Après 50 ans de recherche sur la question du sens de l’Univers et de l’homme, l’urgence d’une réponse m’apparaît chaque jour de plus en plus grande pour.

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1 Après 50 ans de recherche sur la question du sens de l’Univers et de l’homme, l’urgence d’une réponse m’apparaît chaque jour de plus en plus grande pour une humanité dont la survie est menacée à court terme. Vu mon âge, dans le peu de temps qui me reste, il s’est imposé à moi de rédiger un « texte -testament » se limitant à l’ exposé du dernier état de la TGS et de sa validation. Ce document est progressivement consigné sur le site interactif « metabena.org » Son avancement est suspendu à l ’achèvement de trois chantiers que j’ai en cours.. LES TROIS CHANTIERS DE LA TGS 1- 1er chantier: les particules élémentaires (PU) Ouvert à la suite de la communication d ’Alain B. au séminaire Béna Mai 2007 qui m’a fait comprendre l’impérieuse nécessité d’une concordance entre la classification des particules élémentaires selon la Théorie Standard et la logique de l’accordage initial de l’Univers selon la TGS. J’ai à la hâte rédigé à ce sujet une annexe au Livre 0 édition Pentecôte 2007 2 - Le chantier de la TNN (Théorie de la Numérisation Naturelle) Ouvert en Septembre 2007 à la suite d ’une communication de Jacques M. sur la génétique des nombres. J’ai donné un aperçu au séminaire Paris Novembre 2007 de ma propre démarche. 3- Le chantier des constantes universelles (CU)- Ouvert en Janvier 2008 à la suite de débats sur le site du Groupe Béna concernant la relation entre l’entropie et l’information. 1/5 Document de travail – Copyright Xavier Sallantin

2 1- 1er chantier les particules élémentaires (PU) Objectif: l’explication théorique par la TGS de la classification actuelle des PU selon la Théorie Standard. La TGS va plus loin en anticipant la découverte du champ et du boson de Higgs et en expliquant le pourquoi de la masse et de la hiérarchie des masses des PU. Les quatre outils nouveaux de la TGS La TGS exploite pour classifier les PU une grille définie par un outillage conceptuel nouveau impliquant : 1- La distinction entre les ÉTATS symétriques et les ACTIONS symétriques. La TGS distingue : 1.l’équiprobabilité de deux états opposés d’un référentiel (état Ortho ou état Para) 2.l ’équiprobabilité de deux actions opposées (Pro ou Anti) au sein d’un référentiel Ortho. Exemple d’ équiprobabilité de deux états, en cas de referendum: être en état Ortho = être disposé à voter être en état Para = être disposé à s’abstenir. La disposition Ortho est position de la symétrie d’une décision subordonnée au résultat d’un vote Pour (Pro) ou Contre,(Anti) La disposition Para est négation de cette symétrie ou position de l’asymétrie d’une décision arbitraire non soumise au vote.: L’état Para est brisure ou violation de la symétrie de l’état Ortho. Il n’y a action de voter Pro ou Anti (par exemple Pour ou Contre l’intervention en Afganistan), qu’en configuration Otho. 2- La distinction entre Action et Interaction. En problématique quantique aucune action PRO ou ANTI n ’est instantanée. Pendant la durée de l’action, il y a interaction entre majorité Pro et opposition Anti qui s’échangent des messages (bosons) comme lors des débats à l’Assemblée sur un projet de loi. 3- La distinction des étages d’un emboîtement fractal selon les degrés de symétrie ORTHO/PARA. ONTOSPHÈRE étage 0 de l’emboîtement : Degré 0 de liberté entre Accord Ortho et Désaccord Para PROTOSPHÈRE étage 1 de l’emboîtement : Degré 1 de liberté entre Actualisation Ortho d’une Action et Non actualisation Para COSMOOSPHÈRE étage 2 de l’emboîtement : Degré 2 de liberté entre sens Ortho du Temps d ’une Action et Non sens Para. BIOSPHÈRE étage 3 de l’emboîtement : Degré 3 de liberté entre sens Ortho d’une rotation et Non sens Para d ’une rotation NOOSPHÈRE étage 1 de l’emboîtement : Degré 4 de liberté entre Ortho d’une courbure et Non sens Para d ’une courbure. 4- le Tiers référent d ’un accord sur un critère d ’arbitrage entre Ortho et Para À chaque étage, prise en compte d’un opérateur, tiers accordeur, référent de l ’accord sur un critère commun de discrimination. Bilan : La classification des PU ébauchée dans le Livre 0 selon cette grille s’avère prometteuse. Elle mérite d’être reprise et approfondie. 2

3 2- Le chantier de la TNN Explication de la genèse naturelle de la numérisation (TNN) et du rôle des nombres premiers dans le code génétique commun à tous les êtres vivants. - Construction du crible naturel des nombres premiers présidant à ce codage Bilan : chantier bien avancé mis provisoirement en attente en raison de la priorité donnée au chantier des Constantes Universelles La découverte du Higgs ne suffira pas à confirmer la Théorie Standard en lui donnant la clé de voûte qui lui manque. Elle ne saurait être une Théorie du Tout tant que l’on n’aura pas,compris : le pourquoi de ces symétries en nombre limité, le pourquoi de l’emboîtement fractal, le pourquoi des normes naturelles définies par les constantes universelles. La TGS est sur la piste : toutes les réponses sont dans la logique trine. La TGS demeure une « exothéorie » tant qu’elle n ’apporte pas ces réponses. 3

4 3- Le chantier des Constantes Universelles Selon Gilles Cohen-Tannoudji ( les CU Grasset 1989); les constantes fondamentales de la Physique peuvent se réduire à quatre Constantes universelles : h = constante de Planck K = constante de Boltzmann G = constante de Gravitation C = vitesse de la lumière La valeur numérique de ces constantes, mesurée aujourd’hui avec une précision croissante, est donnée en Système International (SI) d’unités (ex MTS) en vertu d’une convention internationale. Puisque c’est la Nature qui assigne à ces Constantes leur valeur numérique; le problème aujourd’hui non résolu est : a) la conversion de ces valeurs données dans le SI conventionnel en Système Naturel d’Unités (SN). b) la découverte de la logique naturelle d’où procèdent ces valeurs numériques. Vaines tentatives notamment de Dirac, Eddington La TGS propose une approche nouvelle. En particulier, la Constante k de Boltzmann, serait la clé de conversion entre SI et SN 4

5 Brillouin établit que l’information se paie en entropie : acquérir un bit coûte un quantum d’action (démon de Maxwell). Le bit (ou quantum d’information) est le résultat d’un jeu type Pile ou Face quand de deux éventualités équiprobables l’une se produit. L’action à l’échelle quantique est soit Pile PRO ≥h, manifeste, soit Face ANTI <h. occulte. Sa probabilité d’occurence est donc P=1/2 et l’information recueillie est log2P= -1. On a la relation d’équivalence : quantum d’action h = -1, quantum d’information, ou quantum d’action - h = 1, quantum d’information. La Nature est une collectivité dont les membres sont d’accord sur ce que h, Constante de Planck, est le coût du prélèvement d’une information, prélèvement qui accroît l’entropie (entité physique qualitative), sa norme est une entité numérique quantitative. Equivalence entre h et -Log2 1/2 : probabilité Pro ou Anti Cette définition de la valeur numérique quantitative d’une chose ou d’un objet est chez les humains fixée par le marché (cote) ou par un organisme de taxation des prix ( planification soviétique) et service de vérification des prix (Contrôle des prix, vérité des prix.). L’orfèvre vérifie l’or. Autorité régulatrice de l’économie, référent de la norme entre objet et valeur comme en linguistique un collectif de locuteurs est le référent de l’accord entre signifiant et signifié. Mais “au commencement”, posons que c’est la “Nature” qui fait cet office de fixation du prix du quantum d’information. En système SI le coût du quantum d’information est la Constante de Planck. Mais la constante de Boltzmann n’est pas définie à l’échelle quantique. L’entropie chez lui est le rapport entre l’énergie et la température d’un gaz. On est à l’échelle macroscopique de l’agitation de molécules et non des particules. La Constante k de Boltzmann est donnée par le rapport entre la Constante des gaz parfaits et le nombre d’Avogadro N : 1,68 10-23 Joules/K en SI Le problème est de convertir cette valeur en SN et à l’échelle quantique. Si l’on dispose de ce facteur de conversion on peut l’appliquer aux autres CU. 3-1 Conversion en SN des Constantes Universelles (Pistes) 5/5