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Il s’agit, dans un premier temps, de s’entendre sur les définitions:

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1 Il s’agit, dans un premier temps, de s’entendre sur les définitions:
l’aménagement urbain est la mise en oeuvre opérationnelle, des stratégies politiques l’urbanisme est l’ensemble des théories et des moyens visant à aménager l’espace urbain l’igh est un immeuble de grande hauteur dont le dernier étage dépasse 28m pour les bureaux, 50m pour du logement la ville est à la fois entité administrative, démocratique, territoire et image _____________________________________________________________________________ François Moneuse, mtb2010projeta

2 2 - Les évolutions Elles sont historiques et touchent à l’histoire des villes : La ville traditionnelle - Aménagement autour d’un centre « actif » (lieux de culte, commerces…) - Dépend du pouvoir local Aménagement urbain autour de la cathédrale de Strasbourg Débat communal b) La planification urbaine - Politiques de transports, des grands ensembles : ville nouvelle - Dépend de l’Etat L’Etat français, acteur de la planification urbaine c) L’étalement urbain - Promotion immobilière - Maisons individuelles, bureaux, équipements et transports induits - Dépend du marché Evolution du réseau de transports en commun parisien Maisons individuelles d) Le Développement Durable - Préoccupation majeur pour le XXIème siècle - Intégration des problématiques écologique, économique et sociale au processus d’aménagement urbain - Dépend des décisions internationales (problématique mondiale) mais application au niveau local Transaction immobilière L’ONU, un espace de réflexion sur le Développement Durable Le Développement Durable Quentin Goaper, mtb2010projeta

3 Raphaël Jatteau, mtb2010sprojeta
3 - Les acteurs Sont de plus en plus nombreux. D’abord le pouvoir centralisé à Paris et en province via l’aristocratie, le tiers état, puis l’État avec ses représentants, les DRE, les DDE, puis la décentralisation : régions, départements, agglomérations, communes, préfets, maires, élus, public, maîtres d’ouvrages, maîtres d’oeuvres, dont ingénieurs et urbanistes, entreprises, investisseurs, bureaux de contrôles, pilotes, paysagistes, aménageurs, communication, salons professionnels, stratégie d’image, commerciaux, développement durable, le public. Lesquels acteurs ont créé des outils. Projet en PPP (Partenariat Public Privé), appel d’offre commun MAITRISE D’OUVRAGE (MOA, AMO, MOAD, MOAO) inauguration d’une mairie par les responsables de la ville La maîtrise d’ouvrage est le donneur d’ordre (privée ou publique) au profit de l’entité pour laquelle l’ouvrage est réalisé. Elle porte le besoin, définit l’objectif, le calendrier et le budget consacré au projet. Elle a le rôle de pilote de l’opération immobilière. MAITRISE D’ŒUVRE (MO, MOE) des architectes au travail sur les plans La maîtrise d’œuvre assure la conception du projet (bâtiment ou aménagement). Architectes, aménageurs ou urbanistes, ils dessinent le projet. Ils supervisent ensuite la construction lors des réunions de chantier hebdomadaire entre maîtrise d’œuvre exécutive et entreprise de construction. des ouvriers sur un chantier de construction Sur le chantier, les directeurs et conducteurs de travaux, les chefs de chantier réalisent les différent lots. La construction peut se faire par une entreprise générale ou en lot séparé. CONSTRUCTION Projet classique – Appels d’offre séparés Raphaël Jatteau, mtb2010sprojeta 3 3

4 4 - les outils Cos moyen de Paris = 3
________________________________________________________________________________________________________________________________ 4 - les outils La législation et les investissements amorcent les projets Le droit de l’urbanisme Il existe actuellement le droit de l’urbanisme qui rassemble les règles permettant de développer des espaces urbains cohérents. Le financement Les moyens de financement comme les banques et les partenariats public-privé permettent le développement de grands projets et notamment d’IGH Le contrat Le permis de construire correspond à un engagement juridique du projet vis-à-vis de l’administration Des mesures normalisées font dialoguer les projets les shon et les su, La surface hors oeuvre nette (shon) est la somme des surfaces de plancher d’un immeuble y compris les murs intérieurs et extérieurs. La surface utile (su) d’un immeuble est celle prise entre les murs, non comptés les espaces de circulation Les « r+x » On simplifie l’appellation « rez-de-chaussée plus 2 étages par « r+2 ». Coupe d’un immeuble r+2. Les ratios Le plus communément utilisé en urbanisme est le coefficient des sol ( cos = shon totales / surface de la parcelle considérée). Des ratios d’occupation en terme de « shon » ou de « su » de surfaces / personnes sont précieux. Cos moyen de Paris = 3 les schémas, plans de masse et plans d’implantation illustrent le projet suivant différentes échelles Le 1/500° est l’échelle requise pour les schémas et graphes de programmation, de conception ou de réaménagement de plans intérieurs, schéma de plan de masse. Ce mode de représentation graphique est recommandé pour l’aa7, schéma d’implantation 2d. La couleur est recommandée. Les relations des lieux d’enseignements, de recherche, aux « équipements » de la Ville, de la Région, sont indispensables. ________________________________________________________________________________________________________________________________ Hugo Maurer, mtb2010projeta

5 5 - Les lieux Les formes générales des territoires ont évolué; premiers territoires, les villages, les bourgs, puis les villes, les banlieues autour des villes, puis les régions, organisées selon des réseaux de transports, maintenant l’urbanisme rural. Les 3 périphériques parisiens, autant d’enceintes modernes drainant les flux et organisant le territoire Les axes antiques Philippe Auguste XIII° Charles V XV° Fermiers Généraux XVIII° Enceinte de Thiers XIX° Les enceintes successives de Paris Les niveaux d’intercommunalité, de dé-partement, des régions, des « pays », des communes, des arrondis-sements, des quartiers, des « opérations d’aménagement ». Deux exemples « d’opéra-tion d’aménagement » à Paris: le front de Seine (à gauche) et la Défense (en haut à droite), première excroissance Le Grand Paris ( ici vu par Roland Castro en 1983) tentative de déscléroser la ville et harmoniser son développement Maria Hjalmars mtb2010

6 Felipe Massarico Braz, mtb2010projetb
6 - Les courants Un courant est une vision commune, une volonté partagée. Elle est établie par un groupe de personnes qui s’accorde sur un texte : un manifeste. Un « courant » est l’expression de l’évolution des choses à un instant T. Les centres villes sont délaissés, les banlieues sont sollicitées, les transports sont insuffisants. Les courants sont alors l’expression de ce qu’il faut changer. Alors vous avez les écologistes, ce que l’on appelle les bobo, puis des lobys. Ensuite, au grè de l’opinion, de désirs, cela devient des volontés, puis des stratégies, enfin des politiques. Elle se traduit pas un texte ou par un projet. Il existe les courants dans les partis politiques, les résolutions de l’ONU, les résolutions dans les copropriétés. Ce sont des accords sur des textes, sur des projets de loi, que l’on vote ou non selon les majorités. La vie démocratique est ainsi faite. Peu à peu, d’un « courant » on s’entend sur un « programme ». Ce qui se fait, ce qui se pratique, le patrimoine. La ville, la commune. La séparation des fonctions, le modernisme. D’abord l’histoire des villes, la lente évolution des formes, puis les sorties des villes, les grands ensembles, les zones commerciales, les centres d’affaires, la Défense. Un manifeste écrit Un règlement ne fait pas l’architecture. L’esprit du courant peut mener à un programme. Un bâtiment modèle Felipe Massarico Braz, mtb2010projetb 6

7 Amanda Ortega, mtb2010projetb
7 - Les débats Quels débats? Ville de Paris Réunions publiques Assemblée nationale Réunions internationales. Les débats sont aussi dans les : Conseils d’administration Assemblées générales des sociétés Des copropriétés Pour préparer ces débats : Des groupes de travail sont organisés On crée des alliances On identifie des concepts. Le grand Paris, 02/ les tours à Paris, 03/ l’étalement urbain, 04/ les transports dans Paris, 05/ le développement durable, La démocratie de la ville. Un courant est une vision commune, une volonté partagée. Elle est établie par un groupe de personnes qui s’accorde sur un texte : un manifeste. Un manifeste écrit Un règlement ne fait pas l’architecture. L’esprit du courant peut mener à un programme. Un bâtiment modèle Amanda Ortega, mtb2010projetb

8 8 - Les Concepts Il est important d’avoir un concept qui donne une identité dans un quartier Alexandros KESIDIS

9 9 - Le public Comment obtenir des avis pour un projet d’aménagement du territoire ? Quel public consulter? Les commissaires enquêteurs recueillent les avis lors d’opérations d’aménagements. Les réunions publiques informent. Les référendum locaux fréquents en Suisse sont rares en France. Les médias illustrent et diffusent les informations et les illustrations. Que pense le public français des tours? Quelle démarche de concertation ? Actuellement, une démarche importante d’explication. Le public se déplace, voit les expositions, via la presse, s’intéresse à tout, les médias, les visites des expositions, le public oui, mais aussi les acheteurs, les distributeurs, les représentants, les députés, les groupes de pression, les régions, les collectivités, les mairies, les sites webs, les intercommunalités. Information, opinions. Technologies de l’information Projet EPAD Tour Signal Techniques démocratiques Publicités Réunions publiques d’information Référendums locaux Consultations officielles de la population par les municipalités afin de connaître l’avis des contribuables. Médias Utilisation des différentes technologies de l’information afin d’informer les citoyens. Alexandre Fosse- equipe C

10 Urbanisme opérationnel pour l’aménagement urbain.
10 - Les objectifs Les objectifs sont toujours liés à une stratégie général. Les projets naissent d’une volonté, de débats, de concepts et de consultations publiques mais également par l’intervention de la presse. Le Grand Paris en est un. Les objectifs sont historique, les places royales sous Henri IV, Versailles sous Louis XIV, Le Paris haussmannien sous Napoléon III, les villes nouvelles sous Charles de Gaulle, le souhait d’arrêt des tours et des barres d’immeubles sous Valéry Giscard d’Estaing, les « Grands projets » de François Mitterrand, le Grand Paris pour Nicolas Sarkozy, la Politique de la Ville, l’Anru (Agence Nationale pour la Rénovation Urbaine). Ceci mène à l’urbanisme opérationnel : l’aménagement urbain Projets Volonté Débats Concepts Consultations publiques Presse  Grands projets  Urbanisme opérationnel pour l’aménagement urbain. Versailles Villes Nouvelles Places Royales Paris Haussmannien Arrêt des tours et des barres « Grand Paris » Louis XIV De Gaulle Miterrand Alexis Tesson – Equipe C Giscard d’Estaing Henri IV Napoléon III Sarkozy

11 11 - La programmation urbaine
Le programmiste commence par prévoir quantitativement les surfaces, les nombres de personnes et les densités à l’hectare. La description est ensuite qualitative. Avant tout projet d’ampleur, il se doit de mettre en place les marchés de définition, qui décrivent le possible, le paysage urbain et végétal: c’est prévoir les équipements, la concentration de population, la localisation des espaces verts, etc. Sur l’espace à construire. Espace à bâtir Définition quantitative Définition qualitative Penser l’espace pour les utilisateurs, selon leur besoin, en terme de fonctions, choisir les équipements, logements, espaces verts pour correspondre aux attentes quantitatives Étude des surfaces constructibles, du contexte urbain alentour pour créer l’espace urbain le plus approprié Prévision de la densité de population, de la présence des équipements, des surfaces vertes etc. Insertion parfaite dans le paysage urbain existant Marty Florent – equipe C mtb projet

12 12 - Les équipements Ecoles Routes Hôpitaux Mairies
sont les bâtiments et les investissements nécessaires à l’élaboration d’une collectivité urbaine et dont la réalisation nécessite l’intervention et le concours financier des collectivités publiques. Ces équipements participent au développement de la consommation et à l’amélioration du niveau de vie des riverains. On parle alors d’équipements collectifs ou de bâtiments publics. Ils sont financés et gérés par les communes et les départements. Maintenant le privé, avec le partenariat-public-privé, participe au financement des équipements. Ecoles Routes Hôpitaux Mairies Michael Zribi – Equipe C

13 Construction dans une parcelle donnée
13 - Les montages En France, on distingue selon les lois d’urbanisme et le code des marchés publics: ZAC Zone d’Aménagement Concerté Etablissement public d’aménagement Construction seule Lotissement (Echelle du projet par rapport à la ville) dérogation au plan local d’urbanisme de la commune Construction dans une parcelle donnée Construction dans une parcelle de lotissement selon un règlement de lotissement Des opérations séquencées aux nombreux acteurs: Maîtres d’œuvre Urbanistes Paysagistes Architectes Ingénieurs Maîtres d’ouvrages (délégués, mairie, communes…)

14 14 Architecture bâtir l’ensemble des caractéristiques communes telles que la forme, la symbolique, ou les propriétés d’usage bâtir l’ensemble des caractéristiques communes telles que la forme, la symbolique, ou les propriétés d’usage Architecture et notion d’urbanisme: le batiment imaginé et conçu se doit d’être en adéquation avec son environnement immédiat S’inscrit dans une culture dans un style et dans une époque (influencée des préoccupations actuelles : environnement, design épuré, hauteur…) Clément Coeurdeuil, Groupe D

15 les métiers aménagement urbain, 15
Pour chaque chantier, une multitude de professionnel se côtoient. Les métiers mis en œuvre sont différent selon les démarches urbaines : la démarche privée, la démarche publique, le concours international (ex: Arche de la Défense), la consultation de grandes agences d’urbanisme et d’architectures. Pour les villes, un long travail de mise en place est nécessaire et passe par des ateliers d’urbanisme au niveau communal et régional. L’exemple actuel est l’aménagement de Paris Rive Gauche d’abord étudié globalement par l’Atelier Parisien d’urbanisme, s’ensuivent des consultations locales pour les urbanistes de secteurs, enfin les architectes dessinent les immeubles. . ________________________________________________________________________________________________________________________________ .

16 16 – les méthodes (de IGH) Plusieurs dimensions pour classifier méthodes dépendants de: Les intervénants: l’état, la ville, les voisins, les investisseurs… La phase du projèt: Préparation (précision des objectives, contraintes) Planification (monétaire, urban, environmental, culturel, organisatoire, temporel) Implémentation (achats, chantier, livraison, gestion, ouverture) L’ échelle: Macro, Meso, Micro, procédes linéaire ou interconnecté Thomas Netz, Groupe D

17 17 - Les exemples Romain Basso– mtb2010 projet E
Les rencontres interprofessionnelles étalonnent les méthodes Le numérique et la presse sont les principaux vecteurs de diffusion des informations Les documents disponibles apportent des informations tangibles. Les voyages, Ce sont de vrais moyens d’évaluer sur place les méthodes, difficultés et bonnes pratiques. Des explications, Des articles bien souvent techniques : Les sites internet, Souvent spécialisés, proposent une réelle richesse de documents. Les colloques, Permettent de rendre compte de l’achèvement d’un chantier, et les difficultés rencontrées. Les blogs et le networking, Sont autant d’outils simple mais efficace que les professionnels utilisent pour informer la communauté. Des images, Illustrent les documents. Les échanges, Entre les groupes de métiers diffusent les informations. La presse spécialisée, Reste toujours le média favoris des professionnels quant à la diffusion des expériences, notamment la revue Le Moniteur. Des chiffres, Qui permettent une approche quantitative. Romain Basso– mtb2010 projet E

18 Elections et mandatures
18 – Les séquences L’objet à construire est à définir Un projet s’inscrit dans le temps  Importance des plannings Politique Elections et mandatures Société Crises Economie Cycles, crises Influence des conditions de l’action Ceci mène à la méthode urbaine proposée suivante  Crystal Langlois – mtb2010 projet E

19 19 - Carto Mettre en place le contexte, s’entendre sur les représentations du site urbain ou paysager. Des valeurs supplémentaires peuvent préciser les surfaces, les coûts ou encore certains flux; le plan illustre ces données. Les images en vues aériennes et vues obliques comparent AVANT et APRES. Utilisation des couleurs pour repérer les enjeux Vue aérienne Vue oblique Utilisation de Google pour les cartes et surtout les mesures Antoine Ledoux– mtb2010 projet E

20 Quelle incidence dans l’espace public?
20 - Flux Quelle incidence dans l’espace public? Flux de personnes Flux de voitures Flux de média mais aussi… Flux économiques Flux de surface Rémy Rousseaux– mtb2010 projet E

21 21 – ECO, Permet d’expliquer le financement et le coût du projet
Financement privé ou public? Taxes, aides publiques Construction Création de valeur immobilière/ coûts imprévus/ gros œuvre & second œuvre => multiplicité des sous-traitants Conception Coût de la conception, développement/ concours d’architecte/ cabinet d’ingénierie Entretien Externe & interne/ régularité: coût faible mais récurrent/ source de financement? Laroche Sébastien MTP projet F

22 22 – logos JB Hétault MTP projet F
Logos réalistes Logos abstraits Logos caricaturaux Les logos illustrent le concept imaginé par les architectes pendant les phases de construction et d’exploitation. JB Hétault MTP projet F

23 Mtb2010projetf - Mohamed Oualmakran
23-ratios, Optimiser le ratio coûts/confort, Il faut minimiser les coûts de la construction tout en assurant un certain confort aux usagers de l’édifice. Optimiser le ratio flux/espace, Il faut avoir assez d’espace pour permettre aux gens de se déplacer confortablement. Optimiser le ratio coûts/espace, Il faut acheter un maximum de surface pour un minimum de coûts ________________________________________________________________________________________________________________________________ . Mtb2010projetf - Mohamed Oualmakran

24 24 - Biblio Daniel Zaraté MTP projet F
La biblio est un état d’esprit permanent : Il faut citer systématiquement toutes sources émises puisque la bibliographie donne de la valeur et de la crédibilité au rapport. Elle fournit des pistes au lecteur afin d’approfondir le sujet évoqué. IL FAUT CHERCHER L'INFORMATION DANS DES ENDROITS SPECIALISEES AVEC DES MOT CLES. SOIT: LIBRAIRIES BIBLIOTHEQUES SITES D'INTERNET ENTRETIENS AVEC DES EXPERTS Daniel Zaraté MTP projet F


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