La présentation est en train de télécharger. S'il vous plaît, attendez

La présentation est en train de télécharger. S'il vous plaît, attendez

L’emploi dans l’animation socio-culturelle, sportive et sociale

Présentations similaires


Présentation au sujet: "L’emploi dans l’animation socio-culturelle, sportive et sociale"— Transcription de la présentation:

1 L’emploi dans l’animation socio-culturelle, sportive et sociale
Aujourd’hui, je vais vous présenter les résultats de l’enquête sur l’emploi dans le secteur de l’animation socio-culturelle, sportive et sociale. Cette enquête a été nitiée par la Direction Régionale et Départementale de la Jeunesse et des Sports, à laquelle a été associée la Direction Régionale et Départementale des Affaires Sanitaires et Sociales. Ce travail a été confié à l’OPEQ qui assure les missions d’Observatoire Régional Emploi Formation en Champagne-Ardenne. Eléments de synthèse 13 février 2012

2 Les objectifs et la méthodologie de l’enquête
L’emploi dans le secteur de l’animation socio-culturelle, sportive et sociale – OPEQ, 2011

3 Perspectives d’emplois et de recrutements dans l’animation socio-culturelle, sportive et sociale
Objectifs : Connaître le nombre et la nature des emplois existants dans le secteur Définir les besoins des employeurs en termes de qualifications et de formations Méthodologie : Définition du secteur Construction et alimentation de la base de données en lien avec la DRJSCS Réalisation d’un questionnaire Ce travail, financé uniquement par la DRDJS, a été demandé à l’OPEQ afin de mieux connaître les emplois du secteur de l’animation socio-culturelle, sportive et sociale et de définir les besoins en termes de qualifications et de formations. Quant à la méthodologie utilisée, une définition préalable du champ de l’étude a été nécessaire pour construire et alimenter la base de données à l’aide des fichiers fournis par les DDJS. En collaboration avec la DRDJS, un questionnaire a pu être réalisé en tenant compte de la diversité des structures interrogées (clubs sportifs, associations, maisons de retraite…). Cette enquête s’est déroulée en plusieurs étapes : - Un premier envoi a été effectué le 22 septembre 2010 suivi d’une relance auprès des structures non répondantes le 21 octobre. A l’issue de ces deux mailing, des relances téléphoniques ont ou renforcer le taux de réponse qui reste cependant assez faible (30,7 %). Pour obtenir le maximum de réponses, les structures ont également été relancées par mail. L’emploi dans le secteur de l’animation socio-culturelle, sportive et sociale – OPEQ, 2011

4 Définition du champ de l’étude
Des emplois repérés faisant référence au champ d’intervention des structures Emplois socio-éducatifs Emplois socio-culturels Champ social Champ socio-culturel Particularités repérées dans la définition du champ de l’étude Dans un premier temps, les emplois socio-éducatifs sont dissociés des emplois rattachés à l’animation afin de repérer les postes spécifiquement dédiés au champ social d’une part, et ceux se rapportant davantage à la jeunesse et à l’éducation populaire (champ socio-culturel). Ces emplois seront détectés grâce au champ de la structure, ce qui permettra tout au long de ce rapport de différencier le type d’emploi selon le champ d’intervention. Par ailleurs, les emplois socio-culturels et socio-éducatifs associés au moment de la réalisation du questionnaire font référence au champ socio-culturel et social. L’emploi dans le secteur de l’animation socio-culturelle, sportive et sociale – OPEQ, 2011

5 Informations relatives au questionnaire
Emplois en 2009 Départs en retraite en cours et prévus et remplacements éventuels Recrutements envisagés à court terme Recrutements réalisés au cours des 12 derniers mois précédant l’enquête Approche de la formation initiale et continue (perception, besoins, attentes… ) Le questionnaire se compose de la manière suivante : Après les éléments demandés concernant l’identification de la structure, des questions sur les emplois salariés de la structure ont été posées. Une photographie des effectifs en 2009 a été demandée par personne exerçant des fonctions dans l’animation au sein de la structure ainsi que son âge, si elle partait à la retraite dans les 5 ans à venir et le cas échéant, si un remplacement était envisagé par promotion interne ou par un recrutement. De plus, l’aspect prospectif de l’enquête nous amène à poser des questions sur les recrutements en cours, pour l’année 2011 et dans les 3 ans à venir selon la profession, le diplôme, la nature du contrat de travail, le temps de travail et les compétences pour occuper le poste. Puis des informations sur les recrutements réalisés au cours des 12 derniers mois précédant l’enquête ont été demandés sur les mêmes critères que les recrutements envisagés. Enfin sont abordés les besoins en formation initiale et continue et la perception de l’offre de formation par les structures. L’emploi dans le secteur de l’animation socio-culturelle, sportive et sociale – OPEQ, 2011

6 L’emploi du secteur Présentation de l’emploi dans le secteur de l’animation socio-culturelle, sportive et sociale en Champagne-Ardenne Grâce aux données du recensement de la population, le champ de l’animation socio-culturelle, sportive et sociale peut être cerné en termes d’emplois présents dans le secteur. L’emploi dans le secteur de l’animation socio-culturelle, sportive et sociale – OPEQ, 2011

7 Plus de 20 000 salariés dans le cœur de métiers de l’animation (1/2)
salariés dans l’animation au sens large dont : salariés dans le cœur de métiers Au sens large, le secteur de l’animation représente salariés et intègre d’autres activités : l’administration publique générale, le commerce de détail et l’habillement en magasin spécialisé et les activités de ménages employeurs de personnel domestique. Si l’on se concentre sur le cœur de métiers dans l’animation socio-culturelle, sportive et sociale, on recense plus de salariés âgés de de 15 à 64 ans. Ils exercent principalement leur activité dans : l’aide à domicile (ADMR, association familles rurales) : activités connexes, les activités des centres de culture physique : champ sportif, l’accueil de jeunes enfants : activités connexes, l’action sociale sans hébergement (accueil de jour en foyer logement) : activités connexes, l’hébergement médicalisé pour personnes âgées (EHPAD) : champ social, d’autres organisations fonctionnnant par adhésion volontaire ((MJC, centres sociaux, fédérations…) : tous les champs Les salariés du secteur de l’animation socio-culturelle, sportive et sociale exercent les professions : d’aides à domicile, aides ménagères, travailleuses familiales, d’assistantes maternelles, gardiennes d’enfants, familles d’accueil, d’éducateurs spécialisés, d’animateurs socio-culturels et de loisirs, de moniteurs et éducateurs sportifs, sportifs professionnels, d’aides médico-psychologiques. Principales professions exercées : Aides à domicile, aides ménagères, travailleuses familiales Assistantes maternelles, gardiennes d’enfants, familles d’accueil Educateurs spécialisés Animateurs socio-culturels et de loisirs Moniteurs et éducateurs sportifs, sportifs professionnels Aides médico-psychologiques Principaux secteurs d’activité : Aide à domicile Activités des centres de culture physique Accueil de jeunes enfants Action sociale sans hébergement Hébergement médicalisé pour personnes âgées Autres organisations fonctionnant par adhésion volontaire Source : Insee, RP 2008, exploitation complémentaire – Réalisation : OPEQ, 2011

8 Plus de 20 000 salariés dans le cœur de métiers de l’animation (2/2)
Un secteur fortement féminisé à 87,2 %... … et plutôt vieillissant : 29,2 % des salariés ont 50 ans et plus Plus de 7 salariés sur 10 sont employés 78 % des salariés occupent un emploi pérenne Plus de 4 salariés sur 10 exercent leur activité à temps partiel 97 % des salariés travaillent dans la région où ils résident Plus de 2 salariés sur 10 possèdent un diplôme de niveau III ou supérieur Le cœur de métiers ainsi défini, le secteur apparaît fortement féminisé (87,2 % de femmes contre 47,7 % tous secteurs confondus) et vieillissant (29,2 % de séniors, soit 6,5 points de plus que dans l’ensemble des secteurs). En effet, l’indice de vieillissement dans ce secteur atteint 185 contre 96 tous secteurs confondus : 185 salariés sont donc âgés de 50 ans et plus pour 100 de moins de 30 ans. Plus de 7 salariés sur 10 sont employés, soit 2 fois plus que dans l’ensemble des secteurs. 78 % des contrats sont pérennes (contre 84,5 % tous secteurs confondus). Les CDD représentent 19,3 % des contrats de travail occupés, soit 9,4 points de plus que dans l’ensemble des secteurs. Les emplois sont majoritairement exercés à temps plein (58,3 % contre 82,3 % tous secteurs confondus). La quasi-totalité des salariés travaillent dans leur région de résidence, 62,4 % exerçant dans la commune où ils résident (contre 39,5 % dans l’ensemble des secteurs). Enfin, 20,9 % des salariés détiennent un diplôme de niveau III et plus, soit 5,1 points de moins que tous secteurs confondus. Source : Insee, RP 2008, exploitation complémentaire – Réalisation : OPEQ, 2011

9 Présentation des structures répondantes
Passons maintenant aux résultats obtenus. Ces données n’ont pas été redressées par rapport à l’ensemble des effectifs étant donné le taux de réponse obtenu (30,7 %). Certains résultats sont donc à prendre avec précaution en raison des faibles volumes d’effectifs. Quelles sont ces structures répondantes ? A quel champ d’intervention appartiennent-elles ? L’emploi dans le secteur de l’animation socio-culturelle, sportive et sociale – OPEQ, 2011

10 660 structures répondantes à l’enquête…
Champ d’intervention des structures : Taille des structures : 660 structures ont répondu à l’enquête dont 138 qui sont uniquement constituées de bénévoles et qui ne prévoient pas d’embaucher dans les années à venir. Ainsi, 522 établissements ont été en mesure de nous donner des informations sur leurs emplois et leurs intentions d’embauche. Le secteur de l’animation socio-culturelle, sportive et sociale est d’abord constitué de structures dans le champ sportif (44,3 %) puis dans le champ social (38,7 %) et peu dans le champ socio-culturel (17 %). 42 % des structures comptent moins de 5 salariés, 22 % en employant plus de % des structures sportives comptent moins de 5 salariés tout comme un tiers des structures socio-culturelles et 3 structures sur 10 dans le champ social. Parallèlement, 36,1 % des structures sociales et 31,5 % des structures socio-culturelles emploient plus de 10 salariés. Près de 43 % des structures répondantes et employeurs sont marnaises, soit une proportion comparable à la structure de la population du département (42,3 %). Dans le secteur de l’animation socio-culturelle, sportive et sociale, 19,7 % des structures haut-marnaises répondantes emploient au moins un salarié dans le secteur. Notons qu’en Haute-Marne, 30,3 % des structures exercent leur activité dans le champ socio-culturel contre 13,4 % dans le champ social. Les Ardennes rassemblent, quant à elles, 19 % des établissements employeurs de la région. 18,4 % des structures employeurs auboises exercent une activité dans l’animation socio-culturelle, sportive et sociale et plus particulièrement dans le champ social (23,2 %). Localisation géographique des structures : 19,0 % 42,9 % 18,4 % 19,7 % Source : Enquête sur l’emploi dans le secteur de l’animation socio-culturelle, sportive et sociale – Réalisation : OPEQ, 2011

11 … emploient 4 611 salariés Champ d’intervention des structures :
Taille des structures : Les résultats de l’enquête permettent d’identifier un volume d’emplois de 4 611 salariés. La majorité est en activité dans le champ social (59,7 %), 21,4 % dans le champ sportif et 18,9 % dans le champ socio-culturel. En moyenne, les structures comptabilisent neuf salariés. Ainsi, près de 6 salariés sur 10 occupent un emploi dans le champ social et sont répartis dans 38,7 % des structures employeurs. Le champ sportif rassemble 21,4 % des salariés employés dans 44,3 % des structures. Si les établissements sportifs sont les plus représentés parmi les réponses obtenues, le champ social compte, quant à lui, le plus grand nombre de salariés (13,6 contre 4,3 en moyenne). En outre, les structures socio-culturelles et sportives comptabilisent trois fois moins de salariés que celles du champ social. Si la grande majorité des structures sociales comptent plus de 10 salariés (87 % d’entre elles), ces derniers travaillent dans les 36,1 % d’établissements de cette taille. A l’inverse, 22,2 % des salariés du champ sportif travaillent dans 55 % des structures employant moins de 5 salariés. Par ailleurs, 35,2 % des effectifs salariés occupent un emploi dans une structure marnaise. Ils apparaissent en proportion plus importante dans le champ socio-culturel (51,8 %). Avec 45,6 % des salariés du champ social, les structures ardennaises représentent le premier employeur du secteur en Champagne-Ardenne. Quant au champ sportif, la Marne constitue le premier département employeur avec 45,6 % des effectifs. Localisation géographique des structures : 31,9 % 35,2 % 15,1 % 17,8 % Source : Enquête sur l’emploi dans le secteur de l’animation socio-culturelle, sportive et sociale – Réalisation : OPEQ, 2011

12 En 2010, selon vous, quelle pourrait être la tendance de votre activité ?
Selon le champ d’intervention des structures : En hausse Stable En baisse Non renseignée Champ socio-culturel 29,2 % 44,9 % 11,2 % 14,6 % Champ sportif 29,9 % 45,5 % 9,5 % 15,2 % Champ social 22,3 % 53,0 % 5,4 % 19,3 % Ensemble 26,8 % 48,3 % 8,2 % 16,7 % L’enquête auprès des structures du secteur de l’animation socio-culturelle, sportive et sociale a permis d’appréhender les périodes d’activité ainsi que l’évolution des pratiques liées à l’animation et/ou au sport en 2010. Le secteur de l’animation socio-culturelle, sportive et sociale recouvre des activités variées. Notons que plusieurs activités peuvent être exercées au sein d’une même structure. Sur 2010, l’activité des structures présente une relative stabilité (près d’1 établissement sur 2). Elle apparaît en progression pour 26,8 % des établissements et en baisse pour 8,2 %. Précisons que 16,7 % des structures répondantes n’ont pas estimé la tendance de leur activité. De plus, près de 30 % des structures sportives mais aussi socio-culturelles indiquent que leur activité est en hausse mais peu d’entre elles affichent une tendance à la baisse (respectivement 9,5 % et 11,2 %). Inversement, les structures sociales évoquent plus fréquemment une stabilité de leur activité (53 % d’entre elles, soit 4,7 points de plus qu’en moyenne). Source : Enquête sur l’emploi dans le secteur de l’animation socio-culturelle, sportive et sociale – Réalisation : OPEQ, 2011

13 En 2010, selon vous, quelle pourrait être la tendance de votre activité ?
Selon la localisation géographique des structures : En hausse Stable En baisse Non renseignée Ardennes 33,3 % 43,4 % 9,1 % 14,1 % Aube 19,8 % 60,4 % 7,3 % 12,5 % Marne 25,9 % 47,8 % 7,1 % 19,2 % Haute-Marne 29,1 % 42,7 % 10,7 % 17,5 % Ensemble 26,8 % 48,3 % 8,2 % 16,7 % Sur 2010, si l’activité a tendance à être stable dans les structures auboises et marnaises dans respectivement 60,4 % et 47,8 % des cas, elle est plus souvent en hausse dans les Ardennes et en Haute-Marne. Parallèlement, une baisse de l’activité a été constatée dans 10,7 % des structures haut-marnaises (11 établissements employeurs) contre 8,2 % en moyenne. Parmi les 140 structures indiquant une hausse de leur activité, 8,9 % citent d’abord l’animation générale ainsi que la gymnastique artistique, rythmique, d’entretien ou pour enfants. 7,1 % développent l’animation socio-culturelle avant le tourisme (4,7 %) et le tennis (4,1 %). D’une manière générale, les activités en diminution apparaissent peu nombreuses (8,2 %) et concernent en premier lieu l’animation au sens large. Toutes pratiques confondues, la hausse de l’activité n’impliquerait pas de recrutements dans 52,7 % des cas. Notons néanmoins que 32 % admettraient une relation positive entre la progression de l’activité et les effectifs. Par contre, une diminution de l’activité provoquerait une baisse d’effectifs dans plus d’un cas sur trois même si la tendance n’influencerait globalement pas le volume de salariés avec 41 % d’effectifs stables. Source : Enquête sur l’emploi dans le secteur de l’animation socio-culturelle, sportive et sociale – Réalisation : OPEQ, 2011

14 Caractéristiques des emplois dans l’animation
Comment se caractérisent les emplois repérés dans le secteur de l’animation socio-culturelle, sportive et sociale ? Quelles sont les principales professions exercées ? L’emploi dans le secteur de l’animation socio-culturelle, sportive et sociale – OPEQ, 2011

15 Type d’emploi occupé selon le champ d’intervention des structures
Champ socio-culturel Champ sportif Champ social Ensemble Emplois socio-éducatifs 12,4 % 12,6 % 34,7 % 24,8 % Emplois rattachés à l’animation 60,3 % 12,9 % 10,7 % 22,1 % Emplois rattachés au domaine sportif 2,9 % 59,5 % 1,1 % 14,7 % Fonctions supports 24,4 % 15,0 % 53,5 % 38,4 % 100,0 % Parmi les 4 611 salariés travaillant dans les structures socio-culturelles, sportives et sociales, 38,4 % exercent leur activité dans les fonctions supports (administratives, comptables, dirigeantes), 24,8 % occupent un emploi socio-éducatif, 22,1 % occupent cet emploi dans l’animation, dont 5,8 % en tant que saisonnier (266 salariés), et 14,7 % dans le sport (7,4 % d’entre eux étant saisonniers, soit 339 salariés). D’une manière générale, les salariés du champ socio-culturel occupent principalement des emplois rattachés à l’animation (60,3 %), plus de 3 sur 10 étant saisonniers. Près d’1 emploi du champ socio-culturel sur 4 concerne des fonctions supports et 12,4 % des emplois socio-éducatifs. Près de 6 emplois du champ sportif sur 10 sont directement rattachés au domaine du sport, plus de la moitié étant des postes saisonniers. Les emplois du champ sportif sont également répartis dans les fonctions supports (15 %) mais aussi dans les domaines de l’animation (12,9 %) et socio-éducatif (12,6 %). Le champ social est caractérisé en majorité par les fonctions supports (53,5 %) et les emplois socio-éducatifs (34,7 %). Notons qu’1 emploi sur 10 est rattaché à l’animation, plus d’1 sur 4 étant saisonnier. Source : Enquête sur l’emploi dans le secteur de l’animation socio-culturelle, sportive et sociale – Réalisation : OPEQ, 2011

16 Nature du contrat de travail selon le champ d’intervention des structures
Dans le secteur de l’animation socio-culturelle, sportive et sociale, 49,8 % des salariés occupent un Contrat à Durée Indéterminée et 17,8 % sont fonctionnaires. Comparé à l’ensemble des secteurs d’activité, la part de contrats pérennes est plus faible dans ce secteur (67,6 % contre 84,5 % tous secteurs confondus). Parallèlement, les Contrats à Durée Déterminée concernent plus d’1 salarié sur 4 (soit 16,3 points de plus que l’ensemble des secteurs d’activité) et 6,2 % ont conclu un contrat aidé (contre 1,2 % tous secteurs confondus). Selon le champ d’intervention des structures employeurs, la part de contrats pérennes oscille entre 35 % dans le champ sportif à 82 % dans le champ social. Dans ces structures, les fonctionnaires apparaissent sur-représentés (28 % contre 17,8 % en moyenne). Par ailleurs, plus de 6 contrats de travail sur 10 correspondent à des CDD dans le champ sportif, soit 34,3 points de plus que dans l’ensemble des structures employeurs. Quant aux contrats aidés, ils avoisinent les 10 % dans le champ socio-culturel (contre 6,2 % en moyenne). Source : Enquête sur l’emploi dans le secteur de l’animation socio-culturelle, sportive et sociale – Réalisation : OPEQ, 2011

17 Nature des contrats de travail selon la localisation géographique des structures
CDI Fonctionnaire CDD Contrat aidé Ensemble Ardennes 47,0 % 33,2 % 14,6 % 5,2 % 100,0 % Aube 56,0 % 4,9 % 37,4 % 1,7 % Marne 53,3 % 9,4 % 26,5 % 10,8 % Haute-Marne 42,9 % 17,7 % 36,6 % 2,8 % 49,8 % 17,8 % 26,2 % 6,2 % La répartition par département laisse apparaître une prépondérance des contrats pérennes sur le département ardennais (80,2 % contre 67,6 % en moyenne), notamment au travers des CDI (47 %) et des emplois de fonctionnaire (33,2 %). Par ailleurs, le territoire ardennais compte peu de CDD (14,6 %, soit 11,6 points de moins qu’en Champagne-Ardenne). La Marne constitue le second département en proportion de contrats pérennes (62,7 %), principalement grâce à l’importance des CDI (53,3 % contre 49,8 % en moyenne). Cependant, le recours aux contrats aidés est largement supérieur à la région (10,8 %, soit 4,6 points au-dessus de l’ensemble des structures employeurs). En troisième position, l’Aube affiche une part d’emplois pérennes inférieure à la moyenne régionale (60,9 % contre 67,6 %), conséquence d’une faible représentation des fonctionnaires (4,9 %). Par contre, les CDI apparaissent plus nombreux sur le territoire aubois que dans le reste de la région (56 %, soit 6,2 points de plus qu’en moyenne). En outre, plus d’1 salarié aubois sur 3 occupe un emploi en CDD contre plus d’1 sur 4 en Champagne-Ardenne. Avec 60,6 % d’emplois pérennes, le territoire haut-marnais emploie 42,9 % des salariés en CDI, soit 6,9 points de moins qu’en moyenne, et 36,6 % en CDD (contre 26,2 % en région). Source : Enquête sur l’emploi dans le secteur de l’animation socio-culturelle, sportive et sociale – Réalisation : OPEQ, 2011

18 Temps de travail selon le champ d’intervention des structures
Dans le champ sportif, plus de 7 salariés sur 10 exercent leur emploi à temps partiel alors que dans les champs social et socio-culturel, le travail à temps plein prédomine (plus de 60 % des salariés). Même si plus de la moitié des salariés occupent un emploi à temps plein, la part de temps partiel (43,8 %) est nettement plus marquée que celle constatée dans l’ensemble des secteurs d’activité (17,7 %). Cette observation caractérise les emplois saisonniers du champ sportif. En effet, 96,5 % de ces emplois sont occupés à temps partiel. Source : Enquête sur l’emploi dans le secteur de l’animation socio-culturelle, sportive et sociale – Réalisation : OPEQ, 2011

19 Champ socio-culturel et/ou social
Quelles sont les professions les plus citées dans l’animation socio-culturelle, sportive et sociale ? Champ socio-culturel et/ou social Champ sportif Animateur généraliste : 25,5 % Educateur sportif : 32,1 % Aide à domicile, aide ménagère, travailleur familial : 12,9 % Animateur sportif : 24,5 % Animateur socio-culturel : 12,5 % Moniteur sportif : 18,1 % Près de la moitié des 898 emplois se rapportant au champ socio-culturel et/ou social concernent des animateurs socio-culturels et de loisirs (48,4 % d’entre eux) et plus particulièrement les animateurs généralistes (25,5 %) et les animateurs socio-culturels (12,5 %). De plus, 12,9 % des emplois sont occupés par des aides à domicile, aides ménagères, travailleuses familiales. Parmi les 249 emplois sportifs, plus de 9 sur 10 correspondent à des postes de moniteurs et éducateurs sportifs et de sportifs professionnels. 32,1 % des postes sont occupés par les éducateurs sportifs, près d’1 sur 4 l’est par un animateur sportif et 18,1 % le sont par des moniteurs sportifs. Source : Enquête sur l’emploi dans le secteur de l’animation socio-culturelle, sportive et sociale – Réalisation : OPEQ, 2011

20 Niveau de qualification Champ socio-culturel et/ou social
Niveau de qualification des salariés dans l’animation socio-culturelle, sportive et sociale Niveau de qualification Champ socio-culturel et/ou social Champ sportif Niveaux I et II 16,3 % 19,2 % Niveau III 19,5 % 3,6 % Niveau IV 19,0 % 56,0 % Niveau V et inférieur 24,1 % 5,6 % Non renseigné 21,1 % 15,6 % Ensemble 100,0 % Dans le champ socio-culturel et/ou social, 1 salarié sur 5 détient un niveau V de qualification, 19,5 % ont un niveau III, 19 % un niveau IV et 16,3 % un niveau I et II. Par contre, 21,1 % des structures n’ont pas répondu quant au niveau de qualification de leurs salariés. D’une manière générale, les animateurs socio-culturels et de loisirs ont un niveau IV (22,8 %) ou V (20,3 %) de qualification. Les animateurs généralistes se situent plus fréquemment en niveau V (27 % d’entre eux). Quant aux aides à domicile, aides ménagères, travailleuses familiales, près de la moitié possèdent un diplôme de niveau V et près d’1 sur 4 de niveau VI. Dans le champ sportif, plus de la moitié des emplois sont occupés par une personne diplômée d’un niveau IV de qualification et près de 2 sur 10 détiennent un poste nécessitant un diplôme de niveau supérieur. A noter que 15,6 % des structures n’ont pas renseigné la qualification de leurs salariés. Par ailleurs, le niveau IV de qualification rassemble 57 % des moniteurs et éducateurs sportifs et des sportifs professionnels. De même, plus de 3 éducateurs sportifs sur 4 occupent un emploi de ce niveau, c’est aussi le cas pour plus de 6 moniteurs sportifs sur 10. Source : Enquête sur l’emploi dans le secteur de l’animation socio-culturelle, sportive et sociale – Réalisation : OPEQ, 2011

21 Départs en retraite à l’horizon 2014
Qu’en est-il de l’estimation des structures concernant leurs départs en retraite à 5 ans ? Les salariés seront-ils remplacés à l’identique ? Quel mode de remplacement sera privilégié, la promotion interne ou le recrutement ? L’emploi dans le secteur de l’animation socio-culturelle, sportive et sociale – OPEQ, 2011

22 Pyramide des âges dans l’animation socio-culturelle, sportive et sociale
38 % des salariés occupant un emploi dans le champ socio-culturel et/ou social sont âgés de moins de 35 ans alors qu’ils sont plus d’1 sur 2 dans le domaine du sport (54 %). 22,6 % des salariés occupant un poste dans le champ socio-culturel et/ou social ont 50 ans et plus, contre 22,7 % tous secteurs confondus. A l’inverse, seuls 15 % des salariés de l’animation sportive sont dans ce cas. Par ailleurs, les moins de 25 ans apparaissent légèrement sous-représentés, aussi bien dans le champ socio-culturel et/ou social que dans les emplois sportifs (respectivement 9,7 % et 9,3 %), par rapport à l’ensemble des secteurs (11,7 %). Quant à l’âge moyen dans le champ socio-culturel et/ou social, il atteint 39,2 ans, soit 3,4 ans de plus que dans le domaine sportif. Source : Enquête sur l’emploi dans le secteur de l’animation socio-culturelle, sportive et sociale – Réalisation : OPEQ, 2011

23 Taux de départ à la retraite* Taux de remplace-ment**
Départs en retraite et remplacements prévus dans l’animation socio-culturelle, sportive et sociale Taux de départ à la retraite* Taux de remplace-ment** Remplacement par : Promotion interne Recrutement Champ socio-culturel et/ou social 9,2 % 80,7 % 41,8 % 46,3 % Champ sportif 3,6 % 77,8 % ns 85,7 % Ensemble 8,0 % 80,4 % 34,0 % 66,0 % Au vu de la pyramide des âges du secteur de l’animation socio-culturelle, sportive et sociale et de la part de 50 ans et plus relativement faible dans le champ sportif, peu de départs en retraite devraient être envisagés. En effet, dans le champ socio-culturel et/ou social, 9,2 % des salariés devraient partir à la retraite d’ici 5 ans, soit 83 départs. A noter les 130 structures non répondantes à cette question, soit 14,5 %. Malgré tout, des départs en retraite sont prévus sur les emplois d’aides à domicile (22,4 %) et plus globalement sur les postes d’aides à domicile, aides ménagères, travailleuses familiales (16,4 %). Par ailleurs, le champ sportif affiche une population jeune (15 % de séniors), ce qui permet de prévoir que seuls 3,6 % des salariés devraient partir à la retraite à l’horizon 2014, soit 9 personnes au total. Les départs en retraite les plus importants devraient avoir lieu en Haute-Marne avec un taux de départ de 11,6 %. A l’inverse, peu de départs devraient intervenir dans l’Aube (4,7 %) ou dans les Ardennes (5 %). En termes de remplacements dus aux départs en retraite, les salariés du champ socio-culturel et/ou social seraient remplacés dans 80,7 % des cas. Soulignons toutefois que 14,7 % des structures ne se sont pas prononcées sur les éventuels remplacements suite aux départs en retraite. Précisons que sur les 9 départs en retraite, 77,8 % seraient remplacés dans le champ sportif. Le recrutement constituerait le mode de remplacement privilégié dans le champ socio-culturel et/ou social (46,3 %) pour palier aux départs en retraite mais la promotion interne serait également envisagée dans 41,8 % des cas. Notons que dans le champ sportif, 85,7 % des salariés seraient remplacés par le biais de recrutements. ns : non significatif (basé sur un effectif inférieur à 5) * Nombre de départs en retraite estimés / Effectif salarié répondant - ** Nombre de remplacements envisagés / Nombre de départs en retraite estimés à 5 ans Source : Enquête sur l’emploi dans le secteur de l’animation socio-culturelle, sportive et sociale – Réalisation : OPEQ, 2011

24 Recrutements et perspectives à court terme
Après avoir dressé un bilan des embauches réalisées dans les 12 mois précédant l’enquête, nous nous projetterons sur les recrutements à court terme envisagés par les structures. L’emploi dans le secteur de l’animation socio-culturelle, sportive et sociale – OPEQ, 2011

25 Typologie des recrutements réalisés au cours des 12 derniers mois (1/4)
Part des structures ayant recruté un ou plusieurs salariés au cours des 12 derniers mois Champ socio-culturel Champ sportif Champ social Plus d’1 structure sur 4 a effectué au moins un recrutement dans les 12 mois précédant l’enquête. Les structures du champ socio-culturel sont celles qui ont le plus recruté, 36 % d’entre elles. Parallèlement, les embauches dans le champ social et sportif ont été moins fréquentes (respectivement 22,8 % et 24,2 %). Les structures qui comptent le plus de salariés ont eu davantage recours à une nouvelle main d’œuvre. En effet, 41,5 % des structures de 5 à 10 salariés ont embauché de même que 39,1 % de celles de plus de 10 salariés. Les employeurs ardennais et marnais sont ceux qui ont eu le plus recours à de nouvelles embauches (à respectivement 29,3 % et 28,1 %) alors que 2 structures auboises et haut-marnaises sur 10 ont recruté au cours des 12 mois précédant l’enquête. Source : Enquête sur l’emploi dans le secteur de l’animation socio-culturelle, sportive et sociale – Réalisation : OPEQ, 2011

26 Typologie des recrutements réalisés au cours des 12 derniers mois (2/4)
Localisation géographique des structures ayant recruté un ou plusieurs salariés au cours des 12 derniers mois Plus d’1 structure sur 4 a effectué au moins un recrutement dans les 12 mois précédant l’enquête. Les structures du champ socio-culturel sont celles qui ont le plus recruté, 36 % d’entre elles. Parallèlement, les embauches dans le champ social et sportif ont été moins fréquentes (respectivement 22,8 % et 24,2 %). Les structures qui comptent le plus de salariés ont eu davantage recours à une nouvelle main d’œuvre. En effet, 41,5 % des structures de 5 à 10 salariés ont embauché de même que 39,1 % de celles de plus de 10 salariés. Les employeurs ardennais et marnais sont ceux qui ont eu le plus recours à de nouvelles embauches (à respectivement 29,3 % et 28,1 %) alors que 2 structures auboises et haut-marnaises sur 10 ont recruté au cours des 12 mois précédant l’enquête. Source : Enquête sur l’emploi dans le secteur de l’animation socio-culturelle, sportive et sociale – Réalisation : OPEQ, 2011

27 Principal contrat de travail occupé
Typologie des recrutements réalisés au cours des 12 derniers mois (3/4) Un taux de recrutement saisonnier* qui atteint 33,7 % 24,6 % dans le champ social à 49,5 % dans le champ socio-culturel Plus d’1 salarié sur 3 recruté en CDD… 3 sur 10 travaillant à temps plein Le secteur de l’animation socio-culturelle, sportive et sociale affiche un taux de recrutement saisonnier de 33,7 %. Dans le champ socio-culturel, près de la moitié des embauches relève de l’activité saisonnière, ce qui est également le cas dans les autres structures de l’animation mais dans de moindres proportions : 27,5 % de recrutements saisonniers dans le champ sportif et 24,6 % dans le champ social. Soulignons que plus de 2 embauches sur 3 correspondent à des CDD et sont majoritairement à temps plein (3 cas sur 4). Parmi les recrutements de salariés non saisonniers, 36,5 % des salariés des établissements se sont vus proposer un CDD, 28,8 % un contrat aidé, 23,5 % un CDI et 7,6 % un autre type de contrat en tant qu’apprenti, intermittent ou vacataire. Dans les structures du champ socio-culturel, les 19 CDD représentent 46,3 % des contrats de travail occupés par les salariés non saisonniers recrutés. Quant aux contrats aidés, ils constituent le premier type de contrat détenu dans le champ social (38,4 %) avant les CDD (34,2 %). Les salariés non saisonniers recrutés dans les 12 mois précédant l’enquête occupent fréquemment un emploi à temps partiel dans 62,4 % des cas, a fortiori dans le champ sportif où plus de 7 salariés sur 10 exercent leur activité à temps partiel. Soulignons que dans le champ socio-culturel, le travail à temps plein concerne 46,3 % des salariés non saisonniers. En outre, les salariés travaillant dans les structures de plus de 10 salariés sont davantage à temps partiel (68 % d’entre eux) que ceux exerçant dans des structures de moins de 5 salariés (57,7 %). Le temps de travail moyen s’élève à 16 heures par semaine, encore davantage dans les champs social (17 heures hebdomadaires) et socio-culturel (19 heures). Principal contrat de travail occupé Travail à temps plein Champ socio-culturel CDD : 46,3 % 46,3 % Champ sportif CDD : 32,1 % 26,8 % Champ social Contrat aidé : 38,4 % 23,3 % Ensemble CDD : 36,5 % 30,0 % * Nombre de recrutements saisonniers réalisés au cours des 12 derniers mois / Nombre de recrutements réalisés sur la même période Source : Enquête sur l’emploi dans le secteur de l’animation socio-culturelle, sportive et sociale – Réalisation : OPEQ, 2011

28 Typologie des recrutements réalisés au cours des 12 derniers mois (4/4)
Plus d’1 poste sur 3 concerne l’animateur socio-culturel et de loisirs… … et près de 3 sur 10 celui de moniteur et éducateur sportif, sportif professionnel Diplômes les plus recherchés : Champ socio-culturel : diplômes de l’enseignement supérieur Champ sportif : BEES et diplômes de l’enseignement supérieur (filière STAPS*) Champ social : diplômes d’Etat et BAFA, BAFD Principales compétences demandées : Animer Encadrer Enseigner et gérer les activités Si les embauches saisonnières concernent essentiellement les professions intermédiaires et particulièrement les animateurs socio-culturels et de loisirs, 35,6 % des salariés non saisonniers ont été recrutés sur ces postes-là dans les 12 mois précédant l’enquête. Parmi eux, 12,9 % occupent un emploi d’animateur socio-culturel, 11,7 % se sont orientés sur l’animation généraliste et 6,7 % sur l’animation socio-éducative ou sociale. De plus, 28,8 % des embauches portent sur des emplois de moniteurs et éducateurs sportifs et de sportifs professionnels. Le champ de l’animation sociale Un diplôme d’Etat est demandé dans 21,9 % des cas pour occuper un emploi non saisonnier dans le domaine de l’animation socio-éducative ou sociale. Ainsi, les formations pouvant être préparées sont celles d’éducateur spécialisé, de moniteur éducateur, d’éducateur de jeunes enfants, d’auxiliaire de vie sociale ou encore d’aide-soignant. Le BAFA ou le BAFD sont également requis pour exercer un emploi d’animateur social (14,1 % des diplômes demandés) mais aussi les diplômes de l’enseignement supérieur de type Master ou Licence (10,9 %). Précisons que pour près de 3 recrutements non saisonniers sur 10 dans le champ de l’animation sociale, le diplôme n’a pas été renseigné par les établissements. Le champ de l’animation sportive Pour recruter des moniteurs ou éducateurs sportifs ou des sportifs professionnels, un BEES a été requis dans plus d’1 cas sur 4. 18,2 % des embauches ont été soumises à l’obtention d’un diplôme de l’enseignement supérieur dans la filière STAPS. Le champ de l’animation socio-culturelle Dans le champ de l’animation socio-culturelle, ce sont les diplômes de l’enseignement supérieur qui sont particulièrement requis pour recruter des animateurs socio-culturels et de loisirs non saisonniers. Les compétences recherchées les plus fréquemment mentionnées sont liées à des aptitudes pour animer (49 %). D’autres compétences peuvent également être requises, notamment pour encadrer (18,5 %), enseigner et gérer les activités (17,9 % dans chaque cas). Les autres compétences les plus souvent citées correspondent à une connaissance de l’activité, à une aisance relationnelle, à la motivation pour occuper le poste, au développement de projets ainsi qu’à l’expérience. * Sciences et Techniques des Activités Physiques et Sportives Source : Enquête sur l’emploi dans le secteur de l’animation socio-culturelle, sportive et sociale – Réalisation : OPEQ, 2011

29 Typologie des recrutements en cours ou prévus à court et moyen termes (1/4)
Part des structures pensant recruter au cours des 12 prochains mois 12,6 % des structures employeurs du secteur de l’animation socio-culturelle, sportive et sociale envisagent de recruter en 2011. Par contre, 34,9 % de ces structures n’envisagent pas de recruter au cours de l’année suivant l’enquête soit pour des difficultés financières dues en partie à la conjoncture, soit parce que le projet d’embauche n’a pas été budgété. Dans le champ socio-culturel, 19,1 % des structures envisagent de réaliser des embauches en 2011, ce qui est le cas de près d’1 sur 10 dans le champ social. Par ailleurs, les plus grandes structures sont celles qui prévoient le plus d’embauches sur l’année 2011 : 2 sur 10 envisagent de recruter. Parallèlement, elles sont moins nombreuses à avoir été interrogées que les petites structures (22 % de plus de 10 salariés contre 42 % de moins de 5 salariés). Notons que seules 19 structures (3,6 %) envisagent de recruter dans les trois années à venir, ce qui laisse entrevoir un manque de visibilité, notamment au vu des difficultés financières auxquelles certaines sont confrontées. Source : Enquête sur l’emploi dans le secteur de l’animation socio-culturelle, sportive et sociale – Réalisation : OPEQ, 2011

30 Typologie des recrutements en cours ou prévus à court et moyen termes (2/4)
Plus d’1 contrat de travail sur 3 serait un emploi aidé… … et plus de 3 sur 10 déboucheraient sur un CDI A 3 ans, près de la moitié des embauches donneraient lieu à un CDI Plus de 4 salariés sur 10 travailleraient à temps partiel en 2011… … et près d’1 sur 2 exercerait un emploi à temps plein à l’horizon 2013 En 2011, plus d’1 embauche sur 3 concernerait la profession d’animateur socio- culturel et de loisirs… … et plus d’1 sur 4 devrait avoir lieu parmi les moniteurs et éducateurs sportifs, sportifs professionnels Diplôme principalement requis : le BEES puis le BAFA, BAFD avant le BPJEPS Les salariés qui devraient être recrutés sur l‘année 2011 seraient d’abord embauchés en contrat aidé (34,8 % d’entre eux), en CDI (31,5 %) et en CDD (18 %). Ces derniers seraient conclus pour une durée de 13 mois en moyenne. Comparé aux contrats occupés par les salariés en 2009, la part de CDI serait bien moins importante (18,3 points d’écart) de même que les CDD (8,2 points d’écart). A l’inverse, les contrats aidés seraient sur-représentés dans les embauches prévues en 2011 par rapport aux emplois en 2009 (28,6 points d’écart). Si plus de 6 embauches sur 10 devraient concerner des postes en CDI dans le champ social, près de 6 sur 10 seraient des contrats aidés dans le champ socio-culturel. Dans le champ sportif, près de 3 embauches sur 10 interviendraient sous forme de CDI ou de contrats aidés. En outre, près de la moitié des recrutements à 3 ans devraient déboucher sur un CDI. Si 56,2 % des effectifs salariés exercent leur emploi à temps plein en 2009, ce devrait être le cas de seulement 34,8 % de ceux embauchés sur l’année Le temps partiel serait plus répandu avec une moyenne de 19 heures de travail hebdomadaire. Notons que le temps de travail n’a pas été déterminé pour 23,6 % des recrutements envisagés. Par ailleurs, près d’1 recrutement sur 2 à l’horizon 2013 serait à temps plein. Cependant, le temps de travail est à relativiser car il n’a pas été défini pour plus de 3 recrutements sur 10. Alors que la majorité des intentions de recrutement portent sur les professions intermédiaires, 34,8 % concernent les animateurs socio-culturels et de loisirs et particulièrement les animateurs généralistes. Soulignons que plus d’1 recrutement sur 4 devrait avoir lieu sur la profession de moniteur et éducateur sportif, sportif professionnel. Malgré tout, il faut tenir compte de l’activité saisonnière, soit 35,5 % des embauches prévues parmi les animateurs socio-culturels et de loisirs. De plus, précisons que plus d’1 recrutement à 3 ans sur 4 s’effectuerait sur la profession de moniteur et éducateur sportif, sportif professionnel. Ainsi, pour plus de 2 recrutements sur 10, le BEES est requis pour exercer dans le secteur de l’animation socio-culturelle, sportive et sociale. Quant au BAFA ou BAFD, il est demandé dans 17,3 % des cas avant le BPJEPS (14,7 %). Source : Enquête sur l’emploi dans le secteur de l’animation socio-culturelle, sportive et sociale – Réalisation : OPEQ, 2011

31 Typologie des recrutements en cours ou prévus à court et moyen termes (3/4)
Avez-vous budgété ce poste pour sur l’année 2011 ? 53,9 % des structures employeurs ont établi un budget pour les futurs recrutements, plus d’1 sur 3 n’en ayant pas encore défini. Dans le champ social, 78,3 % des embauches prévues ont été budgétées de même que 62,5 % dans le champ sportif. La spécificité du champ socio-culturel tient à l’importance de l’activité saisonnière et diminue de fait la budgétisation des recrutements non saisonniers (29,4 %), même à court terme. Sur le moyen terme à l’horizon 2013, plus de la moitié des recrutements ont été budgétés. ns : non significatif (basé sur un effectif inférieur à 5) Source : Enquête sur l’emploi dans le secteur de l’animation socio-culturelle, sportive et sociale – Réalisation : OPEQ, 2011

32 Typologie des recrutements en cours ou prévus à court et moyen termes (4/4)
Principales compétences requises pour être recruté en 2011 : Animer Autres compétences Encadrer Enseigner et organiser Des difficultés rencontrées pour recruter 44,9 % des salariés… … liées à la pénurie de personnel qualifié dans 26,7 % des cas Comme pour les embauches réalisées dans les 12 mois précédant l’enquête, animer constituerait la principale aptitude des salariés qui seraient recrutés sur l’année En effet, 35,6 % des structures placent cette compétence en première position avant l’encadrement (17,8 %), l’enseignement et l’organisation (respectivement 16,4 %). Les autres compétences mentionnées par les structures correspondent à celles qui ont été citées pour les recrutements réalisés, à savoir l’expérience, l’aisance relationnelle ou le développement de projets. Source : Enquête sur l’emploi dans le secteur de l’animation socio-culturelle, sportive et sociale – Réalisation : OPEQ, 2011

33 Formation initiale et continue
Afin de connaître les besoins et les attentes des structures concernant l’offre de formation, nous les avons interrogées sur leurs actions de formation professionnelle engagées ainsi que sur leur perception de l’offre de formation en Champagne-Ardenne. L’emploi dans le secteur de l’animation socio-culturelle, sportive et sociale – OPEQ, 2011

34 La formation professionnelle continue
34,2 % des structures ont engagé des actions de formation pour 219 personnes Une partie de votre personnel suit/suivra-t-il une formation professionnelle ? Les actions de formation engagées par 34,2 % des structures employeurs (soit 114 structures au total) concernent 219 personnes, salariées ou non, du secteur de l’animation socio-culturelle, sportive et sociale. Notons que 189 structures (36,2 % d’entre elles) ne se sont pas prononcées sur d’éventuelles formations qui pourraient être proposées à leur personnel. 38,1 % des structures du champ social envisagent de former leur personnel alors qu’elles ne sont que 29,6 % à prévoir une formation dans le champ sportif. Par ailleurs, la formation intervient davantage dans le champ social puisque 14,6 % du personnel est ou sera formé dans les années à venir. Parallèlement, le champ socio-culturel ne forme(ra) que 11,4 % du personnel. En moyenne, 13,3 % des personnes se trouvent en formation ou seront formées au vu l’effectif salarié présent dans les structures employeurs du secteur. En outre, plus de 4 personnes sur 10 ont été formées sur l’année 2011 et 2 sur 10 en fin d’année A noter que les périodes de formation n’ont pas toujours été indiquées par les structures. Parallèlement, près de 2 personnes sur 10 travaillant dans le champ social préparent dans le cadre de la formation professionnelle un BAFA ou un BAFD et près d’1 sur 10 un BPJEPS. Dans le champ sportif, près de 2 personnes sur 10 se forment à un BEES du 2ème degré dans la plupart des cas et plus d’1 sur 10 prépare un BPJEPS. Enfin, dans le champ socio-culturel, près de 3 personnes sur 10 envisagent un BPJEPS. Nombre de formés / Personnel sujet à la formation 11,4 % 12,8 % 14,6 % 13,3 % 42,5 % des formés l’ont été en 2011 et 20,1 % en fin d’année 2010 Le BPJEPS : diplôme le plus fréquemment préparé en formation professionnelle Source : Enquête sur l’emploi dans le secteur de l’animation socio-culturelle, sportive et sociale – Réalisation : OPEQ, 2011

35 L’offre de formation existante en Champagne-Ardenne (1/2)
Champ socio-culturel et/ou social : Plus de 80 % des besoins quantitatifs sont couverts en DEFA, DESJEPS et BAAPAT 40,5 % des besoins ne sont pas satisfaits en BPJEPS, notamment dans l’animation sociale D’autres besoins sont signalés, essentiellement sur le diplôme d’Etat d’éducateur spécialisé. Champ sportif : Plus de 80 % des besoins satisfaits sur les diplômes de l’animation sportive… … mais un tiers ne sont pas couverts en BPJEPS Les structures sportives évoquent d’autres besoins en BAFA et BAFD. Dans l’animation socio-culturelle et/ou sociale La plupart des besoins quantitatifs des structures employeurs sont couverts en Champagne-Ardenne à plus de 80 % sur les DEFA, DESJEPS et BAAPAT. Les plus importants restent axés sur le BPJEPS puisque seuls 59,5 % sont effectivement satisfaits. Les structures indiquant la spécialité du BPJEPS évoquent en premier lieu le domaine de l’animation sociale (mais aussi l’animation sportive). En outre, les structures signalent d’autres besoins quantitatifs, notamment sur le diplôme d’Etat d’éducateur spécialisé et plus largement dans le domaine de l’animation sociale. Dans l’animation sportive Là encore, les principaux besoins quantitatifs concernent le BPJEPS même s’ils demeurent moins nombreux que dans l’animation socio-culturelle et/ou sociale. Hormis ce diplôme, peu de besoins ne sont pas satisfaits mais d’autres besoins, particulièrement en BAFA et BAFD sont évoqués. Source : Enquête sur l’emploi dans le secteur de l’animation socio-culturelle, sportive et sociale – Réalisation : OPEQ, 2011

36 L’offre de formation existante en Champagne-Ardenne (2/2)
Plus de 2 structures sur 3 connaissent l’offre de formation en région… … 77,8 % indiquant que le choix des formations apparaît suffisamment diversifié Près de 7 établissements sur 10 estiment qu’ils sont accompagnés et conseillés de façon satisfaisante L’éventail des formations répond aux besoins de près de 3 structures sur 4 Les centres de formation sont situés à proximité de 48,2 % des établissements Près de 8 structures sur 10 indiquent que le personnel peut disposer de temps libre pour se former, … … 79 % déclarent qu’il fait preuve de mobilité géographique pour se rendre sur le lieu de formation Les dispositifs et aides financières pour développer la formation sont méconnus pour 42,5 % des établissements Si l’offre de formation est connue pour 67,8 % des structures employeurs, celles du champ social manifestent davantage un sentiment de méconnaissance des formations liées à l’animation sociale (dans 42,6 % des cas). En outre, plus de 3 structures sur 4 indiquent que le personnel peut disposer de temps libre pour se former, qu’il fait preuve de mobilité géographique pour se rendre sur le lieu de formation et qu’il n’est pas réticent à suivre une formation. D’une manière générale, l’éventail des formations répond aux besoins des structures (à 73,6 %) et le choix apparaît suffisamment diversifié pour 77,8 % d’entre elles. De plus, le fait d’organiser une forme d’alternance, au sein notamment des petites structures, pour qu’1 personne soit présente pendant qu’1 autre est en formation ne pose pas de difficultés à 72,3 % des structures employeurs. Même si l’accompagnement des structures pour les conseiller avant la mise en place d’une formation répond à leurs besoins, 31,5 % déplorent cependant le manque d’informations en la matière. Ce qui semble le moins connu par les structures employeurs, c’est l’aspect financier pour développer la formation, à savoir les dispositifs et les aides auxquels elles pourraient prétendre. En effet, 57,5 % des structures disent avoir connaissance des démarches financières à entreprendre pour engager un processus de formation. Les plus grandes d’entre elles, de plus de 10 salariés, sont davantage informées (68 %) que les plus petites de moins de 5 salariés (53,3 %) qui doivent aller chercher l’information auprès des organismes financeurs. Quant à la proximité des centres de formation, les structures employeurs déclarent que l’éloignement pose problème dans 51,8 % des cas, principalement pour celles du département haut-marnais à 76,4 %. Un certain nombre de formations sont centralisées sur le territoire rémois et ne facilitent donc pas les déplacements du personnel. Source : Enquête sur l’emploi dans le secteur de l’animation socio-culturelle, sportive et sociale – Réalisation : OPEQ, 2011

37 En bref… (1/2) Près de la moitié des structures évoquent une stabilité de leur activité Près de 4 emplois sur 10 concernent les fonctions supports Plus de 2 salariés sur 3 occupent un CDI ou sont fonctionnaires 56,2 % des salariés travaillent à temps plein, 73,7 % dans le champ sportif Les séniors sont fortement représentés dans le champ socio-culturel et/ou social… … ce qui influe sur les départs en retraite (9,2 %) Plus d’1 structure sur 4 a recruté au cours des 12 mois précédant l’enquête… … les embauches ayant été plus nombreuses dans le champ socio-culturel (36 %) et parmi les employeurs ardennais (29,3 %) et marnais (28,1 %) Le contrat de travail le plus répandu est le CDD (36,5 %) Des embauches parmi les animateurs socio-culturels et de loisirs (35,6 %) et les moniteurs et éducateurs sportifs, sportifs professionnels (28,8 %) Source : Enquête sur l’emploi dans le secteur de l’animation socio-culturelle, sportive et sociale – Réalisation : OPEQ, 2011

38 En bref… (2/2) 12,6 % des structures prévoient d’embaucher sur l’année 2011… … d’abord en contrat aidé (1 recrutement sur 3) puis en CDI (3 sur 10) Plus de 4 embauches sur 10 seraient à temps partiel… … notamment sur les postes d’animateur socio-culturel et de loisirs (34,8 %) Plus de la moitié des employeurs ont établi un budget pour leurs embauches en 2011 44,9 % des recrutements sont jugés difficiles (manque de personnel qualifié) Plus d’1 structure sur 3 engage(ra) des actions de formation professionnelle pour 219 personnes Le BPJEPS : diplôme le plus souvent préparé en formation professionnelle Des besoins en formation globalement couverts hormis pour le BPJEPS 2 établissements sur 3 disent connaître l’offre de formation en Champagne-Ardenne Les dispositifs et aides financières sont méconnus par 42,5 % des structures Source : Enquête sur l’emploi dans le secteur de l’animation socio-culturelle, sportive et sociale – Réalisation : OPEQ, 2011

39 10 rue de Chastillon - 51011 Châlons en Champagne cedex

40 Merci de votre attention
Questions?

41 DRJSCS Châlons en Champagne
L’insertion professionnelle des diplômés dans le champ de la jeunesse et du sport DRJSCS Châlons en Champagne Christophe LEFEVRE

42 Introduction Etude menée dans le cadre de l’enquête annuelle du suivi de l’insertion professionnelle des diplômés dans le champ de la jeunesse et du sport en Champagne- Ardenne. L’étude concerne les titulaires d’un diplôme professionnel du sport ou de l’animation de niveau IV (le Brevet Professionnel de la Jeunesse de l’Education Populaire et du Sport, et le Brevet d’Etat d’Educateur Sportif 1er degré). Elle recense les diplômés entre Mai 2010 et Avril 2011.

43 Objectifs de l’enquête
Connaître la répartition des diplômés par spécialité. Connaître la situation professionnelle des diplômés qui exercent un emploi en lien direct avec le diplôme obtenu. Analyser l’impact des diplômes délivrés par le Ministère des Sports en terme d’employabilité.

44 Méthode 1) Questionnaire envoyé aux organismes de formation (O.F.) habilités par la DRJSCS de Champagne-Ardenne au moment de l’étude Les O.F. ont renseigné un tableau qui permettait d’appréhender la situation professionnelle de leurs diplômés, par spécialité, à partir des modalités suivantes:

45 Le diplômé à 6 mois est-il en:
Contrat à Durée Indéterminée à temps plein ? Contrat à Durée Indéterminée à temps partiel ? Contrat à Durée Déterminée ? Créateur d’entreprise ? Demandeur d’emploi ? Reprise de formation ?

46 2) Retour des tableaux remplis par les O.F. par e-mail
3) Analyse statistique Combinaison des résultats des O.F. par spécialité 4) Discussion des résultats

47 Présentation de l’échantillon
Dans la période définie pour l’étude, il a été possible d’analyser la situation professionnelle des diplômés dans les spécialités suivantes: BPJEPS Loisirs Tous Publics (LTP) BPJEPS Activités Physiques Pour Tous (APT) BPJEPS Activités Equestres (AE) BPJEPS Activités Gymniques de la Forme et de la Force (AGFF) BEES Activités de la Natation (AN)

48 Présentation de l’échantillon
Sur 135 candidats inscrits en formation dans les différentes spécialités, 121 ont obtenu leur diplôme dans son intégralité (89,6 % de réussite). Sur les 121 diplômés, 94 d’entre-eux ont répondu au questionnaire (78 % de réponses). En Champagne-Ardenne 55 % des diplômés sont des femmes, et 45 % des diplômés sont des hommes.

49 Situation globale des diplômés au regard de l’emploi
Situation professionnelle des diplômés Niveau IV Ont répondu aux O.F. Créateur d'entreprise CDI temps plein temps partiel CDD Demandeur d'emploi Reprise de formation TOTAL 94 19 12 36 7 1 Tableau 1: situation professionnelle globale des diplômés 6 mois après obtention du diplôme 91% de l’ensemble des diplômés qui ont répondu à l’enquête sont aujourd’hui en situation d’emploi (créateur d’entreprise, CDI temps plein, CDI temps partiel, ou CDD)

50 Situation globale des diplômés au regard de l’emploi
Figure 1: Situation professionnelle des diplômés 6 mois après obtention du diplôme En Champagne-Ardenne: 20 % des diplômés de niveau IV sont des créateurs d’entreprises 20 % ont obtenu un contrat en CDI temps plein 13 % ont trouvé un CDI à temps partiel 39% sont en contrat CDD

51 Situation globale des diplômés au regard de l’emploi
Situation professionnelle des diplômés Diplômés qui ont répondu % Créateur d'entreprise CDI Temps plein partiel CDD Demandeur d'emploi Reprise de formation BPJEPS LTP 27 100% 11% 26% 41% 0% BPJEPS APT 28 86% 25% 18% 36% 7% 4% BPJEPS AE 15 65% 20% 27% 47% BPJEPS AGFF 11 61% 45% 9% BEESAN 13 89% 8% 38% 54% Total 94 91% 13% 1% Tableau 2: Situation professionnelle, spécialité par spécialité, des diplômés 6 mois après obtention du diplôme

52 Situation des diplômés au regard de l’emploi par spécialité
Le BPJEPS Loisirs tous publics Figure 2 : Situation professionnelle des titulaires du BPJEPS LTP 6 mois après obtention du diplôme 41% des titulaires de ce diplôme sont en contrat CDD 37 % des diplômés ont trouvé un CDI (26% en CDI temps partiel et 11% en CDI temps plein) 3 diplômés sur les 27 sont aujourd’hui en recherche d’emploi

53 Situation des diplômés au regard de l’emploi par spécialité
Le BPJEPS Activités Physiques pour Tous Figure 3 : Situation professionnelle des titulaires du BPJEPS APT 6 mois après obtention du diplôme 35% des titulaires de ce diplôme sont en contrat CDD 29% des diplômés ont trouvé un CDI (temps plein ou temps partiel) 25% des diplômés ont créé leur entreprise 2 diplômés sur les 28 qui ont répondu sont aujourd’hui en recherche d’emploi

54 Situation des diplômés au regard de l’emploi par spécialité
Le BPJEPS Activités Equestres Figure 4 : Situation professionnelle des titulaires du BPJEPS AE 6 mois après obtention du diplôme 46% des titulaires de ce diplôme sont en contrat CDD 27% des diplômés sont en CDI temps plein 20% des diplômés ont créé leur entreprise 1 diplômé sur les 15 qui ont répondu est aujourd’hui en recherche d’emploi

55 Situation des diplômés au regard de l’emploi par spécialité
Le BPJEPS AGFF Figure 5 : Situation professionnelle des titulaires du BPJEPS AGFF 6 mois après obtention du diplôme 36% des titulaires de ce diplôme sont en contrat CDI temps plein 46% des diplômés ont créé leur entreprise 9% sont en contrat CDD 1 diplômé sur les 11 qui ont répondu au questionnaire est aujourd’hui en recherche d’emploi

56 Situation des diplômés au regard de l’emploi par spécialité
Le BEESAN Figure 6 : Situation professionnelle des titulaires du BEESAN 6 mois après obtention du diplôme 54% des titulaires de ce diplôme sont en contrat CDD 38% des diplômés sont en CDI à temps complet 8% ont créé leur entreprise Aucun titulaire du diplôme n’est en recherche d’emploi

57 Conclusion L’étude a permis de mettre en lumière quelques spécificités: 91% de nos diplômés dans le champ de la jeunesse et du sport occupent un emploi Les titulaires d’un BPJEPS LTP ou d’un BPJEPS APT sont majoritairement en contrat CDD ou en CDI à temps partiel Les titulaires d’un BPJEPS AE sont aussi majoritairement en contrat CDD ou en CDI à temps complet Les titulaires d’un BPJEPS AGFF sont principalement à leur compte ou en CDI à temps complet Les titulaires du BEESAN occupent tous un emploi, ce qui reflète bien que la filière des activités aquatiques est en tension

58 http://www.champagne-ardenne.drjscs.gouv.fr/ Observations
Etude téléchargeable sur le site internet de la DRJSCS de Champagne-Ardenne:

59 Merci de votre attention
Questions?

60 Modalités de mise en œuvre des formations dans le champ de l’animation et du sport
Frantz RALITE –DRJSCS Champagne Ardenne

61 ECHEANCIER DES FORMATIONS
OBJECTIFS Mettre en cohérence le calendrier régional des formations dans le domaine de l’animation et du sport avec l’échéancier du Conseil Régional Inscrire les formations habilitées sur le calendrier national du ministère des sports Permettre aux organismes de formation publics et privés de communiquer leur offre de formation Frantz RALITE –DRJSCS Champagne Ardenne

62 Septembre: Appel à projet pour l’année N+1 Recensement des intentions de formation pour l’année N+2 Fin février: Dépôt des dossiers d’habilitation auprès de la DRJSCS par les organismes de formation Fin octobre: Dépôt des dossiers de recevabilité par les organismes de formation Mars à Mai: Etude et accompagnement des dossiers d’habilitation par la DRJSCS Novembre: Avis de Recevabilité sur les dossiers déposés et inscription des actions recensées au calendrier Régional Fin Mai Habilitation des formations par la DRJSCS et autre service de l’Etat selon les textes en vigueur. Inscription des formations habilitées sur le calendrier national I.CALEND et application BPJEPS/DEJEPS/DESJEPS Transmission de la liste des formations habilitées au Conseil Régional Décembre: Elaboration et transmission par la DRJSCS de la note de synthèse au Conseil Régional

63 Dossier d’habilitation
le référentiel professionnel pour la spécialité visée, complété et adapté : profils et perspectives d'emploi visés, activités spécifiques à ce ou ces profils, publics concernés ; la définition de l'objectif terminal et des objectifs intermédiaires spécifiés jusqu'au deuxième rang de la ou des unités capitalisables d'adaptation, et, le cas échéant, des unités capitalisables complémentaires le processus d'évaluation conforme au référentiel de certification propre à chaque spécialité, qui sera, en cas d'habilitation, proposé au jury ; le dispositif d'organisation des modalités de sélection des candidats conformes aux exigences préalables à l'entrée en formation figurant dans l'arrêté de spécialité ; - les modalités d'organisation du positionnement ; Frantz RALITE –DRJSCS Champagne Ardenne

64 Dossier d’habilitation
l'organisation pédagogique détaillée de la formation comprenant notamment les modalités de suivi de l'alternance ; l'attestation de la formation suivie par le responsable pédagogique de la formation visée à l'article 6 du présent arrêté, délivrée par le directeur régional de la jeunesse, des sports et de la cohésion sociale ; la qualification des formateurs et des tuteurs correspondant à la spécialité considérée ; les moyens et équipements mis en œuvre par l'organisme de formation, notamment le budget de la formation ; - les modalités de suivi de l'insertion professionnelle des diplômés Frantz RALITE –DRJSCS Champagne Ardenne

65 L’habilitation de la formation
Habilitation pluriannuelle trois actions de formations Le jury valide le processus de certification pour trois ans Le jury se consacre sur l’harmonisation des grilles certificatives Frantz RALITE –DRJSCS Champagne Ardenne

66 Dossier d’habilitation d’une formation habilitée
Les dates de la formation, des tests de sélection et du positionnement l'organisation pédagogique détaillée de la formation comprenant notamment les modalités de suivi de l'alternance ; la qualification des formateurs et des tuteurs correspondant à la spécialité considérée ; le bilan de la formation: nombre de diplômés, bilan financier ; les résultats du suivi de l'insertion professionnelle des stagiaires Préciser toutes les modifications du dossier initial Frantz RALITE –DRJSCS Champagne Ardenne

67 Les épreuves certificatives
Une épreuve initiale Une épreuve de rattrapage Placer au sein du ruban pédagogique l’ensemble des épreuves certificatives ( I et R) Avant la fin de la formation Frantz RALITE –DRJSCS Champagne Ardenne

68 Gestion du parcours de formation: GEPAFO
OF: Inscriptions des stagiaires Résultats des TEP Résultats des tests de sélection DRJSCS: Validation des TEP Validation des dossiers d’inscription Jury / DRJSCS: Résultats des unités capitalisables Délivrance du diplôme Frantz RALITE –DRJSCS Champagne Ardenne

69 Les changements au 31 mars 2012
Décret n° du 1er février 2012 relatif au brevet professionnel de la jeunesse, de l'éducation populaire et du sport Modifie la composition du jury du BPJEPS Aujourd’hui, la règle impose une composition à parts égales de formateurs et de professionnels. Dorénavant, les professionnels représenteront de 25% à 50% des effectifs du jury. Modifie les conditions d’habilitation des UCC et CS Un organisme de formation bénéficiant déjà d'une habilitation pour une spécialité du BP JEPS a la possibilité de déposer un dossier d'habilitation pour des unités capitalisables complémentaires ou un certificat de spécialisation. Frantz RALITE –DRJSCS Champagne Ardenne

70 Les changements au 31 mars 2012
Décret n° du 1er février 2012 relatif au brevet professionnel de la jeunesse, de l'éducation populaire et du sport Permet de délivrer le BPJEPS au titre d'une spécialité pluridisciplinaire et d'une mention disciplinaire. Il s'agit d'une adaptation de la réglementation de ce diplôme qui comporte désormais, au-delà de la spécialité, des mentions axées sur une discipline sportive. Modifie le volume horaire Supprime le caractère obligatoire du volume horaire minimal de formation Les dispositions applicables en la matière étant fixée par le code du travail. Frantz RALITE –DRJSCS Champagne Ardenne

71 Merci de votre attention
Questions?


Télécharger ppt "L’emploi dans l’animation socio-culturelle, sportive et sociale"

Présentations similaires


Annonces Google