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Vaccinations « La réalité hors des passions » Dr François Bernaerts

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Présentation au sujet: "Vaccinations « La réalité hors des passions » Dr François Bernaerts"— Transcription de la présentation:

1 Vaccinations « La réalité hors des passions » Dr François Bernaerts
Médecin généraliste homéopathe Liège (Belgique)

2 La vaccination Les préoccupations que suscite le programme de vaccination infantile sont fréquemment abordées en consultation. Il apparaît donc pertinent de mettre à disposition une synthèse sur le sujet en se basant sur la réalité, les faits et les chiffres disponibles dans la littérature médicale. C’est une question complexe qui nécessite une large réponse et beaucoup de précautions. Et ce travail est loin d’être complet malgré sa longueur. Il importe d’aborder le sujet avec un regard le plus neutre possible en tâchant de se délester de ses a priori. La vérité est difficile à saisir particulièrement dans le domaine de la santé où tant de facteurs interviennent. Plutôt que de s’accrocher à ses croyances et ses habitudes, il est plus sage de se poser la question quant aux soins prodigués : « Ne suis-je pas dans l’erreur? Est-ce que je ne nuis pas malgré tout ? » (Pour passer ce qui introduit le sujet, il suffit d’aller à la diapo 42)

3 Préambule Il est utile d’inscrire cette présentation dans le contexte plus général de la santé. Ici, de façon très lacunaire. Qu’est ce que la santé ? Connaissons-nous bien toutes les influences/les forces/les lois qui la régissent ? Malgré les progrès, le champ de l’ignorance est encore tellement étendu. Intervenir sur une partie d’un tout peut créer des ondes aux conséquences inattendues. Nous sommes en droit de le penser en parallèle avec la fragilité des écosystèmes dans la nature.

4 Préambule Une seconde mise au point sera d’inscrire la vaccination dans le contexte actuel de la médecine (diapo 17). Le poids économique et financier de la médecine, notamment des firmes pharmaceutiques, pourrit en partie le monde scientifique et rend plus nébuleux la clarté des études.

5 Introduction Qu’est-ce que la santé ?
Dans son sens large, c’est un bien-être (une absence de souffrance) au niveau mental, émotionnel et physique. C’est la capacité à vivre et à apprécier le présent (sans les fantômes du passé, sans être entravé dans son présent et sans appréhender ou rêver d’un futur avec exagération). Le fruit de la santé c’est la liberté. Une liberté corporelle, émotionnelle et mentale. La conséquence de la maladie c’est la limitation. Limitation mentale, émotionnelle, corporelle.

6 La santé La santé est un équilibre plus ou moins stable, plus ou moins fragile. Influencé par de nombreux éléments internes (psychiques, génétiques, etc.) et externes (Trauma, iatrogène, pollution, etc.). Beaucoup d’inconnues ont été éclaircies, beaucoup de croyances erronées sont tombées. Une compréhension minutieuse et prodigieuse de l’horlogerie humaine a été réalisée particulièrement ces dernières décennies. Le médecin dispose de moyens variés et affûtés pour agir sur le corps. Enormément d’efforts sont consacrés à minimiser les effets néfastes de cette intervention. (Primum non nocere )

7 Santé Si un grand chemin a été parcouru pour comprendre cet équilibre fragile de la santé et l’influencer favorablement, le parcours est loin d’être terminé. Il y a tant de choses encore à comprendre (plus particulièrement dans des domaines plus subtiles, moins visibles et plus complexes). Les réponses ouvrent de nouvelles questions. De larges domaines d’influence sont à peine conscientisés. Des évidences étranges sont relevées et ne suscitent guère de recherches ou celles-ci sont encore embryonnaires. Et pourtant leurs réponses permettraient d’avancer plus profondément sur ce chemin de la compréhension de l’homéostasie chère à Claude Bernard.

8 Questions ouvertes Si les maladies psychosomatiques sont maintenant reconnues ; où s’arrêtent les somatisations du psychisme dans le corps ? S’expriment-elles jusqu’aux infections ? Ne sont-elles là que pour nuire ? Qu’est ce qui régit le partage de l’ADN entre virus entre eux et bactéries entre elles, voire entre virus et bactéries ? Des échanges s’accentuent en tout cas sous stress. Qu’est-ce qu’ils peuvent bien se dire ?! Quels sont les modes de communication entre le corps et ces micro-organismes? Déjà la question est audacieuse.

9 Comment se fait-il que nous soyons « porteurs sains » de microbes dangereux et qu’un moment donné ces microbes se mettent à proliférer et envahir le corps ? On parle vaguement d’affaiblissement de l’immunité. Connaît-on si bien tous ses facteurs qui l’influence ?

10 Questions importantes
Qu’est ce qui fait, qu’à partir d’une simple angine à streptocoques, certains guériront en quelques jours mais avec d’autres, l’un verra son cœur atteint, un autre son rein détérioré ou un troisième son genou enflammé ? Nous restons à simplement le constater. Or résoudre cette énigme est capital. Et pourquoi ces complications se voient-elles moins depuis quelques années indépendamment des antibiotiques? Réponse : « Les souches ont changé ». Comment les souches changent-elles ? Comment se fait-il qu’une ‘niche écologique’ ne reste pas vide, qu’un germe contré par un vaccin soit remplacé par un autre présent depuis le début mais silencieux ? Pourquoi devient-il pathogène en remplacement de son défunt cousin ? Quels sont les mécanismes réels et profonds de la naissance des maladies corporelles et infectieuses ? Pourquoi l’un, pourquoi l’autre, pourquoi maintenant ? Un jeu de loterie ? Les médecines holistiques comme l’homéopathie avec leur vue d’ensemble ont bien sûr leur petite idée sur ces sujets. Mais il serait bon, que cela soit compris scientifiquement.

11 Peut-on imaginer un autre étage, dans la ‘maison’ de la connaissance de la santé, que celui des molécules chimiques, des récepteurs, des hormones, des neurotransmetteurs, de l’immunité, des germes ? Un étage peu exploré concernant le domaine énergétique. Comment expliquer cette force immatérielle qui nous anime et qu’on appelle la vie ? A-t-on idée de l’importance d’une force vitale qui régit le corps au dessus du mental et du corps ? Les médecines holistiques basent leur approche sur l’influence de cette force. En l’harmonisant, les couches inférieures mentales, émotionnelles et physiques s’en retrouvent améliorées. Et donc aussi la gravité et la fréquence des infections.

12 Avertir Ceci pour avertir que l’équilibre de la santé est complexe et encore bien obscure. Tant que l’on n’aura pas compris toutes les lois qui régissent cet état de santé, intervenir dessus dans une semi-ignorance, peut s’avérer pire que bien. D’ailleurs les changements de directives thérapeutiques en témoignent. Ce que l’on imagine en un premier temps être bénéfique ne l’est plus à l’usage avec le recul. Pour donner un exemple très simple. La fièvre en cas de grippe est combattue traditionnellement par les antipyrétiques alors qu’elle est une réaction de l’organisme salutaire pour aider le malade en ralentissant la prolifération des germes et en stimulant l’immunité. Et pourtant, certains hôpitaux aux Etats-Unis recourent avec succès à l’hyperthermie forcée en désespoir quand les germes sont résistants aux antibiotiques et menacent la vie de patients surinfectés. Nous devons nous poser cette question pour la vaccination : Certaines lois mal connues ne sont-elles pas ignorées voire transgressées là aussi ? Le germe n’est pas le seul coupable.

13 Les victoires de la vaccination.
Discours entendu : Victoire éclatante de la médecine Eradication de maladies dangereuses et mortelles La balance bénéfices/risques largement positive. Peu d’effets secondaires, transitoires. Garantie d’avoir des enfants en bonne santé. Baisses des hospitalisations pour les maladies concernées. Pourquoi dès lors la remettre en questions ?

14 Les pédiatres La plupart des spécialistes et pédiatres ne comprennent pas. Pour eux, c’est une évidence, la vaccination est une bénédiction et un facteur majeur dans l’amélioration de la santé des enfants. Ils voient moins de complications venir en salles d’hospitalisation pour les maladies visées par les programmes de vaccination. Moins de pneumonies aux pneumocoques, moins de déshydratations dues aux diarrhées par Rotavirus, moins de méningites C, etc.

15 Nuancer Il ne s’agit pas de s’y opposer mais de regarder les faits avec objectivité et dans toute l’étendue du problème. Habituellement, le sujet n’est pas pris dans sa globalité. Il s’agit de nuancer les informations mises en avant par toutes les tendances d’opinions, de discerner le vrai du faux. De reconnaître que c’est aussi un marché très lucratif dans les mains de puissantes sociétés cotées en bourse. Eviter un climat émotionnel, ‘catastrophiste’ voire passionnel. Deux mondes qui s’opposent. L’objectivité et la neutralité sont le devoir du scientifique. Se remettre en questions est la base du développement.

16 Pondérer La première étape sera de mieux connaître le milieu dans lequel évolue le monde scientifique médical. La deuxième étape sera d’ajuster notre regard sur la réalité de ces maladies visées par la vaccination. Leur fréquence notamment avant les campagnes de vaccination. La troisième étape sera de pondérer plus clairement les conséquences néfastes de la vaccination sur la santé des enfants juste après la vaccination et plus loin dans le temps. Et enfin , d’évaluer la morbidité et la mortalité des maladies concernées.

17 Première étape L’état des lieux passé et actuel de la médecine allopathique : * Les remises en questions des traitements. * L’objectivité de l’observation. * La partialité ou non des résultats d’études. * La pression économique médicale

18 1. Evolution des traitements
Se remettre en question, affiner, modifier voire interdire les traitements pourtant couramment admis sont monnaie courante en médecine. On dirait que les programmes de vaccination échappe à la règle. Il en va de la vie de nos enfants, il faut donc disposer d’informations fiables et globales sur lesquelles s’appuyer. Depuis des siècles, les traitements et dogmes enseignés et bien établis sont remis en question par la suite, voire moqués quelques décennies/siècles plus tard. (Les saignées dans l’antiquité, l’usage du mercure et de l’arsenic au 18-19e s. , plus récemment des sels d’or dans la PCE; etc.)

19 Autres exemples : Arrêt brusque des hormones de substitution à la ménopause qui favorisent légèrement le cancer du sein. Puis leur réintroduction plus parcimonieuse. Retrait de l’anti-reflux Prépulsid incontournable pendant 2 décennies (qui peut générer des arythmies chez les bébés), éviction du Motilium récemment). Mise en garde des traitements contre l’HTA chez les personnes âgées (favorisent les chutes et aggravent les démences) Mais d’autres études affirment le contraire ! Mise en garde des hypolipémiants chez les personnes âgées (mortalité accrue, démence) Mais d’autres études disent le contraire ! L’Aspirine en prévention primaire des AVC est déconseillée maintenant pour les risques d’hémorragie accrus. Les antibiotiques sont priés de ne plus être prescrits pour les infections banales. Etc. Il peut nous être reproché de ne pas prescrire un médicament et être à nouveau inquiété de le prescrire encore la décennie suivante vu les changements dans les recommandations !

20 2. Difficulté d’être objectif de part et d’autre
Dans ce domaine particulièrement, il est aisé d’accuser une causalité vaccinale de la détérioration de l’état de santé d’un enfant comme il est tout aussi aisé de la nier. Des études comparatives sur une large population peuvent donner un éclairage. (cfr plus loin) Quoi qu’il en soit, la plupart des médecins prescripteurs préfèrent adopter une attitude défensive. La tendance naturelle sera de ne pas reconnaître une corrélation entre la vaccination et les problèmes survenus par la suite. D’ailleurs peu de rapports circonstanciés et fiables arrivent aux organes de vigilance. L’idée d’un échec de la vaccination est difficile à envisager ; une telle éventualité crée un besoin de renforcer les convictions. En plus les réactions délétères suspectées ne se produisent pas uniquement juste après, mais plus tard (allergies, plus d’infections,…). De façon claire ou sournoise (trouble du comportement, décrochage des courbes de croissance, fatigue,…) et donc facilement ignorées.

21 Du côté des spécialistes
Les pédiatres hospitaliers, tout en admettant une très faible morbidité causée par les vaccins, sont témoins clairement d’une baisse des hospitalisations concernant les maladies et leurs complications ciblées par les nouvelles vagues de vaccination comme pour les pneumonies à Pneumocoques (cfr diapo 155), les méningites à Méningocoque C (cfr diapo 160) et le Rotavirus ( diarrhée et déshydratation diapo 162). Il leur est aberrant de remettre en cause la vaccination. Certains jugent l’abstention vaccinale comme de la pure inconscience meurtrière. Ils prédisent par exemple la multiplication des cas de Coqueluche chez les petits nourrissons de moins de 6 mois (plus dangereuse) si la couverture vaccinale n’est plus assurée pour cette maladie (cfr diapo 126). C’est un peu ne plus mettre de ceinture de sécurité car parfois la défenestration est salutaire.

22 Systèmes de vigilance mis en place
Pour se remettre en question et mieux évaluer les effets secondaires des médicaments et donc des vaccins, l’Agence Européenne des médicaments a créé un réseau européen de centres de pharmacovigilance (ENCePP) normalement plus indépendant que les études d’observation post-commercialisation. Aux Etats-Unis, ce système de pharmacovigilance s’appelle VAERS, pour Vaccine Adverse Event Reporting System établi par la Food and Drug Administration (FDA). C’est un système de surveillance passif qui, de l’aveu même de la FDA : « est incomplet, inconsistant et dont les effets rapportés peuvent ne l’être, avec le vaccin, que par la notion du temps. » (VAERS reports may be incomplete or inconsistent, and a reported adverse event may be only temporally related to a vaccine.)

23 3. Partialité de l’information mise à notre disposition ?
Le corps médical a de plus en plus de difficulté à trouver des études médicales impartiales. Au fur et à mesure des scandales qui secouent le monde médical, le problème est enfin conscientisé et des garde-fous sont mis en place progressivement. Les études sont priées de renseigner la source du financement. Les liens professionnels qui lient les responsables d’études avec les firmes sont de plus en plus notifiés. Les biais de publication (cfr diapo suivante) sont dénichés. Et prochainement, les études ne répondant pas aux attentes pour tel ou tel médicament par exemple devront, malgré tout être publiées plutôt que d’être discrètement enterrées. Car à l’heure actuelle seuls 6% à 43% des études sont réellement publiées. Il est un peu facile de mettre en exergue 1 ou 2 études favorables si 10 à côté concluaient le contraire. (C’est vrai pour tout le monde !)

24 Les biais de publication
Il faut savoir en effet que la majorité des études sur les médicaments/vaccins sont financées par l’industrie pharmaceutique. Dans la grande majorité les données récoltées sont traitées par ces sociétés en interne ! Ce qui en soi est logique car l’analyse des résultats est fastidieuse et nécessite des connaissances en statistiques. Mais l’information est principalement en leurs mains avec un contrôle d’exactitude rendu difficile. Ce phénomène est connu sous le nom de biais de mention des résultats Extraits : …40 à 62% de publications modifient, introduisent ou oublient au moins un critère primaire (du protocole initial). Ce choix sélectif de critères mentionnés dans la publication est particulièrement trompeur dans l’évaluation des effets indésirables et de la sécurité des médicaments. Une recherche rigoureuse de ce biais ne semble pas être facile, et demande de consulter de préférence les auteurs de la recherche pour confirmation… L’article mentionne aussi que les publications rigoureuses et impartiales de l’institut Cochrane tirent leurs conclusions d’études dont la moitié présentent des manipulations des critères d’origine !

25 Autres sources d’erreur
La nécessité de publier pour obtenir une promotion, une bourse ou une reconnaissance incite certains à tricher ou à ne pas prendre le temps de vérifier les résultats. On assiste à des collusions ouvertes avec les firmes : En Nouvelle-Zélande, par exemple, les médecins sont payés pour chaque vaccin administré !

26 Conflits d’intérêt La revue Minerva de juillet 2011 vol 10 n°6 : « Les études sponsorisées recommandent 5,3 fois plus souvent le produit évalué comme étant le produit de choix que les études non sponsorisées. Des méta-analyses donnent également des résultats plus favorables si elles sont sponsorisées par des firmes pharmaceutiques : pour 124 méta-analyses concernant les antihypertenseurs, celles qui ont un lien avec les firmes (40%) ne montrent pas de meilleurs résultats mais, par contre, ont une conclusion plus favorable au médicament de la firme ».

27 Guides de bonne pratique
Par exemple : 56% des co-auteurs des Guides de Bonne Pratique de l’American College of Cardiology ont déclaré des conflits d’intérêts ! Les auteurs expriment leur désarroi quant à cet état de fait puisque c’est, de ces guides de bonne pratique, que sont édictées les conduites à tenir pour tous. Minerva de juillet 2011 vol 10 n°6 p. 66 Ce sont des études tronquées que des experts partiaux tirent leurs conclusions.

28 Bénéfices Il ne faut pas ignorer en restant naïf que dès le départ, le développement de la vaccination a été intimement lié aux bénéfices économiques énormes de leur commercialisation. Et les drames engendrés par des vaccinations maladroites dans les premières décennies n’ont jamais pu refroidir la fièvre qui s’était emparée du corps médical dans sa quête d’éradication des germes nocifs.

29 Quelques exemples de fraudes médiatisées :
Le Vioxx, un anti-inflammatoire, a fait plus de (50000 pour d’autres sources) morts par accidents cardiovasculaires avant d’être retiré. Le bimensuel Archives of Internal Medicine a révélé que Merck n'avait pas publié les résultats d'études cliniques effectuées après la mise sur le marché du médicament. Ces études montraient dès 2001 que le Vioxx augmentait nettement le risque d'attaques cardiaques et cérébrales. (35% à 45% en plus)

30 L’affaire Scott S. Ruben
En mars 2009, le chef de service d’algologie au Baystate Medical Center à Springfield (Messachusets), Scott Ruben, reconnaissait avoir façonné des données dans 21 des 72 articles publiés. Il avait purement et simplement inventé des expériences et les données qui en découlaient. Il travaillait pour plusieurs géants pharmaceutiques, Pfizer et Merck notamment, et ses études ont contribué à l'autorisation de mise sur le marché de plusieurs médicaments de premier ordre (Celebrex, Lyrica et Dynastat de Pfizer, Effexor de Wyeth, ou Vioxx de Merck). Des dizaines de millions de patients sont concernés. Il a été condamné à 6 mois de prison et à rembourser les $ versés par les labos pour ses recherches. (Minerva juillet 2011 Vol 10 n°6 p. 66)

31 Le Médiator Ce médicament du laboratoire français Servier est resté en vente libre pendant plus d’une décennie alors même que de graves accusations et de lourds soupçons pesaient sur lui quant aux risques cardiaques engendrés. Seule la France permettait encore sa commercialisation. Le laboratoire a mis 8 ans pour sortir de nouvelles études. Or des valvulopathies avaient été répertoriées sous ce médicament. 500 morts ont été imputés à la prise de ce médicament. Un procès est en cours.

32 Pandémie H1N1 Il avait été prévu une pandémie dangereuse pour la planète au point que les gouvernements avaient acheté en catastrophe des millions de doses de vaccins pour couvrir les populations. Il n’en fut rien. Les grippes cette année-là ne furent ni pires ni plus nombreuses qu’une autre année. Les gens n’ayant que très peu suivi les conseils de vaccination, des millions de doses onéreuses ont ainsi été inutilement achetées. Une enquête à la Commission Européenne a révélé que le niveau de pandémie avait été exagérément relevé sans que les critères n’aient tous été remplis. La définition même de pandémie a été modifiée. Ce qui a déclenché ces achats massifs de vaccins. Plusieurs spécialistes responsables pour donner les consignes n’avaient pas mentionné leurs liens avec les firmes productrices des vaccins contre la grippe. La neutralité intègre n’avait donc pas été respectée.

33 Ces exemples ne doivent pas jeter le discrédit sur l’ensemble des recherches scientifiques, ni sur la probité du corps médical en général, mais nous devons être de plus en plus circonspects quant aux résultats publiés. Ne plus rien prendre pour argent comptant. Aux Etats-Unis où le lobbying est poussé à son paroxysme, l’ensemble des représentants Républicains et nombres de Démocrates reçoivent de l’argent des firmes pharmaceutiques pour favoriser des votes en leur faveur. Pareil pour la moitié des experts de FDA (organisme qui octroie les licences d’exploitation des médicaments) ce qui est encore plus grave et qui permet de comprendre les défaillances du système de vigilance. Ceci a bien été expliqué dans le livre du Dr Marcia Angell, ancienne rédactrice en chef du New England Journal of Medecine : « La vérité sur les firmes pharmaceutiques. Comment elles nous trompent, comment les contrecarrer ». C’est un médecin issu du sérail allopathique, toujours professeur à l’université. Elle mentionne sur 200 pages toutes les astuces et ficelles utilisées par les firmes pharmaceutiques pour vendre au maximum leurs produits.

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35 Poids économique En Belgique en 2011, les dépenses de santé représentaient 10,5%du PIB. Les dépenses pharmaceutiques s’établissaient à 465€ par habitant, dont 70% pour les médicaments délivrés sur ordonnance et 30% en vente libre. Les dépenses totales en médicaments représentaient 1,6% PIB. (4,5 milliards €) (La Libre 22 nov.2013)

36 4. Publicités déplacées Les publicités pour le vaccin du col de l’utérus ont marqué les esprits et influencé l’opinion en excitant la peur. La mère qui parle de sa fille : « Moi je protège ma fille ». Des dessins animés sont conçus pour les enfants prônant la vaccination pour abattre les « monstres » méningocoques. Les documents distribués aux enseignants ou aux médecins sont davantage une louange des vaccins qu’une information objective. Ex. de brochure d’éducation à la santé : « Les enfants redoutent généralement les vaccins ; il est bon de leur rappeler que ceux-ci sont indispensables pour rester en bonne santé. »

37 Communauté Française Même la Communauté Française c’est faite tordre l’oreille à publier une publicité vaccinale trompeuse sous la forme d’une information au public. Le jury d’Ethique Publicitaire l’a faite retirer. C’était en 2011.

38 Désinformation des MG Une étude en 2010 de la faculté de médecine de Lyon voulait connaître les connaissances réelles des médecins généralistes (518 MG) sur le cancer du col et le vaccin et secondairement l’enthousiasme pour le vaccin. Le risque des infections à HPV, de leur rapidité d’évolution éventuelle en cancer du col et la prévalence de ce dernier sont largement surévalués : 2/3 des MG pensent qu’il est la 2e cause de mortalité alors que ce n’est que la 15e cause et le 10e cancer en fréquence. (300 décès/an en Belgique). Pour la plupart la preuve de l’efficacité du vaccin est prouvée ! L’auteure, le Dr Sylvie Erpelginger, écrit que c’est clairement en rapport avec les campagnes de marketing intenses et la caution des institutions de santé. Parmi les MG, ceux qui recevaient leur information auprès des délégués médicaux avaient un score de connaissance le plus faible avec une surestimation de l’importance du vaccin et donc de leur enthousiasme pour celui-ci. (RMG octobre 2010 n°276, p. 347) Cette information est stupéfiante et grave. C’est une indication d’un inquiétant appauvrissement du sens critique d’une bonne partie du corps médical où le formatage d’opinion y est étonnamment aisé pour ces scientifiques universitaires.

39 Objectivité ? Le sens critique se perd et se rajoute à un discours dominant, uniformisé et lissé qui ne laisse plus de place à l’objection. Il faut savoir que ce sont les familles les plus aisées et les plus instruites voire du monde médical qui vaccinent le moins.

40 5. Vax info Vax info est une revue trimestrielle que les médecins recevaient gratuitement et qui maintenant est disponible sur le net. C’est la seule source d’information 100% concernant les vaccinations. Elle est issue d’une initiative de spécialistes de la question qui se réunissent ‘bénévolement’ pour informer le corps médical. En étant attentif, il était marqué en tout petit au dos, que GSK, une société importante dans la vente des vaccins, finançait la publication sans interférer avec les publications. Sur leur site nous pouvons lire que la majorité des membres concède des liens professionnels et financiers étroits avec GSK et d’autres firmes de vaccins. Sans jeter le discrédit sur ces confrères ni sur leurs compétences, voici un nouvel exemple d’information présentée comme impartiale et qui en fait ne peut pas l’être vu les accointances avec les firmes et leur parti pris favorable. Il y a plus de chance que les études favorables aux vaccins seront mises en avant plutôt que d’autres plus circonspectes. Plusieurs informations mentionnées ici sont toutefois tirées de cette source. Il n’y a donc pas de source centralisée d’information neutre sur les vaccins !

41 Conclusion Après cette présentation exhaustive, le lecteur aura ainsi une connaissance ajustée du monde scientifique, ce qui lui permettra de poser un regard plus distant et plus critique sur les grandes vérités uniformisées dont la médecine est coutumière. Ces préambules renseignent aussi sur un parti pris favorable de l’ensemble de la communauté scientifique quasiment inébranlable au vu des publications, du marketing omniprésent et des observations de la décroissance de maladies dangereuses visées par la vaccination. Les intérêts financiers rajoutent à l’engouement collectif. Dans ce concert unanime, difficile d’entendre une autre voix. Et pourquoi émettre une autre voix ?!

42 Deuxième étape : la réalité de ces maladies.
Un des grands arguments de la vaccination de masse c’est l’éradication des maladies visées et débarrasser ainsi l’humanité de germes mortels responsables de milliers de morts. Pris à la lettre, c’est imparable. Mais la réalité est bien sûr plus complexe. D’abord le nombre de cas des maladies infectieuses (diphtérie, tuberculose, polio, etc.) était en très nette décrue avant même l’instauration des vaccins tout comme les cas de mortalité liées par exemple aux maladies infantiles (rougeole, coqueluche, oreillons,…). Nous parlons, ici, de l’Europe. En outre, un germe éliminé par un vaccin est remplacé par un autre. Le vaccin qui visait 3 pneumocoques au départ a dû étendre son champ antigénique à 7 puis actuellement à 13 membres de la famille, qui compte 92 sérotypes. Le corps humain n’est pas habitué à ces nouveaux hôtes, ils sont moins bien supportés et occasionnent plus de complications. On a observé en France, par exemple, plus de méningites à pneumocoques depuis le début de la vaccination de masse pour cette maladie !

43 Contre-vérité Ce ne sont pas les vaccinations qui ont fait disparaître les épidémies. Il suffit d’étudier les courbes de fréquence des maladies infectieuses durant le XXe siècle. Les maladies infectieuses NON vaccinées suivent les mêmes courbes décroissantes (Scarlatine, tuberculose, fièvre typhoïde). La paupérisation et l’urbanisation concentrationnaire sans hygiène du 19e siècle a vu exploser les maladies épidémiques et à contrario les améliorations des conditions de vie après la seconde guerre mondiale les ont vu décroître vertigineusement. (Nombre d’informations reprises ci-après ont été tirées du livre du Dr Fr. Berthoud : « La (bonne) santé des enfants non vaccinés » ed. Jouvence)

44 Dénutrition, promiscuité, logements insalubres, manque d’hygiène, analphabétisme, taux de natalité et de mortalité élevé, etc... …donnèrent une éclosion, sous forme d’épidémies, de maladies inconnues sur notre continent (choléra, fièvre jaune), l’intensification des maladies déjà connues (variole, diphtérie, scarlatine, coqueluche, tuberculose) dont certaines prenaient la forme d’épidémies également, et l’émergence de maladies liées aux dures conditions de travail. (Dr Berthoud)

45 Sur les diapos suivantes, les graphiques montrent très clairement que la vaccination arrive en bout de course lorsque le nombre de cas ou le taux de mortalité étaient extrêmement atténués et semblait se résoudre par l’amélioration des conditions de vie. Pour la diphtérie la vaccination très précoce n’a eu aucun impact sur la fréquence de cette maladie à cause de la guerre principalement. (Issu de l’Institut National de Statistique en France. Informations que je n’ai pas pu vérifier)

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50 Diphtérie En France, pays pionnier, le vaccin est obligatoire depuis 1938 et en Allemagne, pendant l’époque nazie et dans les zones occupées, on l’utilisa massivement pendant la seconde guerre mondiale. En France on comptait quelque cas annuels dans les années qui précédèrent la guerre et pendant la guerre les cas furent multipliés par trois et les morts par deux malgré la vaccination. En Norvège, en 1919, on comptait cas et en 1939 environ 54 ! En 1908, il y eut 555 décès alors qu’en 1939 il n’y en eut que 2. Cependant, avec le décret rendant le vaccin obligatoire en 1941 (c’était une zone occupée par les allemands), en 1942 on enregistra cas et près de 700 décès malgré le vaccin contre 2 sans vaccin !

51 Diphtérie en Allemagne
En 1918 on comptait cas pendant la première guerre mondiale ; dans les années 20 on signale cas, alors qu’en 1945, après 5 ans de vaccination obligatoire, le chiffre a atteint malades. Les cas diminuèrent de façon vertigineuse sans vaccination après la seconde guerre mondiale : en 1950 on enregistre malades, en 1960 environ 2 500, en 1962 quelque 800 cas et en 1972 seulement 35. Ce qui fait que les campagnes de vaccination réalisées entre 1970 et 1980 n’ont pas eu d’impact sur la courbe de la maladie.

52 Coqueluche La coqueluche est une maladie contre laquelle on vaccine depuis longtemps. Les premières vaccinations furent réalisées aux Etats-Unis dans les années 40, de façon limitée. L’Angleterre approuva la commercialisation du vaccin en 1953 mais son usage n’a pas été massif tout de suite. Or, au milieu du 19ème siècle, en Angleterre et au Pays de Galles, le taux de mortalité chez les enfants de 0 à 15 ans, frisait les cas par million d’habitants, alors qu’en 1953 le nombre de décès était de 25 par million. Ce qui veut dire que la diminution de l’incidence de mortalité entre 1868 (date des premiers recensements) et 1953 (date d’introduction du vaccin) a été de 98,5%. (96% en France). Or de 1953 à nos jours, l’amélioration des conditions de vie c’est encore fortement améliorée.

53 Rougeole Pour ce qui est de la rougeole, en Angleterre et au Pays de Galles, le taux de mortalité, chez les enfants jusqu’à 15 ans, au milieu du 19ème siècle, était de 1100 décès par million d’habitants, en 1960 il n’y avait pratiquement plus de décès. Les premiers vaccins anti-rougeoleux furent pratiqués aux Etats-Unis dans les années 60. La vaccination a réellement contribué à réduire la mortalité du dernier millième % restant, voire du dix millième % restant.

54 Méningite C/B Selon un entretien avec une consoeur du centre médical scolaire, les méningites C ET B sont en nettes décrues depuis la vaccination de la seule C ! Or à l’époque la méningite C représentait 30% des méningites à méningocoque contre 70% pour la B. Il s’agit d’une variation cyclique que l’on peut observer d’un pays à l’autre. Par contre dans d’autres pays, la prévalence est restée la même. La B prenant 100% l’espace : B + C = B

55 Notion de terrain Même Pasteur qui a découvert la microbiologie disait que le microbe n’était rien sans un ‘terrain’ propice. Donc la gravité des maladies est tributaire du ‘terrain’ du patient. (Cfr Afrique) La découverte des microbes et les premiers succès de vaccinations pour la variole ont créé un engouement sans précédent tout en mettant sous le boisseau l’importance du terrain, du statut social, de l’hygiène de vie. L’objectivité a été perdue.

56 Deux types de germes Il faut distinguer les maladies dites d’enfance et les autres germes infectieux. Il est évident que la vaccination des maladies d’enfance comme la rougeole, les oreillons, la rubéole les ont fait quasiment disparaître dans nos contrées. Mais la mortalité de ces maladies était devenue extrêmement faible bien avant l’instauration de la vaccination. Et en médecine holistique ces maladies sont considérées comme « utiles » à l’économie globale de la personne. L’observation populaire avant relatait cette réalité. Cette notion est bien entendu impossible à partager avec l’allopathie. En outre, le déplacement par la vaccination de ces maladies à des âges inappropriés les rendent plus dangereuses, ce qui nourrit l’intérêt de poursuivre la vaccination voire de l’intensifier à des tranches d’âge plus élargies. Pour les germes infectieux généraux, leur taux de fréquence était plutôt faible à très faible. Et leur éradication favorise l’émergence d’autres maladies qui sont parfois plus dangereuses. Tout comme les pneumocoques, de nouveaux sérotypes d’Haemophilus infectent les enfants vaccinés et donnent aussi davantage de complication méningée. Le bilan n’est donc pas si avantageux. L’idée géniale de nettoyer le terrain pourrait s’apparenter à un vœu d’apprenti sorcier. Une course en avant est lancée.

57 Troisième étape : les effets secondaires
Il y a lieu d’évaluer des effets secondaires à court terme qui surviennent peu après la vaccination et les effets secondaires à long terme qui surviennent plusieurs mois voire années plus tard.

58 Effets secondaires à court terme
Il faut distinguer les effets secondaires mineurs et majeurs. Les effets secondaires mineurs (fièvre, rougeur à l’endroit d’injection, pleurs, etc.) sont moyennement fréquents. Les effets secondaires majeurs (épilepsie, paralysie, purpura, mort subite, etc.) sont considérés comme rares, voire très rares. Un document édité par GSK peut servir de base pour répondre à cette question.

59 Rapport confidentiel de GSK sur l’Infanrix Hexa
GSK, laboratoire important qui commercialise le vaccin Infanrix Hexa (6 en 1), doit continuer à vérifier la pharmacovigilance de son vaccin après sa commercialisation. A l’adresse des autorités, il a sorti un volumineux document confidentiel de 1271 pages, recueillant et analysant de façon très précise les 2408 rapports d’effets secondaires qui lui ont été transmis spontanément durant une période précise de 2 ans de différents pays européens. Durant cette période le vaccin a été administré à une population estimée entre et d’enfants pour un nombre de doses oscillant entre à Le vaccin Prevenar 13 et le Rotarix pouvaient être administrés en même temps comme le prévoit les calendriers de chaque pays.

60

61 ES sérieux (plus de 1) App. 4A p.1130-1158
3 Etats de conscience altérée 3 Parésies partielles 2 Autismes 2 Encéphalopathies 2 paralysies faciales 4 septicémies 4 pneumonies 3 réactions anaphylactiques + 1 choc anaphylactique 4 invaginations 3 hémorragies rectales 5 rectorragies 39 cyanoses 5 neutropénies, 2 leucopénies 9 leucocytoses 20 Thrombocytopénies, anémies, etc 8 Oedèmes de Quincke 8 syndromes de mort soudaine 5 décès 2 Arrêts respiratoires 21 apnées 6 évènements de mort apparente 25 agitations 58 convulsions fébriles 9 Epilepsies 18 Epilepsies dites Grand Mal 28 somnolences 32 pertes de conscience 23 Gaze Palsy (Trouble motricité oculaire) 3 arrêts cardiaques

62 Temporalité ne signifie pas causalité.
De ces 2408 rapports, 509 concernaient des conséquences reprises comme sérieuses. Toutes les pathologies possibles étaient recensées mais en très petits nombres chacune (cfr diapo précédente). Le rapport fait état de 36 décès durant cette période. Mais même si la mort survient dans la nuit qui suit une vaccination, rien ne prouve que le vaccin en soit la cause. Comme l’atteste les commentaires de la firme dans les exemple ci-après :

63 DESCRIBE EVENT(S) 2e injection d’un bébé de 3 mois, mort dans la nuit après Infanrix et Prevenar 13 : p. 622 …morning of 17 May 2011 the subject had been found "cold and lifeless" by her parents (Le 17, le sujet a été trouvé « froid et sans vie ». On 05:02 an emergency physician had been called. Cardiopulmonary resuscitation by the parents and later by the emergency personal failed and death was testified. Policemen were involved at 06:20. Interrogation of the subject’s parents revealed that the subject and her four siblings had always been healthy. On 16 May 2011 the subject had received vaccinations with Infanrix hexa and Prevenar 13. (Le 16, il avait reçu l’Infanrix hexa et le Prevenar 13) At this time the subject had suffered from a mild intestinal infection. On 17 May 2011 around 0:00 the subject’s mother had seen her daughter in a good condition and sleeping. Autopsy revealed signs of otitis media. Otherwise autopsy resulted normally and the cause of death could not be identified (la cause de la mort n’a pas pu être identifiée). Toxicological, microbiological, virological and histological examinations were planned. According to the autopsy report, the onset date of the subject’s otitis media was "very recent", but it could not be clarified whether it had been prior to or following the vaccination. Although no evidence of a relation of the event to the vaccination was found during the autopsy (Cependant, aucune relation entre l’événement et la vaccination n’a été trouvée à l’autopsie), the close temporal relation might be seen as an indication that the subject’s death was possibly related to the vaccination with Infanrix hexa and Prevenar 13. (La proximité entre les 2 évènements pourrait faire penser à un lien entre les deux)

64 Autres exemples concernant les convulsions :
Company comment: This 4-month-old female had a convulsion less than 1 day (moins d’un jour après) after 2nd dose of Infanrix hexa and Prevenar 55 days post-vaccination, she was diagnosed with West's syndrome severe developmental delay, axial hypotonia and microcephaly. The time sequence of signs apparition remained unclear (La séquence temporelle des signes d’apparition reste peu claire) but there is a medical anamnesis of neonatal convulsion unrelated to vaccination.

65 Ou : Company comment: This 3-month-old female subject experienced partial seizures 10 days after 1st vaccination with Infanrix hexa. Complementary exams revealed a hypoxic ischemic lesion in the right hemisphere. The time sequence before partial seizures made the possible relationship to the product dubious.(doute)

66 4 cas de mort apparente Company comment: Case of near sudden infant death syndrome in a prematurely born 2- month-old male subject 5 hours after (5 heures après) first vaccination with Infanrix hexa and Prevenar. The subject was hospitalized and recovered completely. According to the French method of assessment, the AFSSaPS considered the causal relationship between Infanrix hexa and Prevenar and the reported events as dubious.(douteux) Company comment: Case of near sudden death infant syndrome in a 3-month-old female subject 2 hours after first dose of Infanrix hexa, Prevenar and Rotarix. The event resolved spontaneously. A similar event was reported 5 hours after the second dose of Rotarix.

67 Pour les encéphalites :
Company comment: A 3-month-old subject experienced encephalopathy less than one month after 2nd dose of Infanrix hexa. Due to a lack of data, this case cannot be medically assessed. Company comment: This 16-month-old male subject experienced post infectious cerebellar ataxia due to underlying respiratory tract infection in the course of Infanrix hexa vaccination. A postvaccinal cerebellitis was compatible with the time sequence (one day post-vaccination with Infanrix hexa and Prevenar) but the ataxia was associated with serous otitis media both sides and finally recovered. (Compatible avec la cause vaccinale mais …) Company comment: This is a case of viral meningoencephalitis in a 4-month-old male subject. First symptoms occured 3 days post vaccination with Infanrix hexa and Synflorix. The subject suffered from multiple neurologic sequellae. The hospital physician did not consider that the events were a reaction to vaccination.

68 Encéphalites suite : Company comment: Post-infectious encephalitis (campylobacter jejuni) in a 21-month-old female subject. Intermittend convulsive crises starting 2 days after vaccination with Infanrix hexa and Prevenar. According to AFSSaPS, the causal relationship between Infanrix hexa and Prevenar and the reported events is dubious (douteux). Company comment: This 4-month-old female subject was diagnosed with West Syndrome/ Lennox-Gastaut syndrome less than one month after 1st dose of Infanrix hexa and Prevenar. Causal relationship to vaccination could not be formerly assessed and other etiologies were considered (metabolic, viral encephalitis).

69 Comme on peut le voir dans les 5 cas d’encéphalites rapportées, le rapport a bien du mal à reconnaître un lien entre la vaccination et la maladie. Il est en de même pour les 500 événements majeurs qui sont repris exhaustivement dans ce très long rapport. Même dans les heures qui suivent, le doute peut être mentionné. Qu’en serait-il de 6 à 24 millions d’autres enfants non vaccinés ? Y aurait-il cette proportion d’évènements graves ? C’est la question auquel il faudrait répondre. 500 cas graves douteux pour plusieurs millions de doses, pas de quoi fouetter un chat pourrait-on rétorquer.

70 Conclusion du rapport confidentiel
10. CONCLUSION de GSK (p.801) du rapport GSK : From the review of data received during the reporting period and presented in this PSUR, it has been concluded that the safety profile of Infanrix hexa™ is adequately reflected in the Reference Safety Information. No further amendments to RSI are considered necessary at this time. The benefit/risk profile of Infanrix hexa™ continues to be favourable. « Des analyses des données reçues durant la période de recensement dans cette PSUR, il a été conclu que le profil de sécurité d’Infanrix Hexa est adéquatement reflété dans les informations de pharmacovigilance. Pas d’amendements supplémentaires ne sont considérés comme nécessaires à ce moment. Le profil bénéfice/risque pour l’Infanrix hexa continue d’être favorable. »  The Company will continue to monitor all cases of thrombocytopenia, injection site nodule and nodule, anaphylaxis, abscess and injection site abscess, important neurological events including encephalitis and encephalopathy, erythema multiforme,Henoch-Schonlein purpura, petechiae and purpura. La compagnie continuera à monitorer tous les cas de thrombocytopénies, de nodules sur le site d’injection, d’anaphylaxies, d’abcès et d’abcès au site d’injection, des évènements neurologiques graves incluant les encéphalites, les encéphalopathies, les érythèmes multiformes, les purpuras Henoch-Schonlein, les pétéchies et purpuras.

71 Conclusion GSK Deux petits paragraphes pour résumer 1271 pages.
Cette conclusion appartient à la firme productrice. Et l’on sait (cfr diapo 26) que les conclusions des firmes sont plus favorables au produit commercialisé. C’est cette conclusion que les autorités ont reçue. La notice de l’Infanrix Hexa ne mentionne pas ces diverses pathologies graves survenues en très petits nombres par la suite, ni les décès.

72 Deux regards possible Ceux qui sont contre la vaccination voient ici 500 cas d’effets secondaires graves dont 36 décès. Ceux qui sont pour la vaccination diront que ces proportions ne reflètent pas un danger significatif. Qu’une population non vaccinée pourrait rencontrer les mêmes problèmes et que le risque / bénéfice reste largement favorable. La vérité se situe sans doute au milieu. Il y a probablement plus de conséquences graves (même si la plupart sont « récupérées » aux urgences) que celles qui sont reconnues. Mais surtout…

73 1% à 10% d’effets secondaires sont rapportés spontanément.
… il est admis qu’un nombre très faible des effets néfastes des médicaments sont réellement portés à la connaissance. On parle de 1% ! Tout au mieux 10%. On peut lire à différents endroits ces chiffres : LA REVUE DU PRATICIEN MÉDECINE GÉNÉRALE TOME 25 N° 869 NOVEMBRE 2011 « La déclaration spontanée est loin d’être exhaustive, puisqu’on estime que seuls 1 à 10 % des EI graves sont notifiés. Cette sous-notification s’explique par un manque de temps, une mauvaise compréhension de son intérêt en termes de santé publique ou encore par le lien non fait par le médecin entre un effet et un médicament. Cela retarde, voire empêche, l’identification des effets très rares, donc une éventuelle décision de santé publique. Cette sous-notification n’est pas spécifique aux vaccins mais peut être plus sensible dans la mesure où les vaccins s’adressent à des sujets sains et sont recommandés par les autorités de santé. »

74 Journal of the American Medical Association (Jama)
Dans la revue Jama du 2 juin 1993, le Dr Kessler écrit : « Bien que la FDA reçoive de nombreux rapports d’effets secondaires, ceux-ci ne représentent vraisemblablement qu’une fraction des réactions graves qui se produisent (…) seulement 1% des réactions graves sont rapportées à la FDA ». (Jama est une des 4 plus importantes revues médicales dans le monde) « The Vaccine reaction » – NVIC – : « A New-York, un médecin sur 40 seulement admet qu’il déclare les complications vaccinales ».

75 Nous pourrions dès lors passer de 36 décès à 360 voire 3600
Nous pourrions dès lors passer de 36 décès à 360 voire 3600 ! Et de 500 évènements graves à Ce qui change singulièrement la donne. Dans son livre : « Les 10 plus gros mensonges sur les vaccins » l’écrivain et journaliste Sylvie Simon mentionne, à la page p.95, les chiffres officiels des accidents de vaccination advenus aux Etats-Unis entre 1999 et 2002 pour les enfants de moins de 6 ans. Malheureusement, les sources ne sont pas citées !(Je n’ai pas pu vérifier ces énormités)

76 Vaccin DTaP (Diphtérie-polio, coqueluche) 16 544 accidents dont 631 hospitalisations et 394 décès.
Hepatite B : accidents, 1840 hospitalisations et 642 décès. Hib : (Haemophilus Influenza B) accidents, dont 3224 hospitalisations et 843 décès ROR : accidents, dont 1736 hospitalisations et 110 décès. A nouveau si nous multiplions ces chiffres par 10 ou 100…

77 Effets secondaires à long terme ?
Les vaccins engendrent-ils ou favorisent-ils des maladies à plus long terme comme des allergies, de l’asthme, etc. ? Pour répondre à cette question le plus simple est de comparer une population d’enfants vaccinés et une population d’enfants non vaccinés et de comparer leur profil de santé au cours de leurs années de croissance. Plusieurs études sont sorties sur ce sujet. Le Dr Fr. Berthoud en parle particulièrement dans son livre : La (bonne) santé des enfants non vaccinés. J’en reprendrai plusieurs plus loin.

78 La grande étude Kiggs Commençons d’abord par ce comparatif issu de l’étude allemande KIGGS, établie par l’institut Robert Koch entre 2003 et 2006 et qui a servi de base à l’enquête menée par Angelika Kögel en 2011 : Quelques extraits sont repris ci-après :

79 Quelques extraits : « De mai 2003 à mai 2006, la plus haute instance de santé allemande, l’Institut Robert Koch, a réalisé une grande étude appelée KIGGS sur la santé physique et mentale de enfants et adolescents âgés de 0 à 17 ans. Les enfants et leurs parents durent d’abord remplir un vaste questionnaire. Ensuite un médecin les interrogea et procéda à une analyse de sang et d’urine sur les jeunes concernés. A la fin, on disposa, pour chaque participant, d’environ données. Au total, cela représente plus de 26 millions d’informations ». Angelika Kögel a demandé et reçu ces résultats et a procédé à une minutieuse comparaison entre la santé des enfants vaccinés ou pas et ce quand les données étaient suffisamment étayées pour éviter tout équivoque.

80 Résultat statistiquement significatif
« Bon nombre de ces corrélations entre le statut vaccinal et la santé sont, même du point de vue statistique, significatives, voire hautement significatives. Cela veut dire que la probabilité de trouver cette relation de cause à effet tout à fait par hasard, à cause d’une erreur, s’élève à 5% ou plutôt 1 %. Cette probabilité d’erreur est en matière de statistique un nombre de grandeur qui témoigne de la qualité des conclusions ».

81 « Après la première publication de mes résultats, en juin 2009, je fus attaquée violemment par l’Institut Koch. Ils déclaraient que mes conclusions étaient grossièrement erronées et ma manière de procéder incorrecte. Aucun lien de cause à effet publié par moi n’était exact. On travaillait à une interprétation contradictoire. Celle-ci serait publiée au milieu de l’année 2010 dans la revue spécialisée Deutsches Arzteblatt (journal allemand des médecins). Jusqu’à aujourd’hui rien de semblable n’a eu lieu ».

82 « Avec curiosité, je me suis tout d’abord concentrée, dans mon analyse, sur les liens de cause à effet et j’ai obtenu des preuves éclatantes. Les enfants vaccinés ont presque deux fois plus souvent une neurodermatite (dermatite atopique), plus de deux fois plus souvent un rhume des foins et cinq fois plus souvent une allergie au nickel que les enfants non vaccinés ».

83 RELATION ENTRE LES VACCINATIONS ET LES ALLERGIES
Malades âgés de 10 à 17 ans en % Rhume des foins Neurodermatite Allergie au Nickel Non vaccinés et Vaccinés 16,8% 14,2% 13,9% 8,1% 7,1% 2,8%

84 Tétanos « Parmi les participants à cette enquête, 217 n’étaient pas vaccinés contre le tétanos, cela représente 1,32 % de ceux qui présentèrent leur carnet de vaccination ou indiquèrent qu’ils n’en possédaient pas volontairement. (…) Si l’on extrapole le taux des enfants non vaccinés à tous les enfants et adolescents d’Allemagne, âgés de 0 à 17 ans, il y en a bien plus de qui ne sont pas vaccinés contre le tétanos. Malgré cela, depuis des décennies déjà, il n’y a aucun décès en Allemagne dans ce groupe d’âge. Les rares enfants qui, chaque année, d’après la statistique des hôpitaux, contractent cette maladie (entre 0 et 4 enfants par an), sont traités avec succès. Le statut vaccinal de ces enfants malades n’est pas connu, mais il est fort probable que parmi eux certains soient vaccinés. »

85 RELATION ENTRE LES TROUBLES DU DÉVELOPPEMENT CÉRÉBRAL ET LES VACCINATIONS
Malades âgés de 5 à 17 ans en % Trouble Trouble Lunettes de l’attention de la parole Enfants non vaccinés et vaccinés 21,6% 20% 7,8% 8,8% 6,2% 2,1%

86 Pneumonies et otites « Les enfants vaccinés sont aussi plus souvent affectés par des infections sérieuses telles que les pneumonies et les otites de l’oreille moyenne. 7,75 % des enfants non vaccinés ont déjà eu une pneumonie contre 11,07 % des enfants vaccinés. 39,62 % des enfants non vaccinés souffrent, au moins une fois, à un moment ou à un autre, d’une douloureuse otite de l’oreille moyenne contre 53,46 % des enfants vaccinés ».

87 RELATION ENTRE LES VACCINATIONS ET LES MALADIES GRAVES
Malades âgés de 1 à 17 ans en % Scoliose Otites Pneumonie moyennes aiguës Enfants non vaccinés et vaccinés 53,5% 39,6% 11,1% 5,3% 7,8% 0%

88 Protection des vaccins ?
Les données qui ressortent de ce registre national montrent que la protection vaccinale est relative et loin d’être tranchée. Par exemple, 10% des enfants non vaccinés ont contracté la Rougeole contre 6 % des enfants vaccinés contre cette maladie. Il y a donc une protection de 40% seulement. Pareil pour les Oreillons et de 22 % seulement pour la Rubéole.

89 RELATION ENTRE LES VACCINATIONS ET LA PROTECTION VACCINALE
Malades âgés de 0 à 17 ans en % Rougeole Oreillons Rubéole Enfants non vaccinés vaccinés 10,4% 10,1% 7,8% 6,2% 5,9% 3,5%

90 Conclusion Ce registre d’informations fortuites et neutres dont le but n’était pas cette comparaison des deux populations semble montrer une influence négative des vaccins quant à l’état de santé des enfants plus tard. Le statut social était-il aussi différent, ce qui pourrait expliquer l’écart entre les deux groupes ? L’étude ne le dit pas. Ce rapport n’est pas suffisant pour conclure.

91 Etude du Dr Andreas BACHMAIR en Suisse
Une étude menée par un groupe Suisse alémanique et dont on peut trouver les données sur Internet en anglais et en allemand [ ] rejoint les conclusions de l’enquête réalisée par Angelika KÖGEL (Extraits repris du Courrier d’Alis n°75 nov 2012)

92 Etude Bachemair Une autre étude, totalement indépendante, faite à partir d’un questionnaire via Internet, en Europe et aux Etats-Unis, a porté sur 9334 participants d’une quinzaine de pays, divisés en plusieurs groupes d’âge : 0-2 ans (le plus important), 3-4 ans et 5-6 ans, ainsi que des adolescents jusqu’à 19 ans, ce qui fait que les résultats diffèrent un peu de ceux d’Angelika qui, elle, a analysé l’état de santé d’enfants entre 0 et 17 ans. Mais, grosso modo, on retrouve la même tendance, notamment en ce qui concerne les allergies. (Extraits)

93 Conclusion étude Bachemair
La prévalence de l’asthme ou du rhume des foins dans l’étude suisse chez les enfants non vaccinés est de 2,5 %, alors qu’elle avoisine les 12 % dans la population générale. Même tendance pour les maladies neurologiques, le déficit d’attention et l’autisme : l’étude a relevé une prévalence de 1 à 2 % alors qu’elle est d’environ 8 % en population générale. Les résultats obtenus à ce jour montrent très nettement que les enfants non vaccinés sont beaucoup moins malades que les enfants vaccinés. Andréas BACHMAIR conclut que les enfants vaccinés font 2 à 5 fois plus de maladies que les non vaccinés. (Extraits)

94 Santé des enfants non vaccinés/vaccinés
D’autres études sont citées dans ce document, toutes ayant les mêmes observations. Le Dr Berthoud dans son livre « la (bonne) santé des enfants non vaccinés » a communiqué d’autres études ailleurs : Michel Odent a publié 2 études de groupes d’enfants non vaccinés contre la coqueluche et allaités lgt. (JAMA 1994) : 10% asthmatique chez les vaccinés versus 2 % chez les non-vaccinés. (JAMA : Journal of American Medical Association, donc tendance pro-vaccination)

95 Etude néerlandaise Le groupe NPKV a étudié en 2004 un groupe de 635 enfants non vaccinés. Ils étaient globalement nettement moins malades que les enfants vaccinés et présentaient 5 fois moins d’asthme et 3 fois moins de troubles du comportement que les sujets contrôlés vaccinés. (

96 Europe centrale Un groupe de pédiatres a étudié enfants d’écoles Steiner de cinq pays (Autrice, Allemagne, Hollande, Suède et Suisse) en comparant la santé des enfants élevés dans le style de vie anthroposophe avec un groupe témoin. Ces enfants sont moins vaccinés que la population générale et ont donc plus l’occasion de « faire leurs maladies d’enfance ». Ces enfants sont globalement en très bonne santé et moins souvent malades. Il est donc possible d’être en bonne santé sans être vacciné.

97 Etats-Unis Amishs ( communauté qui vivent exactement comme au XVIIIe siècle ) 4 cas d’autisme au lieu de statistiquement 140 de prévus. Dont 3 qui avaient été vaccinés avant d’être adoptés dans la communauté. Le 4e avait été exposé à un environnement chargé en métaux lourds. Publié dans « the age of autism » 2007, par le journaliste Dan Olmsted

98 Vaccin RRO et autisme Malgré cette constatation, cela reste un sujet de controverse. De multiples obstacles (épidémiologiques, diagnostic, causalité temporelle, imprécision des rapports, etc. ) rendent la lecture des observations souvent floues. L’IOM, the Institute of Medecine (US), a conclu que le lien n’était pas établi mais non exclu. « Toutefois, le comité note que sa conclusion n’exclut pas la possibilité que le vaccin RRO puisse contribuer à l’autisme (ASD) chez un petit nombre d’enfants, car le système de pharmacovigilance manque de précision pour relever les manifestations rares suite au vaccin RRO menant à l’autisme (ASD) et que le modèle biologique proposé pour relier le vaccin à l’autisme s’il est loin d’être établi n’est cependant pas réfuté. However, the committee notes that its conclusion does not exclude the possibility that MMR vaccine could contribute to ASD in a small number of children, because the epidemiological evidence lacks the precision to assess rare occurrences of a response to MMR vaccine leading to ASD and the proposed biological models linking MMR vaccine to ASD, although far from established, are nevertheless not disproved » p. 21

99 CNN news ! Fraud at the CDC uncovered, 340% risk of autism hidden from public By eplettner  |  Posted August 24, 2014  |  Seminole, Florida Récemment le 24 août 2014, CNN révèle la tromperie organisée du Centre de pharmaco-vilance américain (Centers for Disease Control and Prevention, CDC) quant au lien entre le vaccin RRO(Rougeole-Rubéole et Oreillons administrés vers 1 an) et l’autisme. Le Dr Thompson en question avoue que son organisme a masqué les résultats pendant une décennie sous la pression (ndrl : de qui ?). La lecture de cette page web est choquante :

100 Extraits Les documents du CDC, ainsi que les discussions avec le lanceur d’alerte révèlent une manipulation généralisée des données scientifiques, ainsi qu’une pression (du haut vers le bas)  sur le scientifique du CDC pour supprimer tout lien de causalité entre le vaccin ROR et le diagnostic ultérieur d’autisme, en particulier dans un groupe d’hommes afro-américains qui avaient reçu leur vaccin « à temps » en conformité avec le calendrier recommandé par le CDC. Les documents reçus du CDC montrent qu’en 2003, on a découvert comme étant lié au vaccin ROR un risque d’autisme chez les garçons afro-américains de 340%. La découverte de ce risque a été cachée sous la pression de hauts fonctionnaires. Les chercheurs du CDC ont alors recalculé leurs résultats en omettant d’inclure une population donnée afin de pouvoir obtenir les résultats désirés. Mais même en recalculant ainsi les données après avoir omis cette population, un risque significatif d’autisme est encore retrouvé en lien avec le vaccin ROR. La mention d’un tel risque se retrouve par ailleurs également dans la présentation de l’étude originale faite par l’Institut de Médecine (IOM) (cf. pages 29 et 31 de cette présentation)

101 Extraits suite William Thompson has worked for the government agency for over a decade and confirmed that     "the CDC knew about the relationship between the age of first     MMR vaccine and autism incidence in African-American boys     as early as 2003, but chose to cover it up. » (« Depuis les débuts de 2003, le CDC était au courant de la relation qui existait entre l’incidence de l’autisme et l’âge auquel le premier vaccin ROR était administré chez les garçons Afro-Américains, mais a choisi de dissimuler la chose. ») He remarked     "we've missed ten years of research because the CDC is so     paralyzed right now by anything related to autism. They're not     doing what they should be doing because they're afraid to look     for things that might be associated. » («  Nous avons perdu dix années de recherche parce que le CDC est actuellement tellement paralysé par tout ce qui touche à l’autisme. Ils ne font pas ce qu’ils devraient faire parce qu’ils ont peur des conclusions qui pourraient être tirées. »

102 Extraits suite Thompson’s revelations call into question the nine other studies cited by the CDC as evidence denying a link between vaccines and autism. They also have spurred a change.org petition to have the fraudulent study retracted from the Journal of Pediatrics, which published it in 2004. Les révélations du Dr Thompson remettent en question les neuf autres études citées par le CDC comme preuves permettant de nier un lien entre autisme et vaccins. Ces révélations ont également suscité une pétition (sur change.org) pour que l’étude frauduleuse soit retirée du journal Pediatrics qui fut publié en (…)

103 Le plus étonnant encore dans ces révélations, c’est l’absence totale de réaction des autorités médicales ici en Europe, alors que c’est le même vaccin qui est employé. A croire que cette information est un mauvais rêve, un mirage imaginaire. Comme un pincement, la réalité nous rattrape en prenant connaissance que le taux d’autisme régressif aux USA est de 1/50 alors qu’il n’était qu’ 1/ il y a une à deux décennies ! (Chiffre émis par le CDC)

104 Japon « En 1975 le Japon décide de retarder l’âge de la vaccinations à 2 ans plutôt que 2 mois, en relation avec le risque de mort subite des nourrissons attribuée au vaccin de la coqueluche. L’étude publiée dans Pediatrics montre que le taux de mortalité infantile devint le plus bas au monde. De 1970 à janvier 1975, on avait indemnisé au Japon 57 cas de séquelles permanentes dont 37 décès De février 1975 à août 1981, (vaccins à 2 ans) 8 cas de séquelles permanentes dont 3 morts. Ils ont quand même repris le calendrier initial ! » Y a-t-il eu des conséquences fâcheuses du fait de postposer le vaccin ? L’auteur n’a pas pu mettre la main sur le rapport. Il a disparu du web.

105 Japon Journal of Allergy and Clinical Immunology, mars 2008, n° 121 constate que le nombre d’enfants asthmatiques est moitié moindre si la première injection du vaccin avec la coqueluche est retardée. A 2 mois : 13,8% Entre 2 et 4 mois : 10, 3% Après 4 mois : 5,9 % Ces chiffres démontrent l’importance de la maturation du système immunitaire de l’enfant.

106 Asthme en Belgique Dans la Libre du 7 mai 2014 p. 24 : « On recense entre 150 à 300 décès par an en Belgique à cause de l’asthme. La prévalence en Belgique s’avère particulièrement élevée. 70 hospitalisations par million de patients de 15 ans et plus. La forme sévère touche 5% des patients ». (Extraits)

107 Conclusion Ces multiples publications et études qui émanent de sources également médicales allopathiques concluent à une influence néfaste sur la santé des enfants vaccinés par rapport aux non vaccinés. Pour les « pro-vaccins », il est possible pour chacune de nier ces résultats en y trouvant des vices de forme, en évoquant des populations non représentatives, etc. Comme c’est le cas avec les effets secondaires graves survenant rapidement après une injection d’un vaccin. Et tout comme il est possible de trouver nombres d’études ne démontrant aucune incidence néfaste des vaccins (certaines carrément falsifiées). Il serait utile que des organismes indépendants comparent à nouveau les deux populations vaccinées ou non pour en sortir des conclusions définitives.

108 Ce qui précède permet tout de même de comprendre que l’amélioration des conditions de vie a joué le rôle principal dans la raréfaction des maladies infectieuses au XXe siècle. De nombreuses informations fiables relèvent indubitablement des effets secondaires mineurs et d’autres graves, mais heureusement très rares, après la vaccination avec un doute sur une quantité non négligeable ( jusqu’à 99 % !) de rapports non transmis. De nombreuses études de tout bord semblent démontrer que le statut vaccinal, s’il protège l’enfant de maladies potentiellement dangereuses, favorise aussi l’émergence de pathologies diverses telles que maladies auto-immunes, allergies, asthme, trouble du comportement, infections, etc. Le monde scientifique en général souhaite ne voir que le côté positif de la vaccination. Il y a une mise en avant des études contradictoires (tout aussi nombreuses) qui infirment les conclusions précédentes et laissent ainsi inchangé le programme vaccinal. Chacun voit ce qu’il veut voir.

109 Les études… La ‘science’ est ainsi faite que différentes études même sérieusement menées sur un même sujet concluent à des résultats parfois opposés. Par exemple, il est impossible de savoir s’il est plus favorable d’attendre ou non 6 mois au lieu de 4 pour donner les premiers repas aux bébés. Y a-t-il plus d’allergies consécutives ou non ? Là-dessus les études se contredisent ! C’est pareil pour le taux de Cholestérol rabaissé chez les personnes âgées, certaines études montrent une augmentation même de la mortalité chez les patients âgés avec un taux bas de cholestérol et d’autres le contraire. Tout comme subsiste une polémique sur la pression artérielle des personnes âgées. Et sur bien d’autres sujets encore. Selon que l’on veut étayer une idée, on peut puiser là où le vent est favorable.

110 Une dernière information : Le taux de mortalité infantile en fonction du nombre de vaccins administrés. La revue Human & Experimental Toxicology a publié une observation interpellante qui est passée sous silence : le taux de mortalité infantile par pays industrialisé est directement proportionnel aux nombres de doses de vaccins administrés aux enfants. Chaque pays a sa propre politique vaccinale obligatoire. Hum Exp Toxicol September 2011 vol. 30 no Neil Z Miller, PO Box 9638, Santa Fe, NM 87504, USA Sous le titre : Infant mortality rates regressed against number of vaccine doses routinely given: Is there a biochemical or synergistic toxicity? Traduction littérale : Les taux de mortalité infantile régressent en opposition aux nombre de vaccinations données : Y-a-t ‘il une toxicité biochimique ou bien synergétique ?  Traduction compréhensible : Les taux de mortalité infantile augmentent en lien direct au nombre de vaccinations données…

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112 Extraits « Le taux de mortalité infantile (IMR) est un des meilleurs indicateurs du bien-être socio-économique et des conditions de santé public d’un pays. Le programme de vaccination des enfants américains comprend 26 doses de vaccins dès avant 1 an – le plus au monde – les Etats-Unis n’arrivent qu’à la 33e position pour ce taux de mortalité infantile juste derrière Cuba et Saint-Marin. Or ce pays dépense le plus en soin de santé au monde. Ces 34 (meilleures) nations furent examinées et une corrélation linéaire a pu être trouvée entre le IMR et les doses de vaccins des programmes nationaux. (…) une corrélation, statistiquement hautement significative, a été montrée entre l’augmentation du nombre de vaccins injectés et une augmentation de l’IMR »

113 Abstract The mean IMRs of all nations within each group were then calculated. Linear regression analysis of unweighted mean IMRs showed a high statistically significant correlation between increasing number of vaccine doses and increasing infant mortality rates, with r = (p = ). Using the Tukey-Kramer test, statistically significant differences in mean IMRs were found between nations giving 12–14 vaccine doses and those giving 21–23, and 24–26 doses. A closer inspection of correlations between vaccine doses, biochemical or synergistic toxicity, and IMRs is essential.

114 Les nations dans le haut de la liste, avec donc le moins de décès – Singapour, Suède et Japon – rendent obligatoires 50% de vaccins de moins que les Etats-Unis. Deux fois moins de vaccins, deux fois moins de décès !

115 Deux poids, deux mesures
Toujours est-il que l’allopathie avec ses recommandations officielles est actuellement la référence médicale et donc légale et judiciaire. Si le médecin peut causer des dégâts voire la mort en vaccinant sans être inquiété, une complication grave survenue chez un enfant non vacciné serait probablement médiatisée, mise en exergue et le pauvre médecin traitant, inconscient et insensé, attaché au pilori ! Or il est admis à demi-mot qu’il y a en Belgique annuellement 3000 morts d’effets secondaires des médicaments prescrits dans toute l’Europe. On peut aussi rajouter 3000 morts par an de maladies nosocomiales hospitalières en Belgique (De nombreux efforts sont entrepris pour lutter contre) dans toute l’Europe. Un tiers des hospitalisations des personnes âgées sont imputées à l’excès de médication journalière, pareil pour les fractures du col du fémur. (Source : Le Valdor lors de l’inauguration en 2014)

116 Erreurs médicales « Since the publication of the Institute of Medicine (1) report on medication errors, there has been increased interest and awareness of this serious problem which is estimated to cause 100,000 hospital admissions per year in the United States » Trad. : Depuis la publication par l’Institut de Médecine (IOM) du rapport sur les erreurs médicales, il y a eu un regain d’intérêt et de prise de conscience de ce sérieux problème estimé être la cause de hospitalisations par an au Etats-Unis. L’allopathie n’est donc pas si bénigne que cela ; tout en reconnaissant bien entendu les bienfaits à côté et les vies sauvées en parallèle. Nous réagissons plus prestement face aux erreurs d’autrui que face aux nôtres. (C’est un peu l’histoire de la paille dans l’œil de l’autre qui est vue et non la poutre dans son propre œil)

117 Ces maladies visées par les vaccins peuvent donner des complications graves, plus rarement des séquelles, voire être dans certaines et très rares conditions mortelles. La mort d’un enfant est un drame épouvantable bien compréhensible et pour éviter tout risque de mortalité même infime, nous préférons fermer les yeux sur la morbidité des vaccins. Morbidité plus ou moins reconnue/niée ; démentie/authentifiée.

118 Si, si, si, si… Si d’un côté les vaccins causent de temps à autre un décès, si les complications à long terme comme l’asthme génèrent des décès, si les nouveaux germes de remplacement sont plus mortels et si les vaccins induisent des glissements dans des tranches d’âge moins favorables, il se pourrait que la balance bénéfice/risque ne soit pas si favorable. C’est là que les avis divergent profondément malgré ce taux de mortalité infantile qui augmente en corrélation avec les doses administrées.

119 Risques encourus de contracter les maladies vaccinées.
Il reste un dernier point à aborder : c’est d’évaluer avec précision le danger que revêt chacune des maladies visées par le programme de vaccination. Chaque maladie doit être prise séparément en considération. Pour ce faire, à défaut d’autres sources, le site infovaccins.ch est utile. Il émane d’un groupement médical de réflexion (Tendance ‘contre’). Ils ont sorti un livre : « Qui aime bien vaccine peu ». Ils expriment les risques encourus en contractant la maladie et aussi émettent leur avis de pertinence d’une vaccination en regard des inconvénients du vaccin et des dangers de la maladie. Je leur laisse la responsabilité de leurs opinions. Sont rajoutés des compléments d’information.

120 Tétanos De nos jours, le tétanos reste une maladie grave bien que rare et touche avant tout les personnes âgées (environ une vingtaine de cas par année en France avec une moyenne d'âge de 75 ans). Malgré les doutes quant à l'efficacité de ce vaccin et au vu de la gravité de la maladie, la vaccination peut se justifier. Le risque de tétanos est improbable avant que l'enfant ne commence à marcher ; aussi est-t-il préférable d'attendre l'âge d'un an avant de débuter cette vaccination, ce qui laissera aux systèmes immunitaire et neurologique de l'enfant le temps de se consolider. Un autre argument pour retarder cette vaccination est, comme pour la diphtérie, la diminution du nombre d'injections nécessaires après un an. (infovaccins.ch)

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122 Tétanos suite L'efficacité de ce vaccin est controversée. Si un malade guéri du tétanos n'est pas à l'abri d'une seconde infection, comment le vaccin pourrait-il être efficace ? De nombreuses études relatent des cas de tétanos chez des personnes immunisées possédant un taux d'anticorps considéré comme protecteur. La répétition trop fréquente du vaccin lors de blessures rapprochées est inutile et augmente le risque d'effets secondaires. Lors de la deuxième guerre mondiale, les cas de tétanos ont été sept fois moins nombreux dans l'armée grecque, non-vaccinée, que dans l'armée française, la plus vaccinée des armées alliées. En Chine, l'application de l'accouchement hygiénique grâce à la stratégie des « trois propretés » - des mains, du cordon ombilical et de la table d'accouchement – a permis une réduction de 90 % des décès dus au tétanos néonatal en 25 ans. (infovaccins.ch)

123 Polio La maladie (infovaccins.ch)
Le virus se transmet par l'eau de boisson ou des aliments contaminés par des selles. L'infection est asymptomatique dans l'immense majorité des cas, elle se signale parfois par une gastro-entérite banale. Dans moins de 1 % des cas elle se manifeste sous sa forme dramatique, soit une paralysie des membres inférieurs ou des muscles respiratoires. La paralysie de la respiration est la cause presque unique de mortalité de cette maladie et représente environ 2 à 10 % des formes paralytiques. Infovaccins.ch

124 OMS Des épidémies de polio ont été observées en Afrique et en Inde où les enfants vaccinés sont plus sévèrement touchés. Des épidémies sont causées aussi par les campagnes de vaccinations, lorsque le virus vaccinal mute et redevient « sauvage ». Le type 2 avait disparu du globe, c’est donc le virus vaccinal qui est à l’origine de l’épidémie au Nigéria en L’OMS prépare un vaccin des types 1 et 3. (infovaccins.ch)

125 Polio Le vaccin contre la polio est à l'origine de l'une des plus grandes bavures de l'histoire des vaccins. La présence d'un virus du singe, appelé SV40, provenant du milieu de culture des virus de la polio, a contaminé des millions d'enfants entre les années 1954 et Or ce SV40, d'abord considéré comme inoffensif, s'est révélé responsable de nombreux cancers apparus plusieurs années après. Il est aussi possible que le sida soit passé du singe à l'homme par la même voie. Comme pour d'autres maladies épidémiques, les conditions d'hygiène et le niveau de vie sont des éléments essentiels dans la régression de la polio. La décroissance des nouveaux cas de polio s'est amorcée bien avant la vaccination de la population. Infovaccins.ch

126 Coqueluche La coqueluche est une maladie bactérienne très contagieuse, transmise par des gouttelettes de salive expulsées lors de la toux. Elle se manifeste sous forme d'épidémies printanières survenant tous les 2 à 5 ans. Après incubation de une à deux semaines, la première phase se manifeste par un rhume banal avec de la toux. Après jours, la toux devient caractéristique avec des quintes violentes et suffocantes. Lorsque l'enfant reprend son souffle, il émet un son rauque caractéristique évoquant le chant du coq, ce qui a donné son nom à la maladie. Cette phase peut durer trois à quatre semaines, suivie par une toux tenace beaucoup moins dramatique. Si cette maladie est impressionnante et pénible à vivre, elle n'est que rarement grave après l'âge de trois ou quatre mois. (infovaccins.ch)

127 Coqueluche Moins d’un décès pour 1000 enfants. Surtout des nourrissons. (Suisse) Entre : 4000 cas en Suisse par an. Infovaccins.ch Depuis l’instauration de la vaccination, on assiste à un nombre plus important de contagion chez des personnes plus âgées et chez les nourrissons en-dessous de 6 mois. Depuis 2010 de 1 à 5 jeunes bébés meurent chaque année en Belgique (Vax info)

128 Coqueluche Une protection relative n'apparaît qu'après la deuxième injection, soit après le quatrième mois, à un âge où le risque d'évolution grave n'existe quasiment plus. Officiellement, les vaccins sont sûrs et efficaces. Mais lorsqu'apparaît sur le marché la nouvelle version d'un vaccin connu, l'ancien est accusé de tous les défauts possibles justifiant ainsi la commercialisation d'un produit généralement plus cher. L'ancien vaccin contre la coqueluche (à cellules entières) a été fortement incriminé dans des affections neurologiques (convulsions fébriles, épilepsies, encéphalites…) ainsi que dans la mort subite du nourrisson. Au Japon, on a trouvé une corrélation entre la diminution des morts subites et le report après deux ans de l'âge de la première vaccination contre la coqueluche. ( cfr diapo 91) Si ce nouveau vaccin semble effectivement provoquer moins d'effets secondaires graves, plusieurs études montrent que son efficacité est inférieure à celle de l'ancien vaccin. Aucun des deux n'a pu éviter la réapparition de la coqueluche dans des pays où la couverture vaccinale atteignait pourtant 96%. Infovaccins.ch

129 Explication sur le vaccin
Effectivement les premiers vaccins contre la coqueluche contenaient plusieurs milliers d’antigènes à cellules entières. Avec la nouvelle mouture, la charge en antigènes est beaucoup plus réduite, ainsi le vaccin acellulaire contre la coqueluche ne comporte plus que 3 antigènes distincts ! Vax info n° 60 p. 7

130 Haemophilus infl. B L'Haemophilus Influenzae de type B est une bactérie courante qui ne provoque souvent aucun symptôme et une personne sur vingt-cinq en héberge, sans problème, dans les muqueuses de son nez et de sa gorge. Mais, à l'occasion d'un affaiblissement de l'état général, cette bactérie peut engendrer otite, sinusite, bronchite ou pneumonie. Dans de rares cas, des complications plus sérieuses peuvent survenir, surtout chez l'enfant avant 5 ans; il s'agit d'une part de la méningite et d'autre part d'une inflammation du larynx (épiglottite) provoquant fièvre, maux de gorge et suffocation. Toutes ces affections peuvent être traitées par des antibiotiques. Infovaccins.ch

131 Haemophilus Ce vaccin ne protège pas contre les autres formes de méningites bactériennes, ni bien sûr contre les méningites virales, mais uniquement contre celles qui sont dues à l'Haemophilus du groupe B, soit environ 1% de l'ensemble des méningites.  (infovaccins.ch)

132 Cependant L'utilité du vaccin est limitée, car les complications graves sont rares et le bénéfice de la diminution des méningites à Haemophilus est annulé par l'augmentation des méningites à méningocoques et à pneumocoques. De plus, la vaccination contre l'Haemophilus de type B favorise une sélection des germes et l'on voit apparaître des méningites à Haemophilus de type F et E sur lesquelles le vaccin n'a aucune action. Le nombre total de méningites bactériennes n'a donc pas été diminué par ce vaccin. Si la vaccination diminue la virulence des bactéries, elle n'empêche pas celles-ci de coloniser les muqueuses du nez et de la gorge de la personne vaccinée. Ceci explique le retour d'infections sévères à Haemophilus dans les pays où la couverture vaccinale reste pourtant très élevée. Enfin, certaines études suggèrent un lien entre cette vaccination et l'augmentation de diabète chez le jeune enfant.  Infovaccins.ch

133 Diabète ? Une étude suédoise avait relaté un lien entre la vaccination de l’Haemophilus et le diabète de type 1 : Blom L, Nystrom L, Dahlquist G. The Swedish childhood diabetes study. Vaccinations and infections as risk determinants for diabetes in childhood. Diabetologia. 1991;34:176–81. Cette information a été contredite par la suite : Conclusions. In this large, population-based, case-control study, we did not find an increased risk of type 1 diabetes associated with any of the routinely recommended childhood vaccines.

134 Recommandations La décision d'une vaccination contre l'Haemophilus doit tenir compte des facteurs individuels tels l'allaitement du nourrisson qui s'est révélé être un facteur de protection important contre cette infection. D'autre part, la fréquentation précoce d'une crèche augmente légèrement les risques qui restent toutefois faibles, cette affection n'étant pratiquement pas contagieuse. Si vous décidez de vacciner votre enfant, nous proposons de ne pas le faire avant 4 mois, et si possible pas avant un an, afin de réduire le nombre d'injections. (infovaccins.ch)

135 Rougeole Dans nos pays industrialisés, la mortalité est très rare et touche des enfants dont les défenses sont affaiblies. Dans les pays en voie de développement, par contre, la mortalité peut dépasser les 10 %, en raison d'une mauvaise santé immunitaire liée à la malnutrition, mais aussi à la présence d'autres maladies infectieuses, notamment la tuberculose. Avant la vaccination systématique, la rougeole conférait une immunité permanente, ce qui expliquait sa fréquence dans l'enfance et sa rareté chez l'adulte. Infovaccins.ch

136 Rougeole La vaccination a permis une régression de la fréquence de cette maladie, mais en contrepartie, les cas sont devenus plus graves car ils concernent désormais des catégories d'âges où les complications sont plus importantes (adolescents, adultes, nouveau-nés). 5 à 10 % des personnes vaccinées ne développent pas une protection suffisante, ce qui rend illusoire toute volonté d'éradication de cette maladie. Infovaccins.ch

137 Rougeole En mars 2001, le très sérieux British Medical Journal relatait que des scientifiques indiens avaient averti que l'Inde pourrait être le témoin de l'émergence d'un virus mutant de la rougeole hautement virulent sur lequel le vaccin est inefficace. Une fois de plus, à vouloir éliminer du globe un organisme, on en sélectionne des formes résistantes et l'histoire des antibiotiques pourrait bien se répéter avec les vaccins. Infovaccins.ch

138 Rougeole Plusieurs études démontrent que l'absence d'éruption rougeoleuse (comme dans le cadre de la vaccination) augmenterait le risque de maladies de l'immunité (allergies par exemple) et de certaines tumeurs. Le lien entre le vaccin de la rougeole et des maladies inflammatoires du tube digestif (maladie de Crohn, colite ulcéreuse) ainsi que le risque d'autisme suite au vaccin sont fortement débattus dans la littérature scientifique et la question n'est à ce jour pas résolue. Infovaccins.ch Cfr diapo 99.

139 Recommandations Afin d'en être protégés toute leur vie, laissons à nos enfants la chance de faire cette maladie naturellement à l'âge où elle est bénigne. Malheureusement la chance de rencontrer le virus est de plus en plus rare. À la puberté, le vaccin peut se justifier si l'adolescent n'a pas les anticorps protecteurs. (infovaccins.ch)

140 Epidémiologie en Belgique.
L’incidence en Belgique varie d’une année à l’autre. En 2007, 62 cas ; en 2008, 98 cas et en 2009, 33 cas. En ce qui concerne 2008 : 76% avaient moins de 10 ans et 10% plus de 20 ans. 24% étaient vaccinés. 16% de complications (3 Otites moyennes et 6 pneumonies) 13% ont nécessité une hospitalisation. L’âge des enfants présentant une complication variait de 1 an à 12 ans. Vax Info n°57 sept 2010

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142 Vax info n°60 sept 2011 En 2011 on a assisté à une épidémie de rougeole en Europe. En France, on dénombrait à la fin du premier semestre cas dont 6 décès. Complications bénignes dans 10 à 20 % des cas (Otite, pneumonie), une encéphalite aiguë dans 1/1000 cas. Les nourrissons et les immunodéprimés présentent un risque accru. (Note de l’auteur : Nous pensons qu’en laissant la fièvre agir chez un enfant normal, le risque est encore plus réduit. (Plus traitement homéo.))

143 Oreillons Notons d'abord que cette maladie n'a aucun rapport avec les oreilles (comme son nom pourrait le faire penser), mais touche les parotides (glandes salivaires situées en avant des oreilles). Elle est transmise par un virus présent dans la salive et se manifeste par de la fièvre et un gonflement douloureux des glandes salivaires. Dans près d'un tiers des cas toutefois, la personne infectée ne développe aucun symptôme. Les complications possibles, rares chez l'enfant, peuvent être une méningite virale (bénigne), une inflammation du pancréas, des ovaires ou des testicules. Cette dernière complication est très rare avant la puberté. Infovaccins.ch

144 Très rare complication
Pour justifier ce vaccin, on met en avant les risques de méningites et de stérilité liés au virus des oreillons. En réalité, si l'une des complications est effectivement une inflammation des méninges (provoquant d'intenses maux de tête), celle-ci est virale et donc bénigne ne nécessitant qu'un traitement de la douleur. Quant à l'inflammation douloureuse des testicules, ne touchant le plus souvent qu'un seul côté, elle ne mène qu'exceptionnellement à la destruction de la glande. Ces complications sont moins rares et plus sévères à l'âge adulte que dans l'enfance. Infovaccins.ch

145 Expérience personnelle
Je vaccine le moins possible le RRO, expliquant bien entendu le pour et le contre et en respect avec le souhait des parents éclairés. Jusqu’à présent, en 22 ans de pratique, je n’ai eu que mes enfants qui ont contracté les oreillons ! Le plus jeune a vécu la complication méningée avec de forts maux de tête, des vomissements et un état très faible 4 jours puis s’en est parfaitement remis. Sa sœur l’a faite un peu plus tard mais n’a pas dû arrêter son camp d’été pour la cause. Elle présentait juste les 2 boules caractéristiques. Bref, les deux tableaux extrêmes ados ou jeunes sans symptômes aussi. Aucun cas de rougeole ou de rubéole.

146 Recommandations L'efficacité très relative de ce vaccin destiné à prévenir une maladie bénigne le rend inutile chez l'enfant, alors que la maladie naturelle offre une excellente immunité. Si l'adolescent n'a pas acquis les anticorps naturels, l'indication de la vaccination peut être alors envisagée Infovaccins.ch

147 Epidémiologie L’efficacité protectrice du vaccin RRO est plus faible pour la composante ourlienne (O = des oreillons) note la revue Vax info dans son édition n°57 en 2010. 50 cas enregistrés en 2008 ( déclaration non obligatoire) dont l’état vaccinal était connu pour 29 d’entre eux. 21 avaient reçu au moins une dose, 1 deux doses et 7 aucune. L’immunité diminue avec le temps (75% en 10 ans)

148 Rubéole La maladie(infovaccins.ch)
Deux à trois semaines après transmission du virus par la salive, la maladie se manifeste par la tuméfaction douloureuse de nombreux ganglions de la nuque, accompagnée d'un peu de fièvre et d'une éruption discrète de taches rosées débutant au visage et s'étendant ensuite au tronc et aux extrémités. Cette éruption disparaît après trois jours. Les complications sont rares et bénignes chez l'enfant, plus fréquentes chez l'adulte (inflammations articulaires notamment). La rubéole est donc une maladie généralement bénigne, passant parfois même inaperçue. Cependant, survenant chez la femme enceinte au cours des trois premiers mois, elle peut provoquer des malformations du foetus. Infovaccins.ch

149 Avant la vaccination systématique des petits enfants, 90% des femmes en âge de procréer étaient naturellement immunisées et l'on ne vaccinait que les adolescentes. Ajoutons que le vaccin n'est pas totalement anodin, des troubles articulaires et neurologiques ont été décrits. Infovaccins.ch

150 Recommandations Si la vaccination des petits enfants est un non-sens, celle des jeunes filles à la puberté se justifie pleinement, pour autant qu'elles ne possèdent pas une immunité acquise naturellement. La maladie pouvant passer inaperçue, une prise de sang est nécessaire pour s'assurer de la présence des anticorps protecteurs Infovaccins.ch

151 Epidémiologie Aucun cas de syndrome de rubéole congénital enregistré en 2008 en Belgique. Le nombre attendu étant de 0 à 1 par an. Vax Info n°57 sept 2010

152 Rotavirus Cette vaccination contre les Rotavirus a été retirée du programme de vaccination aux Etats-Unis en 1999 suite au système de pharmacovigilance mis en place dans ce pays (le système VAERS) qui a permis tout de même, malgré l’imperfection du système, de détecter des cas d’invaginations intestinales chez les enfants après cette vaccination au Rotashield. Les 2 autres vaccins Rotarix et Rotateq ont démontré un risque plus faible de l’ordre d’1/ enfants Il a, par exemple, été calculé que dans la cohorte de 4,5 millions de nourrissons qui naissent chaque année aux Etats-Unis, la vaccination contre le Rotavirus prévient hospitalisations et visites aux Urgences pour gastroentérite, au prix de 45 à 213 cas d’invaginations Vax info.be article du 14 avril 2014. (Sont-elles toutes rapportées ?)

153 Epidémiologie en Belgique
En Belgique depuis l’instauration de la vaccination systématique des nourrissons, on a observé une diminution de 80% du nombre de cas de diarrhée à Rotavirus. Réduction de 33% des hospitalisations pour gastro-entérites toutes infections confondues. Le nombre pour le Rotavirus seul est en décroissance de 80 %. Vax info n°60 sept. 2011 Cela signifie-t-il que d’autres infections responsables de gastro-entérites font leur apparition ?

154 Expérience personnelle
Je pratique depuis 22 ans. Je suis beaucoup consulté pour le suivi des enfants. Je n’ai jamais administré le vaccin contre le Rotavirus car il n’est pas obligatoire pour fréquenter la crèche. Je n’ai jamais eu à devoir hospitaliser un enfant pour déshydratation. Toutes les diarrhées sont relativement faible en intensité et ne présentent jamais un danger. Au début de ma pratique, il me semble que les diarrhées importantes étaient plus courantes qu’actuellement.

155 Pneumocoques Issu revue de la médecine générale RMG n°288 de décembre 2011 : Il y a 92 sérotypes différents. Le vaccin protecteur est spécifique pour chaque sérotype. Les infections à pneumocoques surviennent fréquemment en pédiatrie. Il y a les invasives et les non invasives. Concernant les infections invasives à pneumocoque (IPD) qui sont principalement les méningites, les septicémies, des pneumonies avec empyèmes. On note une réduction significative chez les enfants de moins de 2 ans lorsqu’on compare la période pré-vaccinale ( ) et l’année 2008. Chez les enfants de 2 à 4 ans par contre on note une augmentation de l’incidence globale liée à la progression très importante des infections dues à des sérotypes non vaccinaux. L’augmentation du nombre de pneumonies compliquées était déjà observée avant l’introduction de la vaccination. En terme de maladies invasives, ce sont surtout les bactériémies qui diminuent. Le bénéfice sur les méningites est limité par l’augmentation des cas dus à des sérotypes non vaccinaux.

156 Pneumocoques Infections non invasives habituelles : Selon une méta-analyse Cochrane, la réduction des pneumonies serait de 27 % pour les enfants de moins de 2 ans avec le vaccin conjugué 7 valent. Et de 6% pour les otites moyennes aigues. Depuis lors c’est le vaccin conjugué 13 valent qui est sur le marché. En conclusion, les auteurs craignent un glissement progressif vers d’autres sérotypes non vaccinaux. (En général ces nouveaux venus donnent plus de complications car les hôtes y sont moins bien préparés).

157 Vax info n°57 sept 2010 « …ce qui signifie que dans le groupe d’âge en dessous de 5 ans, aucun impact significatif du vaccin n’a pu être observé. » p. 7 En 2008, 3 enfants sont décédés des suites d’une méningite à respectivement 3 semaines, 6 mois et 18 mois.

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159 Tableau 1 : Infections invasives à pneumocoques (IPD) chez les enfants < 2 ans avant ( ) et après (2008) l’introduction du vaccin conjugué antipneumococcique à 7 valences Nombre de cas Nombre de cas 2008 Cas D’IPD Cas d’IPD liés aux types contenus dans le vaccin Cas d’IPD liés aux types non contenus dans le vaccin On voit que dans la seule catégorie d’âge où le vaccin a démontré une réduction significative ( de 249 à 185 càd – 25% ) les complications de nouvelles souches ont triplé et ont engendré 3 décès. La revue qui se veut optimiste conclut malgré tout à une très grande efficacité du vaccin vu la baisse des souches visées. P. 8 Le vaccin avec 13 souches commercialisé depuis lors au lieu de 7 sera-t-il plus utile ?

160 Méningocoques C En Angleterre, ce nouveau vaccin, utilisé depuis 1999, a permis une diminution importante des méningites de type C, mais parallèlement les méningites de type B ont augmenté. Donc la fréquence des méningites à méningocoque est restée constante. Cette bactérie semble capable de mutations et de passer d'un type à un autre en gardant toute sa virulence. Infovaccins.ch

161 Méningite C Une étude de pharmacovigilance, menée sur 18 mois par le laboratoire fabriquant le Méningitec®, admet 4.4 effets secondaires graves sur 100'000 vaccinés, soit un chiffre près de quatre fois supérieur à la fréquence annuelle de la maladie. D'autres études, indépendantes des laboratoires pharmaceutiques, aboutissent à des chiffres cent fois plus élevés (459 accidents graves sur 100'000 vaccinés) (infovaccins.ch)

162 Hépatite B L'hépatite B se transmet, comme le sida, par le sang et les contacts sexuels. L'usage de seringues souillées explique la fréquence de la maladie chez les toxicomanes. La majorité des personnes infectées s'immunise sans présenter de symptômes. Seul un tiers environ des cas présente une jaunisse accompagnée d'un état grippal qui peut être suivi d'un épuisement prolongé, mais 92% des hépatites B guérissent spontanément. Parmi les individus contaminés, 5% seront des porteurs chroniques sains et seuls 3% évolueront de manière active (hépatites chroniques agressives). Un tiers de ces cas développera une cirrhose (soit un cas sur cent hépatites B). Un tiers des cirrhoses donnera lieu à un cancer (soit un cas sur trois cents hépatites B). Infovaccins.ch

163 Hépatite B L’hépatite B ne touche que les groupes à risque, c'est-à-dire les toxicomanes, les homosexuels masculins, les prostituées, les touristes du sexe, les polytransfusés, le personnel médical en contact avec le sang et les enfants nés d'une mère porteuse du virus. Infovaccins.ch

164 Hépatite B Les statistiques publiées pour lancer la campagne en France ont été inventées de toutes pièces. Il n'existait pas, en fait, de statistiques, car il n'y avait pas d'obligation de déclarer cette maladie - considérée jusque-là comme un problème mineur. Les recoupements effectués avec d'autres enquêtes démontrent que les chiffres publiés avaient été fortement exagérés. En réalité, pour la France, il est vraisemblable que le nombre de cirrhoses dues au virus de l'hépatite B devait être de l'ordre de vingt-cinq par an, contre près de neuf mille dues à l'alcoolisme. Infovaccins.ch

165 Hépatite B Le vaccin a la capacité de provoquer des maladies auto-immunes chez des personnes prédisposées : maladie neurologiques invalidantes comme la sclérose en plaques, maladies de la thyroïde, des articulations, des reins, de la peau, des muscles, du système cardio-vasculaire. Il peut déclencher un diabète juvénile ou une leucémie. A la suite de l'introduction massive du vaccin en France, quatre mille personnes, se disant victimes d'une de ces maladies, se sont constituées en association (REVAHB, voir page des liens) Infovaccins.ch

166 Précisions En France, après une campagne de vaccination contre l’hépatite B en 1994, un peu plus de 1000 cas d’affections démyélinisantes avaient été rapportés au niveau de la pharmacovigilance nationale. A ce jour, la conclusion officielle du lien entre SEP et le vaccin de l’Hépatite B est la suivante ; « … les résultats ne démontrent pas l’existence d’un risque de survenue d’affection démyélinisante associé à la vaccination contre l’hépatite B, et permettent de conclure à l’absence d’un risque important, sans toutefois permettre d’exclure la possibilité d’un risque faible. » ((Thierry Vial, maladies auto-immunes et vaccination. 2003) Les spécialistes s’accordent tout de même sur ce point : c’est qu’en dépit de données épidémiologiques qui permettent de conclure, certains mécanismes pouvant expliquer la survenue d’une maladie auto-immune post-vaccinale dans des populations susceptibles et génétiquement prédisposées doivent être considérés. (Thierry Vial, maladies auto-immunes et vaccination. 2003)

167 La campagne française de vaccination dans les écoles en 1995 a été initiée par les laboratoires pharmaceutiques SMK qui, les premiers, ont mis au point un vaccin destiné aux enfants. Plusieurs enquêtes journalistiques accablantes ont été publiées sur les abus de la campagne, fondée sur le cousinage, la corruption, mais aussi sur la naïveté de personnes bien intentionnées. Un document interne de Pasteur-Mérieux, autre fabricant de ce vaccin, affirmait que : "Sur le marché de la vaccination, les adolescents sont un segment très porteur... Il faut dramatiser... Faire peur avec la maladie... » Infovaccins.ch

168 GSK Lors d’une émission de la RTBF en 2013 concernant la vaccination, il a été diffusé une séquence (caméra cachée?) où le PDG de GSK, lors d’une soirée entre entrepreneurs, se ventait d’avoir réussi à intégrer dans le vaccin obligatoire Infanrix Hexa (administré 4 fois dès 2 mois) le vaccin contre l’Hepatite B. Ce faisant la société devenait incontournable pour la vente du vaccin puisqu’il détenait l’exclusivité du vaccin contre l’hépatite B.

169 Hépatite B A côté de toutes les informations omises, il faudrait aussi faire l'inventaire de tous les mensonges publiés officiellement et repris à leur compte par des responsables, des enseignants, des éducateurs ou des parents pleins de bonne volonté : "L'hépatite est une menace de tous les jours pour les jeunes, la contamination peut se faire par la salive du baiser, l'échange de brosse à dents, le piercing, les tatouages, l'acupuncture..." Or rien n'est plus faux, et ceux qui ont diffusé ces mensonges seraient en peine d'en fournir les preuves. La palme du mensonge revient à ce prospectus publié par un laboratoire qui affirmait sans rire que "l'hépatite B tue plus de personnes en un jour que le sida en un an".  Infovaccins.ch

170 Recommandations Une seule consigne : ce vaccin est à réserver exclusivement aux toxicomanes par injection, aux personnes changeant souvent de partenaire sexuel et en particulier les prostituées et certains homosexuels masculins. Quant aux enfants, seuls les nouveau-nés de mère porteuse du virus devraient recevoir le vaccin. Infovaccins.ch

171 Papillomavirus Les papillomavirus ou virus HPV (Human papilloma virus) forment une famille qui comprend plus d'une centaine de membres parmi lesquels les virus responsables des verrues banales. On trouve certains de ces virus dans les condylomes, les dysplasies (appelées aussi précancéroses) et les tumeurs cancéreuses du col de l'utérus. Ces virus peuvent être transmis par la peau et par voie sexuelle. Le virus fait rarement des lésions sur la verge de l'homme, et dans les deux sexes l'infection est indolore. Infovaccins.ch

172 Papillomavirus Il semble établi que ce type de cancer n'existe pas en l'absence du virus, d'où l'affirmation que la prévention de l'infection chronique par le vaccin prévient le cancer qui y est associé. Infovaccins.ch

173 HPV Le vaccin ne couvre pas toutes les infections HPV
En effet, dans près d'un tiers des cancers du col de l'utérus, on trouve la présence d'un autre type de virus HPV que ceux couverts par le vaccin. (infovaccins.ch)

174 Une période d'essais du vaccin trop courte
Les essais effectués chez l'être humain avant commercialisation n'ont pas duré plus de 4 ans. Aucune des patientes vaccinées n'a développé de cancer, mais aucune non plus dans le groupe de contrôle des femmes non vaccinées ! Il a cependant été démontré qu'aucune patiente vaccinée n'a présenté de dysplasie, alors que celles-ci étaient présentes chez 0,4% dans le groupe non vacciné. Cela n'a pas grande signification puisque l'immense majorité des infections à virus HPV guérissent spontanément, y compris pour les souches concernées par ce cancer (70% de guérison dans la première année, jusqu'à 90% après deux ans). Infovaccins.ch

175 Infection HPV ne signifie pas cancer
Seule une infime minorité des infections chroniques, signées par des dysplasies, se transforme en cancer après plusieurs décennies. De plus, nous n'avons aucune idée de la durée de l'éventuelle protection vaccinale. Des rappels sont déjà envisagés. Cette incertitude est à mettre en parallèle avec le fait que deux tiers des femmes décédées de ce cancer ont plus de 65 ans. Enfin, l'élimination spontanée du virus HPV par le système immunitaire est d'autant plus fréquente que la femme est jeune. Infovaccins.ch

176 Vacciner à 15 ans est-ce utile ou … rentable ?
Il nous semble exagéré d'affirmer que ce vaccin effectué à l'âge de 15 ans diminuera le nombre des cancers survenant à 65 ans. Au contraire, un des risques potentiels d'une vaccination à grande échelle pourrait être de retarder l'infection à un âge plus avancé, donc de diminuer le taux de guérison spontanée et d'augmenter finalement la fréquence de ces cancers. Pour l'instant, il n'y a aucune preuve valable de l'efficacité de ce vaccin contre le cancer du col de l'utérus. D'ailleurs la publicité d'un des fabriquant parle avec prudence d'un vaccin "pouvant prévenir" ce cancer. (infovaccins.ch) Minerva, la revue de l’Evidence Based-Medecine, juge elle-même qu’il est impossible actuellement de tirer des conclusions d’un bénéfice à long terme.

177 Aux Etats-Unis Le système américain de vaccino-vigilance a recueilli jusqu'à ce jour ( ) 22'161 déclarations d'effets secondaires dont 2'116 hospitalisations et 99 décès. Officiellement, aucun décès n'a été attribué aux vaccins. Ces chiffres doivent être corrigés sachant que seul 1 cas sur 10 voire 1 cas sur 100 est déclaré. Parmi les femmes qui ont été suivies pendant 4 ans dans le cadre des essais cliniques il a été constaté trois fois plus de problèmes médicaux sévères que chez les témoins non-vaccinés.  Infovaccins.ch

178 Au Japon Vu le nombre croissant d’infertilités rencontrées depuis l’instauration de la vaccination chez les jeunes femmes, les autorités politiques se sont désengagées récemment pour le soutien de ce vaccin.

179 Extrait : The HPV vaccinations have not been stalled or suspended in Japan. The government is just not actively promoting the use of them anymore. These HPV vaccines are still available for free to girls provided through subsidies, mandated by law. The only difference now is that Japanese medical institutions must now inform the young girls the government health ministry does not recommend the vaccines any longer. La vaccination de l’HPV n’a pas été suspendue au Japon. Le gouvernement ne promeut juste plus activement son usage. Ces vaccins du HPV sont toujours accessibles gratuitement grâce aux subsides édictés par la loi. La seule différence maintenant c’est que les instances médicales japonaises doivent juste informer les jeunes filles que le ministère japonais de la santé ne recommande plus le vaccin.

180 Influenza (Grippe) Minerva EBM juin 2011 vol.10 n°5 p.66 :
Il n’y a pas lieu de vacciner les personnes en bonne santé avant 65 ans. Une efficacité en terme de prévention des symptômes de la maladie est limitée ( 3%) ainsi que la réduction de l’absentéisme. Aucun bénéfice n’est observé pour les critères hospitalisation, complications ou prévention de la transmission.

181 Sources La (bonne) santé des enfants non vaccinés du Dr Fr. Berthoud, ed. Jouvence Les 10 plus gros mensonges sur les vaccins. Sylvie Simon Ed. Dangles Rapport confidentiel GSK sur l’Inranrix Hexa : * Revue du Praticien 2011, n°25 : Vax Info.be Plus de nombreux sites et revues inventoriés au fur et à mesure des diapos.

182 FIN Cette longue présentation certainement imparfaite, avait pour but d’apporter une information fiable et chiffrée, hors des prosélytismes ambiants. Il est rare de trouver une image globale concernant la vaccination avec toutes la somme de leurs conséquences réunies (favorables ou défavorables). Les parents qui légitimement souhaitent le meilleur pour leurs enfants pourront mieux choisir en connaissance de cause . L’égrenage progressif des informations officielles ou confidentielles telles qu’elle se sont livrées au fil de cette présentation, avec leurs chiffres interpellant, devrait à tout le moins éroder la confiance aveugle que l’on confère aux vaccins, se prémunir de les imposer et cesser cette ‘Inquisition’ d’un autre âge envers ceux qui les refuse.

183 FIN Le médecin averti, tout en exposant les avantages et les inconvénients, devrait laisser la liberté de choix sans transmettre la peur ou la culpabilité. L’ONE flamande n’impose pas de vaccination pour fréquenter les crèches. La crainte que les enfants non vaccinés contaminent ceux qui ne le sont pas encore est à relativiser aussi. ‘Mettre en danger les autres enfants’ est un des arguments avancés et pourtant bien dérisoire en terme de probabilité avec un petit bémol pour la coqueluche. Fin (Sept. 2014)


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