techniques consiste à procéder à un examen critique des techniques du projet. Le RICT : rapport initial de contrôle technique Il fournit au maître d'ouvrage l'avis du contrôleur technique en fonction de l'étendue de sa mission. Il formule pour chaque disposition projetée un avis à partir d'une évaluation de conformité à la réglementation ou aux normes. Avis favorable Avis défavorable Avis suspendu

21 Contrôle des travaux en cours
La phases de la mission CTC 2. Phase d'exécution Contrôle des travaux en cours Sa contribution à la prévention des aléas techniques consiste notamment à s'assurer que les vérifications qui incombent aux constructeurs s'effectuent de manière satisfaisante.

22 La phases de la mission CTC
RFCT : rapport final de contrôle technique Ce rapport adressé au maître d'ouvrage au moment de la réception des ouvrages rend compte de l'ensemble de la mission du contrôleur technique et signale les avis qui à sa connaissance n'ont pas été suivi d'effet. Il indique si les dispositions réalisées sont conformes ou non à la réglementation.

23 Commission de sécurité
La phases de la mission CTC Commission de sécurité Le rapport de Vérification Incendie (RVSI ou RVRAT) est l'un des éléments sur lesquels la commission de sécurité s'appuie pour donner son feu vert ou non à l'exploitation d'un bâtiment, comme c'est le cas pour les établissements recevant du public (ERP)‏

24 Les Métiers de QCE Vérification réglementaires ponctuelle et périodique La réglementation impose des vérifications techniques des installations et équipements dans le cadre de : La sécurité des personnes et des travailleurs La sécurité des biens (Incendie, ...) Les protection de l'environnement, ... Concerne tous les établissements en exploitation par opposition aux établissements en construction. La périodicité, le contenu de la vérification et des rapports sont précisées réglementairement.

25 Les Métiers de QCE Cette réglementation concerne :
Tous les lieux dans lesquels s'applique le code du travail Les établissements recevant du public (ERP)‏ Les Immeubles de Grande Hauteur (IGH) Les sites industriels Les Installations Classées Pour la protection de l'environnement (ICPE) L'habitat

26 Diagnostics, assistance technique, formation
Les Métiers de QCE Diagnostics, assistance technique, formation Aider les exploitants et propriétaires à optimiser leurs installations et équipements en effectuant : Diagnostics Mesures Essais en laboratoire Contrôles non destructifs Radiographie Thermographie infrarouge Formation personnalisée

27 Installations Concernées :
Les Métiers de QCE Installations Concernées : Installations électriques Appareils et accessoires de levages Ascenseurs, monte-charges, escaliers mécaniques Portes et portails automatiques Installations de production de chaleur ou de froid Installations eau, gaz, combustibles Installations fluides médicaux

28 Les Métiers de QCE Aération et assainissement des locaux de travail
Systèmes et installations de sécurité incendie Moyens de secours Equipements De Travail Machines dangereuses Équipements sous pression Appareils à rayonnement ionisants Santé (amiante, plomb, légionelle...)‏ Aires de jeux, équipements sportifs...

29 Principales vérifications techniques
La vérification initiale s'effectue lors de la mise en service des installations et équipements et sert à vérifier leur conformité avec les dispositions réglementaires. Elle s'effectue également lors d'une modification importante. Les vérifications techniques périodiques ont pour but de s'assurer du maintien en conformité et en état de conservation des éléments de l'installation et des dispositifs de sécurité dont la détérioration pourrait entraîner un danger. La périodicité des vérifications est fixée par des arrêtés selon chaque type d'installation ou d'équipement.

30 Documents formalisant les vérifications
Les Contrat permet de définir les relations contractuelles entre QCE et le client. Il précise clairement la mission et ses limites. Les registres de sécurité permet de consigner pour touts les actes techniques liés à la sécurité (maintenance, vérifications, ...) la date des vérifications, l'identité des vérificateurs et la liste des installations vérifiées. Il est à disposition dans l'établissement.

31 Documents formalisant les vérifications
Les rapports de vérification permettent de préciser les points vérifiés et doivent révéler, d'une part, les points d'écart avec la réglementation et les normes obligatoires, et d'autre part, les défauts et lacunes pouvant affecter la sécurité d'utilisation des installations. Ils sont fournis par QCE. Le contenu des rapports est défini réglementairement.

32 Chronologie de vérification électriques

33 Le Vérificateur Technique - QCE
COMPETENCES RIGUEUR QUALIFICATION Il procède à la vérification des installations et des équipements techniques dans les établissements en exploitation.

34 Ses compétences Le vérificateur technique doit posséder une connaissance approfondie de la prévention des risques dus à l'installation, bien connaître le matériel, les techniques de constructions et disposer des appareils de contrôle adéquats. Il doit en outre connaître les textes réglementaires, les recommandations et les normes applicables à cette installation.

35 Ses compétences Il connait le contexte juridique lié au cadre de sa mission : Responsabilité juridique personnelle pouvant être engagée en cas d’accident Il bénéficie de l’assistance juridique de la société, et pour que celle-ci soit efficace il se doit de respecter les consignes

36 Ses missions Il procède à des essais et mesures afin de vérifier la conformité des installations et équipements et l'absence de dommage pouvant affecter la sécurité. Il consigne ensuite dans un rapport de vérification ses observations permettant ainsi d'avoir une vue d'ensemble des points à améliorer.

37 Règles de bienséance chez le client
Se présenter au responsable Respecter les lieux (marchandises, confidentialité, calme...) Tenue correcte Être ponctuel Dire au revoir Faire un compte-rendu si possible (au responsable ou à son représentant) Respecter les consignes et règles de sécurité (chaussures de sécurité, casque...)

38 Cursus de Formation Déroulement du cursus de formation « pépinière »
1/ Apprentissage (Tronc commun Electricité) : 2 Semaines (avec passage du code : habilitation ) - Fourniture du titre d'habilitation ; Fourniture du carnet d'apprentissage ou de tutorat. 2/ "Production Accompagnée" dans l'agence d'accueil avec un tuteur : 6 semaines - Le tuteur est désigné par la DTG; - Le tuteur valide l'avancement de l'acquisition des compétences; - Le tuteur ou le DA rend compte tous 15 jours à la DTG de l'avancement du tutorat; - Le tutoré est plongé directement dans la réalité du terrain; Le tutoré voit un échantillon représentatif des installations qu'il pourra rencontrer.

39 Cursus de Formation 3/ Complément MS+DF+GZ : 1 semaine (à confirmer en fonction des besoins) - Formation 3/4 jours; - 2 jours de tutorat avec le formateur et/ou un tuteur désigné; - Complément de tutorat en agence (selon avis du formateur ou tuteur). 4/ Examen du "Permis de Produire" : 1 jour - Le dernier jour de la "production accompagnée", examen et validation par la DTG si réussite (qualification); Poursuite de la "production accompagnée" pour l'un ou les deux domaines en cas d'échec. 5/ Production / Surveillance : - Les candidats admis à l'examen du "Permis de Produire" peuvent produire seuls des vérification périodiques simples Nième visite (suite à des rapports QCE); Production sous surveillance du tuteur et/ou du superviseur pendant 3 à 6 mois. 6/ Examen du « passage en autonomie" : à la fin de la période de surveillance : 0,5 jour Poursuite de la "période de surveillance«  en cas d'échec.

40 Cursus de Formation Formations complémentaires :
Dans le cadre de la polyvalence, d’autres formations peuvent être suivies, la filière de spécialisation est déterminée avec le DA en fonction des besoins de l’agence : - Electro-pompier : orienté tertiaire (Electricité + Sécurité incendie ...) - Electro-mécano : orienté industrié (Electricité + Levage + Machines ...) En électricité, pour accéder à la qualification vérification initiale ou 1ère visite, les formations suivantes peuvent être suivie : EL-BT2 : Électricité BT VI EL-ERP2 : Électricité ERP et/ou EL-HT2 : Électricité Haute Tension EL-LEV2 : Levage Tutorat complémentaire pour les 1 ères visites, …

41 MERCI POUR VOTRE ATTENTION
GROUPE QUALICONSULT MERCI POUR VOTRE ATTENTION


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