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Partie 1 La Santé de l’enfant.

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Présentation au sujet: "Partie 1 La Santé de l’enfant."— Transcription de la présentation:

1 Partie 1 La Santé de l’enfant

2 Plan du cours Définitions de la Santé La Prévention
La Consultation des Nourrissons Les Vaccins Notions d’Hygiène La Pharmacie de l’accueillante Les premiers Soins (accidents de la vie courante) L’accueil des Enfants Malades Prise en charge de différents symptômes (t°, diarrhée,enfant encombré) La mort subite du nourrisson Les Urgences

3 Définitions de la Santé

4 Qu’est-ce que la santé ? Définitions Organisation Mondiale Santé
La santé est un état de complet bien-être physique, mental et social, et ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d’infirmité. (O.M.S. 1946) LAROUSSE La santé est l’état de celui dont l’organisme fonctionne normalement en l’absence de maladie. D’autres définitions : La santé est un état complexe, instable, objet d’une conquête permanente. La santé est une espèce d’équilibre entre le sujet et son environnement, nécessitant une aptitude de l’individu à s’adapter.

5 La Prévention

6 La Prévention 2.1. Définitions 2.2. La prévention et l’accueillante
2.3. Exemples de prévention L’enfant et le soleil L’enfant allergique

7 ( Ex: aller chez le dentiste pour soigner une carie)
2.1. Définition De manière simplifiée, Prévention ( Ex: se brosser les dents tous les jours) Traitement ( Ex: aller chez le dentiste pour soigner une carie)

8 2.1. Définition La prévention est l’ensemble des moyens médicaux et médico-sociaux mis en œuvre pour empêcher l’apparition, l’aggravation ou l’extension des maladies, ou leur conséquence à long terme. Il existe 3 types de prévention : La Prévention Primaire La Prévention Secondaire La Prévention Tertiaire

9 La prévention primaire
Elle s’attache à empêcher ou diminuer l’apparition d’une maladie. Exemples : La vaccination (disparition quasi-totale de la poliomyélite, diminution des cas tétanos,…) L’ hygiène des mains permet d’éviter l’apparition et la transmission de certaines infections (plaies, infections courantes, …)

10 La prévention secondaire
Elle consiste à dépister une maladie et à la traiter précocement de façon à la guérir ou l’atténuer, ou encore prendre des mesures pour enrayer une épidémie. Exemples dépister les troubles de la vue chez l’enfant Tout type de dépistage permet de découvrir les personnes atteintes d’une pathologie et de les traiter (mammographie, dépistage HIV, …)

11 La prévention tertiaire
Elle regroupe tous les actes tendant à empêcher les récidives, à lutter contre les séquelles ou à réinsérer le sujet dans des conditions de vie compatibles avec son nouvel état. Exemples : La revalidation d’un patient opéré ou malade (prothèse, bronchite chronique…) La réinsertion d’une personne handicapée dans son milieu de travail

12 2.2. La prévention et l’accueillante
Prévention Primaire essentiellement ( en veillant à la santé de l’enfant, règles d’hygiène,…) Prévention Secondaire (suivre l’évolution,…) En collaboration avec l’ONE MAIS AUSSI avec les parents avec le médecin de famille

13 2.3. Exemples de prévention: L’enfant et le soleil
Lorsqu’il fait beau, l’enfant à l’extérieur est exposé… à la chaleur au soleil (peau de l’enfant, coups de soleil) à la soif aux insectes

14 2.3. Exemples de prévention: L’enfant et le soleil
S’il fait chaud, un bébé a besoin d’être peu couvert (lange et chemise sans manche,pieds nus) d’une chambre préservée de la chaleur (attention aux courants d’air) promenades aux heures les plus fraîches de la journée la tête protégée contre l’atteinte directe du soleil. de boire plus

15 2.3. Exemples de prévention: L’enfant et le soleil
ATTENTION AUX RAYONNEMENTS !!Jamais laisser bébé dans voiture en plein soleil!!

16 2.3. Exemples de prévention: L’enfant et le soleil
TOUS LES ENFANTS SONT SENSIBLES AU SOLEIL Protection par des vêtements légers, un chapeau, un parasol Application d’une crème solaire « écran total », plusieurs fois par jour, même à l’ombre, même sous le parasol Si t°ou vomissements (signes d’insolation), contacter le médecin.

17 2.3. Exemples de prévention: L’enfant et le soleil
TOUS LES ENFANTS SONT SENSIBLES AU SOLEIL En cas de coup de soleil augmenter encore l’hydratation, maintenir les enfants à l’ombre sur les brûlures, appliquer crème spécifique Ne jamais percer les cloques Si cloques éclatent, désinfecter immédiatement avec de la chlorexhidine( Diaseptyl°), sans enlever « la peau »

18 2.3. Exemples de prévention: L’enfant et le soleil
FAIRE BOIRE De l’eau ! Pour éviter déshydratation, encore + si coup de soleil ! NB En présence de fièvre ou de vomissements (signes d’insolation), contacter le médecin. Attention aux variations de température (pouvoir couvrir et découvrir l’enfant !)

19 2.3. Exemples de prévention: L’enfant et le soleil
A L’ABRI DES INSECTES Répulsifs naturels: citronnelle, « attrape mouche » glu ou colle transparente, piège à guêpes !! À distance!! Moustiquaires, mesures générales (fermer portes et fenêtres)

20 2.3. Exemples de prévention: L’enfant allergique
L’allergie = déviation du système immunitaire (défense contre les ennemis extérieurs) contre des substances inoffensives (ex : lait, pollen…) Les efforts de prévention signes d’allergie chez les enfants au moins jusqu’à 5 ans.

21 2.3. Exemples de prévention: L’enfant allergique
Pourquoi ? Bénéfique à l’enfant, en terme de maintien de la santé et de confort de vie. L’allergie peut nuire à la croissance, au développement et à la santé de l’enfant (asthme, bronchites, eczéma,…)

22 2.3. Exemples de prévention: L’enfant allergique
Pour qui ? Surtout enfants de familles « à risque ». Intérêt mesures générales dans la population

23 La prévention de l’allergie Comment?
MESURES GENERALES = traquer les acariens, les poussières, pollens, graminées, herbacées,… suivant la saison Allergisants d’origine animale : plumes, poils de chat, de chien, chevaux,… aliments et substances spécifiques à l’enfant (crustacés, certains médicaments, latex,…) humidité (moisissures)

24 La prévention de l’allergie Mesures générales
Acariens, poussières Aérer les locaux, les coussins (divan), tentures,… Prendre les poussières avec chiffon humide Pas de tapis plain, surfaces lavables à l’eau Choisir des matières lavables pour jouets, linge de lit (couettes, coussins,…)

25 La prévention de l’allergie Mesures générales
Pollens, graminées, allergisants d’origine animale, aliments, substances spécifiques,… Pas d’animaux domestiques dans milieu d’accueil Connaître les enfants et leurs allergies (saisonnières ou aliments,…)

26 La prévention de l’allergie Comment?
ALIMENTATION Lait maternel (le + longtemps possible) ou adapté (HA ou sensitive) Postposer diversification : rien que du lait jusqu’à 4 mois au moins postposer les aliments « allergisants » : blanc d’œuf, poisson (1an) fruits exotique (1an), fruits rouges (…) Gluten (4-6mois) Éviter arachides, noix, … (huiles)

27 La prévention de l’allergie Mesures générales
NE PAS FUMER pendant la grossesse au contact des nourrissons et de jeunes enfants

28 3. La consultation des nourrissons

29 3. La consultation des nourrissons
3.1. Par qui? 3.2. Pour qui, pourquoi ? 3.3. Rôles de l’accueillante

30 Suivis et formés par l’ O N E
3.1. Par qui? La consultation de nourrissons est composée d’un comité de bénévoles, d’un médecin , d’un Travailleur Médico-Social (infirmier(e) ou assistant(e) social(e)). Suivis et formés par l’ O N E

31 L’O.N.E. est un organisme de santé publique qui a pour mission la santé de la mère et de l’enfant en bas âge (0-7ans)

32 3.2. Pour qui, Pourquoi? Rôle préventif (PAS thérapeutique)
Surveillance médicale ( poids, taille, vaccin) et accompagnement psychosocial (bien-être des familles) Lieu d’information et d’échanges (entre mamans, avec le TMS) Pour les enfants de 0 à 7 ans et leurs familles ET AUSSI… Surveillance des enfants accueillis

33 Les activités préventives de l’ONE 12 programmes prioritaires :
Promotion de la vaccination Promotion de l’allaitement maternel Dépistage des troubles de la vue Prévention des caries dentaires Prévention de l’enfance maltraitée Prévention des troubles de l’alimentation Prévention des troubles de la croissance staturo-pondérale Dépistage des infections urinaires Prévention des accidents domestiques Prévention de la tuberculose Prévention de l’allergie Prévention de la mort subite du nourrisson

34 3.3. Rôles de l’accueillante
Brochures préventives éditées par l’O.N.E S’informer, être à jour Pouvoir répondre aux questions des parents. « Passer la main » au besoin !

35 4. Les Vaccins 4.1. Pourquoi ? 4.2. Quand ?
4.3. Obligations vaccinales en milieu d’accueil 4.4 La vaccination de l’accueillante

36 4.1. Pourquoi vacciner le nourrisson ?
Qu’est-ce qu’un vaccin ? Une fraction de pathogène (virus, bactérie) atténué ou tué Qui permet le développement d’Anticorps (Ac) spécifiques Et donc une protection ! lors d’un contact éventuel avec la maladie

37 4.1. Pourquoi vacciner le nourrisson ?
!! VACCIN = PREVENTION !! La collectivité (à p de 3 enfants) favorise la transmission des maladies Grande contagion milieu d’accueil Âge = facteur de gravité des maladies et de leurs conséquences Développement immunité après Ac maternels

38 TABLEAU VACCINAL DE L’ENFANT
4.2. Quand ? TABLEAU VACCINAL DE L’ENFANT 2 mois 3 mois 4 mois 12-13 mois 13-18 mois 5-7 ans 10-13 ans 14-16 ans Polio IN TE Diphtérie Tétanos Coqueluche F A N TR AV AC° Tedivax° Boostrix° Haemophilus B RIX Hépatite B Hexa ° Rougeole Rubéole Oreillons PR IO RIX° Méningocoque Meningitec° Pneumocoque Prevenar° Rotavirus Rotarix° Varilrix°

39 TABLEAU VACCINAL DE L’ENFANT
Infanrix° (hexavalent) Tétanos, diphtérie, polio, coqueluche (6 ans) Puis tétanos, diphtérie tous les 10 ans ( …), penser au Boostrix° (coqueluche) RRO attention aux 2 doses (18 mois puis 11ans) Prévenar° (pneumocoque) Rotavirus 2 doses avant 6 mois Varilrix° varicelle (vaccination de rattrapage, parfois 2 doses)

40 4.3. Obligations vaccinales en milieu d’accueil
Pourquoi ? Obligation au nom du droit à la collectivité à une protection vaccinale efficace Vaccins imposés = maladies transmissibles en milieu d’accueil Vaccins imposés = gratuits (remboursement CF)

41 Il est rappelé que la responsabilité d’un milieu d’accueil pourrait être engagée si un enfant non vacciné alors qu’il devait l’être, venait à infecter d’autres enfants.

42 4.3. Obligations vaccinales en milieu d’accueil
Polio, Diphtérie, Coqueluche, Haemophilus influenza type B, Rougeole, Rubéole, Oreillons  Preuve de vaccination à fournir lors du certificat d’entrée en milieu d’accueil

43 2 mois 3 mois 4 mois 12-13 mois 13-18 mois 5-7 ans 10-13 ans 14-16 ans Polio IN TE Diphtérie Tétanos Coqueluche F A N TR AV AC° Tedivax° Boostrix° Haemophilus B RIX Hépatite B Hexa ° Rougeole Rubéole Oreillons PR IO RIX° Méningocoque Meningitec° Pneumocoque Prevenar° Rotavirus Rotarix°

44 Contre Indications absolues vaccination
réaction anaphylactique à un vaccin ou à un de ses constituants histoire personnelle récente de convulsion ou d’épilepsie non contrôlée par le traitement affection neurologique évolutive pour le vaccin RRO, un état d’immunodéficience

45 CI relative à la vaccination
maladie modérée ou sévère en cours

46 4.4. La vaccination de l’accueillante
On vaccine pour se protéger des maladies pour ne pas être vecteur  ! Exemple vaccination du personnel médical contre la grippe en hiver 

47 4.4. La vaccination de l’accueillante
Tétanos diphtérie La coqueluche RRO (surtout désir de grossesse) Les hépatites

48 4.4. La vaccination de l’accueillante La coqueluche
= EVICTION (extrêmement contagieuse) = hospitalisation ; antibiotiques Phase catarrhale Phase de quintes : toux évoquant le chant du coq (toux + puis reprise puis expecto) transmission dans l’air complications respiratoires. Accueil avec certificat, retour H

49 4.4. La coqueluche TRANSMISSION Par voie aérienne (gouttelettes toux)
Contact direct (adultes infectés) CONTAGION 4 semaines après période des quintes Moins (7à10jours) si antibio

50 4.4. La vaccination de l’accueillante La coqueluche
La vaccination est recommandée chez Adultes n’ayant pas reçu Boostrix° ans En contact avec nourrissons non vaccinés ou insuffisamment vaccinés = jeunes et futurs parents, famille proche = personnel soignant des crèches et services de pédiatrie

51 4.4. La vaccination de l’accueillante Les hépatites
= inflammation du foie phase aiguë puis chronique Modes de transmission Hépatite A : féco-orale (hygiène!) Hépatite B : sang, sexuelle, mère enfant MAIS AUSSI salive, larmes NB: (Hépatite C : sang, sexuelle) (Hépatites D, E, F, …)

52 4.4. La vaccination de l’accueillante Les hépatites
3 vaccins : A, B, A et B Protection à vie 3 doses 0,1,6 mois hépatite B 2 doses hépatite A (0-6 mois) Statut vaccinal par prise de sang Intervention de la mutuelle !!

53 5. Notions d’Hygiène 5.1. Mesures générales d’hygiène
5.2. Mesures personnelles d’hygiène 5.3. Mesures particulières

54 L’hygiène = Prévention ! Rigueur indispensable des principes d’hygiène
Prophylaxie des maladies infectieuses Échanges et apprentissage des enfants et des parents

55 Une bonne hygiène passe et commence par l’hygiène des mains

56 5.2. Mesures Personnelles !!! LES MAINS !!!

57 Le lavage des mains Pourquoi?
Nous transportons des millions de microbes sur nos mains La plupart sont inoffensifs Mais… Nous pouvons contaminer nos mains avec des microbes comme ceux qui provoquent le rhume, la grippe, la diarrhée,… !

58 Le lavage des mains Pourquoi?
En plus des microbes présents sur nos mains, l’accueillante sera en contact avec des enfants malades et donc des microbes spécifiques Éviction des enfants malades mais…

59 Le lavage des mains Pourquoi?
Que se passe -t -il si nous ne nous lavons pas les mains ? Nous pouvons contaminer d’autres personnes (d’un enfant à l’autre,…) Nous pouvons développer nous même une infection en portant nos mains contaminées à la bouche: diarrhée au nez : rhume aux yeux : conjonctivite….

60 Infections les plus courantes transmises par les mains:
Rhume Grippe Diarrhée Conjonctivite Hépatite virale A Infections urinaires * Infections des plaies * plus spécifiques à l’hôpital Septicémies… *

61 Mode de transmission des virus ou bactéries
Contact direct ( ex : mains et selles diarrhéiques) Contact indirect ( ex: par le biais d’un jouet, d’un objet, coussin à langer,…) Gouttelettes ( ex : contacts rapprochés avec l’enfant malade) Voie aérienne (« dans l’air » pour certains germes très virulents comme la tuberculose)

62 Lavage et désinfection des mains
DEFINITIONS Nettoyer, laver = rendre net, propre ( en débarrassant de ce qui salit) Savon liquide Désinfecter = éliminer les agents infectieux (bactéries, virus, mycoses) Solution hydro alcoolique

63 Le lavage des mains Quand?
On se lave les mains quand elles sont sales… On se lave les mains après un contact avec des enfants malades ou des substances contaminantes ( sécrétions nasales purulentes, selles diarrhéiques,…)

64 La désinfection des mains Quand?
Avec la solution H.A., Dans toutes indications hygiène des mains sur mains propres (efficacité facilité usage) !! A limiter au manque de temps, de possibilité de lavage des mains!! En cas de souillure par liquide bio contaminant, APRES lavage des mains

65 Le lavage des mains Comment?

66 Mouiller les mains à l’eau courante tiède

67 Prélever une dose de savon liquide

68 Faire mousser le savon Laver en frictionnant Ne pas oublier les pouces et le dos des mains

69 Rincer les mains à l’eau courante tiède du bout des doigts vers les poignets, en maintenant les paumes dirigées vers le haut.

70 Sécher les mains par tamponnement

71 Fermer le robinet avec le dernier
essuie-mains utilisé

72 Jeter l’essuie-mains dans une poubelle sans la toucher
Pas de couvercle à soulever Hygiène du contenant !!!

73 5.2. Mesures personnelles Les mains de l’accueillante
Essuie-mains à usage unique en papier OU Essuies en éponge changés tous les jours ou dès qu’ils sont humides ET solution antiseptique

74 5.2. Mesures personnelles L’hygiène des mains
Avec du savon liquide Rincer abondamment Essuies à jeter Poubelles adaptées

75 5.2. Mesures personnelles L’hygiène des mains
Éviter les bagues, bracelets,… Les ongles brossés et coupés court Relever les manches

76 5.2. Mesures personnelles Les mains de l’accueillante
Mains gercées, abîmées, sèches… Pas de brossage Crème hydratante Une étude en milieu hospitalier Désinfection hydro alcoolique moins irritant MAIS … ne contient pas d’agent nettoyant

77 5.2. Mesures personnelles Les mains de l’accueillante
A l’arrivée dans le milieu d’accueil Après chaque change Après chaque soin (toilette, alimentation) Après chaque contact avec des liquides corporels TRES SOUVENT TRES IMPORTANT

78 5.2. Mesures personnelles Les mains de l’enfant
Apprentissage Habitude, rituel Forme ludique, responsabiliser les plus grands D’autres messages hygiène

79 5.2. Mesures personnelles Les mains de l’enfant
Apprentissage, règles d’hygiène Après chaque change Après usage du petit pot Avant chaque repas

80 5.1. Mesures générales Hygiène des locaux
Nettoyer = rendre net, propre Produits recommandés tout usage, non toxiques,bio dégradables Ex : Savon de Marseille, savon noir Désinfecter = éliminer les bactéries, virus, mycoses Produits recommandés Eau de javel (jamais en présence des enfants), dérivés ammonium

81 5.1. Mesures générales Hygiène des locaux
Comme désinfectant, le Dettol est interdit TOXIQUE ET IRRITANT pour les voies respiratoires Utiliser les dérivés d’ammonium en sprays (HAC°, Umonium°,…) ou eau de Javel en l’absence des enfants

82 5.1. Mesures générales Hygiène des locaux
Nettoyage quotidien des locaux et du matériel (meubles, éviers,…) HUMIDE Pas de loques à poussières Produits adaptés (savon noir, pas de produits ammoniaqués, ni parfumés)

83 5.1. Mesures générales Hygiène des locaux
Désinfection après nettoyage en cas d’infections, épidémies, souillures Quotidien surfaces alimentaires, coussin à langer, tapis de jeux, coussins de psychomot plastifiés, (salle de bains) Eau de Javel ou HAC à diluer en spray

84 5.1. Mesures générales Hygiène du matériel
Petits pots *nettoyés après chaque usage *désinfectés après chaque selle ou OBLIGATOIREMENT après diarrhée Thermomètres 15 secondes dans alcool à 70° Les coussins à langer *Essuie personnel ou papier *Désinfectés quotidiennement

85 5.1. Mesures générales Hygiène du matériel
Objets et jouets = en matière facilement lavable ! Objets solides(fonction taille) lavés au lave vaisselle (désinfection thermique) ex: cubes, dînette,… Jouets en tissu dans la machine dans une taie

86 5.1. Mesures générales Hygiène du matériel
Objets et jouets En cas de souillure visible (salive,sécrétions nasales, liquide gastrique…) Soit désinfecter ET RINCER Soit écarter jusque lavage

87 5.1. Mesures générales Ne JAMAIS mélanger linge propre et sale
JAMAIS de linge SALE ou SOUILLE sur le sol (idem pour les langes, pansements, mouchoirs,…!) Linge personnel de l’enfant : bavoirs, serviettes, gants de toilettes,… et à changer après chaque usage

88 Ventiler, renouveler l’air est une pratique obligatoire pour assurer un environnement intérieur sain. ouvrir une ou plusieurs fenêtres 15 minutes le matin (et ou le soir). dans dortoirs, 15 minutes avant chaque sieste (et ou après)

89 5.1. Mesures générales Évacuation des déchets
Déchets ménagers (tri!) Déchets spécifiques aux soins Langes souillés, pansements,… sacs résistants, poubelles RIGIDES, A DESINFECTER (min 2x / semaine) Ampoules et aiguilles CONTAINERS SPECIFIQUES (JAUNES) Linge propre, linge sale

90 5.1. Mesures générales Alimentation
Aliments de qualité Hygiène personnelle du « cuisinier » lors de la préparation des repas Hygiène des locaux du matériel pour la préparation des repas lors des repas ou des collations Principes de conservation des aliments (!...)

91 5.1. Mesures générales Les animaux
HYGIENE !!! TOUJOURS avertir les parents Apprentissage spécifique (voir Prévention des accidents) Éviter tout contact de l’enfant avec les excréments et les liquides corporels (salive !) à l’intérieur et à l’extérieur !! (attention aux bacs à sable)

92 5.1. Mesures générales Le tabac
INTERDIT de fumer dans les milieux d’accueil Suivant l’A.R. du 15/05/1990 Dérogation si pièce à l’écart à cet effet s’y rendre n’entrave en rien la surveillance et la sécurité des enfants (!!!) Tabagisme passif = risques santé enfant

93 5.3. Mesures particulières
Spécifiques et destinées à s’opposer à l’extension, dans la collectivité, d’une maladie contagieuse reconnue. Appliquer les mesures générales et personnelles ( LES MAINS !!) Actions particulières en fonction mode transmission

94 6. La Pharmacie de l’accueillante

95 6. La pharmacie Nécessaire et pas superflu SECURITE :
hors de portée des enfants, fermeture à clé (clé endroit connu !)

96 La pharmacie Les Antipyrétiques Le sérum physiologique
Les désinfectants et matériel pansement Autres

97 6.1. Les Antipyrétiques La fièvre chez l’enfant t°>38°5 C en rectal
2 Types d’antipyrétiques dans la pharma Différentes formes : suppo, sirop, comprimés à mâcher (fonction âge et poids) MEME SI ONE n’autorise que paracétamol

98 6.1. Les Antipyrétiques Différents types
Le Paracétamol ( Perdolan° Curpol°) L’Ibuprofène ( Nurofen° Perdophen°) L’Aspirine ou Acide Acétyle Salicylique ( Aspro°, Dispril°)

99 6.1. Les Antipyrétiques Différents types
L’ONE ne vous autorise à donner que du paracétamol sans certificat médical Mais ces notions sont très importantes à connaître, afin de revoir certaines idées reçues ! !

100 Les antipyrétiques Le Paracétamol
= le PREMIER choix !! Dose correcte: 50 mg/kg par jour – jusqu’à 4 x/j – Intervalle min entre 2 prises: 4 h Différentes formes Suppositoires Sirop Comprimés FEU VERT

101 Différentes formes de PARACETAMOL
Dosage Suppositoires Sirop ml Comprimés 80 mg Dafalgan nourrisson° 100 mg Perdolan bébé° 120 mg Curpol fraise° 125 mg Curpol suppo° 150 mg Dafalgan jeune enfant° 160 mg Perdolan sirop° Perdolan° 200 mg Perdolan jeune enfant° 250 mg Curpol ° Curpol orange° 300 mg Dafalgan gd enfant° 350 mg Perdolan grand enfant°

102 Les antipyrétiques Le Paracétamol
Exemple : Un bébé de 12 kg peut avoir, sur 24 heures, 12x50= 600mg de paracétamol répartis en 4x150mg  = 4 suppositoires Dafalgan° jeune enfant

103 Les antipyrétiques L’ Ibuprofène
PRUDENCE… = ANTI INFLAMMATOIRE Dose correcte: 30 mg/kg par 24h – jusqu’à 3 x/j, près des repas – Intervalle min entre 2 prises: 6-8 h !! Max 24 h sans avis médical FEU ORANGE

104 Les antipyrétiques L’ Ibuprofène
PRUDENCE Éviter avant 6 mois Effets secondaires: saignements digestifs, toxicité rénale Contre indications : diarrhée, varicelle, déshydratation, problème rénal,

105 Différentes formes de l’ IBUPROFENE
Dosage Sirop ml Sachets à dissoudre Dragées 100mg Nurofen avec ou sans sucre Malafen 200 mg Nurofen granules Nurofen

106 Les antipyrétiques L’ Ibuprofène
Exemple : Un bébé de 12 kg peut avoir, sur 24 heures, 12x30= 360mg d’ibuprofène répartis en 3x120mg = 6 ml de Nurofen° TRUC uniquement valable pour Nurofen° !! = ½ poids en ml 3x / jour = ½ de 12 en ml = 6ml 3 x / jour

107 Les antipyrétiques L’ A A S
TRES TRES PRUDENT CONTROVERSE Risque de syndrome de Rye = Rare mais grave (surtout en présence varicelle influenza) PAS D’AAS AVANT 12 ANS pour traiter fièvre banale FEU ROUGE

108 ATTENTION à l’usage de différentes seringues car graduation au kilo est différente !
ex: Pipette Motilium graduée à 25mg kilo donc pour 10kg on a 2.5ml Pipette Nurofen graduée à 30mg kilo donc pour 10kg on a 5ml

109 Seringues et cuillères avec procédé d’usage stérile !
Intérêt d’avoir une seringue graduée par ml et de connaître les doses !! Ou d’avoir un « pense bête »dans la pharmacie Seringues et cuillères avec procédé d’usage stérile ! Désinfecter ou changer pour chaque enfant Ne pas laisser la cuillère dans le flacon sans la rincer

110 6.2. Le Sérum Physiologique
à usage individuel (uni doses) avec procédé d’utilisation stérile (désinfecter ) préférence aux récipients en plastique utilisables et jetables ou aux sprays nominatifs. Par exemple : Physiomer°, Nésiphysio°, Stérimar°,Naaprep°…

111 6.2. Le Sérum Physiologique différents usages
Mouchage Nettoyage Yeux de l’extérieur vers l’intérieur sur une compresse plaies En aérosol : dégage le nez et les voies respiratoires supérieures

112 Avec du Liquide Physiologique, en quantité suffisante !!!
Mouchage Mettre l’enfant sur le côté, Boucher une narine, Injecter dans la narine controlatérale Avec du Liquide Physiologique, en quantité suffisante !!!

113 Mouche bébé

114 6.2. Le Sérum Physiologique REMARQUE
Les gouttes nasales ? PEU D’INTERET ATTENTION dépendance des vasoconstricteurs Nesivine°, Otrivine°,… Désinfectants ? Soframycine°, Néobacitracine° NON ! Péremption et risque infectieux

115 6.2. Autres médicaments d’usage courant?
TOUS CES PRODUITS SONT INUTILES DANS LA PHARMACIE DE BASE Vous n’êtes pas pharmacien Dates de péremption Risque de confusion Penser à l’ ESSENTIEL ET NON SUPERFLU

116 6.2. Autres médicaments d’usage courant ?
Anti émétiques Motilium 25 mg/kg, 3 fois par jour avant le repas Anti acides Gaviscon après le repas ou avant le coucher Levures, ou solution réhydratation Bacilac, Entérol Sirop, suppo pour la toux Stodal, dérivés eucalyptus

117 Pas d’éosine car pas désinfectant
6.3. Désinfectants : Liquide: Isobétadine° dermique, Diaseptyl° Pas d’éosine car pas désinfectant Pommade: Isobétadine gel°, Fucidin° MAIS AUSSI alcool 70° (désinfection des thermomètres et ustensiles, vaccination) ou lingettes « uni doses » En spray HAC, Ummonium pour les jouets, les coussins à langer  ! PAS DE DETTOL ! NB : Isobétadine gel aussi en cas de brûlure

118 6.3. Matériel à pansements 2 types de compresses Compresses de gaze
Compresses non adhérentes (Melolin°) Sparadrap rouleau large à découper ( Mefix° 5 ou 10cm de large) Une paire de ciseaux Une bande « souple » (Fixomull°) NB: Pansements « tout faits » ?... Colle mal ou peu, peu adapté pour plaies

119 6.4. Autres Une pommade apaisante lors des piqûres d’insectes, irritation, … A BASE D’ARNICA Crème pour le siège à action isolante et désinfectante (Dermocrème, Cicalfate°,Inotiol°, Daktozin°, …) Crème solaire à indice de protection élevé

120 6.4. Autres Thermomètre Poche de gel Pince à tique SANS ETHER
Gants en plastique INTERET ? Protection pour plaies, pansements MAIS AUSSI lors de maladies contagieuses (diarrhée !)

121 6.5. Utilisation des aérosols, nébuliseurs, puffs,…
adulte ou enfant capable d’inhaler sur commande

122

123

124 6.5. Utilisation des aérosols, nébuliseurs, puffs,…
Chambre d’expansion connecter les aérosols-doseurs

125 6.5. Utilisation des aérosols, nébuliseurs, puffs,…
Appareils à nébuliser

126 7. Les premiers soins (accidents de la vie courante)
7.1. Les chutes 7.2. Les brûlures 7.3. Les intoxications

127 7. Les premiers soins = LES URGENCES
PAS d’improvisation Reconnaître l’Urgence Savoir que faire Garder à portée n° appel urgents (100, ambulances, pompiers, … H et familles!) Pouvoir compter sur la présence d’un autre adulte

128 NUMEROS APPELS URGENTS
Service médical d’Urgence 100 Centre Anti-Poisons 070/ Médecin traitant de référence ---/ Liste numéro parents enfants

129 7. Les premiers soins 7.1. Les chutes
Souvent banales SAUF Choc sur la tête = appel médecin PC convulsions vomissements = HOPITAL Chute très importante (coma, douleurs nuque tête,…) = PRECAUTIONS +++ pour déplacer Ou ATTENDRE LE 100 Chute avec objets en main = risque plaies +/-graves

130 7.1. Les chutes Soins des plaies
Plaie bénigne et superficielle : Exemple : genou, coude éraflés, griffe, morsure (par un autre enfant),…

131 Plaie bénigne et superficielle
SE LAVER LES MAINS ou METTRE DES GANTS Nettoyer la plaie (liquide physio) Solution désinfectante (Isobétadine°, Diaseptyl°) avec compresse Pas ouate pas Éosine Pansement (Compresse et morceau Mefix°)

132 7.1. Les chutes Soins des plaies
Plaie profonde et saigne beaucoup  : Exemple : sur arrête ou coin de meuble, dans une porte,… La bords de la plaie sont très écartés et la plaie est profonde (suture?)

133 Plaie profonde et saigne beaucoup :
Appel médecin SE LAVER LES MAINS ou METTRE DES GANTS Nettoyer la plaie solution désinfectante (Isobétadine°, Diaseptyl°en spray) Pas ouate pas Éosine Pansement Compressif (Paquet de compresses + une bande souple bien serrée) NB: Si difficultés +++ verser Iso dans plaie fermer avec compresses et bande, attendre médecin

134 7.1. Les chutes Soins des plaies
Hématome : Exemple : bosse sur le front (« cochon »),… Immédiatement eau froide ou glace (dans un gant de toilette, un drap); poche de gel Attendre pour une crème type Hirudoïd° (quelques heures!). Préférer Arnica (gel ou granules)

135 7.2. Les brûlures Les brûlures oesophagiennes Les brûlures cutanées

136 7.2. Les brûlures Les brûlures oesophagiennes
ingestion d’un liquide bouillant (attention aux biberons micro-ondes) ingestion de caustiques (eau de Javel, produits entretien) APPEL du médecin, décision HOSPI selon son examen (pour scopie)

137 7.2. Les brûlures Les brûlures oesophagiennes
Lors ingestion caustiques Pas d’initiatives comme Faire vomir Faire boire du lait!!! Toujours contacter le centre anti poisons

138 7.2. Les brûlures Les brûlures cutanées
Par aspersion de liquide brûlant (potage, eau chaude) Par immersion dans un bain trop chaud Facteurs de gravité âge de l’enfant %age de la surface corporelle (10%). localisation au (visage, yeux, mains, périnée = hospitalisation)

139 7.2. Les brûlures Les brûlures cutanées
En fonction gravité APPEL médecin DANS TOUS LES CAS Cooling = rincer abondamment (plusieurs minutes) à l’eau froide (20°) Faire pansement « gras » (pommade Iso gel° compresses non adhérentes, Mefix°)

140 7.2. Les brûlures Les brûlures cutanées
NB: Les éraflures, égratignures sur béton, tarmac,… = brûlures 1er degré Faire pansement « gras » (compresses non adhérentes, Mefix°) avec pommade désinfectante ( Isobétadine° crème, Fucidin°)

141 7.3. Les intoxications Les produits ménagers et médicaments
Prévention = rangement hors de portée des enfants. indispensable pour les produits caustiques (déboucheur, antirouille, antigel, White Spirit, poudre pour lave-vaisselle…) ou de jardinage (engrais, désherbants).

142 7.3. Les intoxications Les plantes
= Risque pour l’enfant de mettre en bouche (feuilles, baies,…) A l’intérieur EVITER Les Philodendron, Dieffenbachia, Ficus, Poinsettia, le pommier d’amour, = risque d’irritation, des troubles digestifs,... Au jardin EVITER Les fruits d’If sont mortels, le Houx, le Gui, Beaucoup graines ou fruits toxiques.

143 Plantes d’intérieur Philodendron Poinsettia = rose de noël
Dieffenbachia Ficus Pommier d’amour

144 Les plantes d’extérieur
Gui If Houx

145 Qui renseignera la conduite à tenir:
7.3. Les intoxications En cas d’ingestion ou d’intoxication Contacter le Centre Anti-Poison (070/ ) Qui renseignera la conduite à tenir:  Faire vomir Transférer en milieu hospitalier Surveiller

146 8. L’Accueil des enfants malades
8.1. Le rôle de l’accueillante 8.2. Comment accueillir l’enfant ? 8.3. Le certificat médical 8.4. Éviction du milieu d’accueil (contagion)

147 8. L’Accueil des enfant malades
= Collaboration de l’AA avec Parents enfant malade Médecin traitant T.M.S de la consultation et service gardiennes encadrées = Risque potentiel de contagion = Accueil avec certificat

148 8. L’Accueil des enfant malades 8.1.Le rôle de l’accueillante
Surveillance enfant ( symptômes) et de son évolution Administration de traitement Appel des parents SNc Appel du médecin traitant SNc (URGENCES)

149 8.2.Comment accueillir l’enfant
2 cas de figure L’enfant arrive malade, a déjà consulté L’enfant est malade dans le milieu d’accueil

150 8.2.Comment accueillir l’enfant
L’enfant arrive malade, a déjà consulté Administrer traitement MEDICAMENTS UNIQUEMENT SUR prescription médicale INDIQUANT nom, dosage, quantité à donner, fréquence, temps. TRAITEMENT DE CONFORT selon recommandations des parents NB : Rôle du carnet de l’enfant

151 Le carnet de l’enfant Intérêt: Communication écrite et non verbale
Santé, sommeil,… Distinct du carnet de l’ONE

152 8.2.Comment accueillir l’enfant
L’enfant est malade dans le milieu d’accueil Prise en charge des symptômes Reconnaître Urgences NB : Rôle du carnet de l’enfant

153 8. L’Accueil des enfant malades 8.3.Le certificat médical
Par le médecin traitant de l’enfant malade Modèle type de l’ONE Informe sur risque de non contagion Au besoin, rôle Préventif du médecin ONE

154 8. L’Accueil des enfant malades 8.4. L’éviction du milieu d’accueil
En cas de maladie réellement contagieuse, le médecin ordonne l’éviction Ex : tuberculose, hépatite A, méningites, … Mais aussi en cas de pédiculose gastro-entérites

155 Motifs d’éviction ONE (1)
Rougeole-oreillons Coqueluche Gastro entérites Hépatite A Méningites Haemophilus Influenza B, méningocoques

156 Motifs d’éviction ONE (2)
Pharyngite à streptocoques A, scarlatine Varicelle – zona Stomatite herpétique Impétigo important Gale Pédiculose massive

157 Différentes maladies courantes Les p’tits boutons…
Rougeole, rubéole, oreillons QUASI DIPARU grâce à la vaccination Varicelle CONTAGION tant qu’il y des bulles !! Impétigo (coin de bouche) sur grande partie du corps EVICTION Stomatite herpétique CONTAGION par vésicules et salive

158 La varicelle = t°, un point, une bulle, une croûte
CONTAGIEUX Tant qu’il y a des bulles… (liquide vésicules) = EVICTION

159 L’impétigo Coin de bouche Bulleux ou croûteux Partout ailleurs
= surinfection d’une lésion par microbe présent sur la peau = EVICTION si surface atteinte +++

160 Stomatite herpétique Primo infection du virus de l’herpès
Enfant mauvais EG Douloureux pour manger, boire,… CONTAGIEUX par salive, liquide des vésicules

161 La coqueluche = EVICTION (extrêmement contagieuse)
= hospitalisation ; antibiotiques Phase catarrhale Phase de quintes : toux évoquant le chant du coq (toux + puis reprise puis expecto) transmission dans l’air complications respiratoires. Accueil avec certificat, retour H

162 L’hépatite A Affection virale du foie
contamination féco-orale MAX pendant incubation disparaît aux premiers symptômes La plupart non diagnostiquées(petites épidémies intrafamiliales ou…) début : malaise général, état grippal, manque d’appétit, vomissements et fièvre. après 3 à 10 jours : urines foncées, jaunisse Traitement des symptômes, hygiène. = EVICTION si diagnostiqué à temps, vaccination rattrapage possible

163 L’angine blanche = La pharyngite à streptocoques du groupe A (béta-hémolytique) rougeur et taches blanches sur les 2 amygdales. 80% asymptomatiques ou signes atténués. = antibiotique CONTAGIEUX Éviction jusque 48h après AB

164 La scarlatine streptocoque bêta hémolytique du groupe A
Début le + souvent par une angine Puis éruption : coloration rouge rosé de la peau, de la face au cou, puis de l’abdomen aux membres (plus aux creux) contagion 24 h avant le début des symptômes

165 La scarlatine Eviction déjà pour l’angine blanche
OK quand frottis de gorge nég (strepto est contagieux pas les boutons) Frottis négatif dès que AB instauré Frottis autres enfants (débat…)

166 Les méningites bactériennes
La méningite = inflammation des méninges 2 modes d’installation : progressif ou fulminant Symptômes variables Le plus typique : fièvre, maux de tête,irritabilité, fuir la lumière, vomissements somnolence Pétéchies = signe grave

167 Les méningites bactériennes
La méningite à Haemophilus Influenzae <4 ans pratiquement disparu (vaccin) mode progressif = hospitalisation Prophylaxie (= prévention de la propagation de la maladie) : toutes les personnes vivant sous le même toit (Rifampicine°)

168 Les méningites bactériennes
La méningite à Méningocoques Différents types (B,C) Vaccin contre méningocoque C =hospitalisation Portage niveau pharynx. contagion par contacts étroits et prolongés Prophylaxie de la collectivité

169 La gale Due à un parasite
très contagieuse, surtout dans les collectivités. sillons (doigts, plis,ombilic) et prurit +++ parfois surinfection contamination par contact direct application d’une crème tout le corps au moins 12h. toute la famille indispensable de désinfecter les vêtements et la literie.

170 La pédiculose pou adulte œufs = « lentes » qui se fixent aux cheveux.
8 à 9 jours après l’œuf : larve 8 à 9 jours pour arriver au stade adulte. Présence poux visibles rares Présence de lentes = pellicules accrochées aux cheveux

171 La pédiculose Il n’existe pas de traitement préventif, mais bien des mesures préventives. Éviter les portemanteaux communs Éviter échange de brosses, peignes, bonnets, écharpes,… Attacher les cheveux longs Eviter l’utilisation préventive de shampoing anti-poux, Examiner régulièrement les cheveux (pour les parents !)

172 La pédiculose TRAITEMENT
shampoing anti-pou, puis peigner longuement pour éviter les lentes (Attention, les lentes accrochées peuvent donner naissance à des poux même après l’emploi du shampoing anti-poux ! ) laver bonnets, écharpes, literie à 60° ou traiter avec un insecticide adapté ou congélateur certificat médical absence de poux et de lentes

173 Le muguet Du à un champignon Candida albicans le + svt
Immunodéficience ou usage dérivés de cortisone Traitement simple (gel oral) Contagieux

174 9. Prise en charge de différents symptômes et maladies courantes
9.1. La fièvre chez l’enfant 9.2. Les convulsions fébriles 9.3. La diarrhée de l’enfant 9.4. La constipation chez l’enfant 9.5. Les régurgitations du nourrisson 9.6. Le spasme du sanglot

175 9.1. Prise en charge de la fièvre
Qu’est-ce que la fièvre ? = un symptôme pas une maladie = sonnette d’alarme de l’organisme accompagne les infections NECESSAIRE d’ identifier son origine ( voir médecin…) et la traiter ( !!)

176 9.1. Prise en charge de la fièvre
Fièvre = t° >38.5° Chiffres de base : 36,5° à 37.5° normal pour nouveau né jusqu’à 1 mois 38°  normal chez l’enfant fin d’après-midi, après activité physique, repas chaud ou bain

177 9.1. Prise en charge de la fièvre Où prendre la température ?
L’oreille : Mesure t° par contact direct avec le tympan Fiable pour température = la plus proche de la réalité Mais controverses ( nourrissons, bouchons de cérumen, qualité et prix variables)

178 9.1. Prise en charge de la fièvre Où prendre la température ?
La bouche : peu fiable Le creux du bras : le plus lent et le moins fiable La main sur le front : A PROSCRIRE !! CAR aucune valeur chiffrée !!

179 9.1. Prise en charge de la fièvre Où prendre la température ?
L’anus : méthode la mieux validée, référence Thermomètre électronique à préférer prix accessible et qualité optimale Attention à la pile !!

180 9.1. Prise en charge de la fièvre Mesures à prendre
découvrir l’enfant ambiance fraîche donner à boire par petites quantités donner un bain tiède (2° sous la t°) 10 minutes ou l’entourer de linges humides et frais Si médicament à p de 38°5 Paracétamol (!!)

181 9.2. Les convulsions fébriles
convulsions déclenchées par la fièvre, enfants entre 6 mois et 5 ans Perte de conscience, mouvements du corps ou d’une partie du corps, tremblements involontaires. Brève max 1 à 2 minutes À p de 40° mais aussi avt ou lors ascension

182 9.2. Les convulsions fébriles
Facteurs favorisants 1er épisode âge précoce fratrie avec convulsions fébriles crise fièvre peu élevée

183 9.2. Les convulsions fébriles
Quels risques pour convulsions fébriles? RARES et MODERES Chutes = blessures minimes, objets inhalés,… Pas de trouble du développement Peu de risque d’épilepsie ultérieure

184 9.2. Les convulsions fébriles
CONDUITE A TENIR Rester calme Éloigner les objets dangereux, les retirer de la bouche,… Placer sur sol allongé (voir PLS) Appel médecin Si >10 minutes, appel du 100.

185 9.2. Les convulsions fébriles
CONDUITE A TENIR Avis médical : ex complémentaire, hospi rare Traiter la fièvre Administration Valium Traitement chronique rare

186 9.3. Prise en charge de la diarrhée
Durée : quelques jours à une semaine, Origine : + souvent des virus  (10% cas salmonelle ou parasite) Parfois alimentaire ( non infectieuse) = Risque DESHYDRATATION surtout si t°, vomit , boit peu.

187 9.3. Prise en charge de la diarrhée La déshydratation
Signes de déshydratation: 1) pas de production d’urine pendant 5 à 8 heures, 2) bouche et langue sèches, 3) yeux enfoncés dans les orbites, 4) comportement anormalement calme et apathique, 5) pli de peau paresseux

188 9.3. Prise en charge de la diarrhée La déshydratation

189 9.3. Prise en charge de la diarrhée Quand consulter le médecin ?
Immédiatement en cas de déshydratation si diarrhée sévère (7 à 8 selles par jour, glaires sanguinolentes, coliques importantes,t° élevée, vomissements fréquents.) PAS d’amélioration en 48 heures diarrhée PLUS d’une semaine fièvre PLUS de 3 jours NB Il faut surveiller la perte de poids qui ne doit pas être supérieure à 1/10 du poids corporel. Ex : un enfant de 10 kg ne peut pas perdre plus de 1 kg

190 9.3. Prise en charge de la diarrhée Règles d’hygiène
lavage de mains (de la gardienne, du malade, de tous) désinfection du matériel Langes dans sac plastique avant poubelle. Les surfaces (coussins à langer, petits pots) eau de Javel diluée tablier pour changer l’enfant et un autre (!) pour cuisiner et donner les repas.

191 9.3. Prise en charge de la diarrhée Mesures diététiques
constituent le principal traitement des diarrhées. objectif de prévenir la déshydratation en fonction de l’âge réintroduite rapidement une alimentation normale

192 9.3. Prise en charge de la diarrhée Mesures diététiques
En général : Jamais interrompre allaitement maternel mais peut être complété par solution de réhydratation. Le + rapidement possible revenir à alimentation normale, éviter modifications diététiques longtemps Hygiène des mains !!

193 9.3. Prise en charge de la diarrhée Mesures diététiques
Diarrhée légère Favoriser l’hydratation (couper le lait des biberons, faire boire eau ) réintroduire lait (dilué ou pauvre en lactose, soja) et aliments constipants (riz cuit, carottes et viande mixées, pommes râpées et bananes écrasées) Utiliser davantage de carottes cuites, de riz, de pommes râpées ou de bananes écrasées.

194 Comment diluer le lait ? Couper le lait des biberons
Ex : biberon de 150 cc = 5 mesures de poudre On utilise 2 puis 3 puis 4 … mesures pour la même quantité d’eau Couper le lait de croissance = ajouter 2/3 eau, 1/3 lait puis 1/3 eau, puis,…

195 9.3. Prise en charge de la diarrhée Mesures diététiques
Diarrhée modérée à sévère JOUR 1 diète hydrique à volonté (solution de réhydratation, eau sucrée, eau de riz,…) JOUR 2 ajouter du bouillon, des biscottes à la confiture, du riz, de la purée de pommes de terre, des carottes et du poulet ( PAS de lait, sauces, graisses) JOUR 3  étendre à une alimentation normale, avec un apport suffisant en liquides. Eviter encore les fruits et légumes riches en fibres et les aliments frits.

196 Recette de l’ Eau de riz Faire cuire 1 cuillère à soupe de riuz dans 1l d’eau Filtrer, ramener au litre si besoin Ajouter 1 cuillère à café de sel pour 2 de sucre Sucrer pour le goût (sirop)

197 9.4. La constipation = raréfaction de l'émission des selles, déshydratées (plus rares, plus dures) Nourrisson consistance des selles Bébé <1selle /jour Enfant <2 selles/semaine

198 9.4. La constipation Complications douleurs, ballonnements,
fissure anale parfois incontinence parfois Accumulation de selles : fécalome (bouchon), prolapsus rectal.

199 9.4. La constipation Causes de constipations fréquentes
Mauvaises habitudes alimentaires (boit peu, peu fibres, trop sucres, LV,…) Mauvais comportement (oublie, se retient,…)

200 9.4. La constipation Conseils et mesures préventives
Augmenter aliments riches en résidus Laitages très peu de résidus Bien que fermentation lactose (péristaltisme) Stimuler le péristaltisme (motricité) intestin par aliments riches en fibres Fibres végétales après cuisson sont moins « stimulantes », préférer crudités

201 9.4. La constipation Conseils et mesures préventives
Pas d’aliments trop sucrés ou trop gras Moins de laitages (crèmes, pudding) Faire boire +++ (eau, jus de fruits) 30 à 60 ml d’eau avant lait en poudre Légumes verts :haricots verts, épinards, salade cuite, petits pois, céleri , fenouil, courgettes.. Céréales complètes: pain complet, mais aussi riz et pâtes, pain au son Huiles végétales ++ (olive, colza)dans purées Proscrire parfois le riz et les carottes

202 9.4. La constipation Conseils et mesures préventives
Fruits secs: pruneaux, abricots secs Fruits frais: En salade à ajouter dans les yaourts sous forme de jus maison (jus d'orange ou autre) NB: les jus dans le commerce sont très sucrés = Prunes, kiwi, fruits de la passion, framboise, mûre, groseille, raisin, noix et noisettes fraîches, orange (Pas la banane !) ADAPTER EN FONCTION AGE de l’enfant

203 9.4. La constipation Conseils et mesures préventives
Activité physique tous les jours. S’assurer que l’enfant va aux toilettes dès qu’il a envie Prendre le temps d'aller à la selle matin Éviter la rétention à l'école

204 9.4. La constipation Signes de gravité
Pas amélio malgré mesures pdt 1 semaine Sang ++ ,rouge foncé ou noirâtre dans selles avis médical NB : traces sang (selles dures) TOUJOURS si douleur ++

205 9.5.Les régurgitations du nourrisson
Définitions Le reflux du nourrisson = remontée, sans effort, vers la bouche, du contenu gastrique (irritant ++) ≠ rejet (renvoi de lait non digéré), ≠ vomissement (quantités plutôt importantes d’aliments digérés)

206 9.5.Les régurgitations du nourrisson
Pourquoi ? REFLUX Immaturité sphincter oesophage (PHmétrie) REJETS position de l’enfant (couché horizontalement) gourmandise de l’enfant trop plein dans l'estomac.

207 9.5.Les régurgitations du nourrisson
Mesures préventives De manière générale, Attention position du corps Refoulement contenu abdomen

208 9.5.Les régurgitations du nourrisson
changer l’enfant sans trop serrer la couche nourrir calmement et sans hâte éviter les tétines à trop grands débits après le biberon, éviter de manipuler bébé laisser vertical, éviter le jus d’orange Lait confort ou AR Pas de tabac Pieds du lit tête surélevés double coussin

209 9.6. Le spasme du sanglot ≠ crise d'épilepsie.
= manifestation des émotions ( colère, rage, douleur, peur) pâmoison avec PC TOUJOURS réversible Impressionnant pas grave la cause la + fréquente de syncope de 5 mois à 3 ans. 4 à 5% des enfants un spasme du sanglot I

210 9.6. Le spasme du sanglot IMPORTANCE
diagnostic clair avant l’entrée en milieu d’accueil premier épisode en milieu d’accueil que l’enfant soit vu et que les parents soient prévenus

211 9.6. Le spasme du sanglot Tableau clinique de la maladie
Emotions puis pleurs +++ Souffle de + en + court phase expiratoire longue bouche ouverte, apnée = "pâmoison" Parfois syncope asphyxique avec PC, comme convulsion. (hypotonie, révulsion yeux) Parfois clonies (mouvements) réveil toujours rapide sans traitement. 

212 9.6. Le spasme du sanglot Évolution de la maladie
Disparition après 6 ou 7 ans. très spectaculaire pour toute personne non-initiée. Risque de surprotection = risque profit de l'enfant Spasmes devant certaines personnes…

213 9.6. Le spasme du sanglot Conduite à tenir
consulter pédopsychiatre informer le milieu d’accueil, l’école. pas une crise d'épilepsie = pas traitement principal risque éducatif (peur crise, permissivité++,…) Gestion des émotions NB : disparaît avec l’âge

214 9.7. L’enfant encombré au niveau respiratoire
Symptômes principaux : Toux, bruits respiratoires (sifflements, ronflements,…) Présence ou non de fièvre Le diagnostic se fait à l’auscultation

215 L’arbre respiratoire

216 9.7. L’enfant encombré De manière simplifiée, à l’oreille
toux sèche (toux irritante, rêche, rauque) toux grasse (gros bruits ronflants)

217 9.7. L’enfant encombré Les toux sèches Les toux grasses
haute (larynx, trachée) basse (bronches dans le cas de l’asthme, bronchite asthmatique, bronchioles,…) Les toux grasses origine haute (sécrétions) bronchite voire une bronchopneumonie. Pour rappel, l’examen médical est indispensable pour le diagnostic.

218 9.7. L’enfant encombré Origines des pathologies respiratoires
virales, bactériennes VRS (virus respiratoire syncytial)= très contagieux, peux être grave (bronchiolites) prédispositions (asthme, bronchite asthmatique,…)de l’enfant.

219 9.7. L’enfant encombré Mesures à prendre
Surveiller état général de l’enfant, Surveiller t° (fièvre) Signes de gravité : l’enfant respire vite (« comme un petit chien ») la peau s’enfonce sous les côtes (tirage) ailes du nez battent et s’écartent.

220 9.7. L’enfant encombré Attention enfants <18 moins enfant <1 an
état général hydratation (fièvre et difficultés respiratoires) enfant <1 an Dyspnée = HOSPITALISATION

221 9.7. L’enfant encombré Traitement selon le germe en cause
l’état de l’enfant partie de l’arbre respiratoire atteinte. Traitement = Antibiotiques, aérosols, désinfection nez selon directives du médecin. TOUJOURS dégager les voies respiratoires supérieures (LP nez) PAS DE TABAC

222 9.8.La laryngite striduleuse
Laryngite = inflammation du larynx. ≠ de la pharyngite (= angine). Très impressionnantes surtout la nuit Le plus souvent bénin, rarement très grave Toux très sèche =aboiement, voix rauque Lors de crises de toux, l'atmosphère doit être humidifiée un maximum.

223 9.8.La laryngite striduleuse
Humidifier aérosol (LP ou ampoules prescrites) Salle de bain eau chaude portes et fenêtres bien fermées (vapeur) Faire sécher du linge dans la chambre (humidificateur) Faire bouillir de l’eau dans une casserole à proximité sans hotte

224 9.8.La laryngite striduleuse
Signes de gravité Cyanose (tout bleu) Tirage (sous les côtes) Pas d’amélioration malgré les mesures prises

225 10. La mort subite 1,7 cas pour 1000 naissances
surtout entre 2 et 6 mois toute la 1ère année comme à risque. garçons > filles.

226 10. La mort subite Qui est surveillé par moniteur ?
Les frères et sœurs d’un enfant décédé. Les enfants avec arrêt respiratoire (revenus stimulation ou réanimation). Les enfants présentant des facteurs de risque à la polysomnographie (test du sommeil).

227 10. La mort subite Qui doit bénéficier d’une polysomnographie ?
Tout parent qui le souhaite peut faire subir le test à son bébé. L’âge idéal = 8 semaines

228 10. La mort subite Qui doit bénéficier d’une polysomnographie ?
= MIN 1 des symptômes  : fatigue anormale ou malaise lors de la prise du biberon spasme du sanglot ronflement bruits respiratoires sudation excessive pendant le sommeil pâleur ou cyanose (bleu) pendant le sommeil prématurité : naissance avant la 36ème semaine

229 10. La mort subite Mesures de prévention ?
couché sur le dos éviter pièces surchauffées, l’habillement et la literie entravant les mouvements Pas de fumées de tabac ou d’irritants. En règle générale, il faut : bien connaître les enfants connaître les gestes d’urgence

230 10. La mort subite Mesures de prévention ?
surveiller régulièrement le sommeil pas d’oreiller matelas ferme éviter la position ventrale et toute entrave aux mouvements supprimer les cordelettes autour du cou utiliser la position déclive à 30° en cas de RGO dégager le nez avant la mise au lit literie bon état (pas d’espace libre matelas bord du lit, barreaux entre 4.5 et 6.5 cm) Pas surchauffer (+/- 18°) interdire animaux (chat) ne jamais mettre dormir le bébé dans une pièce où on a fumé

231 10. La mort subite Vis-à-vis de l’enfant sous monitoring, il faut :
connaître le maniement de l’appareil surveiller réactions et dépister les malaises reconnaître fausse alarme savoir vérifier la respiration et le pouls gestes d’urgence de réanimation

232 10. La mort subite Que faire en cas de malaise ?
PC, enfant pâle, gris ou bleu (cyanosé). Urgence ? Chercher pulsations artère carotide (pomme d’Adam - muscles du cou) artère fémorale au pli de l’aine  artère axillaire au creux de l’aisselle.

233 10. La mort subite Que faire en cas de malaise ?
Pouls palpé = circulation ok désobstruer l’enfant aider à reprendre sa respiration (technique du bouche à bouche)

234 10. La mort subite Que faire en cas de malaise ?
Pouls pas ou difficilement palpé :  Urgence extrême (cerveau souffre risque +++) désobstruer ventilation artificielle massage cardiaque externe JUSQUE L’ARRIVEE DES SECOURS

235 11. Le syndrome des enfants secoués

236 11. Le syndrome des enfants secoués
Anatomie Le crâne (os) La dure mère enveloppe cerveau et moelle épinière expansions (faux cerveau,scissure interhémisphérique,…) Espace épidural Pas espace sauf au niveau crâne (artères espace décollable)

237 11. Le syndrome des enfants secoués
Anatomie favorisant chez bébé Le cerveau, lors de mouvements violents flotte, s'écrase contre les parois et provoque une rupture des vaisseaux sanguins Le poids de la tête trop lourd par rapport au corps. Les muscles du cou empêchent maintien tête lors de secousses.

238 11. Le syndrome des enfants secoués : manifestations observées
= signes hémorragie ou œdème cérébrale Fatigue ou somnolence brutale Vomissements Malaise Perte de connaissance Crise d'épilepsie Arrêt respiratoire Arrêt cardiaque Paralysie Perte de la vision…. = signes parfois peu typiques

239 11. Le syndrome des enfants secoués : gestes à éviter
L’attitude indispensable = Ne pas secouer violemment un enfant en bas âge éviter de s'énerver et de secouer un enfant qui pleure Ne pas le porter , secouer en faisant des mouvements de rotation (« faire l'avion ») Si un bébé pleure, s'agite, s‘énerve, ne pas le secouer pour le stimuler

240 11. Le syndrome des enfants secoués
Attitude indispensable numéro 2 = toujours être attentif à épuisement parents Ne jamais prendre à la légère parents qui se plaignent difficultés liées aux pleurs d’un enfant

241 Partie 2 Prévention des accidents
Cf.« Comment choisir le matériel de puériculture » ONE

242 2.1.Prévenir les traumatismes
Accidents les + fréquents Chutes d’une hauteur (coussin à langer, chaise haute,…) Chutes dans escaliers Collisions contre tables et meubles

243 2.1.Prévenir les traumatismes
Les + graves Noyades Suffocations (cordelettes, sacs, barreaux) Mais aussi… Brûlures par liquides chauds Pincement doigts dans portes et meubles

244 2.1.Prévenir les traumatismes : Les barrières (de séparation ou des modules)
Hauteur minimale : 65 cm 4,5-6,5 cm entre barreaux ou le mur Cadre ras du sol Pas de partie saillante ou d’encoche (risque pour chaîne ou ficelle) Pas d’orifices ou d’ouvertures (doigts) Pas de pièces petite taille ni bords coupants Mécanisme de fixation solide Pas de barres intermédiaires horizontales Système de fermeture/ouverture (+/- facile à utiliser et hauteur)

245 2.1.Prévenir les traumatismes
Médicaments produits hors de portée Pas mobiles suspendus ou hors de portée Trotteurs interdits Toboggans et modules hauteur limitée sur sol non dur (lino, tapis, parquet et non carrelage et béton)

246 2.1.Prévenir les traumatismes
Liquides chauds, robinets eau chaude hors de portée Protections radiateurs,

247 2.1.Prévenir les traumatismes
Crochets bloque placards, tiroirs, fenêtres ou portes, coins des meubles, charnières

248 2.1.Prévenir les traumatismes
Cache-prises, prises de sécurité Éviter appareil branché sur secteur, appareil batteries hors de portée

249 2.2. La prévention des lombalgies chez l’accueillante
Principes d’ergonomie Travail longtemps dans positions inconfortables (hauteur, charges,…) Adapter son environnement (exemples au cours)

250 2.3. La prévention de la charge psycho sociale chez l’accueillante
Discussion… Qu’est ce que la charge psycho sociale? Facteurs de risque Moyens de prévention


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