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Actions collectives menées par les Groupements de Défense Sanitaire

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Présentation au sujet: "Actions collectives menées par les Groupements de Défense Sanitaire"— Transcription de la présentation:

1 Actions collectives menées par les Groupements de Défense Sanitaire
Anne TOURATIER Les actions en amont Actions collectives menées par les Groupements de Défense Sanitaire (G.D.S.) St Barthélémy d’Anjou, 25 avril 2009

2 PLAN Cadre d’action des G.D.S. STEC : Un exemple d’intervention dans un cadre d’alerte STEC : Action de prévention

3 chaque département français
Cadre d’action des G.D.S. Un G.D.S. dans chaque département français Une organisation d’éleveurs à vocation technique Objet = maîtrise de la santé animale et de la santé publique en lien avec la gestion des élevages

4 Une mise en place originale (années 50) :
ASCENDANTE à partir des communes Un maillage local mobilisable avec des réunions régulières Les éleveurs adhérents volontaires Moyenne nationale des taux d’adhésion : Bovins: 95%, Ovins, caprins: 75%, Porcins: 45% Des moyens techniques et administratifs

5 Conseil d’Administration
Agréé par le Ministre de l’Agriculture notamment sur des critères de représentativité et d’indépendance avec délégations de missions de prophylaxie Conseil d’Administration interprofessionnel Éleveurs adhérents élus, État, Organisations vétérinaires, agricoles à vocation générale, laboratoires d’analyse,… Missions Appuis technique et financier aux éleveurs Coordination d’actions collectives Représentation des éleveurs

6 STEC : Un exemple d’intervention dans un cadre d’alerte
Circonstances CHU Caen déclare 6 cas de diarrhée sanglante compliqués de SHU sur des enfants de 10 mois à 2 ans (10 novembre au 1er décembre 2005) Analyses chez les enfants / Enquête épidémiologique InVS / Investigations des services vétérinaires => suggèrent contamination des enfants par O26 via un camembert produit par une entreprise de la Manche => Le 16/12/05 décision de l’entreprise de rappel et destruction différents produits, arrêt production Question ? Conditions de reprise de production notamment en matière de production du lait dans les élevages ?

7 La crise : le contexte Entreprise : ~ 60 élevages livreurs dont
~ 30 correspondant à un noyau dur pour la fabrication de produits AOC avec une formation à une démarche de type HACCP ~ 15 considérés à bon niveau de maîtrise ~ 15 moins suivis Procédure initialement envisagée : prélèvements de fèces dans tous les élevages pour identifier les sources de contamination

8 Participation préalable G.D.S. de la région et d’une laiterie
à une étude coordonnée par l’Institut de l’élevage Présence fréquente stx+ dans les bouses (91% des élevages avec au moins 1 bovin stx+ à un moment ou un autre) Souches stx+ non forcément potentiellement dangereuses Intermittence excrétion + Outils recherche souches potentiellement dangereuses complexes Relations travail étroites D.D.S.V. / G.D.S. 50 G.D.S. 50 attire l’attention D.D.S.V. sur difficulté de cibler les élevages à risque avec des analyses Relations travail pré-existantes G.D.S. et entreprise G.D.S. 50, en lien avec D.D.S.V., propose service à la laiterie qui accepte

9 Définition des moyens d’action
La crise : 1ère étape Définition des moyens d’action 23/12 : Travail d’exploration G.D.S. au sein de l’entreprise Niveau de maîtrise des producteurs a priori bon Exploitation liste 45 élevages Étude la qualité de l’eau Première piste 23 éleveurs à captage sans résultats depuis au moins un an ou avec résultats défavorables (pollution faible à forte)

10 Mobilisation des éleveurs
A la place recherche d’élevages excréteurs G.D.S. propose une action d’amélioration du niveau de maîtrise globale des producteurs de l’entreprise Accord parties prenantes, notamment D.D.S.V. et laiterie 27/12 au soir : Réunion des éleveurs participation + + + La crise : 2ème étape Mobilisation des éleveurs Objectifs : Présenter la situation Informer sur les STEC Détailler un certain nombre de conseils de maîtrise Proposer une assistance traite à tous les éleveurs

11 Contrôle et entretien machine à traire
Abreuvement : - Réseau ou eau potable captage privé (avec analyse de moins d’un an) - Proscrire accès bovins mares et ruisseaux (sachant que zones bordant les marais) - Nettoyage fréquent abreuvoirs (mini 2 fois la sem.) - Eviter utilisation des abreuvoirs bas Alimentation : - Eliminer les éventuels aliments souillés (notamment pierre à lécher) Hygiène : - Paillage quotidien - Raclage quotidien aire d’exercice Contrôle et entretien machine à traire Hygiène de traite : Eviter utilisation du jet pendant la traite - Eliminer les premiers jets - Prétrempage des trayons Post trempage plutôt avec des produits cosmétiques pour éviter gerçures Si besoin : épilation mamelle à froid (mamelle poilue) et coupe des poils queue Autres : Eviter mélange des espèces (ovins) Eviter contacts directs mères et veau Liste de conseils établie / biblio disponible

12 Enquête et appui en élevage
Accueil favorable de l’entreprise et des éleveurs Objectif pas d’identifier un « coupable » mais de résoudre le problème - Mobilisation dans un contexte difficile appréciée La crise : 3ème étape Enquête et appui en élevage Répartition entre les techniciens Contrôle laitier, Chambre d’Agriculture, G.D.S. Rendez-vous pris à la réunion du 27/12 Questionnaire d’enquête standardisé Réalisation entre le 28/12 et janvier

13 Extraits questionnaire d’enquête

14 En fin de crise : 4ème étape
Restitution des résultats aux éleveurs (06/02/06) 1ère marge de progression = qualité de l’eau 12 réseaux, 45 captages privés contrôlés => 23 potables (51%), 5 à surveiller, 17 non potables Autres marges de progression Température / temps nettoyage machine : 36 élevages Méthode de nettoyage des trayons : 26 Elimination des 1ers jets : 21 Contrôle et entretien de la machine à traire : 12 Raclage des bouses pendant la traite : 11 Lavage de la salle de traite : 8 Eclairage de la salle de traite : 7 Aliments souillés : 6 + étourneaux, dératisation

15 Après la crise : phase de consolidation
Ressenti - Appui apprécié par la laiterie et les éleveurs - Volonté de consolider de creuser / mesures plus structurelles - A participé de la reprise de la production (17/01/06) Après la crise : phase de consolidation 1) Suivi qualité de l’eau et alerte étourneaux (depuis 2006) 2) Réalisation d’un audit des élevages (hiver 2006/2007)

16 Audit des élevages (hiver 2006/2007)
Elaboration d’un questionnaire d’audit en lien avec l’Institut de l’Elevage Traite Nettoyage des installations de traite Qualité de l’eau Alimentation Logement Lutte contre les nuisibles 6 rubriques Objectifs : Evaluer la mise en œuvre mesures ciblées lors de crise Evaluer d’autres points (notamment en terme d’investissement)

17 Accès aux cours d’eau en pâture
Résultats audits 2006/2007 Ex : qualité de l’eau Sur 43 élevages audités, 35 élevages à captage privé en déc : - 29 en captage privé (dont 18 avec eau potable - soit 62% -) 8 équipements de pompe conseillés : 4 installés - Reste 11 avec eau non potable dont 7 avec travaux récents et 4 nécessitent pompe à chlore (coût estimé pompe avec ballon 1000 litres ~ 1800 euros) Accès aux cours d’eau en pâture Nombre d’exploitations Absence 9 Cours d’eau clôturés 24 Présence avec accès 11 Coût estimé clôtures : ~ euros / élevage Conseils globalement suivis mais existe encore marge progrès : Investissement Poursuite de la sensibilisation

18 Outils d’information des éleveurs sur les STEC
STEC : Action de prévention Dès l’élevage, prévenir les risques de contamination des aliments par des bactéries fécales Un exemple Les Escherichia coli producteurs de shiga-toxines Outils d’information des éleveurs sur les STEC Ce power point a été élaboré à partir des réflexions d’un groupe de travail de la FNGDS et de l’Institut de l’Élevage qui comprenait les personnes suivantes: Sabrina RAYNAUD, Didier BASTIEN, Philippe CARTIER, Christophe DENOYELLE, Jacques LUCBERT (Institut de l’Elevage), Pascal PICANT (GDS 14), Christophe LEBOEUF (GDS 50), Norbert LEROY et Gérard ARGENTE (GDS 22), Rodolphe MORIZOT (GDS 58), Etienne PETIT (FRGDS Bourgogne), Jean-Luc SIMON (FRGDS Rhône Alpes), Ludovic PLEE et Anne TOURATIER (FNGDS coordination du groupe de travail). Le présent outil est animé. Afin de faciliter son utilisation un certain nombre de diapositives sont commentées. Ces commentaires sont accessibles en mode « Affichage/Page de commentaires ». Les compléments d’informations présentés en italique ne sont pas destinés à être d’emblée exposés lors de la présentation aux éleveurs. Ils permettront néanmoins aux personnes qui sont amenées à effectuer la présentation de pouvoir répondre à certaines questions. De plus une liste de références bibliographiques et techniques est donnée en fin de présentation pour appuyer les intervenants dans leur présentation, notamment sur les mesures de maîtrise. Une fiche reprenant les principales informations de cette présentation est destinée à être remise aux éleveurs à l’issue de la présentation. Ce travail a bénéficié des avis des personnes suivantes: C.VERNOZY-ROZAND (Ecole Nationale Vétérinaire de Lyon), Choreh FARROKH du C.N.I.E.L..

19 Modalités d’élaboration des outils
Fin 2005 Instances F.N.G.D.S. ont décidé de s’investir pour une meilleure information des éleveurs sur ce type de risque et moyens de maîtrise Contact Institut de l’Élevage pour travailler ensemble Début 2006 Constitution et réunion groupe de travail 4 ingénieurs de l’Institut de l’Élevage Vétérinaires et techniciens G.D.S. 14, 22, 50, 58 F.R.G.D.S. Bourgogne et Rhône Alpes F.N.G.D.S.

20 - C.VERNOZY-ROZAND C.N.I.E.L. D.G.Al.
De janvier à septembre 2006 Élaboration et validation en interne de deux outils : - une fiche - un jeu de transparents animé D’octobre à décembre 2006 Relecture et validation extérieures des deux outils : - C.VERNOZY-ROZAND C.N.I.E.L. D.G.Al.

21 Axes de communication Traiter des STEC à titre d’exemple
S’inscrire dans la thématique plus large des bactéries fécales responsables de toxi-infections alimentaires chez l’homme Objectif : Mettre en lumière que les mesures de maîtrise en élevage (liées notamment à l’hygiène) permettent de réduire les risques pour toutes ces affections

22 Jeu de transparents de présentation
Deux outils complémentaires Fiche 6 pages remise aux éleveurs à l’issue réunion Jeu de transparents de présentation en réunion éleveurs

23 Structure identique pour les 2 outils
1° Présentation générale des STEC replacée dans la problématique des agents responsables de toxi-infection alimentaires qui peuvent être excrétés dans les bouses des ruminants 2° Description schématique du cycle de circulation des bactéries dans l’élevage en positionnant les principales catégories de mesures de maîtrise : hygiène des bâtiments et des pâtures hygiène de l’alimentation et de l’eau gestion des fumiers et lisiers séparation des ateliers et des espèces hygiène de la traite fourniture d’animaux propres à l’abattoir 3° Description des principales mesures de maîtrise pour chacune des catégories de mesures présentées dans le cycle de circulation des bactéries

24 Contenu des outils La fiche

25 Le jeu de transparents Un outil commenté + des références
Les bactéries d’origine fécale vivent dans les intestins et sont excrétées dans les bouses des animaux. Quelques unes de ces bactéries fécales sont à l’origine de la majorité des intoxications alimentaires (toxi-infections) liées à la consommation de produits d’origine animale. Rappelons qu’il s’agit en premier lieu des salmonelles. A titre d’illustration l’Institut de Veille Sanitaire estime que les salmonelles sont responsables de l’ordre de 30 à cas d’intoxications alimentaires par an dans notre pays. Même si la majorité de ces toxi-infections sont associées à l’ingestion d’oeufs et d’ovoproduits, les produits bovins sont aussi concernés. En ce qui concerne les ruminants, c’est essentiellement lors de la traite pour le lait ou à l’abattoir pour la viande que les produits peuvent être contaminés par les bactéries d’origine fécale. Un outil commenté + des références pour en savoir plus

26 Connaître… …Pour agir Les informations techniques Les recommandations
La présentation est divisée en deux grandes parties: Une première partie est consacrée aux principales connaissances techniques relatives aux contaminations par les bactéries d’origine fécale, notamment les Escherichia coli producteurs de shiga-toxines ; Une seconde partie traite des recommandations destinées à réduire les risques de contamination des produits au niveau des élevages.

27 Connaître Parmi les bactéries fécales responsables d’intoxications alimentaires : les STEC Escherichia coli La plupart sans danger Certaines souches rares d’E. coli susceptibles d’être dangereuses pour l’homme Notamment STEC = E. coli producteurs de shiga-toxines en anglais Ce rappel étant fait, nous allons parler d’une catégorie de bactéries d’origine fécale qui peut être responsable d’intoxication alimentaire: les STEC. Ces bactéries sont en fait des Escherichia coli particulières. De façon générale, les E. coli représentent une part importante des bactéries d’origine fécale. La plupart d’entre elles sont sans danger. Parmi les E. coli pathogènes il existe une catégorie très particulière que les scientifiques appellent STEC car elles possèdent un gène leur permettant de produire éventuellement des toxines appelées shiga-toxines (STEC = E. coli producteurs de shiga-toxines en anglais). Il convient de remarquer que toutes les E. coli qui possèdent le gène pour fabriquer les shiga-toxines ne les produisent pas toujours et, de ce fait, ne sont donc pas forcément pathogènes pour l’homme.

28 Enjeux - Importance STEC susceptibles d’être pathogènes chez l’homme
notamment par l’intermédiaire des toxines produites Symptômes : diarrhées sanglantes complications rénales = Syndrome Hémolytique et Urémique Enfants (moins de 5 ans) et personnes âgées (plus de 65 ans) particulièrement sensibles Les STEC sont susceptibles d’être pathogènes chez l’Homme notamment par l’intermédiaire des toxines produites. Les symptômes observés chez l’homme sont en particulier des diarrhées sanglantes qui peuvent se compliquer par une insuffisance rénale appelée SHU pour Syndrome Hémolytique et Urémique. Les jeunes enfants de moins de 5 ans et les personnes âgées de plus 65 ans sont les plus sensibles aux effets de ces toxines. Dans certains cas rares, les conséquences peuvent être extrêmement graves et laisser des séquelles chez les personnes atteintes, voire entraîner la mort. Certains cas graves avec séquelles, voire décès

29 La circulation des STEC des bactéries fécales dangereuses…
et plus largement de l’ensemble des bactéries fécales dangereuses…

30 La circulation des STEC
Ces mesures permettent d’agir plus largement vis-à-vis de l’ensemble des bactéries fécales dangereuses Il ne s’agit pas d’annuler tous les risques mais de les réduire aux différentes étapes possibles La circulation des STEC doit être limitée par des mesures d’hygiène aux différents stades que nous venons de voir. De façon schématique on peut identifier 6 grands secteurs d’action pour limiter les risques. L’hygiène des bâtiments et la gestion des pâtures est fondamentale car elle permet de diminuer les quantités de bactéries dans l’élevage et d’avoir des animaux propres. L’hygiène de l’alimentation et de l’eau permet de réduire les risques de contamination de nouveaux animaux qui eux-mêmes augmenteraient la quantité de bactéries au sein de l’élevage. La gestion des fumiers et lisiers est destinée à limiter la contamination de l’environnement et donc l’extension de la contamination au sein de l’élevage et à d’autres élevages. La séparation des ateliers et des espèces a pour objectif de limiter l’extension de la contamination au sein de l’élevage. L’hygiène de la traite permet de réduire les risques de contamination du lait. L’envoi d’animaux propres à l’abattoir permet de réduire les risques de contamination de la viande lors de l’abattage, notamment au moment de l’enlèvement de la peau. Il ne s’agit pas d’annuler tous les risques mais de les réduire aux différents étages possibles pour maîtriser au mieux la sécurité de la chaîne alimentaire. Enfin, il faut remarquer que de façon plus générale ces mesures permettent de réduire les risque vis-à-vis de l’ensemble des bactéries d’origine fécale responsables d’intoxications alimentaires. est limitée par les mesures d’hygiène

31 Hygiène des bâtiments et gestion des pâtures
Agir Hygiène des bâtiments et gestion des pâtures Objectif : limiter la concentration des bactéries fécales dont les bactéries dangereuses Le premier secteur d’action correspond à l’hygiène des bâtiments et à la gestion des pâtures. L’objectif est de limiter au maximum dans les bâtiments et sur les pâtures la concentration des bactéries fécales parmi lesquelles il peut y avoir des bactéries susceptibles de provoquer des intoxications alimentaires.

32 Hygiène des bâtiments et gestion des pâtures
Densité animale Pâturages et parcs extérieurs Modalités de paillage et de raclage 5 points principaux Ambiance des bâtiments Localisation des abreuvoirs et de l’alimentation Nous allons maintenant envisager plus dans le détail les mesures de maîtrise en commençant par l’hygiène des bâtiments et des pâtures. Le logement des animaux peut être en quelque sorte un réservoir plus ou moins favorable à la concentration des bactéries fécales qui doit être limitée au maximum. De plus, il influe directement sur la propreté des animaux. 5 points apparaissent majeurs, notamment pour avoir des animaux propres: - La densité animale - Les modalités de raclage et de paillage - L’ambiance des bâtiments d’élevage - La localisation des abreuvoirs et de l’alimentation - L’Utilisation et l’entretien pâturages et parcs extérieurs

33 que de la paille bien conservée
Modalités de paillage et de raclage N’utiliser que de la paille bien conservée En aire paillée bon tapis de paille à l’arrivée des animaux De la paille en quantité suffisante Quantité de paille mini par animal et par jour 7 à 8 kg mini 6 à 7 kg mini Pente arrière ou aire paillée 3 à 4 kg mini Étable entravée 4 à 5 kg mini Bâtiment pente avant Engraissement de femelles Production JB Type d’animal Type de bâtiment Paillage fréquent au moins tous les 2 jours, surtout en aire paillée Raclage fréquent des aires bétonnées au moins 2 fois par semaine

34 Mise en œuvre de la communication
Par l’intermédiaire des GDS Fin février 2007 : - Envoi exemplaires fiches aux 80 GDS - Diffusion du jeu de transparents Début organisation de réunions d’éleveurs Néanmoins, forte perturbation car automne 2007 développement de la crise Fièvre Catarrhale Ovine Futur : souhait d’intégration au sein d’une importante politique de formation des éleveurs à la maîtrise des risques

35 Conclusion Nécessite une approche cohérente et solidaire
à tous les maillons de la filière Maîtrise des risques = Course de fond Qui nécessite constance et persévérance Les G.D.S. prêts à y contribuer MERCI de votre ATTENTION et un grand MERCI au G.D.S. 50 pour sa participation


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