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Communications Orales

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Présentation au sujet: "Communications Orales"— Transcription de la présentation:

1 Communications Orales
1 - Appel à Communications Orales 15èmes Journées Internationales de la Qualité Hospitalière & en Santé sous le haut patronage du ministre de la santé, avec le parrainage de la HAS et de l’ANAP Lundi 25 et mardi 26 novembre 2013 / Paris, La Villette

2 Madame, Monsieur, Nous vous remercions de votre considération et espérons vous accueillir aux 15e JIQHS. Cet appel à communication concerne : Les ateliers de communication scientifique et pratique (1h30 ou 1h45) : une ou plusieurs personnes témoignent du retour d’expérience de votre établissement, de votre réseau ou de votre société savante dans un atelier thématique accueillant vos pairs dans un échange interactif. Les séances découvertes (55mn) : un établissement, un réseau ou une entreprise témoigne d’un dispositif « à découvrir » et à partager. Les intervenants sont invités aux JIQHS. Nous publions leur communication dans le CR-Rom remis aux participants et sur le site Plus de 600 publications sont mises en ligne. Ci-après, nous vous apportons des indications sur la forme requise de votre communication. Le programme des JIQHS se construit de façon participative avec les modérateurs et les intervenants. Nous sommes à votre disposition pour toute précision, aménagement ou amélioration. Nous espérons avoir le plaisir de vous retrouver cette année parmi nous. Pascal Forcioli, Président fondateur Christophe Geisler, Commissaire

3 Présentations orales en atelier
2 - Guide des Présentations orales en atelier Ce guide présente les principales exigences de forme, de préparation et d’animation afin de rendre les JIQHS denses, conviviales et interactives. DATE LIMITE : vous nous envoyez avant le lundi 11 novembre 2013 par le(s) fichier(s), texte et/ou diaporama, de votre intervention afin de la publier dans le CD-Rom remis à l'entrée du congrès. Adresse :

4 Agrément FMC /DPC Points de publication pour les intervenants : l’intervention orale aux JIQHS et la publication de son contenu sur le site Internet permettent à leur auteur de recevoir les points de crédits au titre de la FMC et du DPC. Points de « présentiel » pour les participants : la participation physique aux ateliers permet aux participants de recevoir les points de crédit au titre de la FMC et du DPC. Les diaporamas et articles seront publiés dans le CR Rom «Publications des JIQHS 2013» remis aux participants et sur le site (sauf observation de votre part) où ils sont téléchargeables.

5 Important : les principes des interventions orales
Comme pour les posters, le diaporama ou l’abstract doit passer en revue les éléments suivants : Identification de l’établissement (réseau, société savante, etc.), Période concernée, Acteurs impliqués. Enjeu initial, Contexte, Phénomène déclencheur, Objectifs chiffrés poursuivis, finalités et changements attendus. Situation avant / situation après le plan d’action (résultats mesurés, changements effectivement constatés, conséquences inattendues) avec notamment les données factuelles et autres, schémas, graphiques, photos ; adopter une approche pluridisciplinaire et multi dimensionnelle autant que possible. Etapes et Méthodologie, Références scientifiques. Présentation des difficultés, des freins, des pièges, des obstacles, des aléas et des réponses apportées ; recherche d’explication de ce qui a marché / pas marché Retour d’expérience : analyses, interprétations, sentiments « vécus », certitudes et questions en suspens. Conclusion. Quant à l’intervenant, à l’oral, il doit surtout, au travers d’un échange avec les participants : Raconter l’histoire de ce qui s’est passé et de ce qui a été démontré, faire passer le vécu, Exposer la leçon humaine tirée de cette expérience, pousser au débat, à l’échange, Indiquer sa vision personnelle, souvent absente des démonstrations scientifiques. Vous disposerez dans chaque salle du matériel suivant : Paperboard, Vidéo projecteur et micro ordinateur, Pointeur lumineux sur l’écran.

6 Titre de votre intervention Sous-titre explicite
Paris La Villette - Cité des Sciences et de l’Industrie Lundi 25 et mardi 26 novembre 2013 EXEMPLE DE 1ère DIAPO 2013 Atelier n° X Titre de l’atelier au programme Titre de votre intervention Sous-titre explicite Dr Prénom NOM, titre, fonction, institution, ville tél : ………………. Votre logo

7 Fond d’écran libre. Eviter la surcharge.
L’équipe des JIQHS remet en forme la diapositive de tête de chaque intervention, afin d’homogénéiser les présentations. Dénomination (« enregistrement sous ») du ou des fichiers, par exemple pour une intervention en atelier 5 : AT5_NOM_JIQHS2013_1  diaporama court pour démarrer les échanges en l’atelier. * 7 à 8 diapositives au maximum dans un temps impérativement inférieur à 10 mn. * Les intervenants ne sont pas dans la position de l’enseignant qui expose un cours ou une démonstration. Ils introduisent un échange basé sur un retour d’expérience devant leurs pairs. Ce diaporama est destiné à faciliter l’exposé d’ouverture. Tout l’essentiel est exposé : peu de diapos, peu de « textes », peu de « commentaires ». Tout diaporama surchargé est exclu. Puis a lieu la collecte des premières réactions, des premières questions. Environ 20 mn sont alors consacrées aux questions réponses entre pairs. En complément, d’autres fichiers peuvent être montrés ou simplement publiés en annexes. Exemple : AT5_NOM_JIQHS2013_2  documentation annexe, complémentaire. Elle peut être organisée ainsi : * Sommaire * Schémas, graphiques, exemples de formulaires, éléments détaillés, photos, etc. * PowerPoint, word, excel, pdf, vidéo, photos. AT5_NOM_JIQHS2013  autres fichiers, numérotés 2, 3, suivi d’un mot clé…. Conseil : vous pouvez, en début de votre diaporama, exposer une diapositive titrée : « Les principales questions que nous nous posions au départ » Vous trouverez votre (vos) fichier sur le PC dans la salle où se déroule votre intervention, sauf indication contraire de votre part.

8 L’intervention orale (Atelier, Controverse ou Découverte)
Votre présentation s'inscrit dans le cadre d'une session thématique constituée de deux ou trois témoignages scientifiques. Sauf aménagement avec le modérateur, votre temps d'intervention se décompose en deux parties. En fonction du nombre d’intervenants : entre 8 et 10 minutes maximum d'exposé introductif : c’est tout l’essentiel de votre contribution, entre 22 et 20 minutes de première interaction, sous forme de questions / réponses et de précisions complémentaires animées par le modérateur. L’interaction s’approfondit ensuite sur des thèmes transversaux à la fin de l’intervention.

9 Le scénario de la session (Atelier, Symposium ou Découverte)
Atelier 4 : Lundi 26 Novembre de 10h30 à 12h15 Conditions de sécurité du médicament dès la prescription : bon usage et mésusages Arrêté du 6 / 4 / 11 et ses conséquences. Animation Edith DUFAY, pharmacien, CH de Lunéville, SFPC Expert de la REMED et de la conciliation médicamenteuse ; Introduction : intérêt de l'atelier, présentation des intervenants, rappel des règles des échanges, enregistrement des questions de la salle 5 1 On a dédramatisé l'inspection : une expérience 2 en 1 Cartographie des risques, visite d'inspection, accompagnement par un consultant 10 Intervenant Natacha HURET, titre, CHS T. Roussel, à Montesson (78) et Sophie GARCELON, responsable de l'activité conseil à la SHAM ; ; ; Enjeux, difficultés, réponses, méthode, résultats, leçons Le repérage des risques réels et leur évaluation donne lieu à une cartographie des risques médicamenteux. Cette cartographie est devenue une condition déterminante de la sécurisation de la chaine du médicament. Nous le verrons : l'apport méthodologique assure rigueur, fiabilité et efficacité d'une part, mais aussi dialogue, pédagogie et pistes d'actions d'autre part. Ce témoignage consiste en un retour d'expérience d'une telle démarche. Mais il y a plus. Il présente un intérêt original : en cours de démarche, un visite d'inspection a été imposée par l'ARS. Nous verrons ce qu'apporte ce travail (la cartographie et les actions de sécurisation qu'elle induit) en termes de sérénité et de marge de manoeuvre face à un tel audit des tutelles. Discussion 20 2 On a dédramatisé l'erreur CREX et construction collective d'une culture de l'erreur dans la durée Françoise DECROZALS, pharmacien, Charlotte MEYRIEUX, responsable qualité / risques, Institut d'oncologie Sainte-Catherine (ESPIC), Avignon ; ; ; ; On a dédramatisé l'erreur. Les CREX mensuels y comptent pour beaucoup : depuis 2009, on y expose tous les types de cas possibles, on en choisit un ou deux qu'on traite de façon pratique. Chaque mois le CREX valide de nouvelles actions (certains cas sont renvoyés en RMM). L'ambiance est bonne : c'est "hyper important". Il faut rester vigilant à ne jamais pointer la faute sur telle personne ou tel service. Y viennent médecins, soignants, préparateurs, aides-soignants, pharmaciens, bref tous les corps de métier. Nous y recevons toujours des invités. Le recul sur les problèmes facilite la prise de conscience des phénomènes qui conduisent à l'erreur ou à des événements indésirables. Cela nous aide à nous réorganiser, à modifier les applications informatiques, à changer les protocoles, à décider de nouvelles formations. Tout le circuit du médicament y passe : le matériel, les chimio, la douleur, la prescription, l'administration, etc. Peu à peu, des éléments restés invisibles sont identifiés comme des facteurs réels de risques. Par exemple, la programmation de la pompe à morphine. Le service qualité nous aide beaucoup. Sa vision et son apport méthodologique s'avèrent indispensables. Il diffuse une information crédible à tous les chefs de service : c'est pour cela que les gens continuent de s'y investir. Certes, on doit sûrement encore "sous-déclarer" mais nous en sommes tout de même à 30 par mois ! Notre culture qualité est en bien meilleure position pour le travail de mise en conformité avec les exigences de l'arrêté du 6 avril Les check-lists, par exemple, fonctionnent mieux. Collectivement, nous produisons un travail vraiment utile. Maintenant, nous cherchons comment encore progresser et comment consolider la dynamique humaine. 3 Annonce flash de posters : Poster de la clinique Pasteur de Nancy P110 CREX et méthode Orion + Posters du HIA de Brest : P107 CREX sur la PEC médicamenteuse ; P207 Conciliation médicamenteuse 4 On a dédramatisé les enjeux Prise de hauteur et éléménts d'une politique de sécurité médicamenteuse crédible dans la durée Mary-Christine LANOUE, Coordonnateur - OMEDIT Centre, CHRU de Tours tél: fax: L'OMEDIT Centre s'est positionné comme une cellule d'appui, une ressource pour mutualiser les expériences mais aussi comme un guide qui conduit ses randonneurs vers les sommets. Nous verrons comment il aide les établissements de toute sorte (MCO, SSR, HAS, Santé mentale, EHPAD) à mettre en place les trois composantes clés d'une sécurisation progressive, globale, maîtrisée. - avec des outils pratiques sur le terrain, simples, opérationnels, efficaces - avec des formations action qui dotent les acteurs de compétences clés pour avoir des résultats et être reconnus en interne - avec l'engagement institutionnel dans une approche globale et pérenne, formalisé dans une "politique du médicament". Nous en verrons des exemples. Préparer et agir selon ces trois axes est plus facile via des formations actions dans lesquelles les établissements mutualisent et partagent leurs expériences. Une émulation dynamisante renforce l'engagement de chacun. Ces trois composantes permettent de prendre en compte les différents niveaux d'enjeux et de les traiter de façon cohérente, concomitante. Les résultats progressent sans rechuter : le contexte devient durablement porteur. Approfondissement collectif, synthèse et conclusions Durée totale: 105

10 Paris La Villette - Cité des Sciences et de l’Industrie
Lundi 26 et mardi 27 novembre 2012 EXEMPLE DE DIAPO 2012 Atelier n° 4 Condition de sécurité du médicament dès la prescription Dédramatiser l’erreur médicamenteuse : de l’intention à une mise en pratique pérenne Dr Françoise DECROZALS, Pharmacien gérant tél : Charlotte MEYRIEUX, Responsable Qualité - INSTITUT SAINTE-CATHERINE - AVIGNON tél :

11 Prévention des événements indésirables liés aux médicaments (EIM)
Paris La Villette - Cité des Sciences et de l’Industrie Lundi 26 et mardi 27 novembre 2012 Atelier n° 35 Halte aux dysfonctionnements quotidiens - Tous concernés ! Collectif de travail EXEMPLE DE DIAPO 2012 Prévention des événements indésirables liés aux médicaments (EIM) STAINES Anthony, Ph.D., Professeur associé – IFROSS, Université Lyon 3, Staines Improvement Research, Fédération des hôpitaux vaudois v.1

12 Paris La Villette - Cité des Sciences et de l’Industrie
Lundi 26 et mardi 27 novembre 2012 Séance découverte n° 16 EXEMPLE DE DIAPO 2012 Le management efficient des EPP et des projets QGR La plateforme eFORAP Des outils d’évaluation en ligne pour les professionnels de santé KRET Marion,Statisticienne, CCECQA - Pessac


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