1-La Nouvelle-France et le contexte de guerre

Présentation au sujet: "1-La Nouvelle-France et le contexte de guerre"— Transcription de la présentation:

1 1-La Nouvelle-France et le contexte de guerre

2 A- La déportation des Acadiens

3 Contexte européen=guerres intercoloniales
De 1604 à 1763, il y a des guerres continuelles entre la France et l’Angleterre en Europe ce qui causent des guerres entre la Nouvelle-France et la Nouvelle-Angleterre

4 Europe France Angleterre Amérique du Nord Nouvelle-France
Nouvelle-Angleterre Guerres intercoloniales

5 Vaste territoire Faible population Économie peu développée Défense -miliciens

6 Petit territoire Population élevée Économie très développée Défense-soldats

7 Une de ces guerres, la Guerre de la Succession d’Espagne en Europe se termine en 1713 avec la signature du traité d’Utrecht

8 -La France perd une partie de son territoire :
l’Acadie (Nouvelle-Écosse) la région de la baie d’Hudson Terre-Neuve

9 La France à peur de perdre le reste de son territoire et pour le protéger entreprend la construction de la forteresse de Louisbourg (1713)

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11 Les Britanniques s’inquiètent et entreprennent la construction de la citadelle d’Halifax en 1749

12 -Cas d’une guerre (prennent de leur côté)
En 1713, les Acadiens sont devenus des sujets britanniques (Acadie territoire britannique) Les Britanniques veulent s’assurer la loyauté des Acadiens par la signature d’un serment d’allégeance inconditionnelle à l’Angleterre (promesse de fidèlité) -Cas d’une guerre (prennent de leur côté)

13 Les Acadiens sont prêts à signer un serment d’allégeance conditionnel (neutralité)
-pas se battre contre la France ou l’Angleterre

14 Le sort de l’Acadie est déterminé par le résultat des guerres en Europe, c’est ainsi que l’Acadie est ballotée d’une métropole à une autre

15 De 1713 à 1753, les gouverneurs britanniques acceptent,
car les Acadiens sont majoritaires.

16 En 1753, le nouveau gouverneur, Charles Lawrence
Refuse le serment d’allégeance conditionnel Exige un serment d’allégeance inconditionnel

17 Charles Lawrence

18 1755 la Déportation commence
Les Acadiens refusent de signer un serment inconditionnel à la Couronne britannique et en 1755 la Déportation commence 3e partie 5:34

19 Les soldats britanniques, avec l’aide des soldats américains, procèdent à la déportation
**Document patrimonial

20 La déportation commence à l’église de Grand Pré

21 Colonel John Winslow est responsable de la déportation
Les hommes sont rassemblés dans l’église et sont avertis qu’ils seront déportés.

22 Entre temps, les femmes et les enfants sont rassemblés et dirigés vers les bateaux.
Ils sont dit qu’ils peuvent apporter quelques effets

23 Les Acadiens sont embarqués dans des navires à destination des colonies américaines
Charles Lawrence dit au colonel Monckton:«Je ne vous demande pas d'attendre que les femmes et les enfants s'embarquent, envoyez les hommes sans eux.»

24 Les soldats britanniques incendient leurs fermes et prennent leur bétail
Ode à L’Acadie

25 Les Anglais voulaient depuis longtemps les terres des Acadiens
Leurs terres étaient très fertiles

26 La déportation se continue jusqu’en 1763 dans les autres villages (environ / hab. sont déportés) La plupart sont déportés dans les colonies américaines dans le but des assimiler

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28 Colonies américaines :
Massachusetts Caroline du Nord et du Sud Georgie Maryland New York Connecticut Virginie Philadelphie Pensylvannie

29 Le transport est très difficile et plusieurs meurent durant le trajet
Tempête en mer Mauvaises conditions sanitaires Épidémies Manque de nourriture et d’eau potable

30 Massachusetts (2000 Acadiens)
-gouverneur collabore avec Charles Lawrence pour déportés les Acadiens -donne des soins aux malades (épidémie de variole) -les enfants sont arrachés de leurs parents et forcés d’être adoptés par les Américains

31 Maryland (810 Acadiens) -aucune maison ou nourriture -engagés à des travaux serviles Georgie (185 Acadiens) Ils sont ignorés et livrés à eux-mêmes et tous arrêtés par la suite

32 Pensylvannie (383 Acadiens)
-les autorités n’ont pas été avertis de leur arrivée -refusent de les laisser débarquer des bateaux -plusieurs meurent de maladies sur les bateaux -les survivants furent rassemblés dans un bidonville - les enfants envoyés à des écoles anglophones

33 Virginie (1 500 Acadiens) -les autorités refusent des accepter et les dirigent vers l’Angleterre -plusieurs meurent lors du trajet (3 mois dans des vieux bateaux) -les survivants sont des prisonniers de guerre

34 Certains sont réexpédiés jusqu’en Europe (France)
Certains sortent des colonies américaines- se rendre en territoire français (Louisiane*, aux Antilles françaises ou au Québec) *vendu aux États-Unis en 1803

35 Certains s’enfuient vers le Québec ou se cachent dans les bois du N.-B. actuel
Les conséquences des tentatives d'évasion étaient très graves: leurs proches seraient alors éxécutés. Lawrence: «Vous devez faire tous les efforts possibles pour réduire à la famine ceux qui tenteront de s'enfuir dans les bois.»

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37 Cocagne : côté nord de la rivière(ruisseau des Malcontents) –plage Belair et au Cap de Cocagne

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40 Le commandant en charge de la défense de la Nouvelle-France est Louis-Joseph de Montcalm (peu d’aide de la France)

41 Les Britanniques font plusieurs attaques contre les Français, mais avec l’aide des Autochtones, les Français vont remporter des victoires. Les choses changent en Les Britanniques bénéficient de l’aide des Américains, alors que l’aide de la France manque ainsi que les ressources sur le territoire.

42 En 1759, les Britanniques sous le commandant James Wolfe place un siège sur la ville de Québec et suite à une confrontation(plaines d’Abraham), les Britanniques prennent Québec. James Wolfe

43 En 1760, les Français tentent de reprendre Québec, mais c’est un échec.
Montréal capitule En 1763, le traité de Paris est signé et la France est vaincu

44 La France perd presque tout son territoire en Amérique sauf:
Les îles Saint-Pierre et Miquelon Droits de pêche dans le golfe du Saint-Laurent et de sécher du poisson sur les côtes de Terre-Neuve

45 La population française n’est pas expulsée
Les Français ont 18 mois à partir, mais peu retourne en France