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Les théories cognitives

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Présentation au sujet: "Les théories cognitives"— Transcription de la présentation:

1 Les théories cognitives
« Pour une large part, les individus contrôlent leur propre destinée en adhérant à des croyances ou des valeurs, et en agissant en fonction d’elles (…). Ils ne réagissent pas automatiquement aux circonstances de la vie, mais bien plutôt produisent leurs propres réactions émotionnelles et comportementales en fonction de la manière dont ils interprètent ou évaluent les évènements » Albert Ellis (1977)

2 Introduction Le behaviorisme radical n’a pas fait l’unanimité chez les psychologues scientifiques Importance de prendre en compte des processus cognitifs « internes » Dans les années 60, certains psychologues se centrent sur la «médiation cognitive» qui se produit entre les stimuli externes et les réactions manifestes Avènement de la psychologie cognitive

3 Introduction Le courant du « behaviorisme médiationnel »
Exploration de la « boîte noire » Construction de modèles vérifiables Le « cognitivisme radical ». L’objet essentiel de leur discipline est l’activité mentale Réhabilitation de la personne comme sujet actif, auteur de ses conduites. Le behaviorisme radical suggérait plutôt une conception de l’homme comme un être passif, modelé de l’extérieur, peu ou guère responsable de sa propre existence.

4 Introduction Cognition
Ensemble des processus et mécanismes qui soutiennent l’acquisition des savoirs sur le monde, ainsi que les produits de ces processus, c’est-à-dire les pensées elles-mêmes. Prémisses de base des théories cognitives d’un trouble émotionnel La souffrance/le trouble provient de l’interprétation par l’individu des évènements.

5 Introduction Trois types de dysfonctionnements cognitifs
Les déficits cognitifs Les biais cognitifs Les croyances dysfonctionnelles

6 Introduction Déficits cognitifs
les personnes sont incapables de réaliser certaines fonctions cognitives de base ces anomalies ne sont pas influencées par le contenu de l’information traitée p. ex., déficits affectant les fonctions exécutives et mnésiques

7 Introduction Les biais cognitifs
les personnes traitent préférentiellement certains types d’information. biais attentionnels, mnésiques, de jugement, d’interprétation biais automatiques et/ou contrôlés

8 Introduction Les croyances et évaluations dysfonctionnelles
associations complexes en mémoire sémantique associations plus ou moins conscientes Exemples: Dépression: croyances négatives sur soi, autrui, le monde TOC: responsabilité

9 A. Ellis Vers 1955, Albert Ellis:
« les troubles névrotiques » résultent de croyances illogiques et irrationnelles. « La thérapie rationnelle » « La thérapie rationnelle-émotive » (RET en anglais) En 1962: il publie « Reason and Emotion in Psychotherapy » Ellis ( )

10 Albert Ellis (1957) A B C Croyances Conséquences: Évènement Pensées
Émotions Comportements Évènement « Ce ne sont pas les évènements qui entraînent des conséquences indésirables tant au plan émotionnel que comportemental, mais bien la perception qu’on en a et la signification qu’on leur attribue »

11 Théorie « ABC » de la Thérapie Rationnelle-Émotive
Croyances (interprétations, évaluations, prédictions) C A Conséquences Évènements activateurs (Émotions, comportements) (situations, pensées, sensations)

12 RET: le dialogue intérieur a une place central dans la genèse des troubles psychologiques
Les autoverbalisations sont la source première des perturbations émotionnelles 1. Jugements de l’identité personnelle: soi, autrui, les autres en général « Je suis un raté » Implique que J’ai toujours subi des échecs. Dans l’avenir, je ne connaîtrai que des échecs. Le monde entier a mes échecs en horreur et, en conséquence va me punir et me rejeter, peut-être pour toujours, à cause de mes échecs.

13 RET: le dialogue intérieur a une place central dans la genèse des troubles psychologiques
2. Les impératifs La socialisation de l’individu et l’intériorisation d’une série de règles Insiste sur le pouvoir névrotisant et depressogène d’une série de « must » de « should » Exemple: faire un exposé Trop sérieux- aucune importance

14 RET: le dialogue intérieur
Comment réussir à se rendre malheureux soi-même Impératif catégorique: c’est une véritable obsession de la perfection. « je ne dois pas faire d’erreur, sinon on me congédiera certainement et cela serait affreux » Surestimation de la probabilité: je me rend exagérément anxieux. Dramatisation: j’accentue considérablement les souffrances d’une perte éventuelle de mon emploi J.M Timmermans, adapté de A. Ellis et de Harper, 1992

15 Système de croyances Idéologie impérative « la MUSTURBATION »
3 classes spécifiques de pensées irrationnelles Les 10 croyances irrationnelles Distorsions cognitives

16 IDEOLOGIE IMPERATIVISTE (« musturbation »)
MOI LES AUTRES LE MONDE

17 Les 3 classes spécifiques de pensées irrationnelles
LES EXIGENCES LA CATASTROPHISATION/ DRAMATISATION L’EVALUATION SEVERE DE SOI ET DES AUTRES

18 Les 10 Croyances irrationnelles (Ellis)
J’ai absolument besoin d’être aimé(e) et approuvé(e) par presque toutes les personnes de mon entourage qui comptent pour moi. Je dois agir avec compétence, efficacité et succès dans un quelconque domaine d’importance, sinon ma valeur diminue. Les gens qui se conduisent de manière détestable ou injuste, doivent être blâmés, condamnés et tenus pour de méchantes et mauvaises personnes. C’est terrible, catastrophique lorsque les choses ne vont pas comme je le souhaite. Ce sont les évènements extérieurs qui causent mes sentiments et émotions désagréables. Je n’ai donc à peu près aucun contrôle sur ces émotions et j’ai peu de possibilités de les changer. Si quelque chose est ou peut devenir dangereux ou menaçant, je dois m’en préoccuper énormément et m’en tracasser sans arrêt (et ainsi mon anxiété empêchera ces évènements de se produire). Il est plus facile d’éviter les difficultés de la vie et les responsabilités que d’y faire face. Mon passé a une importance capitale dans la détermination de mon comportement actuel, et il est inévitable que ce qui m’a déjà affecté profondément continue à le faire pendant toute ma vie. Il existe toujours une solution bonne, précise et parfaite aux problèmes humains, et c’est une catastrophe de ne pas trouver cette solution. Je peux atteindre le bonheur par l’inertie, l’inaction ou en me faisant plaisir passivement et sans m’engager personnellement.

19 Distorsions Cognitives
ABSTRACTION SELECTIVE INFERENCE ARBITRAIRE PERSONNALISATION LECTURE DANS LA PENSEE RAISONNEMENT EMOTIONNEL SURGENERALISATION MAXIMALISATION et MINIMILISATION

20 Exercices: trouver la (les) distorsion(s) à l’origine des pensées/émotions
Situations Pensées/émotions Je suis en train de donner mon cours et un étudiant baille (alors que les autres étudiants sont attentifs). Mon cours les ennuie. Je ne suis pas un bon professeur. Colère – tristesse. Le professeur m’interroge et je ne sais pas répondre à la question. J’ai des difficultés à comprendre. Je suis un étudiant médiocre. Tristesse- déprime Je suis dans un groupe et les personnes ne m’adressent pas la parole. Les personnes ne me trouvent pas intéressant. Frustration –ressentiment. Dans une réunion, je suis angoissé parce que je vais devoir expliquer mon point de vue devant tout le monde Si je suis angoissé c’est parce que cette situation comporte un risque pour moi. Anxiété –peur.

21 Interventions ÉMOTIONS: Négatives, appropriées, modérées COMPORTEMENTS
Très probablement appropriés Croyances et pensés RATIONNELLES Qui causent activent Évènements négatifs Qui causent ÉMOTIONS: Négatives, inappropriées, intenses COMPORTEMENTS probablement peu appropriés Croyances et pensés IRRATIONNELLES activent Objectif de la thérapie Reconnaître Modifier

22 Les valeurs véhiculées dans la RET
ACCEPTATION DE SOI, DES AUTRES ET DU MONDE Acceptation inconditionnelle de soi La faillibilité humaine versus les impératifs absolus IMPORTANCE DE LA TOLERANCE A LA FRUSTRATION ET A L’INCONFORT Rôle de la faible tolérance à la frustration et à l’inconfort de l’anxiété dans les conduites d’évitement Avantages versus inconvénients de la tolérance à la frustration momentanée HEDONISME A LONG TERME VERSUS HEDONISME A COURT TERME Application thérapeutique (prise de risque, maximalisation du plaisir…)

23 Introduction Vers 1963, Aaron Beck:
Il analyse « les schèmes de pensée dysfonctionnels » qui suscitent, maintiennent ou accentuent les processus depressogènes et « névrotisants ». Erreurs de perception et d’interprétation: « distorsions cognitives » En 1976, il publie « Cognitive therapy and the emotional disorders » Beck (1921)

24 Aaron Beck (1963) Modèle d’analyse cognitive de Beck Stimulus Schéma
Processus cognitifs (distorsion cognitive) Évènement cognitif (Pensées automatiques négatives) Affect Comportement

25 Schémas, processus, évènements cognitifs
Variables Caractéristiques schémas Les schémas sont inconscients, stockés en MLT, fonctionnent automatiquement, hors de la volonté et de la conscience du sujet. Ils contiennent un ensemble de savoir et de théories que le sujet a sur lui-même et le monde (systèmes de signification) Ils peuvent être activés par des émotions analogues à celles du moment où ils ont été imprimés. Ils donnent un sens affectif (dépressif, anxieux…) aux expériences individuelles. Evènement Schémas Affect

26 Schémas, processus, évènements cognitifs
Variables Caractéristiques Exemples Processus Il s’agit de règles de transformation de l’information qui traduisent les schémas en évènements cognitifs. d’erreurs logiques ou distorsions L’inférence arbitraire L’interprétation égocentrée La dramatisation La dichotomisation

27 Schémas, processus, évènements cognitifs
Variables Caractéristiques Exemples Évènements cognitifs (ou pensées automatiques) ils représentent le produit du traitement de l’information par les schémas et les processus cognitifs ce sont des monologues intérieurs, des pensées ou des images mentales « Je vais commencer à bégayer et à dire de bêtises » « je ne sais pas élever mes enfants, je suis une mère incompétente quand les enfants se disputent » « je vais avoir une crise cardiaque » « je vais perdre le contrôle de moi-même.

28 (distorsion cognitive)
Exemple 1 Stimulus J’ai téléphoné à mon amie et sa mère m’a dit qu’elle était absente Schéma Si je ne peux pas être aimé de tout le monde, je ne peux être heureux. Ma valeur dépend de l’estime des autres Processus cognitifs (distorsion cognitive) Inférence arbitraire « elle ne veut plus de moi. Elle a dû dire à sa mère de me dire qu’elle était absente si j’appelais » Évènement cognitif (Pensées automatiques négatives) Affect triste Comportement Je me couche, pleure et ne retéléphone pas à mon amie

29 (distorsion cognitive)
Exemple 2 Stimulus Je suis invité à une soirée organisée par un ami Schéma Je suis inepte, je ne plais pas. Si les autres apprennent à me connaître, ils me rejetteront. Processus cognitifs (distorsion cognitive) Dramatisation; lecture de la pensée Si j’y vais, ils verront mon malaise et vont me rejeter. Je manque d’égards envers lui Évènement cognitif (Pensées automatiques négatives) Affect Anxiété, dépression Comportement J’évite d’y aller. J’achète un cadeau cher pour lui

30 Les schémas dysfonctionnels ou les postulats silencieux
Les schémas sont des structures cognitives profondes représentant l’ensemble des croyances et des convictions intimes qu’un sujet entretient sur lui-même et sur le monde. Ils correspondent à l’intériorisation de règles personnelles, familiales et sociales, ou à l’impact d ’évènements de vie marquants (tant précoces que récents) On peut distinguer deux types de contenus informationnels dans les schémas: Les croyances inconditionnelles (« Beliefs ») qui se présentent comme des jugements définitifs et qui ressemblent fort à des impératifs catégoriques. « Il vaut toujours mieux envisager le pire » « Ma valeur dépend de ce que les autres pensent de moi » Les croyances conditionnelles (« assumptions ») qui se présentent comme des règles « si……alors » « Si je ne contrôle pas mes émotions alors je risque de devenir folle »

31 Les schémas dysfonctionnels ou les postulats silencieux
Les schémas pathologiques qui caractérisent les troubles émotionnels sont plus rigides, excessifs et absolus que les schémas plus fonctionnels. Les schémas influencent les évaluations que les individus effectuent des situations ainsi que la manière dont ils vont se comporter. Ils donnent un sens affectif (dépressif, anxieux…) aux expériences individuelles et peuvent être activés par des émotions analogues à celles du moment où ils ont été imprimés. Les contenus des schémas sont spécifiques aux troubles (axe I et II)

32 Les schémas dysfonctionnels ou les postulats silencieux dans la dépression
Perte et dévalorisation sont le reflet de croyances conditionnelles et inconditionnelles (schémas) ayant trait à L’amour « Je dois être aimé(e) de tout le monde…Si je ne suis pas aimé(e) de tout le monde, je ne peux être heureux(se) » Le perfectionnisme « Je dois tout faire parfaitement sinon je ne vaux rien » La réussite « Je dois réussir dans tout ce que je fais, sinon cela signifie que je suis stupide » Le besoin d’être approuvé « Ma valeur personnelle dépend de ce que les autres pensent de moi » Le droit à la considération des autres « Les gens devraient toujours être honnêtes, aimables à mon égard » Le code moral personnel « Je devrais être toujours aimable, charitable, attentif envers les autres sinon je suis un ignoble » L’omnipotence « je devrais tout savoir, tout comprendre, tout prévoir » L’autonomie « je devrais pouvoir me débrouiller seul. Avoir besoin de l’aide des autres est un signe de faiblesse »

33 Les schémas dysfonctionnels ou les postulats silencieux dans les troubles anxieux
Dans les troubles anxieux, les croyances conditionnelles et inconditionnelles s’articulent autour du thème de danger (surestimation du danger) dans un domaine particulier et d’une capacité réduite à faire face (sous-estimation des capacités) TAG Croyance relative à l’incapacité de faire face. TAP Croyance relative à la nature dangereuse des symptômes d’anxiété et autres sensations physiques. Phobie spécifique Croyances associant un objet ou une situation à un danger et croyances relatives aux évènements négatifs qui pourraient découler de l’exposition au stimulus phobogène. Phobie sociale Croyances relatives à un danger social suite à l’échec éventuel de sa performance et aux conséquences de montrer ses symptômes d’anxiété. TOC Croyances relatives à la fusion entre la pensée et l’action, au danger et à la puissance des pensées, croyances positives et négatives sur les stratégies de rumination. * Beck et al. (1979). Cognitive therapy of depression. Guilford Press, New York

34 Les schémas dysfonctionnels ou les postulats silencieux dans les troubles de la personnalité
Schéma ou croyance inconditionnel(le) Schéma ou croyance conditionnel(le) Paranoïaque Je suis vulnérable. On ne peut pas faire confiance aux autres. Les gens sont des adversaires potentiels Si je ne me méfie pas, les autres m’exploiteront. Si les gens ont l’air gentil, c’est qu’ils essaient de me duper. Narcissique Les gens me sont inférieurs. Les gens me doivent le respect. Je suis exceptionnel Si les gens ne me montrent pas le respect que je mérite, ils doivent être punis. Evitante Je suis inepte, je ne plais pas. Les autres me sont supérieurs. Je pourrais être blessé Si je participe à quelque chose, je me rendrai ridicule. Voir: Cottraux, J & Blackburn, I.M (1995). Thérapies cognitives des troubles de la personnalité. Masson, Paris

35 Thérapie cognitive: la restructuration cognitive
Faire prendre conscience au patient de ses pensées automatiques négatives. Faire prendre conscience au patient des conséquences émotionnelles et comportementales de ses pensées négatives. Travailler le changement de pensées en proposant des « pensées alternatives ». Encourager les actions et les expériences qui viendront modifier les schémas cognitifs.

36 La Restructuration Cognitive
C’est une technique qui vise à modifier directement les pensées dysfonctionnelles et les distorsions cognitives qui provoquent un vécu stressant. Le clinicien et le patient repèrent avec précision les croyances automatiques qui surgissent pendant les transactions stressantes afin de les discuter, de les modifier et de les remplacer par des idées plus souples, rationnelles et adaptées.

37 Identifier les pensées dysfonctionnelles 
Donc trois étapes : Identifier les pensées dysfonctionnelles Permettre d’exprimer des alternatives Habituer les patients à utiliser ces alternatives

38 Plusieurs outils vont être disponibles : La récolte d’information
L’analyse des comportements et L’attitude du clinicien est ici très importante…

39 Situation Pensées automatiques Emotions
La récolte des informations: les 3 colonnes de Beck Situation Pensées automatiques Emotions Décrire avec précision l’événement qui a produit l’émotion déplaisante ou bien Décrire les images, les souvenirs ou les rêveries qui produisent l’émotion déplaisante. Ecrire la pensée automatique qui a précédée, suivie ou accompagnée l’émotion. Evaluer votre niveau de croyance dans la pensée automatique de 0 à 8. Identifier et évaluer l’émotion (échelle de 0 à 10)

40 Situation Pensées automatiques Emotions
La récolte des informations: les 3 colonnes de Beck Situation Pensées automatiques Emotions Je suis à table avec mon mari. Je lui parle et il ne me répond pas. Il ne s’intéresse plus à moi Croyance: 7 Nous ne sommes plus très amoureux l’un de l’autre. Croyance: 6 Nous ne partageons plus rien Tristesse: 6 Frustration: 8 Colère: 5

41 Il faudrait développer les sous-développées et atténuer les autres
L’idée est aussi que ces pensées sont en relation avec des comportements, des stratégies d’adaptation… Personnalités Croyances de base Stratégies surdéveloppées Stratégies sous -développées Dépendante On va m'abandonner Attachement, recherche d’aide Autonomie Paranoïde Les gens sont des adversaires potentiels Circonspection, vigilance, méfiance Sérénité, confiance Il faudrait développer les sous-développées et atténuer les autres

42 Le questionnement Socratique
Il sert à semer le doute dans les croyances rigides d’un sujet (schémas) La mise en évidence des contradictions entre les observations et les conclusions /jugements qui en résultent est le moyen de semer le doute dans l’esprit du sujet C’est la découverte par le patient de l’univers mental Le clinicien amène le patient à décentrer son attention de la pensée et de l’émotion – en observant la situation et en encourageant l’élaboration de pensées alternatives

43 L’expérimentation Encourager le patient à expérimenter de nouveaux comportements

44 Les émotions: la 3ième vague
John Teasdale: les effets de l’humeur sur la pensée. Recherches sur l’induction expérimentale d’une humeur triste (Teasdle et al., 1982; Teasdale et al., 1988) Impact sur la remémoration « Hypothèse d’activation différentielle » Humeur triste modifications des patrons de pensées Evènement négatif

45 Les émotions: la 3ième vague
Segal, Williams & Teasdale (2002) Evènement négatif Réactivation d’un schéma humeur/ pensées/images/ sensations corporelles Rumination mentale

46 Les émotions: la 3ième vague
Segal, Williams & Teasdale (2002) La « distanciation » ou « décentration » = Prendre distance par rapport aux pensées négatives Comment ? Apprendre au patient à se focaliser sur ses expériences subjectives et cognitions sans les juger et sans essayer de les éviter ou de les supprimer Les thérapies basées sur la pleine conscience (Mindfulness)

47 Les nouvelles théories cognitives
Watkins (2007): les dépressions résiduelles difficiles à traiter. Adapter les TCC aux symptômes résiduels Les ruminations mentales Niveau reste élevé même après rémission complète (Roberts et al., 1998) Niveau élevé est associé à une réponse faible aux antidépresseurs et aux TCC (Ciesla & Roberts, 2002; Schmaling et al., 2002) Niveau prédit la sévérité et la durée de la dépression (Spasojevic & Alloy, 2001; Kuehner & Weber, 1999).

48 Les nouvelles théories cognitives
Watkins (2007): les dépressions résiduelles difficiles à traiter. TCC (questionnement socratique et l’expérimentation de nouvelles attitudes) + nouveaux éléments Activation comportementale (Addis &Martell, 2004; Martell et al., 2001, Dimidjian et al., 2006) Travail spécifique sur les ruminations (Watkins & Baracaia, 2002; Watkins & Moulds, 2005; Watkins et Teasdale, 2004)

49 Les nouvelles théories cognitives
Watkins (2007): les dépressions résiduelles difficiles à traiter. Les différents styles de rumination Pensées abstraites caractérisées par des évaluations Pensées concrètes spécifiques qui permettent la résolution de problème

50 Les nouvelles théories cognitives
Modification des pensées Modification des processus qui génère les pensées


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