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Livret personnel de compétences Enseignement de l’Histoire des Arts

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Présentation au sujet: "Livret personnel de compétences Enseignement de l’Histoire des Arts"— Transcription de la présentation:

1 Livret personnel de compétences Enseignement de l’Histoire des Arts
Le socle commun en 3DP6 Livret personnel de compétences Enseignement de l’Histoire des Arts Académie de Besançon / novembre 2010

2 Académie de Besançon / novembre 2010
Le contexte de la 3dp6 Apporter aux élèves une connaissance du monde professionnel. Aider les élèves à retrouver le sens d’un projet scolaire en construisant leur projet personnel. Une pédagogie de projet pour toutes les disciplines Ce qui est présenté là, c’est e contexte de la 3dp6 : Tout ceci s’inscrit dans la logique du socle commun de connaissances et compétences L’esprit de la 3DP6, c’est déjà le travail par compétence (cf document d’accompagnement 3DP6) une pédagogie de projet et en particulier sur des réalisations concrètes La pédagogie de projet comme élément fondamentale du travail par compétence. Compétences transversales Connaissances spécifiques Concrètement, au-delà des disciplines, qu’est-ce que cela signifie : les projets d’équipe sont des espaces dans lesquels les élèves développe des compétences : Les stages Les projets personnels Le portfolio > Des compétences les compétences sociales et civiques l'autonomie et l'esprit d'initiative Académie de Besançon / novembre 2010

3 Académie de Besançon / novembre 2010
Le socle commun Un cadre européen Une obligation juridique Des savoirs fondamentaux pour tous les élèves Un socle, des disciplines Un cadre européen Le socle commun de connaissances et de compétences s’inscrit dans la logique des résolutions européennes sur l’orientation et la formation tout au long de la vie. Une obligation juridique En France, le socle commun de connaissances et de compétences a été instauré par la loi d’orientation pour l’avenir de l’école de 2005. Défini par le décret du 11 juillet 2006, il est constitué de 7 compétences. Le livret personnel de compétences permet de formaliser la maîtrise de ces compétences. Des savoirs fondamentaux pour tous les élèves Maîtriser les savoirs fondamentaux définis par le socle permet: D’assurer à tous les élèves le même niveau d’exigence en terme de connaissances et de compétences Construire son avenir personnel et professionnel Disposer des moyens pour continuer à se former tout au long de la vie Un socle, des disciplines Le socle est soluble dans les disciplines, les disciplines contribuent à la validation des compétences du socle. L’ensemble des disciplines contribuent à l’acquisition du socle: aucune discipline n’est écartée Les programmes disciplinaires ont été écrits ou réécrits pour être tenir compte du socle. L’enseignement obligatoire ne se réduit pas au socle Il faut que les élèves atteignent le socle dans toutes les compétences: pas de compensation Le socle n’est pas un objet d’enseignement  : chacun continue à enseigner dans son champ disciplinaire   Académie de Besançon / novembre 2010

4 Le livret personnel de compétences
Objectifs Terminologie Contenu Compétence Domaine Item Le livret personnel de compétences permet de formaliser la maîtrise des 7 compétences. Mais c’est aussi : Un outil de suivi individuel Un outil diagnostique la scolarité post-troisième (lien avec l’accompagnement personnalisé Un élément facteur de motivation Développer la culture du rendre compte, la valorisation de l’élève. Il rassemble les attestations des 3 paliers Avec une terminologie simplifiée : - 7 compétences - structurées en domaines - eux-mêmes subdivisés en items. Une application numérique identique à la version papier Les trois paliers : Attestation palier 1 : Renseignée en fin de CE1 Attestation palier 2 : Renseignée en fin de CM2 Attestation palier 3 : Renseignée en fin de 3ème et au plus tard En fin de scolarité obligatoire C’est le même livret pour tous les élèves, quel que soit leur parcours. À noter : le livret comprend aussi les attestations de l’ASSR et du PSC1. Académie de Besançon / novembre 2010

5 Acquérir des compétences
du socle Projet personnel d’orientation Stage en entreprise Module Déc pro Ensemble des disciplines Equipe Péda Projet D’étab Projet EDD Ens pro hg, lettres,.. CESC, part Extérieurs,. Projet santé, sécurité Vsp, EPS,.. Infirmière, restauration, cesc Des projets réalistes qui trouvent corps dans les programmes Cohérence par les compétences construites Par les projets Par les tâches complexes exemples Eduscol Académie de Besançon / novembre 2010

6 Histoire des arts Bulletin officiel n° 32 du 28 août 2008
EHDA au Collège : enjeux et objectifs 6 grands domaines artistiques : Arts de l'espace, Arts du langage, Arts du quotidien, Arts du son, Arts du spectacle vivant, Arts du visuel. 6 thématiques : - « Arts, créations, cultures » - « Arts, espace, temps » - « Arts, Etats et pouvoir » - « Arts, mythes et religions » - « Arts, techniques, expressions » - « Arts, ruptures, continuités » Un enseignement de culture artistique partagée : Pour tous les élèves de l’école primaire au lycée. Porté par tous les enseignants Qui convoque tous les arts Fondé sur une approche pluridisciplinaire et transversale des œuvres. Construire une conscience commune : celle d’appartenir à l’histoire des cultures et des civilisations, à l’histoire du monde. Les thématiques sont différentes selon les niveaux (primaire, collège, lycée, en ction du dré dabstraction Les six grands domaines artistiques au collège Leurs contenus sont plus étendus qu’à l’Ecole primaire. - Les « arts de l'espace » : architecture, urbanisme, arts des jardins. - Les « arts du langage » : littérature écrite et orale (roman, nouvelle, fable, légende, conte, mythe, poésie, théâtre, etc.). - Les « arts du quotidien » : arts appliqués, design, objets d'art ; arts populaires. - Les « arts du son » : musique vocale, musique instrumentale, technologies de création et de diffusion musicales. - Les « arts du spectacle vivant » : théâtre, musique, danse, mime, arts du cirque, arts de la rue. - Les « arts du visuel » : Arts plastiques : architecture, peinture, sculpture, dessin, photographie, bande dessinée, etc. Cinéma, audiovisuel, vidéo et autres images. Académie de Besançon / novembre 2010

7 Histoire des arts et DNB Bulletin officiel n° 40 du 29 octobre 2009
Le cadre La période : le 20è siècle et notre époque Des connaissances Des capacités Les modalités d’évaluation : Un oral Un binôme d’évaluation Une organisation concertée Les connaissances En relation avec les thématiques étudiées pendant l’année de troisième, l’élève maîtrise : - la connaissance d’œuvres appartenant aux grands domaines artistiques ; - des repères historiques, géographiques et culturels lui permettant de situer les œuvres dans le temps et l’espace ; - des éléments de vocabulaire spécifique aux grands domaines artistiques ; - des notions de base sur les techniques de production des œuvres. Les capacités Sur la base de ces connaissances, l’élève est capable : - de situer des œuvres dans le temps et dans l’espace ; - d’identifier les éléments constitutifs de l’œuvre d’art (ses formes, les techniques de production, ses significations, ses usages, etc.) ; - de discerner entre les critères subjectifs et objectifs de l’analyse ; - d’effectuer des rapprochements entre des œuvres à partir de critères précis (lieu, genre, forme, thème, etc.). Modalités d’évaluation L’évaluation, organisée dans l’établissement, prend la forme d’un oral dont la durée est de quinze minutes maximum. Ses modalités sont définies par l’équipe pédagogique. Elles sont fonction du contexte de chaque établissement et des choix pédagogiques qui y sont exercés. L’évaluation est organisée sous l’autorité du chef d’établissement dans le cadre de l’emploi du temps des élèves au sein d’une séquence pédagogique menée par un des professeurs associés à l’enseignement de l’histoire des arts. Elle s’effectue au moment jugé opportun par les professeurs concernés et prend la forme d’un entretien oral mené par un binôme de professeurs comportant au moins un professeur d’un enseignement artistique ou d’histoire. Les modalités de cette évaluation peuvent être diverses. Elles dépendent des démarches pédagogiques adoptées par les professeurs. Académie de Besançon / novembre 2010

8 Académie de Besançon / novembre 2010
Histoire des arts et DNB Bulletin officiel n° 40 du 29 octobre 2009 L’entretien oral peut : Concerner un ou plusieurs élèves ; tout objet d’étude abordé durant l’année s’appuyer sur un ou plusieurs document(s) proposé(s) par les examinateurs ou bien sur une réalisation personnelle ou collective effectuée en classe dans le cadre de l’enseignement de l’histoire des arts L’évaluation donne lieu à une note sur 20 points, coefficient 2. tout objet d’étude abordé durant l’année (par exemple : une ou plusieurs œuvres d’art du patrimoine) le travail d’un artiste dont l’œuvre fait partie du patrimoine national ou mondial, un mouvement artistique, un élément du patrimoine local, une manifestation artistique ou culturelle, etc.) ; s’appuyer sur un ou plusieurs document(s) proposé(s) par les examinateurs ou bien sur une réalisation personnelle ou collective effectuée en classe dans le cadre de l’enseignement de l’histoire des arts (dossier, diaporama, D.V.D, dessins, schémas, exposition, création…). L’évaluation donne lieu à une note sur 20 points, coefficient 2. Ces points sont pris en compte pour l’attribution du diplôme et d’une mention, selon le décompte des points obtenus par le candidat, tel qu’il est fixé par l’article 2 de l’arrêté du 9 juillet 2009 publié au J.O. n° 170 du 25 juillet 2009. Cet oral doit être un élément de valorisation Académie de Besançon / novembre 2010

9 Académie de Besançon / novembre 2010
Des exemples Enseignement général La pyramide du Louvre et autres ouvrages d’architecture L’affiche de propagande dans les régimes totalitaires Auto-portrait et autobiographie Enseignement professionnel L’évolution de l’automobile au 20è siècle L’art de la vente au 20è siècle L’évolution d’un objet technologique Académie de Besançon / novembre 2010

10 Académie de Besançon / novembre 2010
Socle commun et DNB L’arrêté du 9 juillet 2009 relatif aux modalités d’attribution du DNB « …sont prises en compte pour l’attribution du DNB : La maîtrise du socle commun, palier 3 ; La note obtenue à l’oral d’histoire des arts ; Les notes obtenues à l’examen du brevet ; Les notes de contrôle continu… La note de vie scolaire. Le DNB est attribué aux candidats ayant validé le socle commun de connaissances et de compétences et obtenu une note moyenne égale ou supérieure à 10 … » Le socle est une partie du DNB mais ne se confond pas avec lui Le socle est une partie du DNB mais ne se confond pas avec lui : les épreuves écrites et orale du DNB, ainsi que le contrôle continu, correspondent aux exigences des programmes de la classe de troisième, qui, pour certaines compétences, sont différentes et d’un niveau supérieur à celui du palier 3 ; par conséquent, si l’obtention du DNB entérine la validation de la maîtrise du socle, la réciproque n’est pas vraie : la validation de la maîtrise du socle ne signifie pas obtention du DNB ;  Académie de Besançon / novembre 2010

11 Académie de Besançon / novembre 2010
Socle commun et DNB Tout élève se présente au DNB, qu’il maîtrise ou non le socle commun. Le jury est souverain pour attribuer le DNB au vu des éléments du dossier scolaire : les notes d’épreuves et de contrôle continu, la note de vie scolaire, la fiche Brevet (qui porte l’avis du conseil de classe), et l’attestation de palier 3. L’attribution du DNB atteste la maîtrise du socle commun. Lorsque le jury décide d’attribuer le DNB à un élève qui n’a pas obtenu la validation de l’ensemble des compétences, les compétences manquantes au palier 3 ne sont pas « rétro-validées ». Académie de Besançon / novembre 2010

12 Principes de validation du socle commun
La validation s’effectue exclusivement au niveau des 7 compétences Chacune des sept compétences doit être validée pour que la maîtrise du socle soit validée : pas de compensation Les domaines ne sont pas un niveau de validation Une compétence peut être validée même si tous les items ne sont pas renseignés. Les équipes enseignantes sont libres de renseigner ou pas les items pour une compétence validée. Elles sont en revanche tenues de renseigner les items d’une compétence non validée. La validation peut se poursuivre au-delà du collège Compétence → niveau de validation Domaine → niveau non renseigné Item → niveau d’information La validation peut se poursuivre au-delà du collège A l’entrée en 2e l’équipe pédagogique s’appuie sur le LPC pour évaluer les besoins spécifiques de l’élève et organiser en conséquence l’accompagnement personnalisé. Les compétences non validées au palier 3 doivent être retravaillées au lycée ou au centre de formation d’apprentis. Académie de Besançon / novembre 2010

13 Académie de Besançon / novembre 2010
Evaluer et valider Le chef d’établissement et l’équipe pédagogique organise la validation du socle Une réflexion concertée sur les items et des validations collégiales Des compétences qui concernent toutes les disciplines, tous les acteurs de la 3DP6 Quelle communication, avec les élèves, avec la famille ? Le chef d’établissement et l’équipe pédagogique organise la validation du socle L’organisation relève de l’autonomie de l’établissement laissant des marges d’initiative pour les établissements et les équipes pédagogiques Des validations collégiales et rationnelles Les validations sont progressives et collégiales et nécessitent une concertation guidée par les grilles de référence un compromis entre des exigences parfois contradictoires ni « usine à cases  » ni simplisme excessif Des compétences qui concernent toutes les disciplines ? A priori, sauf peut-être pour la compétence 2, tous les enseignants sont concernés par la validation de chaque compétence du socle, mais aussi les acteurs de la DP6 (COP, CPE, tuteurs de stage,… Quelle communication, avec les élèves, avec la famille ? Comment thésauriser et communiquer l'information pour un élève donné ? À quel rythme et sous quelle forme faut-il communiquer ? Entre professeurs, avec les élèves ? Les parents ? Le LPC peut être un élément de motivation pour l’élève. Académie de Besançon / novembre 2010

14 Académie de Besançon / novembre 2010
Les sept compétences La maîtrise de la langue française La pratique d’une langue vivante étrangère Les principaux éléments de mathématiques et la culture scientifique et technologique La maîtrise des techniques usuelles de l’information et de la communication La culture humaniste Les compétences sociales et civiques L'autonomie et l’initiative Académie de Besançon / novembre 2010


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