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Chlamydia trachomatis

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Présentation au sujet: "Chlamydia trachomatis"— Transcription de la présentation:

1 Chlamydia trachomatis

2 Particularité de cette bactérie
Parasite intra-cellulaire obligatoire Anne Bianchi, Laboratoire départemental. Conseil Général de Seine Saint

3 FIGURE 177-2. Life cycle of Chlamydia trachomatis in cell culture
FIGURE Life cycle of Chlamydia trachomatis in cell culture. (1) Electron dense elementary bodies (EBs) attach to and are taken up by epithelial cells. (2) Inclusions fuse and EBs differentiate into reticulate bodies (RBs). (3) RBs divide by binary fission. (4) RBs re-form into EBs. (5) EBs released, often with cell death, to infect other cells. (6) Alternate course under stressful conditions (i.e., IFN-γ exposure) leading to large, metabolically inactive persistent forms. (7) With removal of stress, return to replication and infectious state.

4 FIGURE Electron photomicrograph of Chlamydia trachomatis growing in tissue culture. The larger reticulate bodies (RBs) have more diffuse chromatin. One of the RBs appears to be dividing, and the trilaminar outer membrane is evident in some areas. EB, elementary body. (Photo courtesy of Robert Suchland, Seattle, Washington.) Electron photomicrograph of Chlamydia trachomatis growing in tissue culture. The larger reticulate bodies (RBs) have more diffuse chromatin. One of the RBs appears to be dividing, and the trilaminar outer membrane is evident in some areas. EB, elementary body.

5 TABLE 176-1 Comparative Aspects of Chlamydial Species Causing Human Infections

6 Infections à Chlamydia trachomatis
UROGENITALES Sérotypes D à K pour les souches responsables de la plupart des IST Sérotypes L1, L2 et L3 pour les souches responsables de Nicolas Favre TRACHOME Sérotypes A, B, Ba et C Anne Bianchi, Laboratoire départemental. Conseil Général de Seine Saint

7 TABLE 177-3 Clinical Characteristics of Common Chlamydia trachomatis Infections

8 FIGURE 177-3. Clinical manifestations of C
FIGURE Clinical manifestations of C. trachomatis and patterns of transmission.

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10 Infections urogénitales à C. trachomatis
Première cause de MST d’origine bactérienne dans le monde Population jeune Infection asymptomatique Anne Bianchi, Laboratoire départemental. Conseil Général de Seine Saint

11 INFECTIONS UROGENITALES A Chlamydia trachomatis
EPIDEMIOLOGIE Anne Bianchi, Laboratoire départemental. Conseil Général de Seine Saint

12 Estimations mondiales pour les IST guérissables, 1999

13 Estimations mondiales pour les IST guérissables, 1999

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15 FIGURE Reported incidence of Chlamydia trachomatis in the United States. (Data from Centers for Disease Control and Prevention. Sexually Transmitted Disease Surveillance 2001 Supplement, Chlamydia Prevalence Monitoring Project. Atlanta, Ga: Centers for Disease Control and Prevention; 2002.) Reported incidence of Chlamydia trachomatis in the United States. (Data from CDCs, 2002)

16 Chlamydia - Age- and gender-specific rates: United States,
1997 Men Rate (per 100,000 population) Women 2,100 1,800 1,500 1,200 900 600 300 Age 300 600 900 1,200 1,500 1,800 2,100 6.1 10-14 125.0 265.6 15-19 2,044.3 373.3 20-24 1,633.5 176.3 25-29 546.7 79.7 30-34 186.2 39.1 35-39 76.9 19.9 40-44 34.1 9.6 45-54 12.6 3.6 55-64 3.5 2.5 65+ 5.8 73.1 Total 316.0

17 Chlamydia - Positivity among women tested in family planning
clinics by age group: Region X, Percent < 17 Years 14 18-19 Years 12 20-24 Years 10 25-29 Years 8 > 30 Years 6 4 2 1988 89 90 91 92 93 94 95 96 97 Note: Women who met screening criteria were tested. Source: Region X Chlamydia Project (Alaska, Idaho, Oregon, and Washington)

18 INFECTIONS UROGENITALES A Chlamydia trachomatis
CLINIQUE Anne Bianchi, Laboratoire départemental. Conseil Général de Seine Saint

19 Infection génitale basse à
Douleurs pelviennes GEU (50%) Stérilité (80% ) Épididymite Prostatite Hypofertilité? Salpingite Infection génitale haute Infection génitale basse à C. trachomatis asymptomatique dans plus de 50% des cas Conjonctivite Pneumonie Conjonctivite Rectite Péri hépatite Arthrite BB Anne Bianchi, Laboratoire départemental. Conseil Général de Seine Saint

20 INFECTIONS UROGENITALES A Chlamydia trachomatis
DIAGNOSTIC Anne Bianchi, Laboratoire départemental. Conseil Général de Seine Saint

21 Infections urogénitales à Chlamydia trachomatis
Prélèvements urogénitaux LA MISE EN EVIDENCE DE LA BACTERIE Anne Bianchi, Laboratoire départemental. Conseil Général de Seine Saint

22 LA MISE EN EVIDENCE DE LA BACTERIE
Vivante : isolement en culture cellulaire Antigènes : immunofluorescence directe ou ELISA Génome : hybridation moléculaire ou amplification génique Anne Bianchi, Laboratoire départemental. Conseil Général de Seine Saint

23 Dépistage Anne Bianchi, Laboratoire départemental. Conseil Général de Seine Saint

24 Dépistage des infections urogénitales à Chlamydia trachomatis
Quel prélèvement? Anne Bianchi, Laboratoire départemental. Conseil Général de Seine Saint

25 Dépistage chez l ’homme
1er jet d’urine Auto-écouvillonage du méat urétral Anne Bianchi, Laboratoire départemental. Conseil Général de Seine Saint

26 Dépistage d’une infection urogénitale à Chlamydia trachomatis :
le prélèvement Doit être bien accepté par le patient ou la patiente Doit permettre la recherche de Chlamydia trachomatis avec un maximum de sensibilité Anne Bianchi, Laboratoire départemental. Conseil Général de Seine Saint

27 Dépistage chez la femme
Endocol 1er jet d’urine Auto-écouvillonage vulvaire Anne Bianchi, Laboratoire départemental. Conseil Général de Seine Saint

28 Dépistage des infections urogénitales à Chlamydia trachomatis
Quel test? Anne Bianchi, Laboratoire départemental. Conseil Général de Seine Saint

29 la méthode de détection
Dépistage d’une infection urogénitale à Chlamydia trachomatis : la méthode de détection Doit être très sensible et avoir une valeur prédictive négative élevée Doit permettre de rendre des résultats fiables dans un délai rapide Doit être peu coûteuse Anne Bianchi, Laboratoire départemental. Conseil Général de Seine Saint

30 Culture cellulaire Méthode de référence : spécificité 100%
AVANTAGES INCONVENIENTS Méthode de référence : spécificité 100% Conservation des souches pour typage et étude de la sensibilité aux antibiotiques B90 Conservation des prélèvements délicate Méthode longue et lourde Sensible au type de prélèvement Sensibilité 80% Anne Bianchi, Laboratoire départemental. Conseil Général de Seine Saint

31 Immunofluorescence directe
INCONVENIENTS AVANTAGES Lecture délicate et subjective Non adapté aux grandes séries Sensibilité et spécificité fonction de la qualité du microscope et de l’expérience du technicien Conservation facile du frottis Contrôle de la qualité de l ’échantillon Rapide au coup par coup B30 Anne Bianchi, Laboratoire départemental. Conseil Général de Seine Saint

32 FIGURE Chlamydia trachomatis inclusions in a McCoy cell monolayer stained with a genus reactive mouse monoclonal antibody followed by fluorescein conjugated rabbit anti-mouse immunoglobulin. (Photo courtesy of Robert Suchland, Seattle, Washington.)

33 ELISA classique Conservation facile du prélèvement
AVANTAGES INCONVENIENTS Conservation facile du prélèvement Adapté aux grandes séries B30 Manque de sensibilité : 80 % / à la culture cellulaire Anne Bianchi, Laboratoire départemental. Conseil Général de Seine Saint

34 ELISA sur membrane Test rapide
AVANTAGES INCONVENIENTS Test rapide Réalisation facile B30 Manque de sensibilité : 50 % / à la culture cellulaire Anne Bianchi, Laboratoire départemental. Conseil Général de Seine Saint

35 Hybridation moléculaire
AVANTAGES INCONVENIENTS Conservation facile du prélèvement B60 Manque de sensibilité : 80 % / à la culture cellulaire Anne Bianchi, Laboratoire départemental. Conseil Général de Seine Saint

36 Amplification génique
AVANTAGES INCONVENIENTS Conservation facile du prélèvement Automatisation possible Sensibilité supérieure aux autres tests Convient à tout les prélèvements Hors nomenclature pour les prélèvements d’endocol et urètre (B100 pour les autres types de prélèvements) Anne Bianchi, Laboratoire départemental. Conseil Général de Seine Saint

37 Seules les méthodes d’amplification génique sont adaptées au dépistage
Conservation facile du prélèvement Automatisation possible Sensibilité supérieure aux autres tests Convient à tout les prélèvements Anne Bianchi, Laboratoire départemental. Conseil Général de Seine Saint

38 Dépistage d’une infection urogénitale à Chlamydia trachomatis : sensibilité des différentes méthodes de détection de C. trachomatis en fonction du type de prélèvement chez l’homme Anne Bianchi, Laboratoire départemental. Conseil Général de Seine Saint IFD : immunofluorescence directe; HYB. : hybridation; AMPL. : amplification

39 Dépistage d’une infection urogénitale à Chlamydia trachomatis : sensibilité des différentes méthodes de détection de C. trachomatis en fonction du type de prélèvement chez la femme Anne Bianchi, Laboratoire départemental. Conseil Général de Seine Saint IFD : immunofluorescence directe; HYB. : hybridation; AMPL. : amplification

40 TABLE Comparative Performances of Selected Diagnostic Tests in the Detection of Chlamydia trachomatis

41 Trousses d’amplification génomiques disponibles pour le diagnostic d’infection urogénitale à Chlamydia trachomatis Anne Bianchi, Laboratoire départemental. Conseil Général de Seine Saint

42 Dépistage des infections urogénitales à Chlamydia trachomatis
Périodicité? Anne Bianchi, Laboratoire départemental. Conseil Général de Seine Saint

43 Aucune étude ne permet de répondre à cette question
Après chaque rapport sexuel non protégé avec un nouveau partenaire Tous les ans? Tous les 6 mois? Anne Bianchi, Laboratoire départemental. Conseil Général de Seine Saint

44 TABLE 177-4 Screening for Chlamydial Infection, U. S
TABLE Screening for Chlamydial Infection, U.S. Preventive Services Task Force, 2001

45 Tests sérologiques Micro-immunofluorescence EIA
Détection des anticorps anti LPS et anti PMME Comparaison du titre des anticorps vis à vis des trois espèces Différenciation des IgG, IgA et IgM EIA Détection des anticorps anti LPS Nouvelles trousses détection des anticorps anti PMME - IgG, IgA et IgM Anne Bianchi, Laboratoire départemental. Conseil Général de Seine Saint

46 Tests sérologiques : marqueurs de l’infection
Taux d’IgG élevé Augmentation des anticorps de quatre fois le titre d’IgG sur deux sérum  (3 à 4 semaines) Présence d’IgM Anne Bianchi, Laboratoire départemental. Conseil Général de Seine Saint

47 Tests sérologiques : C. trachomatis
Pas utiles dans le cadre du diagnostic biologique des infections urogénitales basses à C. trachomatis Intérêt lors d’infections profondes : - Salpingite, péri hépatite, épididymite - Lymphogranulomatose vénérienne - Pneumopathie du nouveau-né Anne Bianchi, Laboratoire départemental. Conseil Général de Seine Saint

48 Tests sérologiques : avenir
Méthode de référence sensible, spécifique et reproductible Détermination de marqueurs fiables - d’infection aiguë (IgA locaux?) - de gravité (anti-hsp60 et séquelles chroniques inflammatoires?) Anne Bianchi, Laboratoire départemental. Conseil Général de Seine Saint

49 (Urethre, endocol, rectum)
INFECTION A CHLAMYDIA (Urethre, endocol, rectum) Azithromycine 1 g p os x 1 j Doxyxycline mg p os x 2 x 7j Erythromycin base 500 mg orally four times a day for 7 days, OR Erythromycin ethylsuccinate 800 mg orally four times a day for 7 days, Ofloxacin 300 mg twice a day for 7 days, Levofloxacin 500 mg once daily for 7 days. (CDC, 2006)

50 (Urethre, endocol, rectum)
INFECTION A CHLAMYDIA (Urethre, endocol, rectum) Azithromycine 1 g p os x 1 j Or Doxycycline mg p os x 2 x 7j Alternatives: Amoxicilline 500 mg x3 x 7 j Erythromycin base 500 mg orally four times a day for 7 days, OR Tetracycline, 500 mg p os x4 x 7j Ofloxacin 300 mg twice a day for 7 days, (WHO,2004)

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52 Maladie de Nicolas et Favre ou lymphogranulomatose vénérienne
Très rare en France Touche essentiellement des patients Africain L’ulcération du départ passe le plus souvent totalement inaperçue Caractérisée par un bubon inguinal, chaud, fluctuant avec signe de la poulie Diagnostic biologique simple avec présence de très nombreux chlamydiae dans le pus du bubon et une sérologie chlamydia très très élevée Anne Bianchi, Laboratoire départemental. Conseil Général de Seine Saint

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57 Fig. 1. Increases in risky behavior and the usage of antiretroviral therapy. (a) Relationship between antiretroviral usage, increases in risky behavior (in both infected and uninfected individuals) and HIV incidence rates after 5 years of antiretroviral usage. HIV incidence rates (where incidence = incidence of drug-susceptible strains plus incidence of drug resistance strains) are plotted, the data points show the area in which the HIV incidence rates are stable. The green, pink and blue data show prevalence one, 5 and 10 years, respectively, after the introduction of antiretroviral treatment Marie Laga, The synergy between Prevention and Care in Africa. IAS, Rio de Janeiro, 2005

58 Iconographie atlas

59 LYMPHOGRANULOMA VENEREUM
(LGV) For 21 days Doxycycline mg p os x 2/d Alternative: Erythromycine 500mg p os x 4/d (CDC,2006)

60 LYMPHOGRANULOME VENERIEN
(Nicolas et Favre) Pendant 14 jours Doxycycline mg p os x 2 Ou Erythromycine 500mg p os x 4 Alternatives: Tetracycline mg p os x 4 (WHO, 2004)


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