Conventions de partenariat dans le réseau des commissions scolaires anglophones Présentation de Leo La France Le 18 novembre 2009
Conventions de partenariat dans le réseau des commissions scolaires anglophones Le premier défi consistait à identifier les étapes et le temps requis pour permettre aux commissions scolaires de déposer une ébauche de convention de partenariat d’ici le 31 mars Viendront ensuite : des discussions entre les commissions scolaires et le MELS sur des ajustements et des améliorations (avril-mai 2010); la présentation des conventions à la ministre (avant le 1 er juin 2010); la signature des conventions par les deux parties (avant le 1 er juillet 2010).
Calendrier Été 2009 : création d’un groupe de travail pour les conventions de partenariat (Partnership Support Group (PSG)) Mi-septembre 2009 : participation des commissions scolaires anglophones aux sessions d’information offertes par le MELS-DRSI (introduction à la gestion par résultats et aux buts, indicateurs et cibles du programme) 1 er octobre 2009 : formation organisée à la demande des directeurs généraux des organismes anglophones : dix personnes par organisme (au-delà de 80 participants); vue d'ensemble du projet de loi 88; exercice de rédaction d’indicateurs; discussions sur le soutien et l’accompagnement souhaités par le réseau scolaire anglophone.
Calendrier Octobre 2009 : contact initial des personnes-ressources avec chacune de leurs commissions scolaires attitrées; collecte des plans stratégiques et des rapports annuels existants. 2 décembre 2009 : formation sur les indicateurs pour les représentants nommés par les commissions scolaires anglophones; exploration des enjeux et des pistes de collaboration potentielles.
Le réseau scolaire anglophone comporte de grands territoires avec une population fortement dispersée. Neuf commissions scolaires sont réparties à travers tout le Québec. Ces organismes connaissent une grande variété de contextes : juridiction territoriale variant entre une partie d’une région et jusqu’à 5 ou 6 régions différentes; des effectifs allant de à étudiants; des milieux ruraux et urbains. Une courte description des défis pour notre milieu
Les commissions scolaires anglophones éprouvent le besoin de maintenir le contact et la communication entre elles ainsi qu’avec les organismes francophones de leurs régions. Des efforts sont requis pour créer des liens de partenariat avec certains organismes dans les régions qui sont moins familiers avec la communauté anglophone. Les directeurs généraux anglophones souhaitent utiliser des outils et des gabarits communs pour la gestion des conventions. Une courte description des défis pour notre milieu
La stratégie du SSCAAA envers les commissions scolaires anglophones Chaque commission scolaire a délégué une équipe de personnes pour travailler avec le MELS. Une équipe de ressources du SSCAAA est assignée au soutien du réseau : Trois anciens cadres supérieurs de commission scolaire (DG et DGA) pour représenter le MELS au cours des négociations de première ligne; Collaboration d’une chercheuse pour l’utilisation de données en pratique; Coordination de l’équipe par un professionnel du SSCAAA possédant une expérience de base en droit et en élaboration de politiques; Soutien d'autres professionnels du SSCAAA en lien avec la gestion statistique et divers programmes de soutien; Participation régulière du sous-ministre adjoint du secteur et de son adjoint.
Préoccupations de l’équipe de ressources du SSCAAA Identifier la portée de son soutien aux organismes scolaires : aider ceux-ci à définir le soutien dont ils auront besoin de la part du MELS; veiller à ce que ces organismes reçoivent la formation nécessaire pour faire bon usage des données statistiques et des indicateurs. Identifier les ressources spécialisées déjà en place dans le réseau scolaire (GRICS, LEARN, etc.). Identifier la documentation, les outils et les gabarits déjà disponibles ou à venir.
Autres enjeux identifiés Comment s’assurer que la participation des secteurs de l’éducation aux adultes et de la formation professionnelle sera équivalente à celle du secteur des jeunes? Qui, au sein des commissions scolaires, effectuera le gros du travail? Comment faire du processus un effort collectif? Comment les commissions scolaires assureront-elles la transmission de l’information et de l’expertise aux directions d’école?