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Publié parIves Maillard Modifié depuis plus de 11 années
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Dr Mattéo VASSALLO, service d'Infectiologie, CHU de Nice
Gestion d’un premier échec thérapeutique L’objectif d’un traitement est l’obtention d’une charge virale indétectable (<50 cp/ml) Non réponse si baisse de moins de 1 log a M1 - Échec primaire si charge >50 cp/ml a M6 - Échec secondaire si rebond de la charge a plus de 50 cp/ml après un période de succès virologique Attention au blip Dr Mattéo VASSALLO, service d'Infectiologie, CHU de Nice
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Dr Mattéo VASSALLO, service d'Infectiologie, CHU de Nice
Evaluation de l’observance -Vérification du respect des doses, des horaires et des rythmes de prise des médicaments -Recherche d’effets indésirables, possiblement associés à une rupture d’observance -Recherche d’un syndrome dépressif, d’un alcoolisme, de conditions sociales précaires Interrogatoire sur l’ensemble des médicaments pris par le patient, en recherchant des possibles interactions. Dans ce cas là, a préconiser les dosages plasmatiques des concentrations plasmatiques des antiretroviraux Retracer l’histoire thérapeutique du patient Dr Mattéo VASSALLO, service d'Infectiologie, CHU de Nice
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Dr Mattéo VASSALLO, service d'Infectiologie, CHU de Nice
L’échec virologique correspond souvent, mais pas systématiquement, a un échec immunologique. Ce dernier est défini comme l’absence d’augmentation des CD4 malgré un traitement antirétrovirale efficace depuis 6 mois Cependant, les conséquences négatives d’une réplication virale persistante sont telles que lorsque la charge est supérieure a 500 cp/ml une intervention thérapeutique est conseillé Parfois on assiste a la persistance des CD4 bas malgré un bon contrôl virologique. Ce fenomen est associé a une lymphopénie persistante, typiques des patients contaminés depuis longtemps. La co-infection avec l’hépatite C semble augmenter ce risque. Vérifier si présence de produits myelodepresseurs (zidovudine, Bactrim) Quelques essaies avec l’IL-2 (Macrolin): résultats pas très satisfaisants Dr Mattéo VASSALLO, service d'Infectiologie, CHU de Nice
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Choix d’un traitement en cas d’échec virologique Si l’échec n’est pas due a une inobservance ou aux concentrations sub-optimal, évaluer l’intérêt d’une nouvelle thérapie Ne pas introduire une seule nouvelle molécule en cas d’échec virologique. Considérer aussi la barrière génétique de résistance de classes d’antiviraux (barrière plus faible pour l’anti-intégrase que pour les IP) Dr Mattéo VASSALLO, service d'Infectiologie, CHU de Nice
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