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SOINS PALLIATIFS POUR QUEL SOURIRE… OU

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Présentation au sujet: "SOINS PALLIATIFS POUR QUEL SOURIRE… OU"— Transcription de la présentation:

1 SOINS PALLIATIFS POUR QUEL SOURIRE… OU
Réaliser un soin de bouche Utiliser les échelles d’évaluation de la douleur RESPONSABILITES INFIRMIERES F. Cerexhe - Bruxelles 22/01/2011

2 L’exercice de nos professions nous place souvent dans des situations parfois difficiles, pénibles, déconcertantes mais où « la magie de la fraternité humaine » est encore très présente. () Je ne me lasse pas d’être étonnée par des remarques de patients. C’est quand j’écoute vraiment que je ‘m’amuse’ le plus dans mon métier, que je suis le plus fière de ce que j’y fait, que j’ai envie de le faire partager à d’autres, que j’en cerne le mieux l’incroyable richesse, que j’en supporte aussi tous les aléas… L. Hody Alors prêts avec moi !

3 PLAN ( en 45’ ) Le soin de bouche
Les échelles d’évaluation de la douleur Les responsabilités infirmières En guise de conclusions

4 LE SOIN DE BOUCHE EN ‘ SOINS PALLIATIFS ’

5 La bouche sert à Manger Goûter ! BAROMETRE PATIENT & PROCHES
Prendre ses médicaments Communiquer verbalement + & - Communiquer non verbalement + & - Permettre un contact intime; le baiser Signe D+ & S+ Passage de sources de vie (aliments, relation, plaisirs) même ‘en fin de vie’ >> Mais si problème !!!

6 Une bouche, c’est Salive Plaque bactérienne
LA protection de la muqueuse 1L/24H & pH 6 à 7 Débute digestion, protège infection, lubrifie aliments Si insuffisante => sécheresse, infection, plaie, D+, malnutrition & moins de contacts Plaque bactérienne Enduit + sucres, salive, champignons, virus, bactéries Sur dents et prothèses Responsable infection, caries, tartre (minéraux)

7 COMPLEXITE +++ QUALITE ! Aigus -chroniques Multidimensions
Mixité types problèmes & D+ … Et 1 patient, 1 famille, des soignants Des objectifs‘pointus’ ! ! QUALITE !

8 Problème buccal est important avec
ETIOLOGIE EN FIN DE VIE Problème buccal est important avec 1 fréquence de 80 % & causes plurifactorielles² Déshydratation Mauvaise hygiène bouche Prothèses inadaptées Pathos ORL, digestives, diabète, Médicaments (M+, antidépresseur, diurétiques, cytostatiques, …) Rayons Respiration bouche ouverte, Fatigue, dépendance pour soins, État général -, cachexie, coma Aspiration, O2 ….

9 Hygiène buccale générale !!! = B1 !!!
Brosser dents > repas, si sensibles = dentifrice ad hoc (sensodyne®) Rincer bouche 1X/jour antiseptique (Hextril®, Corsodyl®, Hibident®, Isobétadine buccale®, ) Prothèses > repas, nettoyage, OT nuit, désinfecter + Isob. buccale® pas décoloration! ), EXAMEN BOUCHE EN COLLABORATION

10 Bouche sèche (xérostomie)
Hygiène buccale générale +++ Lèvres: vaseline, beurre de cacao, pommade vitaminée Humidificateur Soins dents et dentiers +++ Alimentation adaptée (>< -perception saveur, sensation brûlure, dysphagie…1/3 patients) Lutte ++ contre D+ faire la prévention (gestes)

11 Bouche sèche (suite) Boissons fraîches, pétillantes, glaçons,
Brumisateurs (Evian®, domestiques, ) Fruits morceaux à sucer, en glaçons (ananas, melon, orange) Bonbons acidulés si ! Bâtonnets (citron) (Pagavit®) ou 1 avec 1 long manche & mousse Salive artificielle (Oralbalance®, méthylcellulose 10gr/L eau + 15 gtt essence citron, menthe) Si troubles déglutition : eau gélifiée (gélatine poudre ou feuilles + sirops)

12 Bouche et hypersalivation (sialorrhée)
Anticholinergiue Si échec= voie systémique Bouche saigne Soin de bouche Exacyl ® (saignement diffus) Hémostatique Spongostan ® Ulcogant sachet (en oral mais coûteux)

13 Langue + débris : 1 . acidité ok : bicar Na 1,4% 1cac/verre d’eau
2 . noire, croûtes: eau oxygénée (3% à 10 volumes) ou ½ comprimé vitamine C effervescent humidifié 3 . calmant, haleine ok: kamillosan® 15 gtts/ verre eau

14 Bouche douloureuse Hyg. bucc. ADAPTEE, soins prothèses ++, lèvres, salive artificielle pH est diminué : solution bicarbonate + essence citron Très D+: > fréquence soins (/2h), bicar + anesthés.,) Aphtes : prépa néomyc., soluméd., xylo, nystatine + eau distillée, ou Pyralvex berna ®, (Anesthésiant local (Xylocaïne ® gel 2 ou 5% 5 à 10’ avant repas, pas avaler ! )

15 Soins de bouche mycose selon la formule du CESCO - Genève
NaCl 0,9% ml l Nystatine suspension buvable 4ml ml Hydrosol polyvitaminé 2ml ml Roche Bicarbonate de sodium 300mg g >> Frigo 15 jours, agiter avant emploi , >> soins après repas, 4 à 6x / jour

16 A propos de l’alimentation
Challenge alimentaire & Adaptation Ce qu’il aime ++ Vérifier perception goût (! viande, sucrés, salés) Fractionner = réduit contacts => réduire assiette Mouiller : sauces allégées… Mixer + aspects ok Lactés ( diarrhées ) et soja !!! Épices sucres sel mais… Communiquer, travail d’équipe, patient, proches…

17 A propos du soin de bouche
Ne pas l’oublier !!! Soin difficile Difficile inspecter cavité buccale si D+ ex. S’interroger si refus manger brutal ou non Armé volonté de douceur Installation ‘tête’ !!! Douleur, fausse déglutition Moyens adéquats: abaisse langue, compresses, essuie thorax, Haut > bas, laisser respirer Protection correcte et suffisante!

18 A propos du soin de bouche
Autant de compresses que nécessaire !!! Attention provoquer réflexe de vomissement Les proches peuvent mais PAS TOUJOURS ETRE SOIGNANTS !!! Faire rapport & Évaluer & recommencer

19 THEORIE DES DISTANCES

20 EVALUATION DE LA DOULEUR ‘CHRONIQUE’

21 DEFINITION Une expérience sensorielle et
émotionnelle désagréable associée ou non à des lésions réelles ou potentielles, ou décrites en des termes évoquant de telles lésions (IASP-1994) Contrôle antalgique ENCORE insuffisant dans 40% de cas

22 Conséquences de la douleur chronique et fin de vie
Comportement Souffrance Douleur Stimulus

23 COMPLEXITE +++ QUALITE ! Aiguë -chronique Multidimensions
Mixité types D+ … Et 1 patient, 1 famille, des soignants Des objectifs réalistes ! !>> D + physique en 1er QUALITE !

24 POURQUOI EVALUER ? Resp. infirmière morale & légale AR N° 78 > seuil de la D+ 1 outil pour caractériser ‘le+ précisément’ possible d+patient Langage plur. UNIVOQUE > cohérence choix antalgiques Offre crédit au W interdisciplinaire (renforcement + !) Potentialise la gestion de la S+ totale 1 meilleure qualité de soins aux patient, proches et soignants Entraîne 1 évaluation des actions

25 DOULEUR : NOCICEPTIVE OU NEUROPATHIQUE
>> Dimensions multifactorielles >> ‘Outils’ d’évaluation différents Quantitatif = intensité Localisation = endroit, irradiation, étendue Moment = rythme, chronicité, jour- nuit, continu ou non, associé avec ‘quoi’ (seuil D+) Qualitatif = nociceptif, neuropathique, psychologique Comportemental = > AVQ Social = les proches & soignants (qui est et fait quoi !) Thérapeutique = médicaments // bénéfices et coûts

26 SI COMPLEXITE & MULTIDIMENSIONS OUTILS VARIES & PERSONNALISES
SCHEMA CORPOREL AUTOEVALUATION Échelles unidimensionnelles (intensité) 1° EVA = échelle visuelle analogique= 2° Échelles numérique, verbale II. Échelles multidimensionnelles (intensité, caractéristiques, nature) C. HETEROEVALUATION Doloplus En plus d’une anamnèse la + complète possible !

27 DES PREREQUIS DIRE ce qu’on fait ou va faire…
= une priorité de soins // AR n° 78 – 1967 Empathie auprès du patient Attitude non ambiguë On a besoin de lui ( adaptation outil !) Créer contrat de confiance tout en reconnaissant qu’il est ‘fatigué’, épuisé >>> aussi, de faire confiance Travail en continuité, on fait rapport et on évaluera etc

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29 Échelle verbale simple en 5 points ( fatigué, mise en confiance…)
□ 0 pas de douleur □ 1 faible □ 2 modérée □ 3 intense □ 4 extrêmement intense

30 Échelle numérique □ Pouvez-vous donner une seule note pour votre douleur au moment présent > la note 0 correspond à pas de douleur > la note 10 correspond à la douleur maximale imaginable au moment présent

31 Échelle Visuelle analogique EVA (adultes)
5ième paramêtre

32 Échelle Visuelle analogique EVA (enfants)

33 EVA Compréhension moins immédiate (PA) Capacité d’abstraction Grande sensibilité de réponses pour malades Se situe 1 moment X Ne mémorise pas l’endroit exact Validée en horizontal = difficile personnes âgées Prudence termes à connotations émotionnelles (insupportable, atroce) = altèrent spécificité outil Chiffres = moins abstrait mais moins sensible car seulement 11 positions possibles (0 à 10) Consignes standardisées

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37 EVA et les autres échelles
 prendre le ‘chiffre, le mot’ du patient et pas ceux de l’équipe, des proches, = ne PAS LE MODIFIER  ne pas sous-estimer ‘chiffre, le mot’ du patient  être systématique à intervalles réguliers et en fonction des objectifs réalistes posés avec le patient >>> sur feuille des paramètres  après modification d’1 antalgique  à chaque épisode douloureux, de modification comportementale …  admettre que ‘son score’ ne corresponde pas à son comportement parfois !

38 Commentaires Deux questions fréquentes à propos de l’utilisation des échelles Faisabilité >>> Pas difficile consacrer ‘un peu/ du’ temps & d’attention Efficacité >>> Preuves difficiles à apporter en termes amélioration & contrôle symptômes (multifactoriel…..) Échelles: pas que des outils mais oui contrat de confiance & approche S+ totale….

39 RESPONSABILITES INFIRMIERES
Choix de l’outil ‘adéquat’ pour chaque patient ! Souci du détail, habilités professionnelles Temps, ténacité …savoir ‘dire si on veut être actif ou passif’! Réessayer 2,3 x avant d’abandonner soin, outil Vouloir faire ‘du bien’ = dire « je vous crois, je reconnais votre D+, S+, j’ai du temps pour vous, je ne vous abandonne pas même si échec…confiance l’1 dans l’autre »… Penser diagnostics infirmiers variant seuil D+= constipation, anxiété, fatigue, détresse spirituelle, < mobilité etc… Pour un éternel recommencement essentiel Prévention du geste et du soin Ne pas attendre état sévère, douleur extrême…

40 SOINS PROFESSIONNELS DE PREVENTION = DE VIE
EN CONCLUSION SOINS PROFESSIONNELS DE PREVENTION = DE VIE Priorités de soins pluri(multi) disciplinaires Patient sait, s’observe et est connu ( savoir familial, les trucs…) Se connaître= nos difficultés Susciter, demander aide des collègues, GP  il est demandé beaucoup aux soignants mais… temps ! >>> Pour Adhérer ! Faut S’opposer!

41 Quelques références bibliographiques !
Bolly C; Vanhalewijn M; ‘Aux sources de l’instant- manuel de soins palliatifs à domicile’, SSMG, Weyrich Edition, Neufchâteau, p Institut belge de la douleur; UPSA, ‘L’infirmière et la douleur’, SD- 144p Sebag-Lanoé R; et col., ‘La douleur des femmes et des hommes âgés, Ed. Masson, p Ssmg, ‘La douleur chronique, Recommandations de bonne pratique’, supplément n°219, p Wouters B; ‘Soins de bouche’, cours formation en soins palliatifs et qualité de vie- UCL, p


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