La présentation est en train de télécharger. S'il vous plaît, attendez

La présentation est en train de télécharger. S'il vous plaît, attendez

Les étapes du cycle du projet & la démarche participative

Présentations similaires


Présentation au sujet: "Les étapes du cycle du projet & la démarche participative"— Transcription de la présentation:

1 Les étapes du cycle du projet & la démarche participative
* * * * Les étapes du cycle du projet & la démarche participative 9-10 octobre 2008 Paris I R T S * * * * EDUCODEV Migrants acteurs d’éducation au co-développement Intervenants : Sophie GARCELON & Mathieu LAFRECHOUX

2 Déroulement : Séance introductive (2 h en plénière, avec l’ensemble des étudiants) - Présentation de la formation - Présentation du GRDR - Les étapes du « cycle de projet » L’approche « développement local »  Présentation d’un diagnostic territorial Diagnostic : Ateliers pratiques - mise en situation (4 h en groupe) Présentation de la méthode de diagnostic participatif Intérêts et limites de la démarche participative Mise en situation sur la base de cas réels ou fictifs (analyse des jeux d’acteurs) - Animation de 3 outils de diagnostic participatif : la carte ; le diagramme de Venn ; l’arbre à problème Conception du projet : le Cadre logique (3 h en groupe ) - de l’arbre à problème à l’arbre à solution - de l’arbre à solution au cadre logique - exercice binôme : construction d’un cadre logique Programmation et estimation des moyens (2h en groupe) - Le chronogramme - Budget et plan de financement Conclusion (30mn en plénière avec l’ensemble des étudiants) - Restitution des travaux des 2 ateliers pratiques - Débats, questions et remarques complémentaires sur l’approche

3 Le GRDR, une association présente depuis 40 ans sur les deux territoires de la migration
Créée en 1969 : migrants et ingénieurs agro 3 antennes en France (IDF, Hte-Ndie, NPDC) 5 sites en Afrique (Sénégal x2, Mali, Mauritanie x 2) Une coord. Afrique; (3p) et une DG de 2 personnes 25 salariés de droit français (< 3 expatriés) 75 salariés en Afrique et 8 volVP) Une A.G. d’une centaine de membres Un C.A. de 15 membres Un budget annuel de 3,2 millions d’euros Des partenariats diversifiés (MAE, MAS, UE, FSE, Régions, Départements, Fondations, migrants…)

4 Comment bâtir un projet/une maison ?
Puzzle : Comment bâtir un projet/une maison ?

5

6 Identification = diagnostic Conception = planification
Un regard Identification = diagnostic Un horizon Conception = planification Un chemin = mise en œuvre Mobiliser des Ressources Mettre en œuvre & GERER Prioriser & planifier SE CONCERTER SE CONNAÎTRE

7 Mobiliser des Ressources
Cycle du projet « processus développement local » SE CONNAÎTRE SE CONCERTER Mobiliser des Ressources Mettre en œuvre & GERER Prioriser & planifier Information organisation concertation convention contribution Suivi - évaluation

8 Mise en œuvre et suivi Le Cycle de projet , qu’est-ce que c’est ?
C’est une succession d’étapes qui jalonne la vie d’un projet : de l’émergence de l’idée initiale aux leçons tirées de son évaluation. Identification (diagnostic) Conception (document projet) Recherche de financements Montage Les étapes du cycle de projet Évaluation finale Révision du document projet Financement(s) Mise en œuvre et suivi Contractualisation Mobilisation des fonds

9 1- Montage d’un projet A l'image des fondations d'une maison, la phase de montage constitue la base du projet. Elle vise à donner de la consistance à une idée qui deviendra un projet concret et durable à partir des étapes suivantes ; l'identification au cours de laquelle vous allez tester et préciser les contours de votre idée initiale ; la planification qui va vous permettre de concrétiser votre idée en un projet réalisable ; la recherche de financements pour laquelle vous allez élaborer un dossier de projet et identifier les sources de financement potentielles.

10 3 - La mise en œuvre ou phase d'exécution
Il s'agit d'une étape de négociation et de contractualisation avec le(s) bailleur(s) de votre projet, permettant de mobiliser les moyens nécessaires à sa mise en œuvre. 2 - Son financement Il s'agit de la phase opérationnelle du projet. Elle doit aboutir à des résultats concrets permettant d'atteindre les Objectifs fixés. 3 - La mise en œuvre ou phase d'exécution

11 4 - Le suivi 5 - L'évaluation Identifier les difficultés,
Cette étape consiste à vérifier la bonne exécution des activités du projet, Identifier les difficultés, et à réajuster les moyens nécessaires pour atteindre les résultats attendus. Le suivi a lieu durant l’étape de mise en œuvre. 4 - Le suivi L'évaluation se déroule généralement en fin de projet, mais des évaluations intermédiaires permettent une réorientation des actions du projet. L'évaluation consiste à porter une appréciation sur le projet en s'intéressant à sa conception, sa mise en œuvre et ses résultats en fonction des objectifs initiaux. L'évaluation constitue un outil d'aide à la décision pour la conception d'un futur projet. 5 - L'évaluation

12 Cycle de projet : ? Mise en œuvre et suivi Identification Conception
Source : EcoDéveloppement -GRDR- Projet développement Social Mauritanie C’est une succession d’étapes qui jalonne la vie d’un projet : de l’émergence de l’idée initiale … aux leçons tirées de son évaluation. Projet [Petit Robert]: image d’une situation, d’un état que l’on pense atteindre ; ce que l’on se propose de faire à un moment donné. Identification (diagnostic) Conception (document projet) Recherche de financements Montage Évaluation finale Révision du document projet Les étapes du cycle de projet Financement(s) Mise en œuvre et suivi Contractualisation Mobilisation des fonds

13 ? ? ? Définitions Territoire Développement local
? Territoire ? Développement local ? Diagnostic participatif

14 Territoire : ? Le territoire, c'est d'abord une idée, la volonté d'un groupe de tisser du lien social localisé, de créer des solidarités à l'échelle locale, de se vouloir co-auteur d'un développement de proximité. " Le territoire témoigne d'une appropriation à la fois économique, idéologique et politique de l‘ espace par des groupes qui se donnent une représentation particulière d'eux mêmes, de leur histoire, de leur singularité." Tout espace n'est donc pas territoire. La plupart des territoires contemporains sont en recomposition. Le territoire se repère à différents niveaux d'échelle de l'espace, "du champ de la localité à l'aire de l'Etat-nation, ou à celle des entités plurinationales » Le géographe Di Méo B. Fleury, "Enseigner autrement" CEMPAMA, GRAF Normandie Exemples : différents niveaux d’échelle pour différents référents territoire chambre – concession – quartier – village – région – continent - Terre parcelle – champ – terroir – zone agricole - région agricole Inter-nations Village – Commune – Canton/Arrondissement – Département – Région – Nation – Quartier -

15 Développement local : ? E x e m p l e s d e d é f i n i t i o n s « développement local » une intervention structurée, organisée, à visée globale et continue dans un processus de changement des sociétés locales en proie à des déstructurations et des restructurations " (Jacqueline Mengin dans le Guide du Développement Local, l'Harmattan, 1989) C’ est un processus dynamique de transformation économique, sociale et culturelle concertée, impulsée par des acteurs individuels et collectifs sur un territoire donné pour donner aux individus et groupes intéressés une fonction de décision sur les actions qu’ils mettent en œuvre. ENJEU : favoriser la maitrise locale de la décision et de l’action. Le développement local doit rester une démarche fondamentalement politique et non technique, c’est-à-dire une démarche qui pousse chaque citoyen d’un territoire à devenir acteur engagé de son avenir. Bernard BRUNET in Art. Le développement local, un concept mais aussi une pratique

16 Diagnostic participatif : ?
Diagnostic : comme pour le médecin, c’est l’action d’analyser une situation donnée pour prendre une décision. Participer : c’est impliquer la personne concernée dans l’analyse de la situation et dans la prise de décision. Faire un diagnostic participatif, c’est recueillir et analyser les informations d’une situation, d’un territoire, d’une population à un moment donné en y associant la population. Enjeu : participation de la population à l’élaboration d’un programme de développement communautaire. Source : Diagnostic de territoire : ? Diagnostic Participatif : ? Acquérir la/les connaissance(s) sur un territoire donné Acquérir la/les connaissance(s) en impliquant la participation des populations, bénéficiaires, acteurs concernés pour définir (prescrire) un projet (une ordonnance) de territoire

17 Concertation avec les associations de ressortissants en France
PLAN LOCAL DE DEVELOPPEMENT Concertation avec les associations de ressortissants en France Septembre – Octobre 2006 Réalisé avec l’appui du GRDR ©

18 Comité de pilotage… Qui en fait partie ?
Les élus du Conseil rural -> 5 membres Les représentants des villages -> 12 membres Les représentants des OCB -> 4 membres Les représentants des femmes -> 2 membres Les représentants des jeunes -> 1 membre Les représentants des producteurs -> 4 membres TOTAL : 28 membres Réalisé avec l’appui du GRDR ©

19 Réalisé avec l’appui du GRDR ©

20 80% pour les 11 villages du Wallo Soit 82 hab./km2
Région de Matam Dépt. de Kanel Ardt. de Orkadiéré Limites : Mauritanie CR de Sinthiou Bamambé, CR de Aouré Commune de Waoundé Commune de Semmé Superficie : 377,5 km2 21 villages et 10 hameaux habitants 80% pour les 11 villages du Wallo Soit 82 hab./km2 Réalisé avec l’appui du GRDR ©

21 Peuplement de la CR Peuplement Haalpular en provenance du Ferlo et du Fouta Toro Peuplement du Diéry Essentiellement des agro – pasteurs Habitat dispersé Peuplement Soninké en provenance du Mali Peuplement du Dandé Mayo Essentiellement des agriculteurs Habitat dense La zone du Goudron est la zone intermédiaire, celle des échanges entre les deux zones historiques : gardienne de la cohésion de la CR

22 Cohésion territoriale
La CR forme un tout avec : Deux centres principaux que sont Bokiladji (Chef lieu, infrastructures sociales) et Dembacané (ancien chef lieu de canton, infrastructures sociales et économiques) Une douzaine de villages centres qui disposent d’avantages comparatifs relatifs (case de santé, parc de vaccination, station d’essence, route nationale…) Différentes zones de cohérence : liens familiaux importants, partage d’infrastructures sociales (puits, mosquée…)

23

24 EDUCATION - 1 école préscolaire - 16 écoles élémentaires
- 73 classes dont 3 classes multigrades, 1 classe double flux - 5 abris provisoires - 71 enseignants ( 26 volontaires, 33 contractuels, 12 instituteurs) élèves dont 1341 filles soit 55% de filles - 1 Collège d’Enseignement Moyen (6ème-5ème ) - 1 centre de formation en informatique Réalisé avec l’appui du GRDR ©

25 Santé : constats et atouts
3 CSCOM fonctionnels à Tambacara, Sambaga et Ouologuéla + Diongaga ; 1 centre de santé à Guiffi ; Salles d’accouchement dans CSCOM et centre de santé avec matrones Pharmacies dans chaque infrastructure Créations récentes 4 personnels de santé à Tambacara, 5 à Sambaga, 4 à Ouologuéla et 2 à Guiffi 2 aires de santé principales : zone Nord et centre puis celle de la zone Sud Un taux d’équipement satisfaisant avec un personnel qualifié CSCOM de Tambacara doit être réhabilité Pas de moyens de déplacement Comités de santé existants

26 Clôture du jardin maraîcher Santé Lée Soniké
Zones Villages 1ère priorité 2ème priorité 3ème priorité 4ème priorité 5ème priorité NORD Gakhéfily Eau potable Enclavement Education Clôture du jardin maraîcher Santé Lée Soniké Clôture pour le maraîchage Lée Hamet Diallo Matériels agricoles Parc de vaccination Lée Gayel Sow Moulin Diomaga Retenue d’eau (ensablement mare) Lutter contre les ennemis des cultures Gombi CENTRE Tambacara Mauvais état du CSCOM Retenue d’eau (aménagements des mares) Clôture et point d’eau pour maraîchage des femmes Clôture du cimetière Koméoulou Infrastructure sanitaire Canaliser la mare pour éviter les inondations Désenclavement Piste avec Lee Hamet Diallo Recrutement d'enseignant Sambaga Lutter contre les déprédateurs Produits phytosanitaires Clôture et puits (maraîchage) Insuffisance de pluies Guidéouré SUD Guiffi Retenue d’eau pour maraîchage Clôture des champs Pauvreté des sols Infrastructures sportives Mounia Eau potable Hamdallaye Téléphone Retenue d’eau Ouologuéla Personnel sanitaire Bangassi Baisse production agricole Sakaradji

27 Les points forts Secteurs de agriculture, de l’élevage, du commerce etc. Commerce avec le marché hebdomadaire Bons taux de couverture dans les domaines de la santé, de l’ éducation, de l’accès à l’eau potable Démographie importante avec plus de habitants Nombreuses associations de la société civile, Forte mobilisation des populations pour l’intérêt communautaire Dynamismes des organisations de femmes et des corps socioprofessionnels Partenaires au développement : ressortissants , Conseil Général Drôme Ressources humaines dont des cadres de haut niveau Un environnement et des conditions naturelles favorables Réalisé avec l’appui du GRDR ©

28 Les points faibles Déficit d’infrastructures et services sociaux de base pour les petits villages, Un plateau technique insuffisant au niveau de la santé, Un réseau hydraulique insatisfaisant Un réseau routier largement défectueux et très handicapant pendant l’hivernage Une gestion des ressources naturelles à consolider Un potentiel économique insuffisamment mis en valeur Une logique d’assistance et attentisme de nombres d’organisations de producteurs Une dynamique de concertation encore faiblement appropriée Un Conseil Rural à renforcer sur le plan institutionnel Réalisé avec l’appui du GRDR ©

29 EDUCATION : planification des actions prioritaires

30 Méthode Accélérée de Recherche Participative
A l’origine de la MARP Méthode Accélérée de Recherche Participative Née dans les années 80 , suite à un constat d’échecs de nombreux de programmes de développement : - La plupart des programmes/ projets étaient souvent élaborés par des « experts » extérieurs sur la base de diagnostics peu approfondis, réalisés sans réélle consultation des populations concernées. - Les méthodes utilisées étaient très coûteuses en homme et en matériel et produisaient de résultats très décalés par rapport aux réalités de terrain. Absence des diversités, traitements différés dans le temps et dont les résultats étaient déjà devenus obsolètes avant leurs publications, etc. Naissance des techniques souples, légères et participatives : les Rapid Rural Appraisals (RRA) ou Participatory Rural Appraisal (PRA) connus sous leur acronyme français MARP : Méthode Accélérée de Recherche Participative. Le fait que ces MARP pouvaient être au moins aussi rigoureuses et beaucoup plus opérationnelles que les méthodes classiques s’est peu à peu affirmé.

31 Les principes du diagnostic participatif
Séjour sur le terrain Travail en équipe pluridisciplinaire (plusieurs regards) Ecoute profonde des acteurs et des populations Obtenir la confiance de la population considérée comme partenaire et jamais comme objet d’étude. Ne pas dire que « l’on vient voir les problèmes » Respect et utilisation des savoirs et savoir-faire des acteurs et populations Recherche d’une complicité avec les acteurs et les populations Grilles d’entretiens et base de données comme outils de base Recherche d’une compréhension qualitative plutôt que quantitative et chiffrée Croisement et la vérification de l’information reçue (recoupements des données) Restitution de l’analyse aux acteurs et populations à une date fixée à l’avance (avant de quitter le terrain)

32 La MARP Atouts Contraintes Analyse en temps réel avec les populations
Méthode longue et couteuse Résultat : consensus collectif Formation indispensable des animateurs Croisement des données Qualité des résultats dépend de l’implication des populations et de leur disponibilité Prise de conscience du rôle d’acteur Emergence de la notion d’identité territoriale Les réponses peuvent être orientées si la population perçoit l’animateur comme apportant des solution s + aide Démarche flexible et dynamique

33 Méthode Accélérée de Recherche Participative
Outils MARP Méthode Accélérée de Recherche Participative Outils classiques Outils MARP L’entretien structuré Le profil historique (1h30) Les questionnaires La carte des infrastructures (2h) La carte de terroir (2h) L’entretien semi-structurée Le transect de terroir (2h) et le calendrier saisonnier Les inventaires Les recherches bibliographiques Le diagramme de Venn (1h) L’arbre à problème Les recensements Recherches dans les bases de données (INSEE) Cartes et plans Photos, illustrations, etc.

34 www.grdr.org -> rubrique publications

35 L’Arbre à problème Branches 1 Problème Spécifique Tronc Cause Cause
Effet négatif Branches Effet négatif Effets négatif Effet Tronc 1 Problème Spécifique Racines Cause Cause

36 Guérison De l’"Arbre à Problème" à l’"Arbre à Solution" 1 1 Solution
Effet positif 1 Solution Spécifique Analyse 1 Cause Guérison 3 Remède 2

37 Puis… de l’"Arbre à Solution" au "Cadre logique"
Objectif Global 1 3 2 4 Quel Budget ? 1 objectif spécifique Quels moyens ? Résultat 1 Résultat 2 Résultat 3 Activité 1.1 Activité 1.2 Activité 1.3 Activité 2.1 Activité 2.2 Activité 3.1 Activité 3.2 Activité 3.3 Activité 1.4

38 Le cadre logique n’est pas un formulaire !
C’est un outil qui ce veut être le produit d’un processus de réflexion (« logique ») C’est une synthèse ordonnée (« cadre ») de cette réflexion.

39

40 c’est une synthèse ordonnée (« cadre ») de cette réflexion.
« le cadre logique n’est pas un formulaire, c’est un outils qui ce veut être le produit d’un processus de réflexion (« logique »), c’est une synthèse ordonnée (« cadre ») de cette réflexion. Ne pas remplir : Comme les obkectifs Généraux ne sont jamais attenids complètement On ne peut pas énumérer les facteurs/hypothèse Est-ce que cela suffit à dire que les objectifs sont atteints Formuler de façon positive Si une hypothèse joue sur plusieurs lignes, il faut la placer en bas

41 Chronogramme

42 Budget

43 Plan de financement

44 Le partenariat Définition : mise en œuvre d’une relation privilégiée basée sur la réalisation d’un projet partagé entre deux ou plusieurs organisations et manifeste ainsi l’échange de ressources, d’informations et d’expertise. Principes : Réciprocité : intérêt mutuel des partenaires à réussir Complémentarité et coopération entre les partenaires Respect de l’autonomie des partenaires Evolution tant des partenaires que des projets Assurer un pilotage significatif des projets en partenariat Outils : Convention/ Contrat Termes de référence

45

46

47

48

49

50 LE SUIVI / EVALUATION Essentiels pour juger de la progression réalisée en direction des objectifs et des résultats Essentiels pour la conduite d’un projet (prise de décision, pilotage des actions et des équipes…) Le SUIVI : c’est l’évaluation systématique et continue du progrès dans la temps Deux types de suivi : Le suivi du processus : mesure les moyens pour atteindre les objectifs Le suivi de l’impact : mesure l’impact sur les objectifs Préciser : · Comment et par qui l’information sera collectée, analysée et présentée ? · Quel est le degré de précision nécessaire ? · Quelle est la fréquence de collecte et d’analyse de l’information ? EVALUER : c’est estimer à un moment donné l’impact d’un projet et à quel point les objectifs ont été atteints

51 L’évaluation c’est : Et non … Quand évalue-t-on ?
Une photo, un constat Dresser l’état des lieux à une date donnée Divers points d’observation (critères) et plusieurs observateurs Mesurer ou décrire des faits (indicateurs) : les faits bruts, sans jugement Un diagnostic, une appréciation Apprécier les faits d’une manière argumentée Donner un avis sur ce qui apparaît comme force ou faiblesse Donner du poids à tel aspect Des recommandations, une aide à la décision Des propositions d’amélioration Un conseil à la décision Et non … L’oeil de Moscou” Un luxe inutile Une inquisition sans dialogue Un verdict qu’on ne discute pas Quand évalue-t-on ? Avant : diagnostic ou évaluation ex ante Pendant : évaluation à mi parcours Après : évaluation finale Bien après : évaluation ex post

52

53 Qu’est ce qu’un BON projet ?

54 CRITERES FONDAMENTAUX POUR EVALUER UN BON PROJET
La PERTINENCE Evalue le rapport entre le diagnostic initial et les objectifs et résultats L’IMPACT Evalue l’impact du projet sur les conditions de vie des bénéficiaires (rapport entre les résultats et les objectifs) L’EFFICIENCE Evalue le rapport entre les résultats et les moyens mis en œuvre (financiers et humains) La DURABILITE Evalue la capacité du projet à atteindre durablement les résultats attendus

55 Percoefidu , quoi ?


Télécharger ppt "Les étapes du cycle du projet & la démarche participative"

Présentations similaires


Annonces Google