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LES FACTEURS GEOLOGIQUES DANS L’OCCUPATION DE LA BUTTE TEMOIN DE LAON

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Présentation au sujet: "LES FACTEURS GEOLOGIQUES DANS L’OCCUPATION DE LA BUTTE TEMOIN DE LAON"— Transcription de la présentation:

1 LES FACTEURS GEOLOGIQUES DANS L’OCCUPATION DE LA BUTTE TEMOIN DE LAON
Mettre en avant la relation géographique Homme/milieu (dialectique et/ou systémique). Le principal objectif est de montrer que les sociétés, qui ont occupé la butte de Laon au cours de l’Histoire, ont tiré profit de la structure géologique et géomorphologique de la butte. En fonction de leurs besoins, ces sociétés ont pris en compte certains paramètres, déterminés par le milieu, mais ont, en même temps, façonné ce milieu. On insistera sur l’activité des carrières et le creusement de souterrains. OBJECTIFS DE LA SOCIETE LES PARAMETRES NATURELS La mise en valeur ou l’occupation de l’espace Perçus comme atout Perçus comme contraintes M O Y E N . A G Ville épiscopale à forte tradition gallo-romaine dans une société médiévale rurale et agricole : vigne privilégiée Exposition sud des versants Présence de sols ravinant facilement ou solifluant (argiles, sables…) sur les versants Les versants exposés au sud-est sont plantés de vignes, des terrasses limitent l’érosion Cônes de déjection = sols agricoles Région de conquêtes et de conflits : Laon se veut un site fortifié (héritage pré-celtique et gallo-romain supposé) ce qui lui donne un rôle de place forte pour la région alentour avec des objectifs: construire des remparts Accueillir des constructions en dur (palais, fortins…) Pouvoir servir de refuge Pouvoir tenir un siège (réserves eau, silos à grains) Butte témoin surplombant une plaine vaste Calcaire lutétien au sommet du plateau au dessus d’argiles créé un escarpement Présence d’un aquifère à 15 m de profondeur sous l e plateau Accès difficile de la butte ( à relativiser : pente peu forte pour un relief de cuesta) Risque, même mineur, d’effondre-ments en bordure du plateau et de glissements, ravinements en contrebas (tour penchée) Vers le Nord il est possible de surveiller un horizon à 30km Des carrières sont creusés sous le plateau pour récupérer le calcaire lutétien pour les constructions. Cette state forme un escarpement de quelques mètres : fortification naturelle et des fondations pour les remparts Des puits sont creusés pour atteindre l’aquifère : guère plus de 15 m pour le atteindre la nappe depuis le plateau.

2 La présence d’une nappe perchée offre un atout pour l’habitat humain :
Des puits sont creusés …. La strate du lutétien forme une bonne assise pour les remparts malgré la présence de sables en dessous. Le calcaire du lutétien fournit des matériaux pour la construction des remparts… Des carrières souterraines permettent de l’extraire L U T E I N 5 6 Les constructions se développent … et on développe ainsi les carrières souterraines SABLES LUTE-TIEN Altitude COUPE SCHEMATIQUE GENERALE JP Jorrand Carrières et ouvrages souterrains de la ville de Laon Revue archéologique de Picardie, Année 1997, Volume 1, Numéro 1 p. 127 – 139 A – argile de Laon (Cuisien) / S – sables lutétiens / C – calcaires lutétiens / R – remblais historiques 1: caves de premier niveau; 2 : bollards; 3: fenêtre murée; 4: puits à eau; 5: carrières souterraines de calcaire; 6:colonne en remploi; 7: pilier maçonné; 8:cheminée d’aération; 9: ancienne carrière à ciel ouvert; 10: puits d’extraction; 11: porte murée; 12: structure excavée recoupée par une carrière; 13: pilier tourné; 14: souterrain de liaison; 15: mur de cloisonnement; 16: niche; 17:carrière de sables (arènes); 18: voûtes de support d’escalier; 19::rempart; 20:drain de fontaine. ARGILE DE LAON 150 m SABLES DE GUISE COLLUVIONS SPARNACIEN : ARGILES SABLEUSES 100 m SABLES et GRES de BRACHEUX 400 m 300 m 200 m 100 m

3 L’activité de carrière est rentable
OBJECTIFS DE LA SOCIETE LES PARAMETRES NATURELS La mise en valeur ou l’occupation de l’espace Perçus comme atout Perçus comme contraintes M I L E U O Y . A G Ville médiévale majeure dans le royaume franc : résidence royale, école, évêché. Les constructions nombreuses font de l’exploitation de carrières une activité rentable Loi ou édits sur la propriété du sous-sol : article 552 Propriété privé urbaine dans monde féodal : parcellaire favorisé (enclosure) Calcaire lutétien affleure sur le plateau avec une épaisseur de 8 à 10 m. -La texture est favorable à construction. - Présence de sables dans la partie inférieure de la strate (matériaux pour mortier) Certains aspects géologiques (structure et texture) présentent des contraintes : - friabilité de certaines strates du lutétien. L’activité de carrière est rentable - Chaque propriétaire de sole ou lopin exploite le sous-sol à la verticale des limites de sa propriété, et ce jusqu’aux sables. - La technique employée permet de maintenir les pilier de soutènement qui étayent les cavités (distance proche et limites de propriété) R E N A I S C Le développement urbain et l’évolution architecturale (croiss. bâtiments bourgeois en pierre / baisse habitat colombages) amplifie la demande en matériaux de construction : cathédrale hôtels particuliers. -Les apports exogènes deviennent nécessaires et les carriers délocalisent aux alentours de Laon. I D E M I D E M L’activité des carrières entre dans la phase d’épuisement de la ressource exploitable : -les cavités ne peuvent plus être étendues sans remettre en cause la solidité des étais ; -l’exploitation des sables à la base du lutétien pour les mortiers (calcaire sableux) compromet la solidité des cavités supérieures plus anciennes situées dans le calcaire lutétien.

4 Le X siècle X V III & I OBJECTIFS DE LA SOCIETE
LES PARAMETRES NATURELS La mise en valeur ou l’occupation de l’espace Perçus comme atout Perçus comme contraintes X V III & I L’urbanisation est galopante nouveaux matériaux de construction (brique) + industrialisation -> l’activité des carrières décline. - nouveau parcellaire urbain - Les carrières deviennent des souterrains, des caves dédiés aux habitations ou à l’armée -L’alimentation locale en eau demeure nécessaire (puits et sources) Les cavités artificielles, les souterrains restent nombreux et praticables car encore peu dégradées par les processus d’érosion et de dégradation qui débutent seulement. Certains processus d’érosion apparaissent ou s’accentuent par rapport à la période précédente : la friabilité du lutétien apparaît d’autant plus que l’on observe l’effondrements de voûtes médiévales (à prouver/doc.) La ville de Laon doit entretenir et consolider les carrières ( devenues des caves, des souterrains, des aquifères). Des structures en brique remplacent les piliers et voûtes calcaire Le nouveau parcellaire urbain doit tenir compte de la cartographie du sous sol (fondation des murs) Des carrières sont intégrées dans le système de fortification du XVIII° élargi au XIX° et donc réaménagées La révolution industrielle a transformé le système socio-économique de la ville : la fonction tertiaire domine sur butte (fin carriere et agriculture /viticulture) sur le versant l’adduction d’eau potable exogène est faite depuis 1888 Le confort moderne exige le « tout à l’égout ». Caves et souterrains perdent l’intérêt habitable et militaire Les cavités sont des espaces pratiques permettant le stockage de déchets urbains ou sont vus comme un exutoire pour les déchets domestiques (eaux usées …) Les contraintes se multiplient : -l’érosion s’amplifie (nappe perchée sans prélèvement + apports eaux usées => saturation) -des effondrements ont lieu sur le plateau et le versant -la pente / transport moderne Le X siècle La butte perd l’intérêt qui avait fait le sien jusqu’ici : -l’hydrogéologie est désormais vécue comme un facteur de risque : plan d’exposition aux risques / gestion (tardive) des eaux usées -les retards dans la prise en compte des cavités et souterrains nécessitent un repérage et des actions coûteuses de restauration, de consolidation et de colmatage

5 Depuis 1980 OBJECTIFS DE LA SOCIETE LES PARAMETRES NATURELS
La mise en valeur ou l’occupation de l’espace Perçus comme atout Perçus comme contraintes Depuis 1980 La post-industrialisation touche la société de la ville de Laon : -l’intérêt pour le cadre de vie croît chez les habitants; -le risque n’est plus toléré par la société (risque zéro exigé ; exigence des assurances / immobilier ; spéculation foncière « démocratisée »); -le tourisme devient une activité rentable ; le patrimoine architectural et culturel devient une valeur : les souterrains en font partie. -la décentralisation rend les collectivités (ville de Laon) responsables et actrices de l’aménagement de leur territoire. -l’image de la ville, sa perception de l’extérieur, commence à compter pour les politiques et les décideurs. La présence de cavités artificielles très anciennes crées par l’Homme (intérêt « historique ou archéologique ») accessibles pour des visiteurs Les strates géologiques sont visibles pour ces visiteurs les calcaires présentant de nombreux fossiles visibles à l’oeil nu. Certains processus d’érosion ne sont plus maîtrisables ou bien leurs effets sont largement avancés. La strate du lutétien est dégradée dans son ensemble (situation de non retour ?) Certaines zones d’érosion sont peu connues ou non cartographiées (surtout dans les souterrains / sur les versants). La nappe perchée garde une compétence naturelle forte (impluvium du plateau) Situation caractéristique d’une société qui maîtrise mal l’évolution de son environnement. Les souterrains peuvent être à la fois un atout et une contrainte : ils sont à préserver en tant que patrimoine historique de la Ville : ils sont mis en valeur par le tourisme et participent à l’image positive d’une ville qui trouve ses racines dans une histoire qui la lie à son territoire (terroir / géologie) Ils sont une contrainte à supprimer : ils la valeur du foncier et engagent la ville à des travaux coûteux. => Le statu quo est alors de mise dans « l’attente » d’une « catastrophe » qui poussera la société à modifier sa perception du milieu, à faire des choix sur l’organisation de son espace puis à agir sur son environnement.

6 L’intérêt pour des classes de seconde.
Il s’agit de faire découvrir aux élèves cette inter-relation entre les sociétés et leur milieu environnant. On peut ainsi, par cette étude de cas, appréhender la logique du programme de Géographie et aborder plusieurs notions clés. On peut amener les élèves à construire le cheminement logique suivant, en montrant : que les Hommes occupent et aménagent l’espace en fonction de la relation atout / contraintes / besoins sociaux et économiques; que l’équilibre du système géographique (au sens géosystème) dépend de nombreux facteurs tant naturels que sociaux-économiques ; qu’il y a une évolution, dans le temps, des paramètres (et donc facteurs) naturels (dus à l’érosion ou à l’entropie des écosystèmes) mais aussi sociaux (évolution des activités économiques, des enjeux géopolitiques, des structures sociales selon les époques de l’Histoire); que cette évolution aboutit à des modifications des géosystèmes ; évolutions plus ou moins voulues ou contrôlées par la société ; ce qui engendre des problèmes environnementaux (ou perçus comme tels) on est alors amené à poser la problématique du développement durable, à définir son concept. Les activités et les réalisations Une étude de terrain : sortie sur le terrain avec les élèves après des travaux en classe sur des documents (cf diopositive suivante) tels des extraits de l’étude du BRGM de 1989, cartes topographiques …. Une visite guidée des souterrains présente assez bien l’optique à la fois naturaliste, historique et géographique (cf Denis Montagne). Pour le travail final, la réalisation d’un diaporama par des groupes d’élèves, permettrait de surcroît d’acquérir, puis d’évaluer, des compétences au niveau des TICE (organigrammes, animations pwpt, insertion image/vidéo)…

7 Documents d’accompagnement et travaux sur documents
Vues du paysage géographique d’ensemble de la région : carte topo … Documents d’archives sur l’occupation de la butte avant 1980 Documents sur l’exploitation et la localisation des carrières Cartographie des souterrains actuels selon leur ancienneté Documents relatifs aux risques Documents relatifs à la mise en valeur patrimoniale des souterrains

8 La séquence A) Elle peut s’inscrire :
- En module dans le domaine de l’apprentissage de la méthodologie propre à la géographie. On insistera alors sur quatre items : 1) savoir délimiter les éléments d’un paysage à partir de photographies aériennes, images satellites voir d’observation directe lors d’une sortie sur le terrain ; 2) savoir définir les éléments constitutifs de chacune de ces unités de paysage et déterminer ceux qui jouent un rôle majeur, structurant ; 3) expliquer, à partir d’informations croisées fournies par des documents, l’organisation de l’espace, sa logique, les évolutions qui expliquent sa mise en place actuelle ; 4) réaliser une représentation graphique adéquate pour chacune des ces trois étapes : croquis pour l’étape n°1, organigrammes ou schémas explicatifs pour l’étape n°2 (mise en relations, cause/conséquences, systèmes fonctionnels), croquis de synthèse pour l’étape n°3. - En cours pour l’étude de cas des sociétés face aux risques. B) Déroulement de la séquence 1° heure : formaliser les relations Homme milieux. l’objectif est de montrer que les sociétés ont organisé leur espace en tenant compte des atouts et des contraintes de leur environnement. - Pré-requis : on rappelle certains liens sociétés / milieu vus dans les études de cas précédentes (« facteurs de peuplement » dans Six milliards d’Hommes ; « les types d’agriculture et leurs impacts sur le milieu » dans Nourrir les Hommes ; « la plus ou bonne maîtrise des ressources en eau et la perturbation des hydrosystèmes …Aral…Colorado » dans le chapitre sur l’eau) - Cela permet de construire avec les élèves une grille de lecture plus affinée et plus formelle de ces relations sociétés milieu environnant (cours dialogué lors du rappel des pré-requis, exemples de justification des choix méthodologique). Objectifs de la société liés à son mode socio-économiques, sa culture… Les choix de société, les mises en valeurs opérées, les aménagements Les éléments du milieu « naturel » perçus comme atout / contrainte ou risque L’organisation de l’espace géographique qui en résulte, les paysages

9 2° heure : appliquer et/ou confronter le modèle à la butte de Laon ; insister sur la mise en place progressive du concept de « risque » qui s’inscrit dans de celui de contrainte. On fournit aux élèves une photocopie, à compléter, de la diapositive n°1 (cf présentation ci-dessus sans les flèches correspondantes). Ils ont à tracer ces flèches de « mise en relation » homme/milieu. Une correction peut être faite ensuite (tableau numérique ou vidéo-projecteur). Il est nécessaire d’insister, dès cette phase de travail, sur la notion de risque (prise en compte du risque naturel par les sociétés médiévales, même s’il n’est pas formulé ainsi). Remarque méthodologique: la démarche consiste à : utiliser une analyse déductive, en fonction des connaissances (pré-requis) et suivre une analyse logique ; procéder à une confrontation des résultats obtenus face à des documents fournis ensuite : ils viennent confirmer (ou infirmer) les analyses précédentes du [a] (carte topographie au 50000°, carte géologique, extraits d’ouvrages sur l’histoire de Laon). Un schéma explicatif doit être réalisé ou complété. les élèves peuvent alors retranscrive le schémas explicatifs qu’ils ont complété à la fin de la séance [b] sous forme de paragraphe argumenté, grâce à des informations contenues dans les documents fournis (méthode de l’argumentation). Ce travail (par groupe ?) peut être ramassé et évalué. 3° heure : décrire et comprendre l’émergence d’un risque : en quoi est-il consécutif à une exploitation mal maîtrisée du milieu et/ou à une évolution « critique » d’un géosystème : le rôle des carrières et souterrains de Laon - On corrige les travaux évalués précédemment. - Les élèves disposent d’un ensemble documentaire à partir duquel ils vont essayer de réaliser un schéma, un organigramme, à l’image de ce qui a été fait précédemment (diapositive n°1). L’objectif est de se rapprocher au maximum du diaporama ci dessus (diapositives 1 à 4). Le corpus documentaire met en valeur l’importance grandissante des carrières et souterrains dans l’organisation de l’espace, du Moyen Age à nos jours. Ce corpus est composé de : un traité relatif à l’exploitation des carrières au XVI°, une cartographie diachronique des cavités et souterrains, un plan d’occupation des sols ou un plan d’urbanisme, une cartographie des zones à risque (PER), une publicité de la mise en valeur touristique des souterrains. Remarque méthodologique : la démarche est celle de l’étude d’un ensemble documentaire. Des questions peuvent orienter les élèves afin qu’ils perçoivent l’évolution des relations Homme/milieu, évolution qui aboutit au concept contemporain de risque. Par exemple on peut attendre un travail tel : les sociétés évoluent -> leurs attentes évoluent -> apparition de nouvelles perceptions des atout/contraintes du milieu -> développement de mises en valeur différentes -> le milieu « naturel » est transformé -> les facteurs naturels, à la base des perceptions initiales, changent -> transformant le rapport atout/contrainte -> apparition du concept de risque non maîtrisé… Ce travail peut prendre la forme d’un schéma systémique. 4° heure : une sortie sur le terrain avec la visite des souterrains permet de compléter et de concrétiser le travail de la 3° heure. Il est possible de demander un dossier final qui met en valeur les travaux réalisés par des documents récupérés lors de la sortie terrain (photographies, « interwiew » de spécialistes …).

10 ETUDE D’UN ENSEMBLE DOCUMENTAIRE
LAON : LA PRISE EN CONSIDERATION DES CARRIERES SOUTERRAINES ENTRE ATOUT ET GESTION DES RISQUES DOCUMENT N°1 Carrières et ouvrages souterrains de Laon Lorsque l’on peut reconstituer le parcellaire du Moyen Age (square Le Nain dans la Cité), on constate que les carrières lui sont liées très directement car l’emplacement des fondations d’immeubles médiévaux correspond soit à des fronts de taille, soit à des murs, soit à des piliers tournés ou maçonnés. La situation s’est dégradée à partir du XVI° siècle car les constructions ne tenaient pas toujours compte des carrières. Jusqu’au XIX° siècle, celles-ci ont cependant été entretenues et consolidées. Les carrières de calcaire constituent des îlots, plus ou moins vastes, au plan compliqué, très souvent reliés entre eux par des souterrains de liaison. […] Après leur période d’exploitation, les carrières de calcaire ont été utilisées comme caves (…) et comme abris durant les guerres. […] Au XIX° siècle les militaires ont creusé de nombreuses galeries de liaison entre les fortins, batteries et bâtiments [surtout] à l’extrémité ouest de la colline [apparemment] peu touchée par les carrières médiévales. [les autres constructions souterraines sont] l’anciennes glacière de l’évêché (…) ; la « crypte » St-Génébaud, niveau souterrain d’un chapelle à deux étages, bombardé en 1944 ; (…) un puits de grand diamètre (…° peut-être puits de vidange de l’hôpital (…) fin XVII°. JP Jonrrand Carrièreset ouvrages souterrains de la ville de Laon Revue archéologique de Picardie 1997 Vol1 n°1 DOCUMENT N°2 Site internet Laon 02

11 DOCUMENT N°3 DOCUMENT N°4 PLAN D’EXPOSITION AUX RISQUES

12 DOCUMENT N°5 PLAN DES CARRIERES A LAON
QUESTIONS 1 2 3 4 5


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