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QCM- 1 QCM- 1 Pour l’anthropologie A : Un individu est une personne qui fonctionne par le biais d’interprétations. B : Une société est en partie le produit.

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1 QCM- 1 QCM- 1 Pour l’anthropologie A : Un individu est une personne qui fonctionne par le biais d’interprétations. B : Une société est en partie le produit de la pensée des individus. C : Un individu est toujours déterminé par sa société. D : La culture trouve des expressions spécifiques selon les sociétés. E : La socialisation est un processus social, mais aussi individuel.

2 QCM 2. Questions diverses sur la maladie : QCM 2. Questions diverses sur la maladie : A : Disease est la maladie du médecin : cela signifie que c’est le médecin qui en construit le contenu à travers son discours, son savoir. A : Disease est la maladie du médecin : cela signifie que c’est le médecin qui en construit le contenu à travers son discours, son savoir. B : Illness et Sickness sont des synonymes puisqu’il s’agit à travers ces catégories, de repérer les aspects sociaux de la maladie. B : Illness et Sickness sont des synonymes puisqu’il s’agit à travers ces catégories, de repérer les aspects sociaux de la maladie. C : Pour les anthropologues, il faut que les médecins considèrent le regard des malades sur la maladie, pour les soigner. C : Pour les anthropologues, il faut que les médecins considèrent le regard des malades sur la maladie, pour les soigner. D : « Le feu qui brûle les âmes sensibles », ou «la maladie des romantiques » : c’est l’aspect illness de la tuberculose. D : « Le feu qui brûle les âmes sensibles », ou «la maladie des romantiques » : c’est l’aspect illness de la tuberculose. E : Sickness, c’est le regard collectif d’une société sur un problème de santé E : Sickness, c’est le regard collectif d’une société sur un problème de santé

3 QCM 3 Sur le corps A : Toutes les formes de savoir sont en partie le fruit d’une histoire sociale. B : Les registres du biologique et social, du naturel et du culturel s’imbriquent pour produire nos corps individuels. C : Le corps, comme les manières de penser le corps, sont en partie sociales et culturelles. D : Ce qui est spontané est social. E : Ce qui est spontané est social et culturel : que ce soit un individu ou plusieurs qui raisonnent de manière spontanée sur un phénomène.

4 QCM 4. Questions diverses sur l’anthropologie générale A : L’anthropologie a pour rôle d’analyser comment les environnements sociaux et culturels modèlent des comportements individuels. A : L’anthropologie a pour rôle d’analyser comment les environnements sociaux et culturels modèlent des comportements individuels. B : L’anthropologie a pour rôle d’évaluer des comportements afin de les rendre plus ajustés aux savoirs scientifiques. B : L’anthropologie a pour rôle d’évaluer des comportements afin de les rendre plus ajustés aux savoirs scientifiques. C : L’anthropologie utilise la comparaison aussi souvent que possible pour produire du savoir sur les sociétés et les cultures, depuis qu’elle s’est constituée en discipline scientifique au 18 ème siècle. C : L’anthropologie utilise la comparaison aussi souvent que possible pour produire du savoir sur les sociétés et les cultures, depuis qu’elle s’est constituée en discipline scientifique au 18 ème siècle. D : Pour l’anthropologie, la maladie est une réalité multidimentionnelle. D : Pour l’anthropologie, la maladie est une réalité multidimentionnelle. E : Chacun de nous occupe durant sa vie plusieurs statuts, en même temps ou pas. E : Chacun de nous occupe durant sa vie plusieurs statuts, en même temps ou pas.

5 QCM 5 : Questions sur le corps malade A- Le précodage symbolique est un registre professionnel et profane d’explication possible d’une maladie. A- Le précodage symbolique est un registre professionnel et profane d’explication possible d’une maladie. B- Il y a des normes apprises de manière non consciente, qui sont mobilisées par les professionnels de santé lorsqu’ils raisonnent sur le corps malade. B- Il y a des normes apprises de manière non consciente, qui sont mobilisées par les professionnels de santé lorsqu’ils raisonnent sur le corps malade. C- C- La recherche de sens face à la maladie ou son diagnostic comporte au plus 4 opérations et questions qui leur correspondent, selon A. Zempléni. D-C. Levi-Strauss et M. Mauss ont travaillé sur le corps malade. D-C. Levi-Strauss et M. Mauss ont travaillé sur le corps malade. E- Les savoirs tant professionnels que profanes sur le corps malade intègrent des processus de socialisation. E- Les savoirs tant professionnels que profanes sur le corps malade intègrent des processus de socialisation.

6 QCM 6. Questions diverses A : Le « précodage symbolique » est un registre professionnel d’interprétation d’une maladie. A : Le « précodage symbolique » est un registre professionnel d’interprétation d’une maladie. B : Les valeurs comme les normes sont relatives, c’est-à-dire qu’elles peuvent différer selon les sociétés et les cultures. B : Les valeurs comme les normes sont relatives, c’est-à-dire qu’elles peuvent différer selon les sociétés et les cultures. C : En méthodologie, nous partons des structures d’une société pour comprendre les attitudes des individus. C : En méthodologie, nous partons des structures d’une société pour comprendre les attitudes des individus. D : Les outils de l’anthropologie sont : entretiens qualitatifs, interrogatoires qualitatifs, observations. D : Les outils de l’anthropologie sont : entretiens qualitatifs, interrogatoires qualitatifs, observations. E : Toutes les sociétés produisent des normes qui participent à structurer leur fonctionnement quotidien. E : Toutes les sociétés produisent des normes qui participent à structurer leur fonctionnement quotidien.

7 QCM 7 :Questions diverses : A : Les cultures portent en elles des valeurs, qui nous intériorisons. A : Les cultures portent en elles des valeurs, qui nous intériorisons. B- Les anthropologues analysent le vécu des individus, parfois malades, parfois pas. B- Les anthropologues analysent le vécu des individus, parfois malades, parfois pas. C- Le saturnisme infantile doit être considéré comme une maladie culturelle. C- Le saturnisme infantile doit être considéré comme une maladie culturelle. D- Les anthropologues analysent des expériences individuelles et collectives, qui sont entre autres, des formes de savoir. D- Les anthropologues analysent des expériences individuelles et collectives, qui sont entre autres, des formes de savoir. E- La représentation est une construction à partir du réel. E- La représentation est une construction à partir du réel.

8 QCM 8. Questions diverses A : Les cultures dans lesquelles nous évoluons influent sur nos manières de penser la santé. B : Les éléments subjectifs renvoient, entre autres, aux représentations des individus. C : Les représentations sociales sont des connaissances pratiques. Ce sont des processus mentaux essentiels dans nos vies. D : Pour parler de la maladie, l’anthropologie doit passer par le discours médical, pour aller ensuite vers les représentations des personnes malades. E : L’observation est une des manières pour l’anthropologue de faire émerger des questions sur des comportements, qui seront ensuite posées en entretien.

9 9 Sur les itinéraires thérapeutiques : A- La biomédecine recherche en priorité les mécanismes qui produisent une maladie. B- Rechercher l’agent à l’origine d’une maladie, c’est rechercher la cause ultime d’une maladie. C- Rechercher la cause immédiate d’une maladie, c’est rechercher les événements qui l’ont produite. D- Rechercher la cause d’une maladie, revient à rechercher une cause instrumentale, un mécanisme qui aurait produit le problème. E- Rechercher l’origine d’une maladie correspond à la recherche des événements qui l’ont produite, dans les médecines « traditionnelles ».

10 QCM 10 : Sur les itinéraires thérapeutiques A : En anthropologie nous cherchons à reconstituer autour d’une pathologie, les éléments structurels, conjoncturels, matériels et immatériels qui la façonnent. B : Conceptions endogènes et exogènes sont des modèles étiologiques d’explication d’une maladie. C : Le registre des conceptions endogènes contient des représentations, pas le registre des conceptions exogènes, basé sur le savoir médical. D : Dans la recherche d’une cause à une maladie, la recherche du pourquoi correspond à la recherche de la cause efficiente. E : La question « qui ou quoi a produit la maladie », renvoie à la recherche de l’agent.

11 QCM 11 : Questions diverses A : Normes, valeurs, règles, sont des synonymes. B : La culture matérielle, comme la culture immatérielle, sont deux entrées possibles pour interroger les phénomènes culturels. C : L’art s’inscrit dans la culture matérielle. D : On peut penser que la culture participe à faire l’être humain. Elle participe à distinguer l’homme de l’animal. E : La culture comprend une dimension matérielle, une dimension immatérielle, une dimension corporelle.

12 QCM 12 : Questions diverses : A : Sickness et illness peuvent s’articuler quand un individu construit une représentation. B : Les grands cadres d’une société sont d’abord collectifs avant de devenir individuels. C : Les cadres sociaux qui façonnent nos manières d’être et de penser sont d’abord individuels ; ils deviennent collectifs par le biais des socialisations. D : En anthropologie, nous considérons l’autorité des professions de santé comme une relation. E : M. Arliaud a travaillé sur la profession médicale en France

13 QCM 13 : Sur la profession médicale A : Des luttes sociales ont été nécessaires pour que les docteurs en médecine retrouve nt le monopole de l’exercice médical après la Révolution française. B : C’est au 20 ème siècle que la plus grande partie de cette lutte a eu lieu. C : L’autorité de la médecine est avant tout liée à l’acquisition de savoirs théoriques. D : C’est la loi de 1892 qui pose le cadre légal de la médecine contemporaine. E : Les officiers de santé ont cohabité avec les docteurs en médecine pour délivrer des soins en ville et dans les campagnes en France durant environ cent ans.

14 QCM 14 : Questions diverses A : Le corps est un reflet et un instrument du social. B : Les normes sont un reflet et un instrument du fonctionnement des sociétés. C : La socialisation est un processus. D : La socialisation est un moyen et un état. E : La socialisation concerne tous les domaines d’une vie.

15 QCM 15 : Questions diverses A : Le processus de socialisation des étudiants en médecine a été étudié par les sociologues et les anthropologues. A travers les représentations sociales, chaque être humain vivant en société va intégrer une part de ce qu’il vit pour en faire sa réalité. B : A travers les représentations sociales, chaque être humain vivant en société va intégrer une part de ce qu’il vit pour en faire sa réalité. C : La maladie est une menace dans toutes les sociétés. D : Pour l’anthropologie, le corps est avant tout une base matérielle et naturelle. E : Les symboles sont très présents dans les cultures.

16 16 Pour l’anthropologie : A : A : Le corps est considéré par les anthropologues comme un élément privilégié sur lequel le social vient s’inscrire. B : Le corps est parfois un objet du travail de la pensée, parfois pas. C : Le corps incorpore le social tout au long de sa vie. D : Norbert Elias a travaillé sur les processus de civilisation. D : Norbert Elias a travaillé sur les processus de civilisation. E : M. Mauss a travaillé sur les processus de construction de la distinction.

17 17 Questions diverses A : D. Memmi a travaillé sur l’alimentation. A : D. Memmi a travaillé sur l’alimentation. B : Se représenter quelque chose, c’est lui attribuer une signification. B : Se représenter quelque chose, c’est lui attribuer une signification. C : Les dynamiques sociales interviennent dans le contenu d’une représentation, pas dans son élaboration. C : Les dynamiques sociales interviennent dans le contenu d’une représentation, pas dans son élaboration. D : Les critères médicaux qui permettent de définir les limites entre normal et pathologique sont en partie le fruit d’une histoire sociale. D : Les critères médicaux qui permettent de définir les limites entre normal et pathologique sont en partie le fruit d’une histoire sociale. E : Dans le contenu d’une représentation, on trouve des éléments structurels et conjoncturels, ou des facteurs « contingents » E : Dans le contenu d’une représentation, on trouve des éléments structurels et conjoncturels, ou des facteurs « contingents »

18 18 Sur les auteurs : A : S. Fainzang a étudié la circulation de l’information entre médecins et malades. A : S. Fainzang a étudié la circulation de l’information entre médecins et malades. B : G. Vigarello a étudié un geste technique: l’inoculation face à la tuberculose. B : G. Vigarello a étudié un geste technique: l’inoculation face à la tuberculose. C : E. Hughes a étudié la profession médicale aux Etats-Unis. C : E. Hughes a étudié la profession médicale aux Etats-Unis. D : E. Freidson a étudié la profession médicale en France. D : E. Freidson a étudié la profession médicale en France. E : N. Elias a travaillé sur les processus de civilisation et la construction de la distinction. E : N. Elias a travaillé sur les processus de civilisation et la construction de la distinction.

19 19 Questions diverses : A : Pour l’anthropologie, il n’y a de vérité que dans la construction de ces vérités par les individus. A : Pour l’anthropologie, il n’y a de vérité que dans la construction de ces vérités par les individus. B : La relation de soin n’est pas symétrique car elle est conditionnée par un besoin, celle d’obtenir des soins du côté des personnes malades. B : La relation de soin n’est pas symétrique car elle est conditionnée par un besoin, celle d’obtenir des soins du côté des personnes malades. C : Chacun de nous fonctionne avec une identité, qui est, entre autres, un regard porté sur soi. C : Chacun de nous fonctionne avec une identité, qui est, entre autres, un regard porté sur soi. D : Dans les soins, l’identité d’un individu peut être mobilisée par le soignant pour interpréter des attitudes d’observance ou d’inobservance. D : Dans les soins, l’identité d’un individu peut être mobilisée par le soignant pour interpréter des attitudes d’observance ou d’inobservance. E : La différence du vécu de la séropositivité selon le genre relève du disease. E : La différence du vécu de la séropositivité selon le genre relève du disease.

20 20 Questions diverses A : Selon D. Fassin, l’autorité de la profession médicale s’analyse en termes de relations entre ceux qui détiennent l’autorité et ceux qui la délèguent aux soignants. A : Selon D. Fassin, l’autorité de la profession médicale s’analyse en termes de relations entre ceux qui détiennent l’autorité et ceux qui la délèguent aux soignants. B : B : SI le rôle du médecin est socialement défini, il n’en va pas de même pour celui du patient. C : C : En anthropologie, le corps est considéré comme un reflet du fonctionnement culturel, social, politique des sociétés. Il est aussi considéré comme un vecteur de ces processus sociaux. D : Les expériences de la maladie sont en partie normées par les attitudes des professionnels de santé. E : La socialisation professionnelle conduit, notamment, à faire acquérir aux futurs médecins des représentations, des savoirs, et sans doute aussi des croyances.


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