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Prévention, adaptation et réussite scolaire SCE

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Présentation au sujet: "Prévention, adaptation et réussite scolaire SCE"— Transcription de la présentation:

1 Prévention, adaptation et réussite scolaire SCE 202-02
Notions et concepts Prévention, adaptation et réussite scolaire SCE

2 Plan du cours Carnet de bord – ce que je sais
Historique de l’intervention précoce Définition de notions et concepts importants Carnet de bord – ce que j’ai appris

3 CARNET de bord Répondre aux questions suivantes:
Pourquoi parle-t-on d’intervention précoce? Comment définiriez-vous les concepts suivants? Prévention : primaire, secondaire, tertiaire Adaptation Inadaptation Adaptation psychosociale/biopsychosociale Inadaptation psychosociale Réussite scolaire Réussite éducative Décrochage scolaire/abandon scolaire Prévention du décrochage scolaire Raccrochage scolaire Persévérance scolaire

4 Historique de l’intervention précoce
Le modèle américain : Plan global de lutte à la pauvreté Au début des années ’60 Contexte de prospérité économique « Head Start » : précurseur avec son programme offert à plus de 11 millions d’enfants. En 2005, plus de 22 millions d'enfants en âge préscolaire

5 CroyanceS dominanteS L’éducation peut triompher de la pauvreté
L’enrichissement des stimulations de l’enfant peut accroître son potentiel intellectuel (QI) L’optimisme est de courte durée car les effets sont modestes L’implantation de ce programme ne réussit pas à enrayer l’échec scolaire

6 Le Québec emboîte le pas …
L’idée d’intervenir de façon précoce et préventive fait graduellement son entrée au Québec vers 1970. Cette idée est engendrée par les profonds changements sociaux que l’on connaît : économiques : ex.: femmes sur le marché du travail démographiques : ex.: exode des milieux ruraux sociaux : ex.: constitution familiale

7 Le rapport Bouchard (1991) « Un Québec fou de ses enfants »
Tournant majeur en promotion / prévention L’action gouvernementale doit réduire les inégalités sociales La société doit offrir aux enfants les conditions pour assurer leur développement optimal À pauvreté égale, les secteurs les moins à risque sont ceux où l’environnement offre le plus de soutien social La concertation entre les ressources est indispensable

8 Le rapport Bouchard (1991) « Un Québec fou de ses enfants » Suite…
Les parents sont les maîtres d’œuvres de l’éducation de leur enfant : nécessité de les soutenir dans cette tâche Impact majeur dont les effets sont observables aujourd’hui : * maternelle temps plein * création de CPE * garderies à 7$ * multiplication de programmes de prévention précoce.

9 Évolution… Moment important : préoccupation particulière - l’éducation des enfants handicapés… La cible de l’intervention était d’abord centrée uniquement sur l’enfant, elle inclut graduellement la participation des parents On a aussi constaté l’impact écologique (Bronfenbrenner, 1979) en mettant en évidence l’influence de l’environnement sur les interactions parent-enfant et le développement de l’enfant Les parents deviennent les partenaires indissociables Inclusion

10 Concept de PRÉVENTION PRÉVENTION
Processus mettant en cause un ensemble de mesures prises en vue d’inhiber ou d’annuler les facteurs causant l’inadaptation scolaire et sociale (Legendre, 2005).

11 PRÉVENTION PRIMAIRE La prévention primaire vise à réduire la probabilité  d’apparition  des  difficultés.  Elle  concerne  tous  les élèves. Elle correspond à ce que certains chercheurs appellent  la  prévention  universelle.  La  mise  en  place  de conditions  d’apprentissage  qui  facilitent  la  réussite  scolaire de tous les élèves fait partie de la prévention primaire. EXEMPLE DE PRÉVENTION PRIMAIRE La différenciation pédagogique en est une illustration. Une organisation scolaire qui favorise le développement optimal de tous les élèves est aussi du domaine de la prévention primaire. Référence : Les difficultés d’apprentissage à l’école  Cadre de référence pour guider l’intervention (2003) pdf

12 PRÉVENTION SECONDAIRE
La prévention secondaire prend place avant que les difficultés ne soient installées. Elle s’adresse aux élèves en  situation  de  vulnérabilité  soit  en  raison  de  leurs  caractéristique s personnelles, soit en raison de l’environnement scolaire, familial ou social. Les stratégies  déployées doivent jouer un rôle de protection contre les facteurs  susceptibles  de  causer  des  difficultés.  La prévention secondaire s’apparente à ce que certains appellent la prévention ciblée. Référence : Les difficultés d’apprentissage à l’école  Cadre de référence pour guider l’intervention (2003) EPEPS/EPEPS/Formation_jeunes/Adaptation_scolaire/ pdf

13 Exemple de prévention secondaire
Offrir aux élèves venant de milieux socio-économiques pauvres un environnement préscolaire stimulant, où un fort accent est mis sur la littératie, est un exemple de prévention secondaire. La mise en place d’interventions facilitant les transitions de l’éducation préscolaire au primaire et du primaire au secondaire, chez les élèves les plus à risque, en est une autre illustration.  Référence : Les difficultés d’apprentissage à l’école  Cadre de référence pour guider l’intervention (2003) PEPS/EPEPS/Formation_jeunes/Adaptation_scolaire/ pdf

14 Définition de littératie
littératie /li.te.ʁa.si/ féminin (Éducation) Connaissances fondamentales dans les domaines de la lecture et de l’écriture, permettant à une personne d’être fonctionnelle en société.  La notion de « littératie » recouvre les fondamentaux auxquels l’école prépare pour adapter l’élève à une société de culture écrite. — (Les pratiques enseignantes hors de la classe, page 144, Jean-François Marcel, 2004). 49 % des Québécois n’atteignent pas le seuil minimal de littératie pour fonctionner dans une société de l’écrit et un sur dix est analphabète, est venu souligner Diane Mockle de la Fondation pour l’alphabétisation. Elle plaide d’abord pour une politique intégrée de promotion de la lecture et la plus grande accessibilité possible au livre abordable. — (Frédérique Doyon. Le père de la loi-cadre sur le livre appuie le contrôle des prix le 22 août 2013 sur Référence :

15 Exemple de prévention secondaire
Des interventions ciblées menées auprès d’élèves qui, en raison de leurs caractéristiques personnelles, sont susceptibles d’éprouver des difficultés d’apprentissage sont aussi de l’ordre de la prévention secondaire. Enfin, l’attention portée aux élèves qui vivent une situation de vulnérabilité (divorce des parents, décès d’un proche, etc.) relève également de ce type de prévention. Référence : Les difficultés d’apprentissage à l’école  Cadre de référence pour guider l’intervention (2003) /EPEPS/Formation_jeunes/Adaptation_scolaire/ pdf

16 PRÉVENTION TERTIAIRE La prévention tertiaire a comme objectif d’empêcher l’évolution de la difficulté ou d’en réduire les effets le plus possible. Ce type de prévention prend place après que  les  difficultés  ont  été  décelées.   EXEMPLE DE PRÉVENTION TERTIAIRE Les  stratégies utilisées  visent  la  correction  des  difficultés.  Ainsi,  enseigner des stratégies de reconnaissance de mots à un élève ayant des troubles spécifiques en lecture est du domaine de la prévention tertiaire.

17 Autre exemple sur la prévention PRIMAIRE, SECONDAIRE ET TERTIAIRE
Guide adaptation scolaire (PDF) s/Adaptation_scolaire_final.pdf Consultez les pages

18 Concept de l’ADAPTATION 4 perspectives (Tremblay, 2001)
INADAPTATION Perspective évolutionniste L’ensemble des êtres vivants (Fin XIXe s.) Survie (de l’individu ou de l’espèce) Ex. être humain Extinction Ex: Dinosaure Perspective statistique Normalité quantitative (Début XXe s.) Majorité (en rapport avec des caractéristiques) Ex. Droitiers Minorité Ex. Gauchers Perspective socioculturelle Normalité qualitative (Milieu XXe s.) CONFORMISME En rapport avec les conduites idéales Ex. Top model Non-conformisme Ex. 1,60 m 54,5 kg Perspective systémique Analyse des composantes (Fin XXe s.) Équilibre Résultat des interactions ind./env. Ex.: droitiers/gauchers Déséquilibre

19 Les composantes de l’adaptation humaine (Tremblay, 2001)
Composantes reliées à l’individu Bagage héréditaire Histoire personnelle Marge de liberté Composantes reliées à l’environnement Environnement naturel Environnement macrosocial Environnement microsocial

20 Composantes reliées à l’individu (Tremblay, 2001)
Le bagage héréditaire est la transmission des caractères spécifiques, raciaux et individuels d’un être vivant à ses descendants. La science qui étudie la réalisation de caractères héréditaires de même que les variations accidentelles chez l’individu et leur transmission de génération en génération s’appelle la « génétique ». L’histoire personnelle est faite de toutes les décisions passées prises par les autres ou par la personne elle-même, avantageuses ou désavantageuses, qui font partie de cette personne et qui pèsent sur ses actions et ses décisions actuelles ou futures. Les décisions prises par les autres font partie des composantes environnementales, mais ce que la personne en fait dans son développement fait partie de son histoire personnelle La marge de liberté fait référence tant à la liberté intérieure qu’à la liberté extérieure. C’est la liberté liée à un contexte pratique d’action et de décision. Ainsi, la marge de liberté se rapporte aux actes libres et aux actes moins libres, aux choix conscients et aux choix non conscients, aux actes volontaires et aux actes non volontaires. C’est la liberté en situation, la marge de manœuvre d’une personne dans le présent en fonction d’un futur. Bagage héréditaires Histoire personnelle Marge de liberté

21 COMPOSANTES RELIÉES À L’ENVIRONNEMENT (Tremblay, 2001)
L’environnement naturel englobe tout ce qui existe en dehors de l’être humain. Cela comprend d’abord le monde inanimé, la matière inerte et les phénomènes cosmiques. À cela s’ajoutent les êtres vivants du règne animal et du règne végétal de même que les éléments naturels modifiés par l’action humaine L’environnement macrosocial réfère aux phénomènes sociaux dans des ensembles plus larges. La société est un système qui ordonne et régularise les relations sociales. L’environnement macrosocial comprend la culture, les valeurs, les principes, les droits, les institutions, les lois, les coutumes, les normes de comportement reconnus dans une société afin d’assurer la cohésion sociale. L’environnement microsocial se rapporte à l’interaction des personnes dans des groupes restreints. C’est l’entourage immédiat d’une personne à différentes étapes de sa vie, les groupes d’appartenance dans lesquels existent une proximité physique, un contact direct. À une même période de vie, une personne peut appartenir à plusieurs groupes ayant des valeurs et des règles semblable ou diamétralement opposées. Environnement naturel Environnement macrosocial Environnement microsocial

22 Bases d’une définition de l’adaptation
Éviter l’utopie de l’adaptation parfaite La vie comporte des frustrations inévitables Les conflits jalonnent notre vie Toute conduite est un effort d’adaptation L’adaptation se mesure dans des situations concrètes, l’interaction des réalités internes et externes

23 L’adaptation biopsychosociale
Bio = vie Psycho = âme = individu Social = socius = compagnon = société Équilibre entre le bien-être interne et le bien-être externe dans certaines situations données Recherche d’équilibre dans toutes les périodes et les expériences de la vie Adaptation parfaite est illusoire et utopique

24 Inadaptation biopsychosociale
Un déséquilibre, plus ou moins prolongé dans le temps, entre le bien-être interne et le bien-être externe

25 Réussite scolaire Concept utilisé durant les année 1980 et 1990
Précise la mission d’instruction de l’école québécoise Réussite scolaire embrasse une réalité plus restreinte que la réussite éducative La réussite scolaire permet à l’élève qui répond aux exigences d’un programme d’études d’acquérir, puis de développer des compétences, l’autorisant ainsi à poursuivre ses études supérieures ou à s’intégrer au marché du travail. On mesure la réussite scolaire par les résultats, les diplômes obtenus à la fin d’un cours ou d’un programme. On la mesure aussi par l’atteinte des compétences développées, par la persistance dans des cours ou un programme d’études, par la satisfaction au regard de la formation reçue. D’après le CSE, la réussite scolaire « est la principale clé de l’avenir personnel, social et professionnel de chacun. C’est elle qui, à chaque étape, témoigne que l’élève ou l’étudiant a acquis les compétences et les habiletés désirées » (CSE, 2002, p. 45).

26 Réussite éducative En vertu d’un amendement à la Loi sur l’instruction publique en 2002 « réussite scolaire » « réussite éducative » La réussite éducative embrasse une vision large de la réussite, qui transgresse les frontières scolaires et englobe autant la réussite personnelle que professionnelle. On la mesure surtout par des indicateurs d’ordre qualitatif. La réussite scolaire ne s’oppose pas à la réussite éducative. (CSE, 2002) Ce concept concerne à la fois l’instruction (intégration de savoirs académiques), la socialisation (acquisition de savoirs, valeurs, attitudes et comportements utiles au fonctionnement en société) et la qualification (préparation à l’insertion professionnelle). La réalisation de son plein potentiel et l’atteinte de buts personnels fixés par l’élève ou l’étudiantE sont aussi des dimensions importantes de ce concept. (CREPAS)

27 La réussite éducative Visée de développement global des jeunes, au niveau physique, intellectuel, affectif, social et moral (spirituel) (Potvin, 2010) Trois types de réussite éducative selon les milieux (Potvin, 2012) : la réussite éducative scolaire La réussite éducative familiale La réussite éducative communautaire

28 Réussite éducative scolaire (Potvin, 2012; Baby, 2010)
L’école « a pour mission, dans le respect du principe de l’égalité des chances, d’instruire, de socialiser et de qualifier les élèves, tout en les rendant aptes à entreprendre et à réussir un parcours scolaire » (Loi sur l’instruction publique, 2002) Sur le plan de l’instruction: acquisition des compétences nécessaires pour assurer son développement cognitif et sa maîtrise des savoirs Sur le plan de la socialisation: acquisition des compétences nécessaires pour assurer son développement social et affectif Sur le plan de la qualification: l’obtention d’une reconnaissance officielle des compétences requises pour exercer un métier ou poursuivre des études à un palier supérieur. Finalité: favoriser l’intégration sociale et professionnelle du jeune

29 Décrochage scolaire/abandon scolaire
Deux termes qui désignent l’interruption (temporaire ou définitive) des études avant l’obtention d’une reconnaissance des acquis (diplôme, certificat, attestation d’études, etc.) de la part d’une institution d’enseignement. (CREPAS) De façon générale, il s’agit du diplôme d’études secondaires (DES) ou du diplôme d’études professionnelles (DEP), quoique l’on tende de plus en plus à reconnaître d’autres modes de certification pour les élèves les plus faibles (attestation d’études). Le «décrochage scolaire» est généralement utilisé dans le contexte d’un abandon à l’ordre d’enseignement secondaire alors que l’«abandon scolaire» est un terme plus global qui est utilisé à la fois pour le secondaire, le collégial et l’universitaire. (CREPAS) Un élève est considéré comme décrocheur s’il n’a pas obtenu de diplôme d’études secondaires et ne fréquente par un établissement d’enseignement. (Potvin, 2012) Cinq années doivent s’être écoulées depuis le décrochage pour parler d’abandon scolaire. (McKinnon, 2006).

30 Décrochage scolaire Le décrochage scolaire est un phénomène multidimensionnel qui résulte d’une combinaison de facteurs en interaction les uns avec les autres. La décision d’abandonner l’école ne se fait pas sur un coup de tête. Elle résulte plutôt de frustrations accumulées sur une longue période. Ces frustrations sont engendrées par les échecs scolaires et par les difficultés relationnelles avec les pairs, les enseignants et les parents. Les décrocheurs se désengagent et s’éloignent de l’école progressivement. Potvin, P., L. Fortin, D.Marcotte, É. Royer et R. Deslandes. 2004, Guide de prévention du décrochage scolaire, CTREQ, Québec.

31 Un processus de décrochage progressif
Macrosocial Société qui valorise la consommation Société qui véhicule le leurre du succès et de la réussite instantanés (sans efforts ni persévérance) Société qui valorise l’instant présent et ignore toute projection dans l’avenir Mésosocial Difficultés d’ordre familial Absence de liens significatifs avec les pairs Mauvaises influences des pairs Menaces de la part des pairs Manque d’encadrement en classe Manque d’accompagnement Ratio élèves/professeur élevé Manque de soutien, d’aide et de valorisation Microsocial Difficultés d'apprentissage / retards scolaires Absentéisme Manque d'intérêt Consommation de psychotrope Santé mentale Comportement, mal-être Recherche-action sur l'accompagnement du raccrochage scolaire des ans

32 Prévention du décrochage scolaire Principes directeurs d’une intervention préventive réussie
1. Intervenir tôt, et ce, dès la première secondaire (Potvin et al. 2004) voire dès le primaire (Desmarais, 2011). Il est plus facile d’agir auprès des jeunes quand ils sont encore à l’école que de les ramener après un abandon. Dans cette optique, plus la prévention et l’intervention ont lieu tôt dans le cheminement scolaire des jeunes, plus les chances de succès sont grandes. 2. Reconnaître les besoins particuliers des jeunes à risque. 3. Favoriser une intervention multidimensionnelle garante de meilleurs résultats. Des actions préventives doivent être menées auprès : de l’élève lui-même par un suivi individuel et des ateliers de groupes ; des parents relativement aux pratiques parentales ; de la classe en ce qui a trait à la gestion de classe et à la relation maître-élève ; du climat de l’école. Potvin, P., L. Fortin, D.Marcotte, É. Royer et R. Deslandes. 2004, Guide de prévention du décrochage scolaire, CTREQ, Québec.

33 Prévention du décrochage scolaire Principes directeurs d’une intervention préventive réussie
4. Intervenir sur les facteurs prédictifs du risque de décrochage : le niveau de dépression de l’élève (tristesse, perte d’énergie, sentiment de culpabilité, faible estime de soi, etc.) ; le manque d’organisation familiale (planification des activités et des responsabilités familiales) ; le manque de cohésion familiale (engagement, aide et soutien des membres) ; les attitudes négatives de l’enseignant envers l’élève ; le manque d’engagement de l’élève dans les activités scolaires ; la faible performance en mathématiques ; la faible performance en français. 5. Évaluer l’implantation et les impacts des programmes d’intervention. Potvin, P., L. Fortin, D.Marcotte, É. Royer et R. Deslandes. 2004, Guide de prévention du décrochage scolaire, CTREQ, Québec

34 Persévérance scolaire
Poursuite d’un programme d’études en vue de l’obtention d’une reconnaissance des acquis (diplôme, certificat, attestation d’études, etc.).

35 Pour une famille, être un Facteur de persévérance, c’est :
Valoriser l’éducation et l’obtention d’un diplôme. Donner le goût de lire et d’apprendre à votre jeune. L’aider à identifier ses forces et à voir plus loin. Lui permettre de prendre confiance en lui. Encourager l’effort indépendamment des résultats. Fournir un bon encadrement pour les études et les devoirs. Conserver l’attachement, poser des questions et servir de modèle. Faire soi-même preuve de persévérance. Avoir des attentes élevées, mais à la mesure des capacités du jeune. Chercher des solutions aux problèmes quotidiens avec lui. L’encourager à s’informer sur les choix de carrière. Offrir un soutien lors de périodes difficiles. Favoriser l’autonomie, sans délaisser la supervision parentale. Sur veiller la fatigue liée à une surcharge de travail ou d’activités. S’engager dans la vie scolaire de son jeune et collaborer étroitement avec l’école facteurs-de-perseverance-et-vous/

36 Pour un jeune, être un Facteur de persévérance, c’est se dire :
Mes études d’abord, mon travail ensuite. J’ai du plaisir à apprendre. J’accumule les petites victoires. Je visualise mes rêves. J’adopte de saines habitudes de vie. Je découvre mes forces. Je m’engage dans les activités de mon école. Je choisis bien mes amis. Je fais confiance aux gens qui croient en moi. Ma réussite m’appartient.

37 Pour les enseignants, être un facteur de persévérance, c’est :
Connaître les forces et les défis de ses élèves. Développer la qualité des relations enseignant-élève. Amener l’élève à avoir des buts. Lui faire découvrir de nouvelles passions. Déceler les difficultés de certains élèves à risque de décrocher. Favoriser une approche orientante. Offrir un climat de classe propice aux apprentissages. Reconnaître les efforts et encourager la persévérance. Susciter l’intérêt et avoir de bonnes méthodes pédagogiques. Démontrer l’utilité des choses apprises. Veiller à sa formation continue. Travailler avec le jeune et ses parents pour sa réussite

38 Pour les écoles, être un Facteur de persévérance, c’est :
Valoriser l’engagement personnel des enseignants. Fournir un milieu de vie sécuritaire. Soutenir les enseignants et les intervenants dans la résolution de conflits. Offrir un soutien pédagogique continu. Favoriser l’engagement de la famille et de la communauté dans la vie scolaire. Fournir des services spécialisés en fonction des besoins des jeunes. Arrimer les interventions entre les différents ordres d’enseignement. Connaître les caractéristiques sociodémographiques du milieu. Rehausser le sentiment d’appartenance des jeunes à l’école. Être proactif dans la réussite scolaire de ses élèves. Favoriser la coopération autant que la compétition. Se montrer ouvert aux projets favorisant la persévérance scolaire. Prendre des mesures pour aider les élèves à risque. Axer le plan de réussite de l’école sur la prévention du décrochage. Créer des liens entre les études et le marché du travail.

39 Pour une communauté, être un Facteur de persévérance, c’est :
Valoriser l’éducation et l’obtention d’un diplôme. Encourager l’effort et l’atteinte d’objectifs. Souligner les forces et les qualités du jeune. Croire que tous les élèves sont capables de réussir. Rester en contact avec les jeunes. Poser des questions et servir de modèle. Comme employeur, favoriser la conciliation études-travail. Être disponible et s’engager auprès des jeunes au besoin. Soutenir et créer des actions de mobilisation. Se joindre à un groupe d’aide ou de mentorat.

40 Raccrochage scolaire Réinscription d’un individu (abandonnant, décrocheur) à un programme d’études après une période d’absence plus ou moins longue.

41 Carnet DE BORD Qu’est-ce que j’ai appris aujourd’hui?


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