La présentation est en train de télécharger. S'il vous plaît, attendez

La présentation est en train de télécharger. S'il vous plaît, attendez

Réseau Social d’Entreprise

Présentations similaires


Présentation au sujet: "Réseau Social d’Entreprise"— Transcription de la présentation:

1 Réseau Social d’Entreprise
Knowledge Management & Réseau Social d’Entreprise Khadija LAARAJ Joëlle LEGRAND Dominique WALLE CAFEL 24

2 Préambule Contexte d ’émergence Pour qui ? Pour quoi ? «Le savoir est la seule matière qui s'accroît quand on la partage.» Socrate Quelles limites ? Conclusion Sources Définitions Quel intérêt ? Quel avenir ? Comment conserver et diffuser la connaissance dans l'entreprise ? Plutôt Knowledge Management (KM) ou Réseau Social d’Entreprise (RSE) ? Quel avenir pour ces deux solutions ? Fermer le dossier

3 Sommaire Définitions et Contexte 4 REX et ROI 18
Contexte d ’émergence Pour qui ? Pour quoi ? Quelles limites ? Conclusion Sources Définitions Quel intérêt ? Quel avenir ? Définitions et Contexte 4 REX et ROI 18 Définitions et caractéristiques 4 REX Saint Gobain 18 Frise chronologique 7 REX Lafarge 20 Contexte d’émergence : le web 2.0 8 21 ROI Les bonnes pratiques 23 Analyse FFOM 10 Quel avenir ? 25 Forces 10 Scénario 1 25 Faiblesses 11 Scénario 2 26 Scénario 3 La cohabitation KM / RSE 13 28 Sondage 24 Acteurs 14 Conclusion Les éditeurs de KM 25 14 Les éditeurs de RSE 15 Sources 26 Les entreprises 16 NB : Sous chaque onglet en haut de diapositive, vous avez plusieurs pages. Fermer le dossier Sommaire 3

4 Définitions et contexte
Analyse FFOM Les acteurs REX et ROI Bonnes pratiques Avenir Sources Conclusion Sources Knowledge Management Réseau Social d’Entreprise Le Knowledge Management (KM) ou gestion des connaissances se définit comme l'activité qui consiste à identifier, traiter, organiser, partager et conserver les connaissances d'une entreprise. Un Réseau Social d’Entreprise (RSE) est un outil, un réseau destiné à développer la communication et la collaboration au sein de l’entreprise. On peut donc dire que le contenu est important, mais ce qui compte tout autant, c’est la façon dont ce contenu va être utilisé, partagé par les collaborateurs. Les 5 phases du KM sont: - Le repérage de la connaissance - la préservation de la connaissance - la valorisation de la connaissance - la création et le partage de la connaissance - l'actualisation de la connaissance Il peut être accessible aux seuls collaborateurs de l’entreprise : le RSE est alors une composante de l’intranet de l’organisation. Il peut aussi être accessible à des partenaires extérieurs à l’entreprise (clients, fournisseurs, experts,…) : le RSE est alors adossé à un extranet. Ce processus de 5 phases est gage de qualité et de pertinence des informations diffusées. Source: Fermer le dossier Sommaire Définitions et contexte

5 Définition : Présentation et vidéo
Définitions Contexte Analyse FFOM Les acteurs REX et ROI Bonnes pratiques Avenir Sources Conclusion Sources KM RSE «A propos du KM…» une présentation d’Antoine Tawa Durée : 5mn14 Le réseau social d’entreprise… pour les nuls Durée : 3mn04 Si la présentation ne démarre pas, vous pouvez la visualiser à l’adresse suivante : Si l’animation ne démarre pas, vous pouvez la visualiser à l’adresse suivante : Fermer le dossier Sommaire Définitions et contexte

6 Définition - Caractéristiques
Définitions Contexte Analyse FFOM Les acteurs REX et ROI Bonnes pratiques Avenir Sources Conclusion Sources KM Le Knowledge Management met au coeur de son dispositif la conservation et la transmission des savoirs et des savoir-faire entre collaborateurs et entre générations. RSE Le Réseau Social d’Entreprise favorise les interactions entre les personnes et leur production (messages, posts, blogs, fichiers) et développe la dimension collaborative au sein de l’entreprise. Les principales caractéristiques du KM : Les principales caractéristiques d’un RSE : Une volonté managériale forte pour structurer et formaliser les connaissances d’une entreprise sur des supports clairement identifiés (rapports d’activités, études…) Tirer profit des expériences du passé et éviter la perte des savoirs et des savoir-faire. Mettre en avant l’esprit d’équipe en instaurant un processus de gestion collective du savoir: passer d’un savoir individuel à un savoir collectif Capitaliser les connaissances d’une entreprise et pérenniser pour l’avenir son patrimoine de la connaissance dans un environnement mondialisé Accroître le partage de la connaissance pour créer de la valeur ajoutée Un périmètre d’utilisation contrôlé (collaborateurs, partenaires) Une segmentation du réseau en « communautés » ou en « groupes » ouverts, fermés ou secrets Un profil riche pour chaque participant et surtout la mise en relation des personnes et des contenus afin de faciliter les recherches et les suggestions Une interface basée sur le principe du mur (ou fil d’activités) qui facilite l’accès à l’information aussi bien depuis un ordinateur que depuis un appareil mobile  Des fonctions facilitant la collaboration (publication, abonnement, co-édition, commentaires, gestion de tâches et actions) Une capacité à établir des connexions avec les autres briques du système d’information (annuaires, bureautique, Gestion Electronique de Documents) Fermer le dossier Sommaire Définitions et contexte

7 Définitions et contexte
Frise chronologique Définitions Contexte Analyse FFOM Les acteurs REX et ROI Bonnes pratiques Avenir Conclusion Sources Frise chronologique Et après? 2013 2005 2000 1990 1980 Apparition du KM Essor du KM Boom du KM et émergence du Web 1.0 Boom des réseaux sociaux (Web 2.0 collaboratif) Solutions KM vs RSE Fermer le dossier Sommaire Définitions et contexte

8 Contexte d’émergence : le Web 2.0
Définitions Contexte Analyse FFOM Les acteurs REX et ROI Bonnes pratiques Avenir Conclusion Sources Contexte d’émergence: le Web 2.0! Fermer le dossier Sommaire Définitions et contexte

9 La mise en place des réseaux sociaux
Définitions Contexte Analyse FFOM Les acteurs REX et ROI Bonnes pratiques Avenir Conclusion Sources La mise en place des réseaux sociaux Fermer le dossier Sommaire Définitions et contexte

10 Avantages - Bénéfices f KM RSE Définitions Contexte Analyse FFOM
Forces Définitions Contexte Analyse FFOM Les acteurs REX et ROI Bonnes pratiques Avenir Conclusion Sources f Avantages - Bénéfices KM RSE Quelques exemples de bénéfices concrets : Quelques exemples de bénéfices concrets : Pour les managers à tous niveaux (Direction Générale, Direction de services, chefs de projets) : une visibilité sur les activités en cours indépendante de son propre système de suivi (dossiers, messagerie, tâches, post-it) Pour tous : une meilleure accessibilité à l’information générant plus de fiabilité (la bonne information) et plus de productivité (accès et gestion plus rapides) Pour l’entreprise ou l’organisation : des économies (coûts de communication, coûts de déplacement, remplacement de solutions techniques plus coûteuses) Une motivation plus grande des acteurs (productivité, accessibilité, reconnaissance de leur travail) Des avantages concurrentiels (agilité, innovation, réactivité, valorisation et transmission de l’expertise) Augmentation de la productivité par le transfert de compétences d'une personne à une autre (cas des départs à la retraite par exemple) Outil d'aide à la prise de décision par la confrontation de différentes sources , points de vue et la connaissance de la clientèle Soutien de l'innovation pour mener à bien une veille technologique pour les industriels. Valorisation des compétences des individus par la mise en place d’une cartographie à jour des expertises de la masse salariale et motivation les collaborateurs par la reconnaissance de leur compétences. Source: Fermer le dossier Fermer le dossier Sommaire Sommaire Pour qui ? Pour quoi ? p1 Analyse FFOM

11 Inconvénients - freins
Faiblesses Définitions Contexte Analyse FFOM Les acteurs REX et ROI Bonnes pratiques Avenir Conclusion Sources f Inconvénients - freins KM RSE Freins comportementaux : Difficulté de changer sa manière de travailler Faible intérêt porté aux pratiques du KM par les collaborateurs Freins organisationnels : Manque d’implication de toutes les parties prenantes de l’entreprise Manque de communication claire sur les objectifs d’une politique KM Implémentation longue, complexe et parfois coûteuse. Freins managériaux : Retour sur Investissement (ROI) difficilement mesurable Manque d’une volonté managériale forte (multiplicité des projets et mise en place des projets prioritaires) Freins comportementaux : Inconscients Hostilité face aux nouvelles technologies Hostilité face aux nouvelles formes d’organisation Freins organisationnels : Structure hiérarchique Pas de communication transversale Manque de formation Freins managériaux : Manque d’implication du management ROI difficilement évaluable Management centré sur l’individu et non le groupe Fermer le dossier Fermer le dossier Sommaire Sommaire Pour qui ? Pour quoi ? p1 Analyse FFOM

12 Inconvénients - freins
Menaces Définitions Contexte Analyse FFOM Les acteurs REX et ROI Bonnes pratiques Avenir Conclusion Sources f Inconvénients - freins KM RSE Freins culturels : La culture d’entreprise dominante en France, obstacle culturel au développement des RSE et du KM en 5 points: Un rapport passionnel au travail Une culture de la relation hiérarchique conflictuelle La société de défiance La diabolisation de l’entreprise La réticence à partager l’information chez les élites Freins culturels: Blocage de la part des collaborateurs (rétention d’informations) Culture hiérarchique Freins techniques : Toutes les connaissances et les compétences ne peuvent être stocker sur des serveurs informatiques Frein à l'innovation et à la création (solution de facilité qui consiste à se contenter des acquis) ou quête d’une formalisation excessive du savoir Manque d'interactivité Freins techniques : Risques de sécurité : les services informatiques craignent la perte d’informations sensibles Complexité de la mise en œuvre Analyse détaillée du point « freins culturels » sur le blog de Cecil Dijoux, un expert activiste de l’entreprise 2.0 Source: Fermer le dossier Fermer le dossier Sommaire Sommaire Pour qui ? Pour quoi ? p1 Analyse FFOM

13 La cohabitation KM / RSE
Définitions Contexte Analyse FFOM Les acteurs REX et ROI Bonnes pratiques Avenir Conclusion Sources La cohabitation KM / RSE: opportunité ou menace? Fermer le dossier Sommaire Définitions et contexte

14 Acteurs: quelques éditeurs de KM
Les acteurs p2 Définitions Contexte Analyse FFOM Les acteurs REX et ROI Bonnes pratiques Avenir Conclusion Sources Acteurs: quelques éditeurs de KM Nom de l’entreprise Caractéristiques ALogic Création de bases de connaissances métiers, robot d'alerte sémantique et structuration sémantique du contenu Ardans Conception de fiches métiers Arisem Collecte et analyse d'informations structurées ou non Elikya Mutualisation des savoirs Knowings Capitalisation et partage des savoirs Mondeca Widgets sémantiques Triviumsoft Arbres de compétences Vedalis Hub de connaissances (liste non exhaustive) Source: Fermer le dossier Fermer le dossier Sommaire Sommaire Pour qui ? Pour quoi ? p1 Les acteurs

15 Acteurs: quelques éditeurs de solutions RSE
Les acteurs p2 Définitions Contexte Analyse FFOM Les acteurs REX et ROI Bonnes pratiques Avenir Conclusion Sources Acteurs: quelques éditeurs de solutions RSE N’hésitez pas à consulter les sites éditeurs ! Certains proposent des essais gratuits. Jive Yammer (Microsoft) Talkspirit Sharepoint Calinda Software Salesforce Chatter IBM Connections Jalios Knowledge Plaza Source: Fermer le dossier Fermer le dossier Sommaire Sommaire Pour qui ? Pour quoi ? p1 Les acteurs

16 Les acteurs : ceux qui ont mis en place un projet à composante KM
Les acteurs p1 Définitions Contexte Analyse FFOM Les acteurs REX et ROI Bonnes pratiques Avenir Conclusion Sources Les acteurs : ceux qui ont mis en place un projet à composante KM Nom de l’entreprise Type de projets Bouygues Projet collaboratif 2.0 : site extranet basé sur Microsoft Office Sharepoint Serveur. Fonctionnalités : Création de fiches de profils pour + de collaborateurs Echange des informations Retour d’expérience et de documents Contribution à une encyclopédie collective de type Wikipedia CEA (Commissariat à l’Energie Atomique) Expérimentation depuis octobre 2009 d’un réseau social hébergé par Bluewiki Fonctionnalités et finalités : Pilotés par la DSI et la DRH, soutien de la DG Plateforme d’échanges entre 4 communautés d’expertise (Communication, RH, Achats, et Administration) Partage et échange des bonnes pratiques Danone Projet lancé en 2008 pour une stratégie Web 2.0 Création de fiches profils, centres d’intérêt et compétences Création de communautés et partage de documents AFD (Agence Française du développement) Implémentation en 2010 d’un annuaire amélioré avec une fonctionnalité de réseau social Optimisation du partage de connaissances et d’expérience Ajout de forums, de blogs et d’un portail 2.0 personnalisable en complément Orange RSE mis en place en 2010 Chaque collaborateur crée son réseau de contacts en ajoutant des collègues Options de recherche : recherche manuelle ou recommandation de contacts Interactions entre l’annuaire groupe et le RSE Ce qu’il faut retenir: La préoccupation du KM reste d’actualité pour les entreprises Le KM s’imbrique dans le RSE Des solutions RSE sont utilisables dans le cadre d’une politique KM: IBM Lotus Connections 3.0 BlueKiwi Jalios Social Collaborative Knowledge Plaza Source: Fermer le dossier Fermer le dossier Sommaire Sommaire Pour qui ? Pour quoi ? p1 Les acteurs

17 Les acteurs : ceux qui ont mis en place un RSE (non exhaustif)
Les acteurs p2 Définitions Contexte Analyse FFOM Les acteurs REX et ROI Bonnes pratiques Avenir Conclusion Sources Les acteurs : ceux qui ont mis en place un RSE (non exhaustif) Nom de l’entreprise Nom du RSE Solution éditeur Commentaire Orange Plazza Sharepoint + Calinda utilisateurs actifs, communautés, 62 pays 80% d’usage professionnel (c/ 50% à la mise en place) Pas de fracture liée à l’âge de l’utilisateur Schneider Electric Spice 1ère étape : Salesforce Chatter 2ème étape : Tibco Tibbr 1ère étape : test sur le département Achats / Ventes : ↘de 70% du cycle de résolution d’un pb commercial ↗ de 27% des ventes croisées 2ème étape : Développement pour le groupe (début 2013) : 34% se connectent au moins 1 fois / sem. Parmi eux : 5% sont initiateurs 8% sont contributeurs 87% sont lecteurs Objectif : passer de 34% à 60% Lagardère Publicité YouMe 48% de contributeurs actifs + de 90% de lecteurs réguliers BNP Personal Finance YoolinkPro 1ère étape : test sur 50 utilisateurs : 90% d’activation globale + de 20% de contributeurs actifs Objectif : étendre à tous les collaborateurs Fermer le dossier Fermer le dossier Sommaire Sommaire Pour qui ? Pour quoi ? p1 Les acteurs

18 Retours d’expérience: le cas de Saint-Gobain
REX et ROI p1 Définitions Contexte Analyse FFOM Les acteurs REX et ROI Bonnes pratiques Avenir Conclusion Sources Retours d’expérience: le cas de Saint-Gobain Le contexte Les bénéfices observés 1-  L’identification de nouveaux marchés pour des produits existants grâce aux liens créés entre personnes d’entités différentes dans le groupe ; 2- La réduction du Time To Market grâce à l’échange de bonnes pratiques entre usines du groupe. En suggérant et créant des connections qui n’existaient pas, Jive a permis de réduire significativement les coûts et les durées de développement de produit. 3- L’amélioration du design et de la conception en R&D, avec une augmentation significative des innovations. 4- L’amélioration de la satisfaction des employés. Cela confirme  l’étude de McKinsey qui met en évidence une augmentation moyenne de 30% de la satisfaction des employés dans les  entreprises ayant déployé un RSE. Bart Schutte, Directeur Web et Architecture à la DSI de  Saint-Gobain (200 000 employés – 40 milliards de CA) a piloté la mise en oeuvre d’un RSE, qui s’intégrait totalement dans la stratégie de l’entreprise et visait trois objectifs : Permettre aux équipes distribuées de travailler plus efficacement, Faciliter les prises contacts entre les employés Faciliter le partage d’information pour être plus innovant, rapide et davantage orienté service. Fermer le dossier Fermer le dossier Sommaire Sommaire Pour qui ? Pour quoi ? p1 REX et ROI

19 Le cas de Saint-Gobain : Les Clés du succès
REX et ROI p1 Définitions Contexte Analyse FFOM Les acteurs REX et ROI Bonnes pratiques Avenir Conclusion Sources Le cas de Saint-Gobain : Les Clés du succès  La définition des besoins Elle suppose de définir les besoins généraux et de tester chacune des solutions à travers des exemples simples : création de profil, recherche de groupes, navigation dans les conversations, soumission d’une question, consultation du what’s new, contribution simple. Le choix de l’éditeur Il fallait une solution robuste et simple qui assure l’adoption du RSE par les utilisateurs. L’offre logicielle de Jive gravite essentiellement autour du Social Software, par une parfaite compréhension des besoins des utilisateurs. 3. L’accompagnement du changement 5 étapes : Description par le directeur de ligne des objectifs du projet et des moyens qui seront nécessaires. Identification d’une core team qui incarnera ce projet, définira et animera les communautés, évangelisera la solution, etc … Achalandage du site par des discussions, groupes, données, documents au sein de la communauté pour offrir du matériel lors du lancement général du site et mobiliser les troupes autour d’un contenu. Cette étape comporte aussi l’identification d’actions de coordination pour le démarrage. Lancement du RSE : Une web conférence est alors organisée avec toute la population visée pour expliquer ce qui est attendu autorisé et interdit. La charte d’utilisation est aussi expliquée. Supervision du système du site et des métriques d’utilisation dans un souci d’amélioration continue. Il s’agit d’un processus permanent. Bart recommande vivement de migrer toute une fonction en une fois (exemple : une ligne de produit avec la R&D, le support, le marketing, les sales etc … ). Il déconseille de migrer par équipes, ce qui ne ferait que perpétuer les silos hermétiques. Fermer le dossier Fermer le dossier Sommaire Sommaire Pour qui ? Pour quoi ? p1 REX et ROI

20 Le Social KM de Lafarge: lancement en 2011
REX et ROI p1 Définitions Contexte Analyse FFOM Les acteurs REX et ROI Bonnes pratiques Avenir Conclusion Sources Retours d’expérience Objectifs: Partager et diffuser la connaissance et les bonnes pratiques métiers entre les collaborateurs dans un délai plus court (une semaine auparavant). Contexte : Mise en place du serveur Lotus Domino en Connecté à l'intranet, la solution d'IBM était devenue obsolète. Caractéristiques : Recherche dans une base de connaissances et de bonnes pratiques dans la langue d'origine du collaborateur (6 langues), création de profils d'utilisateurs complets et la création d'un vaste réseau de knowledge workers. Stratégie retenue: Abandon de l’existant et abandon de l’adage faire du neuf avec du vieux et choix de Knowledge Plaza Perspectives : Expérimentation de Jive Software et outil d’émulation collective pour mettre en avant les meilleurs contributeurs. Le Social KM de Lafarge: lancement en 2011 Fermer le dossier Fermer le dossier Sommaire Sommaire Pour qui ? Pour quoi ? p1 REX et ROI

21 Retour sur Investissement
REX et ROI p2 Définitions Contexte Analyse FFOM Les acteurs REX et ROI Bonnes pratiques Avenir Conclusion Sources Retour sur Investissement Si certains exemples comme Schneider ou Saint-Gobain confirment que la mise en place d’un RSE peut être très bénéfique pour l’entreprise, la littérature sur le sujet montre que la jeunesse des réseaux sociaux d’entreprise rend encore difficile leur évaluation. Certes, le nombre de contributions est un indicateur de vitalité du réseau, mais attention ! Une entreprise qui a fixé pour ses salariés un objectif de lectures et de contributions a vu exploser son nombre de sans intérêt … Tout n’est pas dans la manière, mais cet exemple donne à réfléchir. Enfin, il ne faut pas perdre de vue les impératifs économiques qui s’imposent aux entreprises, et tout l’enjeu est maintenant de trouver des indicateurs pertinents permettant d’identifier clairement les avantages que l’entreprise a tirés de son RSE. Zyncro propose certains indicateurs tels que la réduction du temps passé à gérer son courrier électronique ou à chercher des informations, l’amélioration de certaines fonctions commerciales ou techniques (+ de contrats, résolution des problèmes plus rapide,…), réduction du turn over dans l’entreprise. RDV page suivante pour plus d’informations Fermer le dossier Fermer le dossier Sommaire Sommaire Pour qui ? Pour quoi ? p1 REX et ROI

22 Retour sur Investissement
REX et ROI p2 Définitions Contexte Analyse FFOM Les acteurs REX et ROI Bonnes pratiques Avenir Conclusion Sources Retour sur Investissement Fermer le dossier Fermer le dossier Sommaire Sommaire Pour qui ? Pour quoi ? p1 REX et ROI

23 Social KM RSE Les bonnes pratiques
Les bonnes pratiques p1 Définitions Contexte Analyse FFOM Les acteurs REX et ROI Bonnes pratiques Avenir Conclusion Sources Les bonnes pratiques Social KM RSE «Stimuler le partage de bonnes pratiques » chez Lafarge : une vidéo au titre très explicite Le RSE, outil de décloisonnement  dans l'entreprise, est surtout un projet humain, organisationnel, managérial. C'est un vrai projet de transformation de l’entreprise qui relève de la sphère managériale, ainsi qu’en témoigne la vidéo accessible à l’adresse suivante : Si la vidéo ne démarre pas, vous pouvez la visualiser à l’adresse suivante : Pour plus d’information, RDV à l’adresse : Fermer le dossier Fermer le dossier Sommaire Sommaire Pour qui ? Pour quoi ? p1 Les bonnes pratiques

24 Les bonnes pratiques dans l’utilisation du RSE
Les bonnes pratiques p2 Définitions Contexte Analyse FFOM Les acteurs REX et ROI Bonnes pratiques Avenir Conclusion Sources Les bonnes pratiques dans l’utilisation du RSE Pour tirer le meilleur profit d’un RSE, quelques bonnes pratiques s’imposent : Le RSE est réservé à la sphère professionnelle ; la sphère privée n’a pas sa place dans le RSE ; Suivre une personne avec laquelle on n’a pas l’intention d’échanger est inefficace ; Tout ce qui concerne le groupe d’échange doit être mis en commun : pas de rétention d’information entre les membres du groupe ; Quel que soit le niveau hiérarchique, les collaborateurs doivent agir sans appréhension et sans complexe ; Tous les membres de la structure doivent encourager l’interactivité. L’implication et l’accompagnement des utilisateurs dès le lancement du projet sont essentiels. Et pourtant … 1/3 (seulement !) des projets RSE font appel à d’autres parties prenantes (RH, collaborateurs, knowledge managers,…) que ceux qui sont à l’initiative du projet ; ¼ des projets RSE n’ont pas prévu de formation ; 1/5 des projets RSE font appel à du coaching individuel. Source : Livre blanc Zyncro 2013 : meilleures pratiques pour l’utilisation des réseaux sociaux d’entreprise Fermer le dossier Fermer le dossier Sommaire Sommaire Pour qui ? Pour quoi ? p1 Les bonnes pratiques

25 KM vs RSE: quel avenir? Scénario 1 :
Définitions Contexte Analyse FFOM Les acteurs REX et ROI Bonnes pratiques Avenir Conclusion Sources KM vs RSE: quel avenir? Scénario 1 : KM & RSE  Cohabitation & complémentarité «Communiquer, échanger ou organiser des évènements sont les fondamentaux des RSE, mais structurer, classer, hiérarchiser et assurer le workflow sont ceux des solutions KM, et aucun RSE ne pourra être identifié comme un outil KM s'il n'intègre pas ces fonctions de base ». Jean-Luc Abelin, Knowledge Manager au sein de Lafarge. A chacun son rôle! Le KM capitalise les connaissances tandis que le RSE diffuse les informations. Notre feedback: cette hypothèse nous semble temporaire durant une période de transition nécessaire entre les dispositifs existants et les nouveaux produits et tendances sur le marché. Source: Fermer le dossier Fermer le dossier Sommaire Sommaire Pour qui ? Pour quoi ? p1 Quel avenir ?

26 KM vs RSE: quel avenir? Scénario 2 :
Définitions Contexte Analyse FFOM Les acteurs REX et ROI Bonnes pratiques Avenir Conclusion Sources KM vs RSE: quel avenir? Scénario 2 : KM & RSE  Apparition de modèles hybrides (mix des 2 modèles) « Le principal, c'est que la solution RSE que l'on choisit réponde aux attentes KM de l'entreprise et que les fonctionnalités proposées collent aux objectifs et à l'utilisation que l'on souhaite en faire. Dans notre cas, Knowledge Plaza a répondu à nos attentes mais il semble que dans ce domaine Alfresco soit aussi une bonne solution ». Jean-Luc Abelin de Lafarge. Le RSE ne peut se suffire à lui-même. Les limites clairement identifiées ont soulevé un besoin latent des entreprises. Il semble que le boom des RSE redonne un souffle nouveau au KM. Le KM renaît et évolue vers des fonctionnalités collaboratives. Fermer le dossier Fermer le dossier Sommaire Sommaire Pour qui ? Pour quoi ? p1 Quel avenir ?

27 KM vs RSE: quel avenir? Scénario 2 (suite) :
Définitions Contexte Analyse FFOM Les acteurs REX et ROI Bonnes pratiques Avenir Conclusion Sources KM vs RSE: quel avenir? Scénario 2 (suite) : KM & RSE  Apparition de modèles hybrides (mix des 2 modèles) Notre feedback: « Rien ne perd, tout se transforme ». Même si la terminologie n’est pas encore fixée (plusieurs termes se côtoient: social-KM, Knowledge management collaboratif, KM hybride…), le Social KM confirmerait son rôle de trait d’union entre des fonctionnalités traditionnelles de gestion des connaissances du KM et les fonctionnalités collaboratives du RSE. Telle serait la formule gagnante. La solution présenterait l’avantage d’être complète et satisfaisante à la fois pour les partisans du KM et pour ceux de l’entreprise Web 2.0. A ce jour, il semble encore trop tôt pour évaluer l’impact et les retombées du Social-KM, car un nombre encore limité d’entreprises l’utilisent (Lafarge, L’Oréal, Adeo). A quoi ressemble, un Social-KM ? Visite guidée de la solution Knowledge Plaza ici. Source: Fermer le dossier Fermer le dossier Sommaire Sommaire Pour qui ? Pour quoi ? p1 Quel avenir ?

28 KM vs RSE: quel avenir? Scénario 3:
Définitions Contexte Analyse FFOM Les acteurs REX et ROI Bonnes pratiques Avenir Conclusion Sources KM vs RSE: quel avenir? Scénario 3: Un modèle s’impose au détriment de l’autre. Le KM arrive à maturité et disparaît du marché tandis que le RSE s’impose comme un outil plus en phase avec notre façon de travailler à l’heure du Web 2.0 OU Le RSE montre ses limites en matière de gestion des connaissances une fois l’effet de mode dépassé et le KM reprend une place de premier plan avec l’émergence du Social-KM Notre feedback: Il est peu probable qu’une solution supplante l’autre. Le RSE profite de l’effet de mode qu’elle suscite tout comme ce fut le cas en son temps avec le KM. Il est difficile de déterminer avec certitude l’évolution de ces solutions. Nous avons brossé là les tendances actuelles. Affaire à suivre… Fermer le dossier Fermer le dossier Sommaire Sommaire Pour qui ? Pour quoi ? p1 Quel avenir ?

29 Quel avenir ? Qu’en pensez-vous ?
Définitions Contexte Analyse FFOM Les acteurs REX et ROI Bonnes pratiques Avenir Conclusion Sources KM vs RSE: quel avenir? Et vous, qu’en pensez-vous? Scénario 1 ? Scénario 2? Scénario 3? Cliquez ici et donnez-nous votre avis! Cela ne vous prendra que quelques secondes… Si vous n’arrivez pas à ouvrir le lien, vous pouvez retrouver le sondage à l’adresse suivante : Fermer le dossier Fermer le dossier Sommaire Sommaire Pour qui ? Pour quoi ? p1 Quel avenir ?

30 Conclusion Définitions Contexte Analyse FFOM Les acteurs REX et ROI Bonnes pratiques Avenir Conclusion Sources Conclusion La gestion de la connaissance demeure une préoccupation majeure des entreprises, car la déperdition d'informations, de savoirs et de savoir-faire est un réel frein à la compétitivité des entreprises. Avec le knowledge management et les réseaux sociaux d’entreprise, nous vivons un bouleversement dans lequel solutions d’hier et d’aujourd’hui cohabitent, et qui, loin de se limiter à la communication privée, atteint nos modes de travail. Le Web 2.0 se veut collaboratif et rapide ; il bouscule notre façon de travailler. Il faut prendre des décisions stratégiques. Il s’agit d’un véritable changement culturel, qui bouscule le rapport à la connaissance et les liens hiérarchiques de l’entreprise, et qui, de ce fait, « se heurte à une réalité faite d’habitudes parfois difficiles à faire évoluer ». Aussi, la remarque de Pierre-Yves de la Côte sur son blog(*), « Derrière le Social de RSE se cache une véritable philosophie du partage » résume-t-elle parfaitement l’enjeu actuel, en ce qu’il s’agit non seulement de faire évoluer la technologie de l’entreprise, mais aussi les valeurs de partage sur lesquelles elle peut s’appuyer pour évoluer. Fermer le dossier Fermer le dossier Sommaire Sommaire Pour qui ? Pour quoi ? p1 Conclusion

31 Sources Définitions Contexte Analyse FFOM Les acteurs REX et ROI
Bonnes pratiques Avenir Conclusion Sources Sources Scoop it Collaboratif rupture?page=1 Articles sur le knowledge management Les articles & dossiers de Dominique FILIPPONE (JDN) : Article sur le KM de Jean Michel : Bloggeurs et spécialistes du RSE Blog d’Hervé Bébin : : Réseaux Sociaux et Collaboratifs Internes ou Étendus Blog d’Anthony Poncier : et son slideshare: Blog de Bertrand Duperrin: Blog de Cecil Dijoux : Editeur d’un livre blanc : Bibliographie PRAX, Jean-Yves, Le manuel du knowledge management: mettre en réseau les hommes et les savoirs pour créer de la valeur, 3ème ed, Dunod, Paris, 2012 Fermer le dossier Fermer le dossier Sommaire Sommaire Pour qui ? Pour quoi ? p1 Sources

32 http://www.scoop.it/t/km-vs-rse-suite-ou rupture?page=1
Sources Définitions Contexte Analyse FFOM Les acteurs REX et ROI Bonnes pratiques Avenir Conclusion Sources Pour plus d’informations, consultez notre Scoop it Collaboratif : rupture?page=1 Fermer le dossier Fermer le dossier Sommaire Sommaire Pour qui ? Pour quoi ? p1 Sources 32


Télécharger ppt "Réseau Social d’Entreprise"

Présentations similaires


Annonces Google