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Formation sur les notions de base en transfert de connaissances

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1 Formation sur les notions de base en transfert de connaissances
Dans le cadre du : Plan d’action en transfert des connaissances du comité directeur de la recherche en traumatologie 23/05/2013

2 Auteure et collaborateurs
Formation préparée par : Anabèle Brière, pht, Ph.D, chargée de projet en transfert des connaissances AERDPQ-AQESSS Révisée par: Isabelle Gagnon, pht, Ph.D, professeur adjoint, École de physiothérapie et d’ergothérapie, Université McGill; chercheuse centre universitaire de santé McGill; Dahlia Kairy, pht, Ph.D, professeur adjoint, programme de physiothérapie, École de réadaptation, Faculté de Médecine, Université de Montréal; Chercheuse CRIR, site Institut de réadaptation Gingras-Lindsay-de-Montréal; Marie-Thérèse Laramée, pht, M.Sc, Coordonnatrice de recherche clinique et Spécialiste de l’application et de la généralisation de l’expertise, Institut de réadaptation Gingras-Lindsay-de-Montréal; Renée Latulippe, M.A., Professionnelle, Mobilisation et transfert de connaissances, Direction des communications et transfert de connaissances, Institut national d’excellence en santé et en services sociaux; Catherine Truchon, Ph.D, Msc.Adm., Conseillère-cadre en réadaptation spécialisée, Équipe d'évaluation en traumatologie. Institut national d'excellence en santé et services sociaux; Diana Zidarov, pht, Ph.D (c), Candidate au doctorat en santé publique, Université de Montréal.

3 Le transfert des connaissances: pourquoi est-il urgent d’agir?
Des chercheurs (Schuster et coll., 1998; Grol, 2001; McGlynn et coll., 2003) provenant des États-Unis et des Pays-Bas ont estimé que: 30% à 40% des patients reçoivent des soins dont l’efficacité n’a pas été démontrée; 20% à 25% des soins prodigués sont superflus ou même potentiellement nuisibles. La production des connaissances progressent à une vitesse fulgurante ce qui fait en sorte qu’il est difficile pour les cliniciens de maintenir leurs connaissances à jour. Il devient donc primordial d’identifier des moyens pour réduire cet écart entre l’avancement des connaissances et leur application. (Graham et coll., 2006)

4 Objectifs de la formation
Formation en 3 modules Module 1: Niveaux d’évidence, types d’étude et sources informationnelles Diffuser des connaissances en lien avec la hiérarchisation des publications scientifiques (niveaux d’évidence) et les types d’études; Informer de l’existence des principales bases de données et veilles informationnelles générales et propres à la traumatologie. Module 2: Définitions et modèles de transfert de connaissances Transmettre les principales notions liées au concept du transfert de connaissances; Principales définitions et modèles du transfert des connaissances. Module 3: Barrières, déterminants et stratégies liés au transfert de connaissances Transmettre les principales notions liées au concept du transfert de connaissances (suite); Barrières et déterminants du transfert de connaissances; Stratégies de transfert de connaissances et leur efficacité relative; Principaux guides et outils de transfert de connaissances.

5 Formation sur les notions de base en transfert de connaissances
Module 1 Niveaux d’évidence, types d’étude et sources informationnelles Dans le cadre du : Plan d’action en transfert des connaissances du comité directeur de la recherche en traumatologie 23/05/2013

6 Rappel des objectifs du module 1
Module 1: Niveaux d’évidence, types d’étude et sources informationnelles Diffuser des connaissances en lien avec la hiérarchisation des publications scientifiques (niveaux d’évidence) et les types d’études; Informer de l’existence des principales bases de données et veilles informationnelles générales et propres à la traumatologie.

7 La pratique basée sur les données probantes
Qu’est-ce qu’une donnée probante? « Conclusion tirée de recherches et autres connaissances qui peut servir de base utile à la prise de décision dans le domaine de la santé publique et des soins de santé ». (Cadre de référence pour la désignation universitaire des établissements du secteur des services sociaux : mission, principes et critères, Ministère de la Santé et des Services Sociaux, 2010) Le désir de vouloir fonder les pratiques sur des données probantes est mis de l’avant dès les années 70 dans un livre de A. L. Cochrane (1977) portant sur les services de santé.

8 La pratique basée sur les données probantes
En 1992, un groupe de travail « The Evidence-Based Medicine working group » introduit la notion d’«evidence-based medicine» (pratique basée sur les données probantes). Sackett, D., membre de ce groupe, est considéré comme un des principaux fondateurs de ce paradigme. Qu’est-ce que la pratique basée sur les données probantes? « La pratique basée sur les données probantes associe les meilleures données scientifiques à l’expertise clinique du professionnel et aux choix du patient ». (Traduction libre de la définition proposée par Sackett, D. et al. Evidence-Based Medicine: How to Practice and Teach EBM, 2nd edition. Churchill Livingstone, Edinburgh, 2000, p.1)

9 La pratique basée sur les données probantes
Les préférences et les valeurs du patient L’expertise clinique et le jugement du professionnel Les évidences scientifiques La pratique basée sur les données probantes

10 Les niveaux de preuve et de recommandation
Le niveau de preuve est caractérisé par la capacité de l’étude à répondre à la question posée, par l’existence ou non de biais importants dans la réalisation de l’étude et par la taille de l’échantillon; Le niveau de preuve permet de classer les différentes études et publications scientifiques en fonction de leur qualité méthodologique intrinsèque, i.e. le degré de robustesse de la méthode utilisée et les possibilités de reproductibilité et de généralisation des résultats obtenus; Il y existe un nombre élevé d’échelles de niveau de preuve. (Cadre pour un transfert des connaissances au sein du ministère de la Santé et des Services sociaux, MSSS, Direction de la recherche et de l’innovation, novembre 2008, p. 17)

11 Les niveaux de preuve et de recommandation
La hiérarchie du niveau de preuve permet également d’émettre une gradation dans les niveaux de recommandations émises à la suite de l’analyse des publications scientifiques; C’est aussi un moyen efficace de cibler la meilleure ou la plus crédible des connaissances disponibles et de délimiter le poids accordé aux résultats de recherche suivant leur rigueur méthodologique. (Cadre pour un transfert des connaissances au sein du ministère de la Santé et des Services sociaux, MSSS, Direction de la recherche et de l’innovation, novembre 2008, p. 17)

12 Les niveaux de preuve et de recommandation
La hiérarchie la plus communément acceptée place en tête de liste les méta-analyses et les revues systématiques et, tout en bas du classement, les opinions d’experts. On distingue donc, par ordre d’importance : (Cadre pour un transfert des connaissances au sein du ministère de la Santé et des Services sociaux, MSSS, Direction de la recherche et de l’innovation, novembre 2008, p. 17) Méta- analyses Revues systématiques Essais cliniques randomisés Études quasi-expérimentales Étude de cohorte ou de suivi Étude de cas‐témoins Rapport de cas (étude de cas) et séries de cas Opinion d’experts

13 Opinion d’experts Rapports de comités d’experts ou de l’opinion et de l’expérience clinique d’autorités respectées. (Cadre pour un transfert des connaissances au sein du ministère de la Santé et des Services sociaux, MSSS, Direction de la recherche et de l’innovation, novembre 2008, p. 50)

14 Opinion d’experts : exemple

15 Le rapport de cas (étude de cas) et les séries de cas
Rapport de cas (étude de cas): étude approfondie d'un cas en particulier. Série de cas: description d'une série de cas comparables, mais sans comparaison avec un groupe témoin ou un autre groupe de cas. (Université de Liège; Faculté de médecine.

16 Le rapport de cas (étude de cas): exemple

17 L’étude de cas-témoins
Étude d'observation dans laquelle les caractéristiques des malades (les cas) sont comparées à celles de sujets indemnes de la maladie (les témoins); La sélection des sujets est réalisée en fonction de l'issue. (Université de Liège; Faculté de médecine.

18 L’étude de cas-témoins : exemple

19 L’étude de cohorte ou de suivi
Étude d'observation, le plus souvent prospective, dans laquelle un groupe de sujets exposés (à des facteurs de risque d'une maladie ou à un traitement particulier) est suivi pendant une période déterminée et comparé à un groupe contrôle non exposé; Étude éventuellement rétrospective réalisée sur la base des dossiers médicaux, par exemple, pour évaluer les risques auxquels les sujets ont été exposés antérieurement; Il n’y a pas de répartition au hasard des individus. (Université de Liège; Faculté de médecine.

20 L’étude de cohorte ou de suivi
(Université de Liège; Faculté de médecine.

21 L’étude de cohorte ou de suivi : exemple

22 L’étude quasi-expérimentale avec ou sans groupe contrôle
Elle compare deux groupes d’individus qui, contrairement à l’étude randomisée, n’ont pas été sélectionnés de manière aléatoire; Le défi que ces études doivent relever est de s’assurer que les individus sélectionnés partagent les mêmes caractéristiques. Les devis suivants sont classés sous ce type d’étude: Mesure unique avec ou sans groupe contrôle non-aléatoire: traitement mesure Mesure unique avant-après avec ou sans groupe contrôle non-aléatoire: Mesure traitement mesure (Cadre pour du ministère de la Santé et des Services sociaux, MSSS, Direction de la recherche et de l’innovation, novembre 2008, p. 49;

23 L’étude quasi-expérimentale: exemple

24 L’essai clinique randomisé
Étude expérimentale, où les patients éligibles, sélectionnés pour une intervention thérapeutique, sont répartis de manière aléatoire en 2 groupes: le premier groupe reçoit le traitement, tandis que le second reçoit en général un placebo; La répartition au hasard a pour but d'assurer que les patients répartis dans les 2 groupes de l'essai sont rigoureusement semblables en tous points, excepté en ce qui concerne l'intervention projetée. (Université de Liège; Faculté de médecine.

25 L’essai clinique randomisé
(Université de Liège; Faculté de médecine.

26 L’essai clinique randomisé : exemple

27 La revue systématique La "revue systématique" (systematic review) peut être définie comme une démarche scientifique rigoureuse de revue critique de la littérature consistant à: rassembler, évaluer et synthétiser toutes les études pertinentes et parfois contradictoires qui abordent un problème donné; limiter l'introduction d'erreurs aléatoires et systématiques ou de biais. (Université de Liège; Faculté de médecine.

28 La revue systématique : exemple

29 La méta-analyse La méta-analyse consiste à rassembler les données issues d'études comparables et à les ré-analyser au moyen d'outils statistiques adéquats. Elle regroupe les études pertinentes qui essaient de répondre à une question précise de manière critique et quantitative. La méta-analyse permet de réunir un nombre important de patients et d'événements et d'arriver à des conclusions plus solides que ne le permettaient les études individuelles. Evidemment, la méta-analyse a plus de poids si la tendance des essais individuels va dans le même sens que dans des directions opposées. (Université de Liège; Faculté de médecine.

30 La méta-analyse : exemple

31 Le guide de pratique clinique
La définition généralement établie du guide de pratique clinique (GPC) est celle de l’Institute of Medicine (Field et Lohr, 1992) : « Les guides de pratiques sont des énoncés développés de manière systématique pour aider à la prise de décision des professionnels et des patients quant aux soins de santé appropriés dans les circonstances cliniques précises1 » (1Traduction libre tirée de : Roberge, Brouillet et Fournier. Les guides de pratique clinique: des outils d’aide à la décision destinés aux cliniciens et aux patients. Quintessence: l’accès au savoir en santé mental populationnelle, 2(7), sept. 2010, p.1)

32 Le guide de pratique clinique
Le GPC présente une synthèse des données probantes (méta-analyses, revues systématiques, essais cliniques randomisés, etc.) sur une thématique clinique donnée; Il permet une mise à jour rapide des connaissances; une tâche devenue de plus en plus complexe à réaliser vu l’augmentation exponentielle des publications scientifiques; Le GPC s’avère donc un outil de transfert de connaissances qui soutient la prise de décision mais qui ne vise pas à « supplanter le jugement clinique, mais plutôt a offrir des recommandations éprouvées qui, jumelées à l’expertise clinique, permettront une prise de décision éclairée tant chez les cliniciens que chez les patients » (Roberge, Brouillet et Fournier, 2010 p.1).

33 Le guide de pratique clinique : exemple

34 Les avantages du guide de pratique clinique
L’utilisation des GPC permet: de soutenir la prise de décision des cliniciens et des patients quant aux soins optimaux; d’offrir un résumé des résultats de recherche à jour; de présenter des recommandations cliniques éprouvées pour la formation continue et l’enseignement; de faciliter la collaboration interdisciplinaire lorsqu’ils intègrent des champs d’expertise multiples pour un même problème de santé; de contribuer à des modèles de prestation de soins efficients selon les ressources disponibles. (Roberge, Brouillet et Fournier. Les guides de pratique clinique: des outils d’aide à la décision destinés aux cliniciens et aux patients. Quintessence: l’accès au savoir en santé mental populationnelle, 2(7), sept. 2010, p.1)

35 Les limites du guide de pratique clinique
Les GPC présentent certaines limites: il ne s’agit pas de « livres de recettes  », i.e. que la prise de décision doit tenir compte du profil clinique particulier et des préférences des patients; ils peuvent créer des attentes irréalistes tant chez les cliniciens que chez les patients; ils suscitent parfois de la résistance de la part des professionnels (exemple, menace à l’autonomie professionnelle); Ils peuvent parfois être utilisés à des fins politiques par des associations professionnelles (Roberge, Brouillet et Fournier. Les guides de pratique clinique: des outils d’aide à la décision destinés aux cliniciens et aux patients. Quintessence: l’accès au savoir en santé mental populationnelle, 2(7), sept. 2010, p.1)

36 L’appréciation de la qualité des guides de pratique clinique
L’instrument « Appraisal of guidelines research and evaluation (AGREE) » est un outil recommandé pour évaluer la qualité méthodologique des GPC; une étape essentielle avant de décider d’adopter un GPC. (The AGREE Collaboration (2001). Appraisal of guidelines research and evaluation (AGREE) Instrument. et Cette grille est reconnue à l’échelle internationale pour avoir fait ses preuves dans le domaine de la santé. Elle fournit un cadre d’évaluation de la qualité des guides de pratique, notamment, elle permet de s’assurer de la validité interne des recommandations élaborées et de leur applicabilité dans un contexte donné. (Beauchamp et Duplantie (2012). Vers une méthode d'élaboration des guides de pratique dans le secteur des services sociaux. Rapport du comité sur les guides de pratique en services sociaux de l’Institut national d’excellence en santé et en services sociaux (INESSS).)

37 L’adaptation du contenu des guides de pratique au contexte clinique local
La simple diffusion d’un GPC ne suffit pas à assurer son utilisation dans la pratique clinique, une adaptation au contexte clinique local est absolument essentielle. Un manuel et une trousse, appelés « processus ADAPTE » ( ont été élaborés récemment pour orienter l'adaptation des guides de pratique clinique. Ce processus guide l'utilisateur au cours de trois étapes d'adaptation : la planification et la mise au point, l’adaptation et l’élaboration. En fonction du document à adapter, de la conscience des obstacles et des éléments facilitateurs identifiés dans votre milieu et des ressources disponibles, il est possible d’ajuster le processus ADAPTE et d’utiliser les étapes qui conviennent le mieux à votre situation.  (Castiglione, S. A. et Ritchie, J. A. Passer à l’action : nous connaissons les pratiques que nous souhaitons changer. Que faire, maintenant? Guide de mise en œuvre pour les professionnels de la santé. Instituts de Recherche en Santé du Canada (IRSC), 2012, p.10)

38 Sites Web d’intérêt général dans le domaine de la santé
National Institute for Health and Care Excellence (NICE): base de données en soins de santé et social ( Cumulative Index to Nursing and Allied Health Literature (CINAHL) : base de données consacrée aux sciences infirmières et aux disciplines paramédicales ( EMBASE (Excerpta Medica): base de données internationale en sciences de la santé, sciences biomédicales et pharmacie ( U.S. National Library of Medicine, National Institutes of Health: base de données biomédical (PubMed/Medline) ( The Cochrane collaboration: base de données de revues systématiques et d’essais cliniques randomisés en santé ( Guidelines International Network: base de données de guides de pratique ( National Guideline Clearinghouse: compilation de guides de pratique clinique sur diverses conditions et interventions ( Rehab+: base de données sur les évidences en réadaptation (

39 Sites Web d’intérêt général dans le domaine de la santé
Rehabilitation measures database: base de donnée d’outils de mesure en réadaptation ( Centre de Ressources Documentaires en Médecine Physique et de Réadaptation et Base de Données Bibliographiques ( REHABDATA produit par le National Rehabilitation Information Center: base de données d’évidences en réadaptation ( The global evidence mapping initiative (GEM): base de données d’évidences en santé ( Physiotherapy Evidence Database (PEDro): base de données sur les évidences dans le domaine de la physiothérapie ( Occupational Therapy Systematic Evaluation of Evidence (Otseeker): base de données sur les évidences dans le domaine de l’ergothérapie (

40 « National Guideline Clearinghouse: permet de faire une recherche pour trouver des guides de pratique clinique sur des thèmes donnés; Permet de comparer des guides entre eux selon certains critères; Offre des liens vers d’autres sites pertinents.

41

42 Permet de faire une recherche rapide ou une recherche par catégorie; Offre un « Tutoriel » pour la recherche; Donne une cote aux articles répertoriés et présente un résumé du travail; Offre un lien avec PubMed pour l’article et/ou d’autres liens pour obtenir les documents; Classifie les références (Revues systématiques, Guides de pratique, Essais cliniques) OTSeeker est l’équivalent pour l’ergothérapie.

43 Pedro – « Traumatic Brain Injury»

44 Sites Web spécifiques à la clientèle blessés médullaires
Rick Hansen Institute ( SCI-U for healthy living: Informations pour les professionnels de la santé pour les aider dans leurs interventions auprès de leurs patients présentant une lésion médullaire ( Spinal Cord Injury Rehabilitation evidence (SCIRE) : site donnant accès à des synthèses de la littérature déjà critiquée et classée par sujet ( Paralyzed Veterans of America ( The Participation and Quality of life Tool-Kit (PAR-QoL): outils de mesure de la qualité de vie et de la participation sociale pour les professionnels travaillant auprès des blessés médullaires (

45 Sites Web spécifiques à la clientèle traumatisés crâniens
The center for outcome measurement in brain injury (combi): banque d’instruments de mesure ( The Evidence-Based Review of Moderate To Severe Acquired Brain Injury (ABIEBR): site offrant une revue de la littérature sur les interventions pour les patients atteints d’un traumatisme crânien ( The Brain Trauma Foundation: contient, entre autre, une banque de guides de pratiques pour le traitement des TCC (

46 Les veilles informationnelles
Les veilles informationnelles permettent de recevoir gratuitement par courriel, à une fréquence donnée (à la semaine, aux deux semaines, etc.), les références d'articles traitant des derniers développements dans votre domaine; Certains bulletins de veille traitent également des sites Web pertinents ainsi que des évènements (conférences, congrès, etc.) à venir; Les veilles constituent un bon moyen de demeurer à jour dans son domaine; Les articles y sont habituellement classés par catégories ce qui facilite l’accès à l’information désirée; L’information vient à vous; c’est simple et rapide! Il suffit simplement d’aller vous inscrire sur le site de la veille qui vous intéresse.

47 Quelques veilles informationnelles…
Bulletin du Réseau provincial de recherche en adaptation-réadaptation (REPAR): le Réadap_Veille ( Bulletin de l’Institut national en santé publique du Québec (INSPQ) : bulletin politiques publiques et santé ( Bulletin du réseau de recherche en santé des populations du Québec (RRSPQ): Bulletin E-veille sur l'innovation dans les services de santé ( Bulletin du réseau de recherche en santé des populations du Québec (RRSPQ): Bulletin Santépop ( Bulletin de veille informationnelle de l'Agence de la santé et des services sociaux de la Montérégie: Bulletin VIsAge ( Bulletin du service des nouveautés du continuum de services en traumatologie (INESSS) (

48 Quelques organismes subventionnaires…
Voici quelques organismes du Québec qui subventionnent des projets de transfert de connaissances initiés par des cliniciens ou encourageant une collaboration étroite avec des cliniciens: La Fondation Edith Strauss de l’université McGill: Programme : Consortium pour le développement de la recherche en traumatologie du Fonds de recherche du Québec-Santé (FRQS) : Volet 3 (Pratique fondée sur les données probantes):

49 Messages clés…. Lors de vos recherches dans un domaine de pratique spécifique, ciblez, autant que possible, les références présentant un haut niveau d’évidence (exemples: les revues systématiques et les méta-analyses); Consultez les ressources où la littérature est déjà synthétisée, critiquée et/ou classée selon les niveaux de preuves. Ceci vous sauvera du temps et de l’énergie! Les guides de pratique clinique Certaines bases de données (exemples: National Guideline Clearinghouse, PEDro, OTSeeker, etc.) Les veilles informationnelles Si vous avez un centre de documentation dans votre établissement, n’hésitez-pas à consulter votre bibliothécaire. Ces personnes possèdent l’expertise pour faire des recherches ciblées et connaissent bien les bases de données. Voilà une autre façon de gagner du temps !

50 Messages clés…. Je vous invite à passer au module suivant sur les définitions et modèles de transfert de connaissances; N’oubliez-pas de remplir le formulaire d’évaluation des modules en ligne lorsque vous aurez complété la formation.

51 Références Beauchamp et Duplantie (2012). Vers une méthode d'élaboration des guides de pratique dans le secteur des services sociaux. Rapport du comité sur les guides de pratique en services sociaux de l’Institut national d’excellence en santé et en services sociaux (INESSS). Cadre de référence pour la désignation universitaire des établissements du secteur des services sociaux : mission, principes et critères, Ministère de la Santé et des Services Sociaux, 2010. Castiglione, S. A. et Ritchie, J. A. Passer à l’action : nous connaissons les pratiques que nous souhaitons changer. Que faire, maintenant? Guide de mise en œuvre pour les professionnels de la santé. Instituts de Recherche en Santé du Canada (IRSC), 2012. Cochrane, A.L. (1977). Adaptation française de Rougement, A. et Gubéran, E. L’inflation médicale: Réflexions sur l’efficacité de la médecine. Editions Galilée. Paris. Field, M.J. et Lohr, K.N. (1992). Institute of Medicine. Guidelines for clinical practice. From development to use. Institute of Medicine, Washington, DC: National Academy Press. Graham et al. (2006). Lost in Knowledge Translation: Time for a Map? The Journal of Continuing Education in Health Professions, 26,

52 Références Grol, R. (2001). Successes and failures in the implementation of evidence-based guidelines for clinical practice. Med Care, 39, McGlynn, E., Asch, S.M., Adams, J. , Keesey, J., Hicks, J., DeCristofaro, A. et Kerr, E.A. (2003). The quality of health care delivered to adults in the United States. New England Journal of Medicine, 348, Roberge, Brouillet et Fournier. Les guides de pratique clinique: des outils d’aide à la décision destinés aux cliniciens et aux patients. Quintessence: l’accès au savoir en santé mental populationnelle, 2(7), sept Sackett, D. et al. Evidence-Based Medicine: How to Practice and Teach EBM, 2nd edition. Churchill Livingstone, Edinburgh, 2000. Schuster, M., McGlynn, E. et Brook, RH (1998). How good is the quality of health care in the United States? Milbank Q, 76, The AGREE Collaboration (2001). Appraisal of guidelines research and evaluation (AGREE) Instrument. et Université de Liège; Faculté de médecine.


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