L’ÉCONOMIE SOUS LE RÉGIME BRITANNIQUE ( )

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1 L’ÉCONOMIE SOUS LE RÉGIME BRITANNIQUE (1763- 1867)

2 Quels sont les effets des activités économiques sous le régime britannique sur l’organisation de la société et du territoire ?

3 LES NOUVEAUX PARTENAIRES COMMERCIAUX
A)La politique mercantiliste de la Grande-Bretagne La colonie s’insère dans la politique mercantiliste de la Grande-Bretagne. La Grande-Bretagne applique une politique de protectionnisme envers ses colonies. Protectionnisme: Politique économique qu’un État ou un gouvernement met en place afin de protéger l’économie d’un pays ou d’un empire contre la concurrence étrangère.

4 Conclusion : la politique mercantiliste britannique favorise le développement de la colonie après la Conquête.

5 B) Les marchands et commerçants britanniques
Après la Conquête, en 1760, des marchands de la Grande-Bretagne et des Treize colonies s’installent à Québec et à Montréal (Montrealers) et prennent en main l’économie coloniale et le commerce des fourrures.

6 2) L’apogée et le déclin du commerce des fourrures A) La concurrence entre deux grandes compagnies de traite En 1763, la Proclamation royale modifie le territoire de la Province de Québec. La région des Grands Lacs ainsi que les terres qui s’étendent jusqu’au Mississippi sont réservées aux Autochtones. En 1774, l’Acte de Québec, agrandit le territoire jusqu’à la région des Grands Lacs.

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9 La création des États-Unis en 1783, entraîne la perte des régions au sud des Grands Lacs. Des hommes d’affaires de Montréal vont mettre sur pied une compagnie, la Compagnie du Nord-Ouest, en 1783, qui va exploiter le territoire de la Baie d’Hudson et la région au nord des Grands Lacs et ainsi concurrencer la Compagnie de la Baie d’Hudson..

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11 Cette rivalité va entraîner l’établissement de nombreux postes de traite et une diminution des ressources. Les deux compagnies vont fusionner sous la bannière de la HBC en Toutefois, le commerce de la fourrue est déjà en déclin, puisque le territoire de traite est de plus en plus éloigné et les coûts d’exploitation augmentent. Montréal sera remplacée par la baie d’Hudson comme principal lieu d’exportation.