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Comment Faire Une Dissertation. ÉTUDE COMPARATIVE Ce genre d’activité d’apprentissage permet aux élèves d’examiner les rapports, les différences ou les.

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1 Comment Faire Une Dissertation

2 ÉTUDE COMPARATIVE Ce genre d’activité d’apprentissage permet aux élèves d’examiner les rapports, les différences ou les ressemblances entre divers phénomènes ou concepts. Attentes L’étude comparative, au point de vue ampleur, doit dépasser le travail quotidien, mais elle n’a pas l’envergure d’une dissertation L’élève doit préparer une étude comparative telle que: une analyse d’interprétation de phénomènes historiques; une analyse de différentes chartes de droits afin de comparer les types de droits protégés et de degré de protection fourni par ces chartes; une analyse de différentes perspectives, philosophique, psychologique, sociologique et anthropologique de la réalité humaine; une analyse d’interprétation contemporaine sur la scène internationale telle qu’un conflit entre états sur la gestion de l’environnement l’échelle mondiale.

3 ÉTUDE PERSONNELLE La composante étude personnelle des CPO d’histoire et d’études contemporaines porte sur le processus de recherche menant à un résultat, c’est-à-dire la dissertation et l’étude comparative. Un des objectifs du programme des CPO est de permettre aux élèves d’apprendre à devenir autonomes dans leurs études. Puisque les élèves qui suivent des CPO d’histoire et d’études contemporaines n’ont pas tous les mêmes compétences, il est nécessaire d’établir un programme de formation structuré portant sur le processus de la recherche. Pour devenir des apprenants et apprenantes autonomes, les élèves doivent donc acquérir des aptitudes de recherche et le sens de l’organisation. Attentes La notation de l’évaluation de l’étude personnelle doit tenir compte des éléments suivants: la formulation de la problématique, l’hypothèse de travail/plan provisoire, la cueillette de données et le plan détaillé. Les élèves doivent prendre connaissance des critères d’évaluation dès le début d’un travail. Il est recommandé d’établir un mécanisme de supervision, comme par exemple les rencontres enseignant ou enseignante/él ves, pour guider les él ves dans leurs recherches. (Les pages 19 à 25 adressent l’étude personnelle.)

4 Il y a si beaucoup de possibilités!

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6 Toutes les réponses se trouvent dans les livres!

7 Moi, je vérifie toujours!

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9 Je fais un petit peu de progrès chaque jour…

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14 Evaluation des parties du projet

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16 Une autre évaluation des parties du projet

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18 Fiches documentaires. Après avoir é crit la fiche bibliographique, il faut remplir une fiche documentaire (rapport de lecture) en y inscrivant ce qui servira dans notre travail.. But: Permet d’inscrire l’information qu’on recueille d’une fa ç on logique et m é thodique.. M é thode: Supposons que notre travail porte sur l’adoption et que nous voulons parler :. de l’aspect historique de l’adoption;. des raisons pour adopter;. des fa ç ons de s’y prendre;. des restrictions l é gales;. des avantages pour les parents et l’enfant;. de la v é rit é r é v é l é e l’enfant. Il faut alors é crire nos fiches documentaires de la fa ç on suivante :. écrire sur la premi re ligne de la feuille le sujet pr é cis de cette fiche:. sur la deuxi me ligne de la feuille, é crire en raccourci le nom de l’auteur et le titre (on les a d é j sur les fiches bibliographiques). puis, soit qu’on copie, qu’on r é sume ou qu’on interpr te. IL EXISTE QUATRE (4) GENRES DE FICHES DOCUMENTAIRES Adoption - aper ç u historique - Code de Napol é on Launay, C., L’adoption, p. 15 «Bonaparte (...) n’ayant pas d’enfant (...) se pr é occupa de s’assurer un successeur : ainsi, sous la pression directe de Napol é on, l’adoption fut-elle admise et inscrite, en 1804, dans le Code civil.» Adoption - aper ç u historique - Code de Napol é on Launay, C., L’adoption, p. 14-15 On a de nombreux exemples d’adoption dans la mythologie comme celle de Mo ï se en É gypte. Mais c’est aux Romains qu’on doit d’avoir instaur é un code juridique pr é cis. L’adoption romaine avait un double but : assurer la continuit é du culte religieux et du culte familial.

19 Citation : C’est une partie du livre transcrite mot à mot sans rien changer ni ajouter aux mots de l’auteur. On peut cependant mettre entre parenth è ses des points de suspension (...) pour indiquer qu’on a omis une partie du texte emprunt é d’un livre cit é.. R é sum é : C’est un r é sum é en ses propres mots de la pens é e de l’auteur (de ce qu’il a é crit ou dit). Interpr é tation : C’est un jugement, une opinion personnelle qu’on porte sur qu’a é crit l’auteur et on le note sur une fiche documentaire pour ne pas l’oublier..Pens é e personnelle : C’est une pens é e personnelle qui nous vient de nos r é flexions, de nos conversations, de nos exp é riences ou de la t é l é vision et qu’on é crit sur une fiche documentaire pour ne pas l’oublier. On peut utiliser l’une de ces fiches pour é crire l’id é e de notre conclusion. Motifs d’adoption - consolidation d’un foyer Fr é mouroux, M., L’adoption... p.29-30 Parfois, un couple veut adopter parce qu’il croit que la pr é sence d’un enfant pourra consolider un mariage o ù r è gne la discorde. Ce genre d’adoption pourrait comporter des risques s é rieux pour l’enfant car les chances qu’un enfant r é ussisse à aplanir les difficult é s conjugales sont tr è s minimes. Effets de l’adoption - sur l’adopt é En plus de prendre le nom de ses parents adop-tifs, l’enfant adopt é a l’occasion d’avoir une vie familiale nucl é aire é tendue, un sentiment d’apparte-nance, et, en g é n é ral, une meilleure chance de r é ussir à cause de l’appui que seule peut donner une famille unie et stable.

20 5. Ordre : a. Après avoir d é pouill é ses sources de renseignements, il faut les mettre en ordre. b.Regrouper toutes les fiches ayant les même sujet. c.D é cider dans quel ordre on pr é sentera chacune des divisions de son grand sujet (L’adoption). d.Mettre de c ô t é ce qui n’est pas bon. e.Chercher les informations qui nous manquent. 4. Nombre de fiches documentaires : a.Varie d’aprè s la longueur exig é e par l’enseignant pour son travail de recherche.. b.Plus il y a de fiches documentaires, plus facile sera la r é daction de son brouillon.. c.La plupart des fiches seront des r é sum é s en ses propres mots.

21 LE PLAN DÉTAILLÉ Il faut avoir un bon plan pour avoir du succès!

22 R É DACTION DU BROUILLON.AM É LIORATION DU BROUILLON.STRUCTURE DU TRAVAIL DE RECHERCHE INTRODUCTION.Annoncer le sujet Poser la question. Pr é senter les parties. É viter certaines erreurs en.utilisant le «nous».ne donnant pas la conclusion.suivant le plan.D É VELOPPEMENT.R é pondre la question. Renseignements pertinents.Arguments pour informer.Arguments pour convaincre.Utilisation des fiches documentaire.Utilisation des citations.Utilisation d’une id é e principale par paragraphe.R é daction des phrases.CONCLUSION.Derni re impression.Types de conclusion R é capitulative.Prospective.Double mouvement.Exemples de conclusions CITATION Plagiat Nombre de citations Preuve de nos affirmations.Partie int é grante de notre texte.Citation de moins de trois (3) lignes.Citation de plus de trois (3) lignes.Appel.Symbole (...).NOTES EN BAS DE PAGE.Source de notre citation.Informations contenues dans une note de bas de page.auteur.titre.page o a é t é trouv é la citation.Passage pris dans un p é riodique.auteur.titre de l’article.titre du p é riodique.date.page o a é t é trouv é e la citation.Passage pris dans une encyclop é die.Source secondaire.Plusieurs citations d’une m me source.Ibid..Op. Cit.

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24 L’adoption est-elle souhaitable pour tous les couples sans enfant? Il est bien é vident que tous ces couples devraient adopter un enfant. L’un des probl è mes familiaux qui hante plusieurs couples mari é s porte sur l’adoption car il existe de nombreux mythes reli é s à ce ph é nom è ne social. Pourquoi en est-il ainsi et comment les familles d’aujourd’hui le surmontent-elles? Pour y r é pondre nous pr é senterons tout d’abord l’aspect historique de l’adoption. Par la suite nous é tudierons les raisons qui justifient l’adoption d’un enfant; les fa ç ons de s’y prendre et les restrictions l é gales qui y sont reli é es. Nous analyserons é galement le concept de l’adoption à partir des avantages qu’y trouvent les parents et les enfants. Finalement nous aborderons la d é licate d é marche qui consiste à r é v é ler la v é rit é à l’enfant.

25 Dans ce travail, nous avons donn é l’aper ç u historique de l’adoption ;a partir de la mythologie et de l’antiquit é, en passant par le code de Napol é on pour aboutir à l’ é poque contemporaine. Nous avons discut é les diff é rents motifs de l’adoption tels que la st é rilit é, la consolidation d’un foyer, le remplacement d’un enfant d é c é d é, la valorisation d’une vie c é libataire et la conscience morale envers les enfants abandonn é s. Nous nous sommes arr ê t é s sur la proc é dure d’adoption en parlant de la p é riode d’adoption en parlant de la p é riode d’attente des restrictions l é gales. Nous avons finalement parl é du moment propice et de la fa ç on efficace de r é v é ler à l’enfant qu’il est adopt é. Dans ce travail, nous avons é tudi é que l’adoption «traditionnelle». Aujourd’hui, nous faisons face à de nouveaux genres d’adoption. Il y a l’adoption «ouverte», c’est- à -dire, o ù l’enfant, d è s son adoption demeure en contact avec ses parents naturels. Depuis quelques ann é es, nous avons aussi le ph é nom è ne de la m è re «substitut», c’est- à -dire, une femme qui accepte de porter un enfant pour une autre femme qui est st é rile. Si c’est le mari qui est st é rile, son é pouse peut avoir recours à l’ins é mination artificielle. Dans ces deux cas, un des parents est adoptif, l’autre est naturel. Ces deux genres d’adoption soul è vent plusieurs questions morales et l é gales qui sont loin d’ ê tre r é solues.

26 Apr è s un survol historique de l’adoption, nous avons analys é les motifs qui poussent les couples mari é s et les c é libataires à adopter un enfant. De plus, nous avons d é crit la proc é dure d’adoption pour en arriver finalement à la r é v é lation à l’enfant concernant son adoption. Toutefois, l’adoption n’est pas la solution pour tout le monde. Est-ce à dire que l’amour que certaines personnes voudraient donner à un enfant doit demeurer enferm é pour toujours ? Certes non! Il existe plusieurs fa ç ons d’aimer et d’aider les enfants sans pour autant s’impliquer dans une relation permanente telle que l’adoption. Mentionnons les familles nourrici è res, le b é n é volat dans les garderies de jour, l’association de Grands Fr è res et des Grandes Soeurs... L’enfant attend toujours l’amour d’un adulte. «Bonaparte (...) n’ayant pas d’enfant, (...) pr é occupa de s’assurer un successeur: ainsi, sous la pression directe de Napol é on, l’adoption fut-elle admise et inscrite, en 1804, dans le code civil.»1 Jacqueline Adier, L’adoption v é cue, p. 51. Les choses très importantes à se rappeler

27 Contenu possible statistiques; carte g é ographique; graphique; diagramme; glossaire d’un vocabulaire sp é cialis é ; notes compl é mentaires. (voir exemple).R é f é rences : Il faut le mentionner dans le texte..Localisation : Sur une feuille part, apr s la bibliographie. On utilise APPENDICE A, APPENDICE B, etc. en majuscules centr é es..Pagination : La pagination cons é cutive englobe é galement les appendices. APPENDICE Formalit é s d’adoption l é gale les proposants doivent avoir 18 ans ou plus; les proposants ne peuvent pas tre c é libataires, veufs ou divorc é s, sauf dans des circonstances exceptionnelles; l’enfant peut avoir n’importe quel â ge. R è glements d’adoption les proposants doivent tres mari é s et avoir 21 ans ou plus É tapes de l’adoption.Les proposants doivent avoir une rencontre d’orientation avec le superviseur..Les proposants sont assign é s un travailleur social qui m ne au moins une interview conjointe et une interview s é par é e avec chacun et qui se rend chez eux au moins une fois. Les ant é c é dents m é dicaux et cinq r é f é rences y compris une en provenance d’un membre de la famille sont exig é s..Les proposants sont rejet é s ou accept é s..Les proposants accept é s sont plac é s sur une liste d’attente jusqu’ ce qu’un enfant appropri é soit trouv é. Placement.Les proposants sont inform é s des ant é c é dents sociaux du pupille de l’ É tat..Les proposants signent un avis d’intention d’adopter..L’enfant est plac é en stage avant l’adoption pour un minimum de six mois et un maximum de 2 ans..Les proposants, l’enfant et le travailleur social se pr é sentent devant la Cour de comt é. Le travailleur social remet au juge :.la demande d’adoption sign é e par les deux proposants;.le consentement l’adoption sign é e par le directeur g é n é ral de la Soci é t é d’aide l’enfance;.le registre de placement sign é par le directeur provincial de la Protection de l’enfance;.le consentement de l’enfant s’il est â g é de sept ans ou plus;.les formulaires pour enregistrer l’adoption et modifier les registres de naissance..Apr s la signature de ordonnances, les dossiers sont scell é s et ne peuvent tre d é cachet é s que sur ordonnance des tribunaux. 4 Gybson et Murphy, Op. Cit. p. 336 L’extra qui fait la différence…

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29 -SAVOIR CE QUE TU AS FAIRE le sujetl’hypoth è seles mots cl é sle plan g é n é ral -SAVOIR AVEC QUOI TU POURRAIS LE FAIRE les ressourcesles diff é rents genresles diff é rentes localisations la consultationla fiche bibliographiquele plan provisoire -SAVOIR COMMENT TU VAS LE FAIRE la lecture et la prise de notesla fiche-r é sum é la fiche-analyse la fiche-citation -SAVOIR CE QUE TU UTILISERAS POUR LE FAIRE la classification des fichesle plan d é taill é l’analyse l’interpr é tationla compr é hension -SAVOIR COMMUNIQUER CE QUE TU AS FAIT le brouillonla r é visionla correctionl’introduction la conclusionle texte finalla m é thodologie -ANNEXES : MOD È LES les fiches bibliographiquesla page de titrela table des mati è res une page du texte finalles notes au bas de la pagela bibliographie 1-SAVOIR CE QUE TU AS À FAIRE 2-.SAVOIR AVEC QUOI TU POURRAIS LE FAIRE 3-.SAVOIR COMMENT TU VAS LE FAIRE 4-.SAVOIR CE QUE TU UTILISERAS POUR LE FAIRE 5-.SAVOIR COMMUNIQUER CE QUE TU AS FAIT. 6-ANNEXES : MOD È LES

30 1.1Tu te retrouves dans un vaste domaine de connaissances : la litt é rature, l’histoire, la religion, la biologie, la g é ographie, l’ é cologie, la sociologie, etc. 1.2Tu fais face à l’ampleur du sujet ; tu dois le restreindre, le pr é ciser, lui donner des limites, un cadre. 1.3Tu dois donc travailler une seule facette du sujet; tu ne dois aborder qu’une id é e, qu’une dimension du sujet. 1.4Il te faut un point de d é part : une HYPOTH È SE de travail. 1.5Une HYPOTH È SE, c’est : -une supposition; -un fait que l’on croit possible; -une affirmation qu’il faut expliquer 1.6Ton hypoth è se formul é e, tu as un BUT, une DIRECTION à prendre. 1.7Il s’agit maintenant d’aller à la recherche de preuves, d’explications, afin de CONFIRMER ou d’INFIRMER ton hypoth è se. 1.8Tu commences par d é cortiquer ton hypoth è se en analysan minutieusement chaque é l é ment qui la compose. 1.9Tu fais alors une liste de MOTS CL É S. Dans cette liste, il est possible d’inscrire des synonymes, des id é es sugg é r é es par les mots, des choses qui d é pendent de chaque é l é ment ou encore qui s’y rapportent. 1.10Avec ton hypoth è se et ta liste de mots cl é s, tu traces les grandes lignes de ta recherche : un PLAN g é n é ral. 1.11Dans ce plan g é n é ral, tu soul è ves des questions, tu formes des th è mes, tu é tablis des cat é gories et tu places le tout dans un ordre logique. 1-SAVOIR CE QUE TU AS À FAIRE

31 2.1Tu dois travailler avec des outils, des RESSOURCES. Surtout, ne crois pas que tous les renseignements seront dans un seul livre 2.2O ù trouver toutes ces ressources ?.le centre de ressources de l’ é cole.la biblioth que municipale.la biblioth que coll é giale/universitaire.un club, une association communautaire.un commerce, une compagnie.la biblioth que familiale.une agence gouvernementale.une ambassade.un bureau de sp é cialistes 2.3Quoi consulter? Voici un inventaire de ressources qui pourraient ê tre essentielles à ta recherche : encyclop é dies g é n é rales encyclop é dies sp é cialis é es dictionnaires sp é cialis é s atlas statistiques p é riodiques (magazines) journaux images (illustrations, affiches) livres (manuels, anthologies, monographies, romans) banques de donn é es é missions - radio/t é l é bandes sonores films - bandes vid é o rencontres (t é moins, sp é cialistes, clubs, groupes, agences) autres 2.4Au centre de ressources de l’ é cole, tu v é rifies : le fichier (sujet-auteurs/es, titres) les index de p é riodiques, de journaux les classeurs de documents é ph é m res 2.5Tu consultes chaque ressources en ayant sous les yeux ton hypothèse, ta liste demots clés et ton plan général. a. Tu examines rapidement chaque ressource. b. Tu pr é pares une FICHE BIBLIO-GRAPHIQUE pour chaque ressource consult é e. 2.6Sur une fiche bibliographique, tu indiques les chapitres, les grands passages, les illustrations, bref, les principaux renseignements qui retiennent ton attention. 2.7Voici la m é thode de pr é sentation d’une fiche bibliographique : le nom de l’auteur/e, son pr é nom, le titre soulign é, le lieu de publication, l’ é diteur, l’ann é e de publication au centre de la fiche : des notes personnelles propos du contenu en haut, droite : une lettre d’identification; en bas, gauche : la cote de l’ouvrage et le lieu o il se trouve (voir mod les en annexe) 2.8Tu peux alors faire ton PLAN PROVISOIRE avec l’aide de tes fiches bibliographiques. Dans ce plan provisoire, tu é num è res les th è mes et les sous-th è mes de ta recherche en te fiant aux annotations de tes fiches bibliographiques. 2-.SAVOIR AVEC QUOI TU POURRAIS LE FAIRE

32 3.1La consigne est simple : tu LIS (et tu visionnes, s’il y a lieu) les RESSOURCES que tu as s é lectionn é es comme é tant utiles (c’est unelecture ATTENTIVE) : a) tu prends des notes, tu rapportes en peu de mots b) tu composes un commentaire, une id é e, une opinion; c) tu transcris des passages courts et longs. 3.2Cette CUEILLETTE de RENSEIGNEMENTS se place sur trois types de fiches : une FICHE-R É SUM É r é unit en quelques mots les grandes id é es, les faits relev é s durant la lecture d’un paragraphe ou d’un chapitre. On reste fid le au texte lu tout en le reformulant; une FICHE-ANALYSE sert noter une id é e personnelle, un commentaire, une explication, une interpr é tation, une r é flexion, un jugement... qui se sont d é gag é s des lectures faites; une FICHE-CITATION rapporte textuellement (mot mot) lesparoles, les commentaires, les descriptions, les id é es d’un ou d’une auteur/e. 3.3 Cette é tape termin é e, tu v é rifiesl’ é nonc é de ton hypoth è se; il estpossible que tu sois dans l’obligation de la reprendre ou de la nuancer. 3.4La m é thode de pr é sentation de ces trois fiches va comme suit : gauche, en haut, tu indiques (en lettes majuscules) l’id é e principale de la fiche suivie du sujet particulier, entre parenth se ; ce sont le TITRE et le SOUS-TITRE de ta fiche; droite, en bas, sur une fiche-r é sum é et sur une fiche- citation, tu indiques la r é f é rence bibliographique en inscrivant la lettre d’identification qui correspond celle de la fiche bibliographique (A,B,C,D...); cette lettre est suivie de la (des) page (s) du texte cit é, r é sum é ou reformul é. 3.5On vous sugg è re une fiche lign é e de 10 sur 15 cm pour :.une fiche bibliographique;.une fiche-r é sum é ;.une fiche-analyse;.une fiche citation. EXPLORATEURS (motifs avant 1650)EXPLORATEURS (les missions) Commentaires L’ é l é ment religieux a jou é un r ô le important dans l’exploration de la Nouvelle-France. Une fois une mission é tablie, il arrive souvent qu’on retrouve des postes de traite et m ê me une pr é sence militaire. EXPLORATEURS (Champlain)EXPLORATEURS (motifs apr è s 1650) -fondateur de Qu é bec (1608)«La deuxi è me moiti é du dix-septi è me si è cle verra s’illustrer un autre -description de la rivi è re des Outaouaisgenre d’explorateur, celui qui allie l’aventure aux faits d’armes.» -route de l’OuestC-p.78 -ici pendant 27 ans -explore avec É tienne Br û l é -liens avec les indig è nes -mort en 1635 B-p.13-14 3.6 3-. SAVOIR COMMENT TU VAS LE FAIRE

33 4.1Il est le temps de mettre tes fiches dans un ordre qui t’appara î t logique. 4.2Tu regroupes tes fiches d’apr è s leur titre puis d’apr è s leur sous-titre. 4.3Tu classifies tes fiches en suivant ton plan provisoire. 4.4Tu peux maintenant é tablir ton PLAN D É TAILL É en utilisant l’ensemble de tes fiches. En é tablissant ton plan d é taill é, tu pr é vois : la forme finale de ta recherche les id é es ma î tresses que tu veux é laborer les preuves que tu vas fournir 4.5Tu es enfin en mesure d’ANALYSER et d’INTERPR É TER l’information recueillie :.tu reprends tes fiches; tu les relis attentivement.tu inscris les explications n é cessaires pour chaque groupe de titres et de sous- titres sur des fiches-analyse.tu d é montre ta compr é hension des choses; tu exposes leur importance et leur pertinence en fonction de ton hypoth è se.il se peut que tu laisses de c ô t é certaines fiches-r é sum é et certaines fiches-citation parce qu’elle sont trop semblables; tu dois donc faire un choix judicieux 4-.SAVOIR CE QUE TU UTILISERAS POUR LE FAIRE

34 5.1Tu es maintenant en mesure de r é diger le brouillon de ton D É VELOPPEMENT: a.tu prends tes fiches-r é sum é, tes fiches-analyse et tes fiches-citation dans l’ordre que tu leur as d é j donn é b..tu poses ton plan d é taill é devant toi c..alors, tu r é diges d’un seul trait le brouillon de ton d é veloppement, le corps de ta recherche 5.2Tu RELIS ton brouillon afin de le R É VISER et de le CORRIGER. 5.3 Tu v é rifies : a.la force et la progression des faits, des exemples, des id é es, de l’argumentation b.ton STYLE, c’est- -dire l’emploi des mots, les transitions, les tournures de phrases c.l’ORTHOGRAPHE, l’accord des verbes, des participes pass é s, la ponctuation, etc. 5.4Tu composes l’INTRODUCTION.tu am nes le sujet de la recherche.tu soumets ton hypoth se.tu annonces subtilement l’orientation de ton travail en donnant les divisions majeures de ta recherche 5.5Tu composes la CONCLUSION a.tu fais la synthèse de ce qui a é t é dit b.tu confirmes ou tu infirmes ton hypoth se c.tu prends position d.tu cr é es une ouverture sur une autre dimension de l’objet de ta recherche 5.6Tu RELIS l’introduction et la conclusion; il faut les r é viser et les corriger, au besoin. 5.7Tu é cris le TEXTE FINAL de la recherche avec m é thode : la page de titre la table des mati res l’introduction le d é veloppement la conclusion la bibliographie les annexes (s’il y a lieu) la liste des illustrations (s’il y a lieu) Continuer…

35 Voici quelques pr é cisions m é thodologiques pour la r é daction du texte final: un format de 21,6 sur 28 cm le texte interlignes doubles la page de titre selon le mod le en annexe 3,5 cm de marge gauche et en haut de la page; 2 cm de marge droite et en bas de la page un alin é a de 2,5 cm au d é but de chaque paragraphe et d’une note au bas de la page les pages du texte sont num é rot é es en haut, droite, en chiffres arabes on commence la premi re page (l’introduction) en laissant le premier tiers libre les citations courtes, de trois lignes et moins, sont incorpor é es au texte et plac é es entre guillemets; l’appel de note est sur é lev é la fin de la citation (voir le mod le en annexe) les citations longues, de quatre lignes et plus, sont interlignes simples, sans guillemets et les marges sont r é duites de 2,5 cm gauche et droite. L’appel de note est sur é lev é la fin de la citation (voir le mod le en annexe) les notes au bas de la page servent surtout donner des r é f é rences bibliographiques aux citations dans le texte; leur num é rotation est continue; elles sont s é par é es du texte par un tiret de 6 cm et sont compos é es interlignes simples; le chiffre de la note n’est pas sur é lev é. La pr é sentation d’un ouvrage est identique celle de la fiche bibliographique; on ajoute la page de r é f é rence. Pour les r é f é rences un m me ouvrage qui se succ dent imm é diatement, on emploie ibid. en ajoutant la page de r é f é rence. pour la r é f é rence un ouvrage d é j cit é, on emploie apr s le nom de l’auteur/e l’expression op.cit. en ajoutant la page de r é f é rence (voir mod le en annexe) lorsqu’on a trois illustrations ou plus, on pr é pare une liste des illustrations; on indique le num é ro de l’illustration, son titre et la page o elle se situe on place en annexe une citation qui d é passe les trois quarts d’une page, une lettre, un mod le, un document de plusieurs pages..., en somme, un passage assez long, difficile int é grer au texte final; on pr é pare alors une liste des annexes la table des mati res pr é sente les diff é rentes parties de la recherche (voir le mod è le en annexe) un modèle de bibliographie peut ê tre consult é en annexe 5.8 5-.SAVOIR COMMUNIQUER CE QUE TU AS FAIT

36 6.1 mod è le : page du texte final - X - (pagination) Xxxxx xxxxxx xxxxx «les citations de trois lignes et moins ainsi que les citation d’une seule ligne d’un vers sont incorpor é s dans le texte» 1 xxxxxxxxxx xxxxxx. Xxxxxxx xxxxxx xxxxxxxxx xxxxx xxxx xxxxxx xxxxxxx; les citations longues, celles de quatre lignes et plus, ont un refon ç ement de 2,5 cm à gauche et à droite; elles sont é crites sans guillemets, à interlignes simples, et ont un appel de note; xxxxxx xxxxxxxxx. 2 Xxxxx xxxxx xxxxxxxxx xxxxxxx xxxxxxx. Xxxx xxxxxx xxxxxxxxxx xxxx xxxxx xxxxxxx. Xx xxx xxxxxxxxx xxx xx xxxxxxx. Lorsqu’on cite des vers De deux lignes et plus; Xxx xxxx xxxxxx xxxxxx; Xxxxxxx xxxxx xxxxxxxxxx. 3 Xxxxx xxxxx xxxxxxxxx xxx xxxxxxxxxxxxx. Xxxxxxx xxxxxxxxxxxx xxxxxxxxxxx-xxxx. Xxxxxx «xxxxx xxxxx xxxxxxxxxxx» 4 xxxxxxx xx xxx xxxxxxxxxxxx. Xxx xxxxxxx xxxxxxxxxxxxxx xxxxxxxx xxxxxxxxxxx. (6 cm) 1NOM, Pr é nom, Titre, Lieu de publication : é diteur, date de publication, num é ro de la page. 2Ibid., page 133. 3NOM, Pr é nom. Titre, Lieu : é diteur, ann é e, page. 4NOM, Pr é nom. Op. cit., p. 27. Continuer…

37 6.2mod è le : notes au bas de la page 4 BESSETTE, G é rard. Les images en po é sie canadienne-fran ç aise. Montr é al : Beauchemin, 1960, p. 187. 5Ibid., page 122 6TH É RIO, Adrien. Conteurs canadiens-fran ç ais. Montr é al : D é om, 1970, p. 12. 7BESSETTE, Pierette. «Les m é saventures de Joanne.» Le Maclean, vol. XVI, n°17 (mars 1976), p. 7. 8LAFAUSSE, Pierette. «Les femmes de la pr é sidente.» La vie en rose, n°36 (mars 1986), p. 23. 9BEAULIEU, Carole. «Les choses que veut dire Vigneault.» Le Devoir (21 septembre 1974), p. 18. Continuer… TRES IMPORTANT

38 6.3mod è le : bibliographie BESSETTE, G é rard. Les images en po é sie canadienne-fran ç aise, Montr é al : Beauchemin, 1960,282p. BROCHU, Andr é, Le r é el, le r é alisme et la litt é rature qu é b é coise / par Andr é Brochu, Laurent Mailhot et Albert Le Grand. Montr é al : Librairie de l’Universit é de Montr é al, 1974, 185 p. CHAMBERLAND, Paul. «Fondation du territoire.» Parti-pris, vol. IV, n os 8-9 (mai-ao û t 1967), pp. 11-42 CHARPENTEAU, Jacques et al., La chanson fran ç aise. Montr é al : Beauchemin, 1965, 135 p. (Coll è ge et famille; 1.) CONAN, Laure, pseud. de F é licit é Angers. L’oubli é. 6 e é d. Montr é al : Bellarmin, 1925, 124 p. DELSTANCHES, Christian. Tu n’es pas mort à Stalingrad / par Christian Delstanches et Hubert Vierset. Gembloux : Duculot, 1973, 181p. (Travelling; 7.) FEL, Andr é. «C é r é ales.» Encyclopaedia Universalis. Paris : Encyclopaedia Universalis, 1985, tome 4, pp. 514-518. Le roman canadien-fran ç ais : é volution, t é moignages, bibliographie. Montr é al : Fides, 1977, 514 p. (Archives des lettres canadiennes; 3.) LEMIEUX, Jacques. «Les choses que veut dire Vigneault.» Le Devoir (21 septembre 1974) p. 18. MAILHOT, Laurent. «Orientations r é centes du th éâ tre qu é b é cois.» Le th éâ tre canadien-fran ç ais. Montr é al : Fides, 1976, pp. 319-340. (Archives des lettres canadiennes; 5.) TH É RIO, Adrien. Conteur canadiens-fran ç ais. Montr é al : D é om, 1970, 337 p. TH É RIO, Adrien. Mes beaux meurtres. Montr é al : Cercle du livre de France, 1973, 210 p. Continuer…

39 6.4mod è le : table des mati è res TABLE DES MATI È RES Table des mati è res………………………………………………………………………………………………………i Liste des illustrations ( s’il y a lieu ) …………………………………………………………………………………...ii Liste des annexes ( s’il y a lieu ) ………………………………………………………………………………………iii INTRODUCTION ……………………………………………………………………….….….…….………….……...1 TITRE EN MAJUSCULES (premi è re id é e) ……………………………………………………………………………2.sous-titre en minuscules ……………………………………………………………………………….….….…4.sous-titre ………………………………………………………………………………………………………..5.sous-titre ………………………………………………………………………………………………………..6 TITRE EN MAJUSCULES (deuxi è me id é e) ………………………………………………………………………….7.sous-titre …………………………………………………………………………………………………9.sous-titre ………………………………………………………………………………………………...11.sous-titre ………………………………………………………………………………………………...12 TITRE EN MAJUSCULES (troisi è me id é e) …………………………………………………………………………13.sous-titre ………………………………………………………………………………………………………14.sous-titre ………………………………………………………………………………………………………16 CONCLUSION ………………………………………………………………………………………………….……17 BIBLIOGRAPHIE ……………………………………………………………………………………………………18 ANNEXES ( s’il y a lieu) ……………………………………………………………………………………………19.Titre de l’annexe ………………………………………………………………………………………..19.Titre de l’annexe ………………………………………………………………………………………..20.Titre de l’annexe ………………………………………………………………………………………..23 6-ANNEXES : MOD È LES

40 J’ai presque fini!

41

42 J’ai ramassé beaucoup de bonnes informations!

43

44 J’espère que je n’ai rien oublié!

45 Mon enseignant, c’est aussi un partenaire

46 Voyons voir, ai-je tout ce dont j’ai besoin?

47

48 Je crois que ce projet est au même niveau d’excellence que moi!

49 Une bonne introduction est la clé pour avoir une bonne dissertation!

50 DÉVELOPPEMENT Le développement répond à la question, la prouve, la discute. Il doit suivre fidèlement le plan annoncé dans l’introduction et détaillé dans la table des matières. C’est l’essentiel de ta recherche qui présente tous les renseignements, tous les arguments pour informer ou convaincre le lecteur. C’est le moment de te servir de tes fiches jaunes documentaires déjà placées en ordre logique de sujet. Tu relies tes idées ensemble au moyen de mots de transition pour que tout s’enchaîne logiquement afin d’en arriver à renseigner ou à convaincre le lecteur. C’est surtout dans le développement que tu peux te servir de citations mais seulement pour appuyer ce que tu dis et tu dois essayer de les fondre avec ton texte de façon aussi naturelle que possible. Une bonne règle à suivre c’est que les citations ne doivent pas dépasser 1/6 du texte total. Exemple: un texte de 1,200 mots devrait contenir au maximum de 200 mots cités Des conseils plus détaillés au sujet des citations te seront données de la page 19 à la page 24. Ton développement ne doit pas être qu’un paragraphe très long. Tu as appris à développer une seule idée par paragraphe. C’est le temps de mettre cette connaissance en pratique. N’oublie pas de laisser un alinéa chaque fois que tu commences un paragraphe. Souviens-toi aussi que chacune des phrases de ton texte doit être une phrase complète et bien structurée.

51 CONCLUSION Souvent, c’est la conclusion qui laisse une derni è re impression de ton travail. Cette impression sera favorable ou d é favorable selon la qualit é de ta conclusion. Tout comme le d é veloppement doit s’encha î ner à l’introduction, la conclusion doit ê tre reli é e au reste du travail. Fa ç ons de conclure Il existe deux principaux types de conclusions. a) La conclusion r é capitulative -elle r é sume les id é es é nonc é es dans le travail un rappel R É CAPITULATIVE b) La conclusion perspective -elle d é passe les id é es é nonc é es dans le d é veloppement -elle pose de nouvelles questions -elle offre des solutions -elle regarde vers l’avenir une ouverture PROSPECTIVE La partie écrite est finalement finie!

52 CITATIONS Plagiat Dans un travail de recherche, le plus grand piège à éviter, c’est le plagiat, c’est-a-dire, copier les mots d’un auteur et essayer de les faire passer comme ta propre composition. Chaque fois que tu copies mot à mot d’un livre, c’est une citation et tu dois l’indiquer dans ton texte. Puisque, comme on l’a déjà mentionné, les citations ne doivent pas dépasser 1/6 de ton texte total, c’est donc dire que 5/6 de ton texte doit être ta composition personnelle. Ce qu’il faut que tu apprennes, c’est comment résumer la pensée d’un auteur en tes mots. L’enseignant de français va t’aider à maîtriser les résumés de texte. Souviens-toi que le plagiat est malhonnête et complètement à déconseiller. Si l’enseignant soupçonne que tu as copié la majeure partie de ton texte directement du livre, il peut le vérifier au moyen de ta bibliographie et la plupart du temps, tu te mériteras une note d’échec dans ton travail. Ça vaut la peine de fournir l’effort nécessaire pour résumer la pensée de l’auteur en tes propres mots.

53 Sans une table de matières, je serais perdu sans doute!

54

55 RAPPEL DES ÉTAPES À SUIVRE POUR SE DOCUMENTER ET RÉDIGER UN TRAVAIL DE RECHERCHE 1. Choisir, délimiter et comprendre ton sujet. 2. Te documenter la biblioth que en lisant et en accumulant des fiches roses bibliographiques. 3. Tout en lisant des sources variées, remplir toute une séries de fiches jaunes documentaires : fiches citation avec guillemets, fiches résumé (ce sont les plus nombreuses), fiches interprétation, fiches pensées personnelles. 4. partir de la compréhension de ton sujet et au moyen des fiches jaunes documentaires que tu auras placées en ordre logique de sujet, dresser un plan provisoire qui deviendra la table des mati res. 5. Rédiger ton introduction attentivement en respectant les trois parties essentielles. 6. Rédiger le développement en suivant fid lement ton plan et en transcrivant les fiches jaunes documentaires tout en t’assurant que le tout s’enchaîne bien l’aide de mots de transition. 7. Rédiger une conclusion précise. 8. Relire et corriger ton brouillon l’aide d’un dictionnaire général, d’un dictionnaire français-anglais, d’un dictionnaire de synonymes et d’une grammaire. 9. Rédiger ton travail au propre en respectant toutes les r gles de la méthode adoptée au niveau de l’école pour la présentation matérielle d’un travail écrit. 10. Remettre ton travail temps en éprouvant un sentiment de satisfaction pour un travail bien fait. Si tu suis ces étapes, tu auras maîtrisé non seulement une méthode de recherche et une connaissance de la présentation matérielle d’un travail écrit, mais surtout, tu auras acquis une discipline personnelle qui te sera utilise pour toute ta vie.

56 EXEMPLES DE BONNES INTRODUCTIONS : 1.Tant qu’il y aura des É tats, il y aura des conflits entre ceux-ci. Tel fut le cas quand l’ É glise, l’Espagne, le Portugal et les J é suites se mirent ensemble afin de d é cider l’avenir de la mission. Est-ce que c’ é tait vraiment n é cessaire de d é truire la mission J é suite? Au cours de cette dissertation, premi rement nous pr é senterons les objectifs de chaque auteur ainsi que les ressources et les m é thodes qui les aideront atteindre ces objectifs. Ensuite nous explorerons des relation de pouvoir et de soumission entre chacun des acteurs. Finalement, nous é valuerons les succ s de chaque acteur dasn la qu te de leurs objectifs. 2.Nous tenterons, dans cette recherche, de r é pondre ces questions en analysant l’aspect historique de ce film, en incorporant des faits historiques et en appliquant ces faits au film The Mission. Nous é tudierons en suite les intentions et objectifs de chaque auteur dans ce film pour mieux comprendre leurs actions. Enfin, nous discuterons les r é sultats et cons é quences dans The Mission pour conclure cette recherche. EXEMPLES DE BONNES CONCLUSIONS : 1.Dans ce travail, nous avons vu que oui, la destruction des Missions é tait malheureusement n é cessaire. En expliquant les objectifs de chaque acteur, ainsi que leurs m é thodes de ressources, nous avons pu comprendre davantage le point de vue de chacun. En analysant les relations de pouvoir et de soumission entre les acteurs principaux, nous avons pu comprendre la complexit é de cette situation. Mais qui a gagn é ce d é bat? Nous avons tendance dire les Portugais puisqu’ils ont r é alis é leur objectif d’acqu é rir d’un coup le territoire et les esclaves. L’Espagne a pu é galement s’en sortir sans causer de probl mes, ce qui é tait en effet leur objectif. D’ailleurs, l’ É glise a pu affirmer son contr ô le sur les J é suites, sauvant ainsi la position de l’ É glise en Europe, mais laissant le Cardinal avec une conscience marqu é e cause de la perte violente des missions. Malheureusement, les J é suites furent sacrifi é s afin de plaire aux autres. Ils ont quand m me pu garder leurs mission au Portugal et en Europe, mais ont d sacrifier des missions d’immense beaut é et d é truire le travail et les maisons de Guaranis. Dans les relations internationales «Aucuns acteur ne peut emp cher un autre de devenir puissant et ce ph é nom ne est intimement li é la loi du plus fort.» 1 mais il est bien dommage que ce fut les J é suites et leurs travaux d é vou é s Dieu qui fut l’acteur le moins fort. 1Gérard, Loriot, Les relations internationales. p.27 2.Dans cette recherche, nous avons examin é le rapport entre deux l’ É tat et l’ É glise. Ce rapport é tait vraiment une lutte pour le pouvoir et une comp é tition pour l’expansion des territoires coloniaux. Nous avons aussi discut é les raisons pour la destruction des missions : les gouvernements voulaient ce territoire pour eux-m mes, le Portugal voulait continuer d’utiliser les aborig nes comme esclaves; l’ É glise catholique é tait menac é e par l’ É tat s’il n’y avait pas la coop é ration avec l’ É glise et l’ É tat en brisant le pouvoir j é suite. Avec tant d’opposition et de pouvoir contre eux, les j é suites n’avaient pas de chances. G é rard, Loriot, Les relations internationales. p.27 TRÈS UTILES

57 Et c’est tout! Bonne Chance! JL


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