La présentation est en train de télécharger. S'il vous plaît, attendez

La présentation est en train de télécharger. S'il vous plaît, attendez

DIABETE ET SPORT.

Présentations similaires


Présentation au sujet: "DIABETE ET SPORT."— Transcription de la présentation:

1 DIABETE ET SPORT

2 Plan I- Physiopathologie II- Risques et complications
III- Conseils & Education pour la prévention des risques

3 I- Physiopathologie

4 Principes généraux de l’exercice physique
Pour améliorer l’équilibre glycémique, éviter la sédentarité et la prise de poids. L’activité physique est indispensable et fait partie du traitement. L’exercice physique ne signifie pas obligatoirement « sport » et encore mois performance. La marche quotidienne, la promenade avec le chien, le jardinage, le bricolage.

5 Apports énergétiques aux muscles
Lors d’une activité physique dans un premier temps l’organisme mobilise le glucose contenu dans les muscles, puis lorsque ces réserves musculaires sont épuisées, dans un deuxième temps le foie prend le relais pour maintenir la glycémie à un taux constant (1g /L). Dans un troisième temps si l’effort est prolongé les muscles puisent dans les graisses les apports énergétiques nécessaires. Parallèlement pendant tout ce processus, le pancréas réduit sa production d’insuline. Il est donc indispensable d’avoir un apport glucidique avec une collation pendant et après l’exercice physique en fonction de la durée de la séance.

6 Intérêt de l’activité physique pour les personnes diabétique
L’activité physique permet de faire baisser la glycémie, de rendre le diabète plus facile à équilibrer, de favoriser la perte de poids en cas d’excès de poids ou de maintenir un poids satisfaisant, de prévenir les maladies cardiovasculaires. L’activité physique a un bénéfice psychologique.

7 II- Risques et complications

8 Incidence physiologique de l’effort physique sur la glycémie :
Les muscles utilisent le sucre pour en tirer l’énergie nécessaire à leur fonctionnement ce qui provoque une diminution de la glycémie lors d’un effort physique.

9 Correction glycémique suite à un effort imprévu
Puisque les doses d’insuline n’ont pas été diminuées avant un effort imprévu, l’apport en glucide est systématique et doit être suffisant avant et pendant l’effort pour faire face à la dépense énergétique. Une personne diabétique doit donc toujours avoir des réserves glucidiques à disposition.

10 Sports conseillés, à risques, déconseillés
Les sports d’endurance sont les plus conseillés, ils permettent un entrainement progressif avec une surveillance et un contrôle glycémique facile comme : la marche, la course à pieds, le vélo, le ski de fond, la natation, l’équitation, Les sports aquatiques sont aussi autorisés mais avec une surveillance particulière comme le canoë kayak, la voile, la planche à voile, mais ils doivent être pratiqués en groupe.

11 Sports conseillés, à risques, déconseillés (suite)
Les sports à risques implique une surveillance accrue comme le tennis, le squash, la boxe, le foot et autres sports de ballon, l’athlétisme, le ski de piste. Les sports déconseillés pour des raisons de sécurité sont l’alpiniste, le vol à voile, l’automobile, le parachutisme, l’escalade, l aviation et la plongée sous marine.

12 Sports conseillés, à risques, déconseillés (suite)
En conclusion les sports collectifs sont recommandés fortement contrairement aux sports individuels car ils offrent une sécurité aux personnes atteintes du diabète dans le sens où les partenaires sont avertis

13 III- Conseils & Education pour la prévention des risques

14 Avant tout, il est important de savoir qu’avant toute pratique d’un
sport, le diabète doit être bien équilibré!

15 DNID Traitement : Diminution de la dose d’insuline avant l’effort (car risque d’hypoglycémie) Il est préférable d’utiliser une insuline d’action brève. Diminuer l’insuline la veille au soir (si ultra lente). Éviter l’injection IM.

16 Avant l’exercice, toujours utiliser le même point d’injection pour avoir des résultats reproductibles. Adapter la dose d’insuline selon l’exercice, la durée, intensité, entraînement. Si l’exercice est prévu au moment de l’injection, il faudra alors réduire la dose d’insuline injectée.

17 Augmenter la prise alimentaire de glucose pendant l’effort (glucides complexes: + de 50% de la ration calorique). Boire avant, pendant, après l’exercice afin d’éviter le risque de déshydratation. Si effort < 45min : collation d’environ 20g de glucides après l’effort. Si effort > 45min : L’avant-dernier repas doit être riches en sucres complexes (réserve en glycogène hépatique). - Pendant l’effort : apport régulier en glucide toutes les 40min environ.

18 DNID - Adaptation de l’effort en fonction de son taux de glycémie. Les tissus résistent à l’action de l’insuline mais avec un exercice régulier et une intensité suffisante.

19 Pendant l’effort  prendre du sucre rapide ou mixte et de l’eau à chaque pause contrôler sa glycémie capillaire si nécessaire, elle doit se maintenir > 1.3 g/L et voir > 2g/L sans aucun risque. Si la glycémie est >2-3g/L il faut arrêter le sport et consulter un médecin. Si hypoglycémie  arrêt du sport, traitement hypoglycémiant par des sucres rapides puis lents et ne repartir que si la glycémie capillaire > 1.3g/L.

20 SURVEILLANCE - Auto surveillance glycémique avant, pendant et après l’effort. - Le patient doit connaître les signes d’hypoglycémie

21 Les 10 commandements du sportif diabétique
1 – Faire un bilan médical avant de démarrer un sport et refaire ce bilan régulièrement : - cœur : TA, ECG, épreuve d’effort - pieds : recherche neuropathie - fond d’œil 2 – L’entraînement doit être progressif et régulier 3 – La glycémie doit être contrôlée fréquemment : avant, pendant, et après les exercices prolongés 4 – Absorber des glucides toutes les heures, voire toutes les demi-heures 5 – Boire souvent, avant même de ressentir la soif

22 6 – Choisir un bon équipement, en particulier les chaussures
7 – Prendre particulièrement soin de ses pieds : les laver et les sécher soigneusement, éviter les macérations, traiter immédiatement toute plaie, même minime 8 – Ne pas dépasser ses limites : s’arrêter en cas d’essoufflement ou si la fréquence dépasse (220 – âge en années) x 75 %

23 9 – De plus il faut toujours prévenir les autres pratiquants et accompagnateurs qu’on est diabétique et qu'en cas de modification subite du comportement, une hypoglycémie est probable et le re-sucrage est urgent. En cas de malaises (sueurs, palpitations, tremblements, fringales, troubles de la vue…), arrêter l’effort et prendre 15 g glucides (3 morceaux de sucre ou d’une boisson sucrée) et, si nécessaire, compléter avec des fruits secs, des gâteaux secs, faciles à transporter et à garder. 10 – Apprendre à adapter son traitement en fonction de l’entraînement et des efforts prévus.

24 Réalisé par Dournes Marie, Horel Laetitia, Faria Karine, Edouard Murielle, Gayet Caroline, Fernandes Mélanie, Djani Sonia, Maurice Elise, Weigel Julie, Ledigabel Audrey, Jacques Valérie, Anne peggy, Kennouche Louisa.


Télécharger ppt "DIABETE ET SPORT."

Présentations similaires


Annonces Google