La présentation est en train de télécharger. S'il vous plaît, attendez

La présentation est en train de télécharger. S'il vous plaît, attendez

ASSISES DE L’EAU 2015 GESTION DE L’EAU.

Présentations similaires


Présentation au sujet: "ASSISES DE L’EAU 2015 GESTION DE L’EAU."— Transcription de la présentation:

1 ASSISES DE L’EAU 2015 GESTION DE L’EAU

2 MODES DE GESTION ET TARIFICATION POUR L’EAU POTABLE ET L’ASSAINISSEMENT COLLECTIF
Henri POLITI Responsable d’exploitation à l’OEHC

3 Gestion technique et administrative
Organisation administrative Irrigation collective (ASA, SAR) Eau potable et Assainissement (Régies, Délégations de Service Public - concessions, affermages, SEM -, Sociétés Publiques Locales)

4 Les différentes étapes
Mobilisation de la ressource Stockage Traitement de l’eau potable Stockage, transport et distribution Assainissement (collecte et épuration)

5 Les phases clés Réalisation d’installations hydrauliques
Exploitation et Maintenance Renouvellement Extension

6 Tarification de l’Eau Principe et Eléments constitutifs d’une tarification : Budget équilibré en recettes et en dépenses Remboursement des emprunts et intérêts correspondant aux investissements Frais d’exploitation et d’administration Frais de maintenance et de réparation Amortissement technique : renouvellement

7 Les frais de fonctionnement
Frais de personnel Coûts d’énergie et télécommunications Frais de traitement (AEP et assainissement), analyses et autosurveillance Fournitures diverses, outillages, consommables Sous-traitances, locations Assurances Contrôles (AMO, règlementaires)

8 Les frais de fonctionnement
Renouvellement (âge moyen 30 ans) Recherche de fuites, cartographie, SIG Informatique, facturation, gestion usagers, communication, locaux Etudes techniques Frais financiers, non valeurs Impôts, taxes

9 Les modes tarifaires La tarification en mode proportionnel ou monôme
La tarification en mode binôme La tarification forfaitaire La tarification progressive La tarification saisonnière

10 Les composantes tarifaires
La part fixe (PF) : abonnement fonction du calibre du compteur La part proportionnelle (PP) fonction du volume consommé Les parts proportionnelles : tarification progressive ou par tranches de volume consommé Les contributions aux collectivités (redevances, surtaxes) (TF et TP) Les taxes proportionnelles (Agence de l’Eau et TVA)

11 La facture type Consommation annuelle de 120 m3
Somme HT de la PF et de la PP correspondante FT = PF x PP FT TTC : comparaison des services entre plusieurs collectivités

12 Les différents tarifs unitaires
Prix de revient moyen (Total margé des charges/Volume facturé) Part proportionnelle du tarif : PP Tarif moyen issu de la facture type pour 120 m3 : FT / 120 Tarif moyen issu de la facture spécifique du service (consommation moyenne par usager)

13 L’expérimentation de tarifs sociaux
Loi Brottes (demande avant le 31 décembre 2014) Tarif domestique ordinaire Tarification progressive Tarif famille nombreuse (extension des tranches de consommation) Tarif social : réduction de la PP et exonération de la PF

14 L’expérimentation de tarifs sociaux
Difficulté : aucun tarif social fondé sur le QF ou le revenu de l’usager (ex : cantine, transports) Les pistes : CMU-C, APL, RSA socle Intervention du CCAS ou du FSL (aides indirectes) Chèques « eau »

15 Les tarifications spéciales
Résidences secondaires : pas de tarification spécifique possible Consommateurs professionnels, publics Tarification dégressive suivant le contexte

16

17 Enjeux de la gestion technique
Renouvellement, gestion patrimoniale Amélioration des performances, économies d’eau et utilisation rationnelle, qualité et environnement

18 Les Indicateurs descriptifs des services et les indicateurs de performance
Estimation du nombre d'habitants desservis Prix TTC du service au m3 Taux de conformité (qualité de l’eau) Indice de connaissance et de gestion patrimoniale Rendement du réseau de distribution Indice linéaire des volumes non comptés Indice linéaire de pertes en réseau

19 Les plans d’actions pour la réduction des pertes en eau
Actions urgentes Comptages opérationnels Vérification du linéaire des réseaux Rassemblement des connaissances disponibles Identification et suppression des écoulements visibles Recherche de fuites et réparations Début de sectorisation

20 Les plans d’actions pour la réduction des pertes en eau
Diagnostic Cartographie et SIG (mise à jour, collecte des données, détection des réseaux, inventaire patrimonial) Analyse du fonctionnement (modèle hydraulique) Bilan besoins/ressources Sectorisation (mesures, analyses)

21 Les plans d’actions pour la réduction des pertes en eau
Plan pluriannuel Suivi métrologique des compteurs (production, sectorisation et distribution) Maintenance préventive et curative des équipements Télésurveillance (production et sectorisation) Remplacement et rénovation des réseaux Régulation et protection des réseaux

22 Les évolutions en matière de gestion de réseaux d’eau potable
Télégestion, accès web, gestion « temps réel » Convergence SIG-Supervision-Modélisation-GRC Radiorelève, télérelève Nouveaux services proposés aux usagers : accès web et GRC, télérelève « temps réel »

23 Le SATEP de Haute Corse Jean-Baptiste BERNARDINI
Conseil Départemental de Haute Corse

24 12 années d’accompagnement des communes pour leurs projets d’A.E.P
LE SATEP 2B 12 années d’accompagnement des communes pour leurs projets d’A.E.P

25 PRESENTATION DU SERVICE
Sur le département, environ 57 % des unités de distribution délivrent de l’eau non conforme à la réglementation, notamment concernant les paramètres bactériologiques, ce qui représente 19 % de la population (source A.R.S) Cet organe, créé au sein des services départementaux en 2002, est destiné à assurer à l’égard des communes ou leurs groupements exploitants les équipements d’eau potable en régie, une assistance technique et administrative dans la gestion de leurs réseaux. Ce service, composé d’un agent technique, est chargé d’assister les collectivités dans la protection des ressources en eau potable, qui représente une obligation réglementaire pour les maîtres d’ouvrages. Il bénéficie d’une aide annuelle de fonctionnement de l’Agence de l’Eau Rhône Méditerranée Corse.

26 MISSIONS DU SERVICE La loi sur l’eau et les milieux aquatiques du 20 Décembre 2006 a redéfini les missions des SATEP. L’activité du SATEP 2B repose désormais sur deux programmes: Le programme d’assistance technique axé sur : La protection réglementaire des captages ainsi que sur la restauration de la qualité de l’eau à l’échelle de l’aire d’alimentation des captages. Le SATEP 2B intervient donc sur: La protection règlementaire des captages; Des réunions de sensibilisation et d’information; L’accompagnement technique et l’appui au montage de dossiers administratifs; Des visites sur site; Une participation aux actions de concertation et de communication, Le programme des missions transversales: Une prise d’information au sein de la commune afin de dresser un état de la situation départementale dans le domaine de la ressource en eau potable et de l’alimentation en eau potable. Dans le cadre des missions transversales, le SATEP 2B intervient donc à la fois sur la connaissance et sur l’animation des politiques en matière d’eau potable.

27 DERNIERES PRECISIONS Les prestations pour l’assistance technique font l’objet d’une rémunération forfaitaire annuelle, le Département de la Haute-Corse par délibération a fixé un tarif de 0,50 cts d’euros/habitant (pop DGF), le Département a également mis en place un seuil de recouvrement de 200 euros sur le coût total. Au terme du 9ème programme, 109 communes avaient conventionné avec le Département de la Haute-Corse, Depuis cet été, une campagne de conventionnement dans le cadre du 10ème programme a été lancée, et à ce jour, ce sont 86 communes qui bénéficient des services du SATEP 2B. Dans un contexte de plus en plus tendu pour les communes, et fort de cette expérience d’assistance dans le domaine de l’alimentation en eau potable, le Département de la Haute-Corse, partenaire historique des projets des petites collectivités, envisage la mise en place d’un Service d’Ingénierie Territoriale destiné à venir en aide aux communes et à leurs groupements dans d’autres domaines de leur gestion (technique, administrative, légale, financière, etc.), et c’est au sein de ce service que le SATEP 2B continuera, à l’avenir, d’assurer pleinement l’ensemble de ses missions.

28 Le SATESE et le SATAA Marilyne FERLAY
Responsable du S.A.T.E.S.E. et du S.A.T.A.A. à l’OEHC

29 S.A.T.E.S.E. Service d’Assistance Technique à l’Exploitation des Stations d’Epuration

30 Qu’est ce que le S.A.T.E.S.E. ? Le Service d’Assistance Technique à l’Exploitation des Stations d’Epuration est un service d’aides et de conseils apportés aux Collectivités qui possèdent une station d’épuration. Ses missions principales : Apporter une assistance technique aux stations d’épuration de capacité inférieure à 2000 E.H. Apporter une assistance dans le cadre de l’autosurveillance réglementaire pour les stations d’épuration de capacité supérieure à 2000 E.H. Voir titre: actualisation du schéma hydraulique Mettre en 24 30

31 Le S.A.T.E.S.E. - Quels appuis ?
Le S.A.T.E.S.E. créé par l’Assemblée Corse est un service régional opérationnel depuis 1998, dont la charge a été confiée à l’OEHC. Son activité est menée en partenariat avec l’Agence de l’Eau RM&C et avec l’accord des 2 Conseils Généraux. Il travaille en étroite collaboration avec les différents acteurs locaux qui interviennent dans le domaine de l’Eau, comme les Services de Police de l’Eau, l’ONEMA, l’ARS, etc. 31

32 Les bénéficiaires de l’Assistance Technique du SATESE
Depuis le 1er janvier 2009, la Loi sur l’Eau et les Milieux Aquatiques a modifié sensiblement les modalités d’intervention du SATESE, faisant de celui-ci un Service d‘Intérêt Économique Général (SIEG) et imposant en contrepartie : Des critères d’éligibilité Un conventionnement Une participation financière Cette législation permet aux Communes et EPCI qui ne disposent pas de moyen suffisant d’échapper au champ concurrentiel pour les prestations du SATESE L’objectif visé est que les Collectivités puissent si elles le désirent accéder au Service à un coût abordable 32

33 Les Bénéficiaires de l’Assistance Technique
Quelques chiffres ……. 235 Communes et EPCI éligibles sur un total de 252 103 Communes et EPCI éligibles ont conventionné avec l’OEHC pour bénéficier de l’Assistance Technique du SATESE 3 EPCI non éligibles ont contractualisé avec l’OEHC pour bénéficier de l’Assistance Technique du SATESE

34 Importance de l’Activité du SATESE depuis sa création
2003 Importance de l’Activité du SATESE depuis sa création Sur les 17 années d’existence, le SATESE a été amené à diagnostiquer au moins une fois, 208 stations d’épuration soit près de 90 % du parc actuel. 145 stations suivies en 2014 par le SATESE sur un parc de stations existantes d’environ 231.

35 Capacités des STEPS suivies en 2014
145 stations d’épuration (STEPS) suivies 72% des STEPS ont une capacité inférieure à E.H. 55% des STEPS ont une capacité inférieure à 500 E.H. Une Assistance technique apportée aux stations d’épuration de petites tailles

36 Répartition des STEPS suivies par filières de traitement
Les procédés majoritairement suivis sont : les boues activées, les lits bactériens les filtres plantés de roseaux. Ils représentent environ 81% du parc de stations suivies.

37 Mode de gestion des STEPS suivies
2003 Mode de gestion des STEPS suivies - 80 % Communautés de Communes - 20 % Sivoms 17 29 99 37

38 Importance des Prestations de services
2003 Importance des Prestations de services Sur les 128 STEPS en régie directe : 57% sont exploitées sans prestation de services par 54 Communes, 3 Communautés de Communes et 2 SIVOM, 19% bénéficient d’une prestation de services fournie par KYRNOLIA, Diverses Sociétés comme Muse, Alp Bio System, H2Géo, Inter eaux, Ercoli, CGR, Ingenium ou bien encore des Sociétés auto-entreprises et l’OEHC interviennent sur les 24% de STEPS restantes. 38 38 38

39 Conformités réglementaires des Steps en 2014
2003 Conformités réglementaires des Steps en 2014 Il s’agit de steps : De conception ancienne ou sommaire, Impactées par les ECP Non conformes vis-à-vis de la Directive ERU Avec des prescriptions réglementaires trop contraignantes pour la qualité de leur rejet Pour les 2/3 : Filtres Plantés de Roseaux Boues activées Pour la moitié : Lits Bactériens Il s’agit principalement d’ouvrages de conception ancienne et impactées par des ECP d’origine pluviale 39 39 39

40 Service d’Assistance Technique à l’Assainissement Autonome
S.A.T.A.A. Service d’Assistance Technique à l’Assainissement Autonome 40

41 Qu’est ce que le S.A.T.A.A. ? Le SATAA apporte aux collectivités compétentes en Assainissement Non Collectif (ANC) une aide à la mise en œuvre et au suivi de leur Service Public d’Assainissement Non Collectif (SPANC) Ses missions principales : Assistance pour la mise en place des SPANCs Assistance à l’élaboration de documents spécifiques (cahier des charges de l’étude de zonage, rapport de visites, règlement de service…) Recueil et analyse des études de zonages existantes Assistance pour la mise en œuvre du contrôle de l’assainissement non collectif Assistance pour l’élaboration des programmes de formation des personnels Assistance à la rédaction de chartes de bonnes pratiques (Matières de Vidange, etc.) Assistance à la mise en place de réseaux d’échanges entre les SPANCs Etc.… 41

42 Le S.A.T.A.A. - Quels appuis ? Le S.A.T.A.A. créé par l’Assemblée de Corse et dont la charge a été confiée à l’OEHC est un service régional opérationnel depuis 2013. Son activité est menée en partenariat et avec l’appui financier de l’Agence de l’Eau RM&C ainsi qu’avec l’accord des 2 Conseils Généraux. Il apporte son assistance à toutes les Collectivités qui le désirent, sans demande de participation financière de leur part. 42

43 anime un réseau fédérant les SPANCS
2003 Le S.A.T.A.A. a rejoint le réseau de partenaires du GRAIE (Groupe de recherche Rhône-Alpes sur les Infrastructures et l’Eau) qui est une association loi 1901, créée en 1985 et qui anime un réseau fédérant les SPANCS En 2013, il a collaboré à une enquête dont l’objectif est d’alimenter un Observatoire Régional des SPANCS. 18 départements ont participé à cette enquête. Périmètre de l’enquête 43

44 ZOOM SUR LA RÉGION CORSE
2003 ZOOM SUR LA RÉGION CORSE Au 31/12/2013, sur les 601 SPANCs recensés sur le territoire de l’enquête, 34 concernent la région Corse qui se répartissent sur les 2 Départements de la façon suivante : 13 SPANCs en CORSE DU SUD 21 SPANCs en HAUTE-CORSE Pour un total d’environ installations autonomes 44 44 44

45 Choix de l’échelle Territoriale des SPANCS créés
2003 Choix de l’échelle Territoriale des SPANCS créés 1 7 23 3 45 68 % des SPANCS recensés sont communaux mais ne couvrent qu’environ 8% de la population régionale. 45 45

46 Mode de gestion du service
2003 Mode de gestion du service 6 20 8 Le mode de gestion adopté est majoritairement la régie (avec ou sans prestations de service). La DSP est plutôt présente sur les SPANCS de petite taille. 46 46 46

47 Les SPANCS créés représentent 36% des communes de Corse.
Les EPCI ayant la compétence ANC concernent environ 45% des communes de Corse.

48 2003 Chiffres clés : En Corse du Sud, 46 % des Communes sont couvertes par un SPANC représentant près de 82,6% de la population du Département 56% de la population est concentrée sur le territoire de la CAPA En Haute-Corse, 31% des Communes sont couvertes par un SPANC représentant environ 33% de la population du Département Avec la mise en place d’un SPANC au sein de la Communauté d’Agglomération de BASTIA et de la Communauté de Communes de MARANA-GOLO, 37% des communes du Département disposeraient d’un SPANC, soit près de 72% de la population de la Haute-Corse 48 48 48

49 2003 CONCLUSION 10 ans après la date limite règlementaire pour la création des Services Publics d’Assainissement Non Collectif (SPANC) , la Corse est couverte à ce jour par 34 SPANCs représentant 36 % des communes et 56% de la population Compte tenu du manque de moyens humains et financiers pour la gestion du service au niveau communal, le transfert de la compétence Assainissement Non Collectif devrait être une nécessité vers les structures intercommunales qui ne possèdent pas encore la compétence Assainissement non Collectif (au nombre de 17 sur les 30 existantes) Dans le cadre de l’examen du projet de loi relatif à la nouvelle organisation du territoire (dit « loi NOTRe »), l’Assemblée Nationale a adopté le 4 mars dernier en première lecture, le transfert obligatoire des compétences eau et assainissement aux EPCI à fiscalité propre d’ici fin 2017 49

50 La tarification agricole
Jean-Michel PALAZZI Directeur de l’OEHC

51 La tarification agricole
La mise en œuvre d’un réseau collectif d’irrigation implique le même type de dépenses que celles d’un réseau d’alimentation en eau potable ou d’assainissement des eaux usées : Coûts d’investissement, de maintenance, de fonctionnement. Charges fixes et charges variables, essentiellement d’électricité en cas de pompage. Historiquement, de nombreux réseaux ont été mis en œuvre par des ASA (Associations Syndicales Autorisées), pour lesquelles ces réseaux constituent des aménagements fonciers, dont les bénéfices et les charges sont attachés à des parcelles cadastrales identifiées, de ce fait, la surface est un paramètre fréquent de tarification pour les ASA. Une autre différence avec les réseaux d’alimentation en eau potable est l’utilisation fréquente de l’irrigation gravitaire, ce qui oriente vers une tarification forfaitaire, les coûts variables étant marginaux.

52 La tarification agricole
Il existe, en pratique, une très grande hétérogénéité des paramètres utilisés pour les tarifications, les 2 modalités étant le forfait et le tarif binôme.  Le tarif forfaitaire est, le plus souvent, basé sur la surface souscrite (ASA). Le tarif binôme est fondé sur l’association des 2 paramètres, qui sont, souvent, la surface et le volume d’eau consommé, ou le débit souscrit et le volume d’eau consommé. Une très grande sophistication existe dans les tarifications de certaines Sociétés d’Aménagement Régionales, que ce soit en fonction de la demande de services différents (pressions plus ou moins importantes, garantie de délivrance d’un quota d’eau plus ou moins grande…) ou pour traduire les coûts différents d’un même service rendu (investissement nécessaire plus lourd, coût énergétique plus élevé…).

53 La tarification agricole
L’OEHC a retenu une tarification de type binôme, identique pour tous les périmètres irrigués de Corse, et tous les exploitants agricoles, quelle que soit leur filière de production. Elle comporte : Un abonnement au débit souscrit (minimum 5m3/h), Une facturation complémentaire au volume consommé.  Pour 2015, les tarifs sont les suivants, pour l’eau brute à usage agricole : Abonnement : 24,87€ par m3/h souscrit Consommation : 0,0249€/m3 pour une consommation inférieur à m3/(m3/h) souscrit 0,0373€/m3 au-delà de m3/(m3/h) souscrit Redevance Agence de l’eau 0,01€/m3

54 La tarification agricole
Pour l’année 2014, la facturation totale d’eau brute agricole de l’OEHC s’est élevée à un peu plus de 1,7M€, avec un volume facturé de 19,5 Mm3, soit un prix moyen de 0,09€/m3. A titre de comparaison, le ratio correspondant ressort à 0,21€/m3 pour la Société du Canal de Provence et BRL, les 2 Sociétés d’Aménagement Régional des régions méditerranéennes continentales, et à 0,08€/m3, en moyenne, pour les ASA.

55 MERCI DE VOTRE ATTENTION


Télécharger ppt "ASSISES DE L’EAU 2015 GESTION DE L’EAU."

Présentations similaires


Annonces Google