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Licence 1 de Sociologie HISTOIRE DE LA PENSÉE ÉCONOMIQUE

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1 Licence 1 de Sociologie HISTOIRE DE LA PENSÉE ÉCONOMIQUE
2 cours sur le sujet de la pensée économique sont disponibles à la fin du diaporama HISTOIRE DE LA PENSÉE ÉCONOMIQUE

2 Introduction : Les définitions de l’économie
♦ Une représentation intuitive de l’économie en apparence aisée mais trompeuse. ♦ La spécificité du regard économique. ♦ La variété des définitions : dans le temps et selon les courants de pensée.

3 Introduction : Les définitions de l’économie
♦ Des définitions qui changent avec le temps et selon les systèmes de pensée. L’économie comme science des richesses : la philosophie grecque, l’école classique (Adam Smith, Jean Baptiste Say), Karl Marx. L’économie, science de l’échange marchand et des prix : école néo-classique (L. Walras, C. Menger, S. Jevons…) L’économie comme science des choix efficaces : théorie libérale au XXème siècle (la définition de L.Robbins). La pensée socialiste ou l’économie inscrite dans une histoire des rapports de production (K. Marx, F.Engels). ♦ Avantages et inconvénients de ces définitions

4 Introduction : Les définitions de l’économie
♦ Questions méthodologiques en économie : l’économie est-elle une science ? problèmes méthodologiques dans l’énoncé des hypothèses. problèmes méthodologiques dans la vérification empirique.

5 I- La formation de la pensée économique jusqu’à Adam Smith
A- La conception morale de l’économie B- La pensée mercantiliste C- L’émergence de la pensée libérale

6 A- La conception morale de l’économie
1- L’antiquité grecque Le premier livre: « L’économique » de Xenophon La pensée socratique (Platon, Aristote) Condamnation de la richesse, des biens matériels, de l’argent, de l’intérêt, du commerce, du travail productif. Affirmation d’une économie naturelle.

7 A- La conception morale de l’économie
2- La pensée économique du moyen âge Pensée « scolastique »: Saint Thomas d’Aquin «Summa theologica» (1265) Détachement spirituel, rejet de la richesse, condamnation du prêt à intérêt. - Mais acceptation de la propriété privée, aiguillon du travail.

8 B- La pensée économique mercantiliste
1- Aux XVI°et XVII° siècles, nouvelle philosophie politique: Nicolas Machiavel (« Le Prince »-1513), Jean Bodin («6 livres de la République» -1576), Thomas Hobbes(« Léviathan» ) Pas d’Etat naturel possible. « L’homme est un loup pour l’homme ».→place à la philosophie épicurienne du contrat social: reconnaissance d’une autorité souveraine.

9 B- La pensée économique mercantiliste
2- Nouvelle pensée économique: le «mercantilisme » théorisé par Antoine de Montchrestien («Traité d’économie politique »-1615). Elle marque une profonde sécularisation de la pensée économique: justification de la richesse et des marchands. Pour que l’Etat soit fort, il faut qu’il soit riche; donc que ses sujets soient riches aussi. Nécessité de produire:des biens industriels (Colbert), des biens agricoles (agrarisme de Sully). Et nécessité de commercer (William Petty).

10 C- L’émergence de la pensée libérale
Les hommes ont, dès la naissance des droits « naturels » qu’aucun contrat social ne peut abolir: le droit à la vie, le droit à la liberté et le droit de propriété. C’est une réponse aux « utopistes » qui s’appuient sur l’Evangile pour réclamer une société communiste. Le droit de propriété implique la liberté des échanges. 1- L’inspiration de John Locke: doctrine du « droit naturel » (« Traité du gouvernement civil »-1690).

11 C- L’émergence de la pensée libérale
2- La critique du mercantilisme: de Boisguillebert (« Le Détail de la France »-1697). Contexte = la profonde crise de l’économie française à la fin du XVII°siècle L’agriculture = secteur de base de l’économie. Donc: Développer la consommation agricole. Prélever moins d’impôts sur les agriculteurs. Libérer le commerce des entraves à la circulation des marchandises. En deux mots: « laisser faire, laisser passer »

12 C- L’émergence de la pensée libérale
3- La pensée physiocratique de François Quesnay- (« Le tableau économique » -1766). Physis= la nature Kratos= la puissance. Conception d’un « circuit économique ». Une seule classe est productive = la classe des agriculteurs; les autres sont« stériles » La production se fait par des « avances », première formulation de la notion de « capital ». Alors que la classe stérile ne fait que reconstituer ses avances, la classe agricole produit un surplus.

13 II - La conception libérale de l’économie
Introduction a- le contexte socioéconomique b- Le libéralisme: une notion ambiguë c- Les fondements de la doctrine libérale d- Principes : raison, rationalité, responsabilité individuelle A- Les classiques B- Les néoclassiques C- Comparaison des deux analyses

14 Introduction a – le contexte socioéconomique
Émergence et épanouissement du capitalisme industriel Croissance économique: PIB X 6 en 1 siècle Montée d’une bourgeoisie dynamique « enfermement » dans l’usine et conditions de travail difficiles. urbanisation

15 Introduction b - une notion ambiguë ♦ Multiples usages de la notion - politique: pluralisme des partis - moral: tolérance - économique: « doctrine pour qui la régulation par le marché est le meilleur moyen de gérer l’économie »

16 Introduction c - Fondements de la doctrine libérale: ♠ la doctrine du droit naturel (Locke) ♠ la philosophie utilitariste (Bentham, Hume, Smith) ♠ La tâche du gouvernement civil= faire respecter les droits naturels. Le rôle de l’Etat = ne pas contraindre. ♠ le « bien suprême » = le bonheur de la collectivité; le bien « subordonné » au bien suprême = la liberté

17 Introduction d- Principes du libéralisme: ♦ La raison, thème du siècle des lumières: la raison témoigne d’une sécularisation de la pensée. ♦ la rationalité: la pensée doit s’appuyer sur le modèle scientifique ♦ La recherche de son propre plaisir. Cf.« La fable des abeilles » de Mandeville (1714): L’égoïsme est utile à la société . Le vice stimule alors que la vertu endort ♦ la responsabilité individuelle n’est pas opposée au bonheur collectif.

18 A- Les classiques ♦ qui sont-ils? ♦ Les théories classiques
Adam Smith ( ) David Ricardo ( ) Thomas Malthus ( ) Jean Baptiste Say ( ) John Stuart Mill ( ). ♦ Les théories classiques 1- Une théorie de la valeur travail. 2- Une théorie de la répartition 3- Une théorie de l’équilibre 4- Le rôle de l’Etat 5- Le commerce extérieur

19 1- Une théorie de la valeur travail
a- la division du travail, source de la richesse (Smith) b- valeur d’usage et valeur d’échange (Smith) c- valeur-travail (Smith et Ricardo), valeur-utilité chez Condillac puis chez Say. d- hétérogénéité du travail et travail indirect (Ricardo); plus tard, temps de travail socialement nécessaire (Marx)

20 2- Une théorie de la répartition
a- distinction entre répartition primaire (revenus du travail productif et revenus de la propriété) et répartition secondaire (transferts, intérêts). b- théorie du salaire naturel: tendance vers le seuil de subsistance c- théorie de la rente foncière:« l’état stationnaire »

21 3- Une théorie de l’équilibre
a- Adam Smith et la parabole de la « main invisible ». Inspiration: « La fable des abeilles » de Mandeville b- Jean Baptiste Say et la « loi des débouchés » Le marché est autorégulateur: intérêts individuels et intérêt collectif sont compatibles. L’équilibre se réalise spontanément sans intervention extérieure: « l’offre crée sa propre demande » La monnaie n’est qu’un « voile ».

22 4- Le rôle de l’Etat: fonctions régaliennes et missions d’intérêt général.
● Intervention de l’Etat inutile, voire dangereuse. La loi des débouchés assure l’équilibre spontanément. Les décisions individuelles sont plus rationnelles que les décisions collectives. L’Etat perturbe l’information économique. ● L’Etat remplit néanmoins des missions « régaliennes »: défense, justice, police, représentation internationale. Il met en œuvre des infrastructures et des biens publics pour lesquels le marché est défaillant.

23 5- Le commerce extérieur
David Ricardo formule la loi dite des « avantages comparatifs relatifs »: tout pays a intérêt à se spécialiser dans la production où son avantage relatif par rapport aux autres pays est le plus grand. La division internationale du travail est un facteur de progrès économique. Tous les participants peuvent y gagner (jeu à somme non nulle).

24 B- Les néoclassiques ♦ Leurs théories Retour à la valeur utilité
Un raisonnement « à la marge » : (utilité marginale, coût marginal) débouchant sur une théorie de la demande : l’utilité marginale décroissante L’équilibre général de Walras et l’optimum de Pareto B- Les néoclassiques ♦ qui sont-ils? Stanley Jevons ( ) Carl Menger ( ) Léon Walras ( ) Alfred Marshall ( )

25 1- La valeur utilité Retour à la conception subjectiviste de l’utilité déjà formulée par Condillac, Turgot et Say: la valeur d’un bien est donnée par l’utilité que l’on en a. Les prix des biens sont supposés proportionnels à leur utilité marginale(voir page suivante). Retour sur l’exemple de A. Smith: le diamant est plus cher que l’eau non pas en raison du travail qu’il contient mais de l’utilité qu’il procure.

26 2- le raisonnement marginaliste
L’utilité marginale est le supplément d’utilité que procure une unité supplémentaire de bien consommé. Le coût marginal est le supplément de coût occasionné par une unité supplémentaire d’un bien acheté En principe, il y a décroissance de l’utilité procurée par un bien: plus on en consomme et moins il nous satisfait. Ce raisonnement peut s’appliquer au facteur travail embauché par l’entreprise .

27 3- Equilibre partiel, général et optimum.
Marshall fait la démonstration de l’équilibre partiel sur un marché. Celui-ci est supposé sans lien avec les autres marchés. Cet équilibre est stable. Walras fera la démonstration que l’équilibre sur un marché s’étend à tous les autres marchés, après une série de « tâtonnements ». Pareto démontre que l’équilibre une fois atteint est optimal dans la mesure où l’on ne peut plus augmenter la satisfaction d’un seul agent sans détériorer celle d’un autre

28 4- Les conditions de l’équilibre: la concurrence pure et parfaite
L’atomicité du marché L’homogénéité des produits La fluidité La transparence La mobilité des facteurs de production

29 5- La concurrence pure et parfaite est-elle possible
5- La concurrence pure et parfaite est-elle possible? Le tableau de Stackelberg vendeurs acheteurs 1 seul Petit nombre Grand nombre Monopole bilatéral Monopsone contrarié Monopsone absolu Monopole contrarié Oligopole bilatéral Oligopsone Monopole Oligopole Concur- -rence pure et parfaite

30 C- En résumé: comparaison classiques - néoclassiques
1- Les points communs La rationalité des individus; l’efficience du marché. 2- Les divergences La conception de la valeur La temporalité (Classiques= long terme; néoclassiques = court terme) La conception des rapports sociaux

31 III - L’analyse marxiste
Avant-propos: le socialisme avant Marx Introduction: le contexte socioéconomique et culturel. A- Une conception du mouvement de l’histoire: le matérialisme historique dialectique B – La théorie marxiste des classes C- L’anatomie du capitalisme Conclusion: Le socialisme après Marx

32 III - L’analyse marxiste
Avant-propos: le socialisme avant Marx: - Jean Charles Léonard Sismonde de Sismondi: les dysfonctionnements du capitalisme. -Claude Henri de Rouvroy, comte de Saint Simon: l’industrialisme. Robert Owen: la guerre sociale permanente Charles Fourier: le phalanstère

33 Introduction 1- Contexte socioéconomique: 2- Contexte culturel:
- La montée du capitalisme industriel Les luttes sociales L’affirmation des Etats-Nations L’expansion territoriale du capitalisme 2- Contexte culturel: - la philosophie allemande: Hegel, Feuerbach La pensée socialiste avant Marx: Sismondi, St Simon, Proudhon, Owen, Fourier Le positivisme: Comte, St Simon L’économie politique britannique.

34 A- Une conception de l’histoire : le matérialisme historique
1- La société: structure économique et superstructures idéologiques 2- Le mouvement de l’histoire: résultat d’une contradiction Notions à retenir Dialectique, contradiction Mode de production Forces productives; Rapports sociaux de production Aliénation

35 B – la théorie marxiste des classes sociales
Cf.« Le 18 brumaire de Louis Napoléon Bonaparte » Conception réaliste des classes sociales: les classes ne sont pas des constructions sociologiques mais des réalités sociales (≠M. Weber). Ce qui leur donne réalité: la « conscience de classe » et la « lutte de classes ». Permanence du conflit de classes dans toute société mais 2 spécificités du capitalisme: la bipolarisation des classes et le caractère révolutionnaire des deux classes en lutte.

36 C- Anatomie du capitalisme: plus-value et exploitation
1- Nouvelle conception de l’argent et théorie du profit: le schéma M-A-M et le schéma A-M-A’. 2- Une théorie de la valeur et de la plus-value 3- La reproduction du capitalisme 4 le dépassement inéluctable du capitalisme: la loi de baisse tendancielle du taux de profit

37 D- Le socialisme après Marx
1- L’orthodoxie marxiste: Engels; Lénine; Rosa Luxembourg. 2- Le révisionnisme: Bernstein et Kautsky 3- les applications de la pensée marxiste

38 IV- La révolution keynésienne
Introduction: le contexte des années 1930 A- Les grands principes de Keynes B- les fonctions économiques de Keynes C- La légitimité de l’intervention de l’Etat D- Le keynésianisme en pratique

39 Introduction 1- Eléments biographiques et bibliographiques
2- Le contexte de la crise des années 1930

40 1- Eléments biographiques et bibliographiques
Naissance le 5 juin 1883 dans une famille aisée et cultivée (père: économiste à Cambridge; mère: féministe et maire de la ville) Etudes de statistiques et de mathématiques; il découvre l’économie en 1906 en préparant un concours. Fréquente le groupe de Bloomsbury, cercle de jeunes bourgeois intellectuels non-conformistes. Epouse une danseuse en 1925. A 28 ans rédacteur en chef de la revue « The economic journal » et rejoint le Trésor britannique pendant la guerre. Devient célèbre en 1919 en écrivant « Les conséquences économiques de la paix » (dénonciation des exigences des alliés ). En 1930, publication du « Traité sur la monnaie » (sur l’inflation). En 1936, « Théorie générale de l’emploi, de l’intérêt et de la monnaie »

41 2- Le contexte de la crise des années 1930
Retournement de tous les indicateurs d’activité (production, emploi, commerce extérieur, prix, etc.). Mais d’une ampleur et d’une durée sans précédent: de 1929 à 1933, le PIB américain chute de 30%; en 1936, 10% de la population active américaine est au chômage. Violente et soudaine aux Etats-Unis (krach de Wall Street) plus atténuée et plus tardive en France, plus précoce en G.B. où la déflation avait commencé en 1920. Keynes en déduit le caractère structurel de la crise. Il se démarque de l’analyse libérale (Pigou) pour qui le chômage est volontaire et lié à des taux de salaire trop élevés.

42 A- Les grands principes de l’analyse de Keynes
- Opposition à la notion de marché: l’économie est décrite comme un circuit. - Opposition à la loi de Say: c’est la demande effective qui détermine la production et l’emploi. - L’égalité épargne-investissement - La non neutralité de la monnaie

43 B- Les fonctions économiques keynésiennes
1- La fonction de consommation 2- La fonction d’investissement 3- La fonction d’emploi

44 1- La fonction de consommation
- Pour les « classiques », la consommation est un résidu de l’épargne: C= Y-S. Et l’épargne dépend du taux d’intérêt i: si i est élevé, l’épargne est forte et la consommation faible. Inversement si i est faible. - Pour Keynes, la consommation dépend directement du revenu global distribué: C= f(Y). C’est l’épargne qui est un résidu de la consommation. - la « loi psychologique fondamentale »: quand le revenu s’accroît, la consommation aussi mais moins vite. - la notion de « propension à consommer » ( C/ R) et de « propension marginale à consommer » (ΔC/ ΔR) - La politique économique doit être de type social-démocrate: favoriser les revenus des ménages qui ont la plus forte propension à consommer.

45 Exercices sur la propension à consommer.
Soient 2 ménages M1 et M2. La consommation de M1 passe de 800 à 880 quand son revenu passe de à entre t1 et t2. La consommation de M2 passe de à quand son revenu passe de à entre ces deux époques. 1) calculer les propensions moyennes à chaque époque t1 et t2. 2) calculer les propensions marginales à consommer. 3) que peut-on en déduire si l’on se place dans une optique keynésienne?

46 2- La fonction d’investissement
- Pour les « classiques », l’investissement résulte directement de l’épargne disponible: I=S. Ainsi, la loi des débouchés fonctionne même si tout le revenu n’est pas dépensé par les consommateurs; il sera investi. - Pour Keynes, l’investissement dépend d’une décision de l’entrepreneur qui compare l’ « efficacité marginale du capital », r et le taux d’intérêt des emprunts i. Si i<r, l’investissement est rentable; si i>r, l’investissement n’est pas rentable - Le mécanisme du multiplicateur: toute dépense, publique ou privée conduira à une distribution de revenus plus que proportionnelle. k= 1:1- ΔC/ ΔR. - Il faut alors envisager une politique économique favorisant l’investissement, donc une politique monétaire expansionniste (faible taux d’intérêt)

47 3- La fonction d’emploi - pour les « classiques », le chômage ne peut être que « frictionnel » ou « volontaire »; il provient d’un déséquilibre sur le seul marché du travail - pour Keynes, il est toujours « involontaire »; il résulte d’une insuffisance de la demande effective et trouve donc son origine dans l’ensemble de l’économie. - la flexibilité du salaire ne ferait alors qu’aggraver le chômage. Polémique avec Arthur Cecil Pigou.

48 C- La légitimité de l’intervention de l’Etat
De nouvelles missions pour l’Etat qui complètent ses actions « régaliennes »: réguler l’économie, conduire la politique économique du pays. Accomplir cette mission en se dotant d’instruments de prévision: la comptabilité nationale, la planification, la statistique, la macroéconomie. La conduite de la politique économique: politique budgétaire + politique monétaire

49 D- Le keynésianisme en pratique
1- Les recommandations de politique économique - au niveau intérieur: la politique de relance de la consommation et de l’investissement: critique de l’épargne; fiscalité correctrice; baisse du taux d’intérêt; investissements publics - au niveau externe: un nouveau SMI: critique de l’étalon or; institution monétaire internationale et monnaie internationale. 2- les applications du message keynésien. - Aux Etats-Unis: le New Deal: reflation, libération de l’étalon or et politiques de grands travaux - Au Royaume Uni: politique monétaire expansionniste, protectionnisme, crédits aux entreprises - Pays de l’Axe: économie de guerre (« arbeitshaffung ». - En France: le Front Populaire

50 V- Approches socioéconomiques de l’économie: en guise de conclusion
1- Les précurseurs: Sismondi et Comte 2- La critique de la sociologie durkheimienne: Simiand, Durkheim, Halbwachs… 3- L’institutionnalisme anglo-saxon: Veblen, Galbraith.. 4- La nouvelle sociologie économique: Granovetter. 5- L’économie des conventions: Orléan, Favereau… 6- L’école de la régulation: Aglietta, Boyer,…

51 Les grands auteurs en économie – 284 pages (PDF)
Il est notoire que la science économique a progressivement acquis un degré élevé de technicité et de formalisation mathématique. Pourtant, elle reste accessible à un large public ; cet ouvrage invite le lecteur à le vérifier au contact d'une sélection de " grands auteurs ". La fréquentation des grands auteurs montre en effet que la science économique, si elle comporte bien sa part de mécanismes techniques, est loin de se réduire à l'élaboration de modèles formalisés de plus en plus sophistiqués. Tous les grands auteurs ont réfléchi à la finalité de l'économie, ont débattu de la rationalité des comportements, des critères de justice sociale, du rôle de l'Etat ou encore des fondements et des effets du libéralisme. Ils ont développé leur réflexion en liaison étroite avec d'autres disciplines : la philosophie, la sociologie, l'histoire et le droit. Ils ont aussi porté un regard critique sur leurs méthodes et instruments. Pour chaque auteur retenu, l'ouvrage présente tout d'abord une courte biographie destinée non seulement à fixer une chronologie indispensable mais aussi à proposer un premier aperçu de la pensée et du rôle de l'auteur dans le développement de l'économie. Les étudiants ne sont pas oubliés : les notions et les principes formulés par les grands auteurs et présentés ici, sont parties intégrantes des enseignements, du premier au troisième cycle des universités. Pour télécharger le livre, cliquez sur l’image (veillez à bien être en affichage diaporama – si ça n’est pas le cas, pressez F5)

52 Max et le marxisme – 161 pages (fichier zippé)
Le marxisme a irrigué toute l'histoire et toute la culture du XXème siècle. Ce livre propose d'abord une initiation à la pensée philosophique, politique et économique de Marx. II présente ensuite les principaux penseurs marxistes, des origines à nos jours. Enfin, il confronte la réflexion de Marx à ses réalisations historiques. Pédagogique et clair, ce guide donne des repères essentiels pour comprendre la pensée contemporaine. Pour télécharger le livre, cliquez sur l’image (veillez à bien être en affichage diaporama – si ça n’est pas le cas, pressez F5)


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