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1 LA DIVISION JACOBS PROJET SILICONE-X. La division Jacobs2 Mise en situation Jacobs est une division de la société MacFadden. Elle fabrique des produits.

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1 1 LA DIVISION JACOBS PROJET SILICONE-X

2 La division Jacobs2 Mise en situation Jacobs est une division de la société MacFadden. Elle fabrique des produits industriels spécialisés à partir de diverses bases chimiques comme les teintures, les adhésifs et les produits de finition et vend ses produits en petite quantité à différents clients industriels. Les ventes de cette division se chiffrent à 30 millions $. Avant 1983 et parmi toutes les divisions de MacFadden, Jacobs était l ’une qui connaissait la croissance la plus rapide (12%/année). L ’étude du nouveau projet « le Silicone-X » intéresse beaucoup la division, puisque c ’est un produit unique. C ’est un revêtement à usage spécial qui rend une surface glissante. Dans l ’étude, il y a deux scénarios de base à analyser: A : main-d ’oeuvre importante, capacité de production limitée, investissements restreints. B : immoblisations très importantes, grande capacité de production, investissements très importants.

3 La division Jacobs3 Les forces concurrentielles Barrières à l’entrée: ( +++ ) le Silicone-X n’est protégé par aucun brevet Concurrents: ( +++ ) le savoir faire de la fabrication peut être repris en moins de 12 mois. En construisant une usine spécialisée, il peut se permettre de baisser le prix de 0,20$ Substituts: ( --- ) il est fort peu probable que l’on réussisse à mettre au point un produit substitut plus attrayant et à un meilleur prix Clients: ( + ) ils ont quand même un pouvoir d’achat. Ils achètent en petite quantité et même si le prix baisse, les ventes n’augmentent pas. Fournisseurs: ( - ) même si le prix des produits de base fluctue, ils peuvent négocier avec un fournisseur dont les coûts de fabrication sont stables (la division Wilson de MacFadden )

4 La division Jacobs4 Scénario A ou B Prix Conditions économiques Concurrence Demande Capacité de production Ventes Durée du projet Part du marché Taux-épreuve Valeur Actuelle Nette Diagramme d’influence

5 La division Jacobs5 Objectifs de l’analyse Les objectifs que nous poursuivons sont donc les suivants:  Déterminer le CMPC ajusté au degré de risque du projet.  Distinguer les hypothèses réalistes et ajuster celles peu probables.  Utiliser le concept de la VAN classique, puisqu’il n ’est pas question de financement dans notre cas.  Probabiliser les variables exogènes ( Demande).  Tenir compte des forces concurrentielles dans notre décision.  Évaluer le degré de risque  Déterminer quel scénario à recommander à M. Reynolds.

6 Hypothèses Hypothèses de l ’étude de M. Sodberg  Prix du Silicone-X fixé à 1,90$ le livre, sachant que la condition est un prix maximum à 2 $ le livre.  Croissance de la demande de 10% annuellement, sachant qu ’elle se stabilisera dans 8 ou 10 ans.  Demande cyclique variant de 20% selon les conditions du marché. Nos hypothèses  ( Même hypothèse )  Croissance de la demande de 13% annuellement, sachant que la demande se stabilisera 5 ans après le lancement du projet, car dans ce secteur il y a possibilité de saturation et beaucoup d ’innovations.  Notre interprétation: la demande cyclique avec @RISK suit une loi triangulaire avec un maximum de 20% de variation, une probabilité de 10% et un minimum de 10%.

7 7 Hypothèses ( suite…)  Un taux-épreuve de 20% pour les nouveaux projets ( 16%+4% )  Demande de 1,2 million de livres la première année pour le scénario A et de 1,320 million de livres la pour le scénario B.  L ’analyse du projet se base sur un horizon de planification de 15 ans, puisque la plupart des équipements auraient terminer leur vie.  Un taux-épreuve de 20% pour le projet du silicone-X. ( voir l ’acétate 11 )  Demande de 1,160 million de livres la première année (pour A) et de 1,315 million (pour B) en tenant compte des estimations des probabilités de la demande de M.Sodberg (plancher de 500 000 et plafond de 2,600 million) puisqu ’elles sont plus conservatrices et en tenant compte de la croissance de la demande.  ( Même hypothèse )

8 8 Hypothèses ( suite… )  Scénario A: investissement de 900 000$, coûts de 50 000$ pour la mise au point du procédé, lancement du projet en un an et capacité de production de 600 000 (année 1) et de 1,5 million les années suivantes.  Scénario B: investissement de 3 300 000$, coûts de 100 000$ pour la mise au point, lancement dans deux ans et capacité de production de 700 000 livres (année 1) et de deux million les années suivantes.  ( Même hypothèse )

9 9 Hypothèses ( suite… )  Fonds de roulement ( voir annexe 1 et annexe 2 du cas).  Le taux d ’imposition est de 50%.  L ’amortissement est linéaire et il de 60 000$ pour le scénario A et de 167 000$ pour le scénario B sur 15 ans.  Valeur résiduel à la fin du projet est de 381 000$ pour A de 1,384 million pour le scénario B.  ( Même hypothèse )  Même hypothèse, puisque cette méthode de calculer la valeur résiduel est très pratiquée de nos jours. ( profit après impôt - coût du capital( 10% de l ’actif total après amortissement).

10 La division Jacobs10 Hypothèses ( suite… )  Les coûts variables unitaires sont stables et de 1,4$ pour A et de 1,05$ pour B. Les frais généraux sont aussi stables et de 210 000$ pour A et de 110 000$ pour B.  Une usine spécialisée permet au concurrent de baisser le prix du Silicone-X à 1,70$, avec une part de marché de 50% et un rendement de 12%.  ( Même hypothèse )

11 Taux d ’actualisation de la VAN D ’après l ’analyse des forces concurrentielles et les hypothèses fixés, nous avons décidé de modifier le taux épreuve que M. Sodberg utilise dans son analyse. Nous avons considérer le taux épreuve stipulait par les directives de MacFadden de 16% pour les nouveaux produits et procédés et nous lui avons rajouter une prime de risque de 4% pour le nouveau projet du Silicone-X de la division Jacobs avec la loi triangulaire de @RISK. Nous avons fixé une prime de 6% pour le maximum, une prime de 2% pour le minimum et une prime de 4% pour le taux probable. De cette façon, la VAN, et ceci grâce à@RISK, va tenir compte de l ’éventualité d ’un rendement surévalué.  Tendance à surévaluer le rendement de 2 à 5% en moyenne.  C ’est un nouveau projet, qui requiert des études (recherches et développement ), et qui n ’est pas breveté, donc c ’est plus risqué.  Jacobs est la plus petite division de MacFadden. La plupart des divisions fabriquent leurs produits chimiques à partir d ’un même produit de base, tandis que Jacobs fabrique des produits industriels spécialisés à partir de diverses bases chimiques, donc c ’est plus risqué

12 12 L ’entrée d ’un concurrent Le fichier Excel « JACOBS_concu » est de façon simple l ’analyse de l ’entrée potentiel d ’un concurrent. En effet, il permet de déterminer la VAN du projet du Silicone-X du point de vue du concurrent. Pour cela, nous avons pris en compte les hypothèses suivantes : ø øTaux d ’actualisation de la VAN : 12% ø øPart de marché : 50% ø øPrix de vente unitaire : 1,70 $ ø øDébut du projet : 12 mois après lancement par JACOBS Ainsi, les résultats démontrent qu ’il ne serait pas intéressant pour un concurrent d ’entrer dans ce marché puisque les VAN sont nettement négatives. En fait, avec les données présentées dans le cas, en aucun moment le concurrent ne voudrait entrer dans le marché et surtout de penser à construire une usine spécialisée afin que ça lui permet de baisser le prix. => Voir le fichier : « JACOBS_concu ».

13 La division Jacobs13 Analyse de la performance Le scénario A semble tout à fait plus intéressant que le scénario B étant donné que sa VAN est nettement positive, tandis que celle du scénario B est nettement négative : ø øVAN scénario A100 405 $ ø øVAN scénario B- 406 164 $ À priori, JACOBS devrait s ’orienter vers le scénario A puisqu ’il possède une VAN avec un écart de plus de 5 fois supérieure à celle du sénario B (base 100). Mais peut-être faut-il tenir compte d ’autres facteurs...

14 La division Jacobs14 Analyse de la sensibilité ø Cette analyse nous démontre clairement que, en l’absence d ’un concurrent, JACOBS est tout de même gagnante à se lancer dans le projet A. Par contre, si un concurrent décidait d ’entrer sur le marché à un prix de 1,70$ et en s ’accaparant de la moitié du marché, Jacobs subirait alors de fortes pertes. ø Par ailleurs, cette analyse permet aussi de dégager l ’importance disons primordiale, d ’établir de bonnes prévisions concernant la demande.

15 La division Jacobs15

16 La division Jacobs16 Analyse du risque Grâce à l ’analyse fournie par @risk, nous constatons que les projets qui nous sont ici soumis ont un risque très élevé. En effet, une fois le risque assumé par la prime majoré au taux d ’actualisation, nous obtenons des VAN pour lesquelles la distribution peut être négative, notamment pour le scénario B. Comme nous le démontre le graphique ci-avant, les VAN ont tout de même une tendance à se situer plus à gauche de l ’axe des ordonnées, soit plus dans la zone négative. Mais, la VAN du scénario A affiche tout de même une forte tendance à être positive. De même, les flux monétaires ne sont jamais négatifs, à part les périodes des investissements initiaux, et ce pour les deux scénarios. => voir les autres graphiques s ’y référant

17 La division Jacobs17Recommandations Tout d ’abord, nous sommes un peu réticent à l ’idée de recommander à M. Reynolds de se lancer dans le projet du Silicone-X. Par contre, dans la situation où il se doit de développer ce projet pour maintenir sa position concurrentielle par exemple, JACOBS devra opter pour le scénario A. En effet :  La VAN du scénario A, que ce soit en présence d ’un concurrent ou non,est plus élevée que celle du scénario B. Mais :  Risque du projet très élevé, notamment si on exclut la possibilité de l ’entrée d ’un concurrent dans le marché.  Aussi, dans une optique d ’expansion, il serait plus coûteux d ’agrandir l ’usine dans le cas du scénario A (50 000$ pour augmenter la capacité de 100 000 livres) que celle du scénario B ( 25 000$ pour augmenter la capacité de 100 000 livres).


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