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Enseigner les sciences à l’école Sciences et langage.

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1 Enseigner les sciences à l’école Sciences et langage

2 Au cycle 1 Le langage est mobilisé pour : Formuler des connaissances : nommer, étiqueter, classer, comparer, élaborer des référents, transmettre, Formuler des connaissances : nommer, étiqueter, classer, comparer, élaborer des référents, transmettre, Mettre en relation : interpréter, réorganiser, donner du sens, Mettre en relation : interpréter, réorganiser, donner du sens, Faire valoir son point de vue : convaincre, argumenter, Faire valoir son point de vue : convaincre, argumenter, Interpréter des documents : rechercher, se documenter, consulter. Interpréter des documents : rechercher, se documenter, consulter.

3 Contribution des sciences Enrichissement du lexique : l’acquisition de mots nouveaux et précis s’ancre dans les situations vécues Enrichissement du lexique : l’acquisition de mots nouveaux et précis s’ancre dans les situations vécues Construction d’une syntaxe adaptée : pour rendre compte des caractéristiques des sciences et techniques Construction d’une syntaxe adaptée : pour rendre compte des caractéristiques des sciences et techniques

4 Conséquences langagières Les élèves apprennent peu à peu à utiliser : des connecteurs logiques, spatiaux, temporels, des connecteurs logiques, spatiaux, temporels, des marques explicites de la généralité (toujours, chaque fois…) ou de la condition (si… alors…) des marques explicites de la généralité (toujours, chaque fois…) ou de la condition (si… alors…) des phrases souvent au présent dont le sujet n’est pas l’expérimentateur. des phrases souvent au présent dont le sujet n’est pas l’expérimentateur.

5 Les différentes fonctions Le langage dans l’action : c’est la mise en mots induite par le désir de communiquer. Le langage dans l’action : c’est la mise en mots induite par le désir de communiquer. Le langage d’évocation : pour rappeler ce qu’on a fait, vu et compris, il permet d’anticiper, de prévoir, de formuler de manière plus générale. Le langage d’évocation : pour rappeler ce qu’on a fait, vu et compris, il permet d’anticiper, de prévoir, de formuler de manière plus générale.

6 Les formes de langage Le monologue : temps d’appropriation (faire et refaire, dire et redire) qui permet ensuite une participation plus active en groupe. Le monologue : temps d’appropriation (faire et refaire, dire et redire) qui permet ensuite une participation plus active en groupe. Le dialogue maître/élève : l’enfant appuie sa parole sur celle de l’adulte et consolide ses formes langagières. Le dialogue maître/élève : l’enfant appuie sa parole sur celle de l’adulte et consolide ses formes langagières. Les échanges : ils amènent à formuler, à préciser, à rendre compréhensible, à prendre en compte les points de vue différents. Les échanges : ils amènent à formuler, à préciser, à rendre compréhensible, à prendre en compte les points de vue différents.

7 Prise de parole L’expression parlée favorise une pensée réfléchie, divergente, flexible et propice à l’invention. L’expression parlée favorise une pensée réfléchie, divergente, flexible et propice à l’invention. Pour aider à la prise de parole, des supports variés sont sollicités (albums, photos, empreintes, enregistrements…). Pour aider à la prise de parole, des supports variés sont sollicités (albums, photos, empreintes, enregistrements…). Les temps de parole s’inscrivent dans la durée grâce au questionnement du maître et à l’organisation du travail entre pairs. Les temps de parole s’inscrivent dans la durée grâce au questionnement du maître et à l’organisation du travail entre pairs.

8 Questionnement du maître A l’école maternelle, l’élève ne distingue pas clairement les causes des conséquences. Les questions du maître ne doivent pas se formuler toujours en terme de « pourquoi » mais plus souvent en terme de « comment », « à quelles conditions », « quelles caractéristiques ».

9 Le rôle du maître Au niveau du lexique et de la syntaxe : Au niveau du lexique et de la syntaxe : - il apporte les éléments du lexique pour nommer, qualifier, - il suscite comparaisons et mises en relation, - il reprend les mises en relation pour favoriser les catégorisations de plus en plus liées aux connaissances.

10 Au niveau des échanges : Au niveau des échanges : - il ménage les temps d’écoute et de reformulation individuels, valorise la parole de chacun dans le groupe, - il permet la discussion entre pairs grâce à des supports sur lesquels ou avec lesquels agir, - il favorise les échanges, les recentre, donne de la rigueur au questionnement.

11 De l’oral à l’écrit En prenant appui sur l’écrit, la parole peut s’assurer, être remodelée, réécrite. En prenant appui sur l’écrit, la parole peut s’assurer, être remodelée, réécrite. Lorsque la parole précède l’écriture, l’élève passe d’un langage nourri d’implicite à un langage plus précis. Lorsque la parole précède l’écriture, l’élève passe d’un langage nourri d’implicite à un langage plus précis. Ecrire favorise le passage à des niveaux de formulation et de conception plus élaborés. Ecrire favorise le passage à des niveaux de formulation et de conception plus élaborés.

12 Le lexique à construire L’enseignant doit favoriser la structuration du lexique par : la reprise quotidienne du champ lexical étudié et des images mentales associées, la reprise quotidienne du champ lexical étudié et des images mentales associées, l’utilisation, non seulement des substantifs, mais des verbes qui disent les actions et des qualificatifs qui apportent des précisions. l’utilisation, non seulement des substantifs, mais des verbes qui disent les actions et des qualificatifs qui apportent des précisions.

13 Exemple de lexique à construire A partir d’un panier de fruits… Substantifs : Ananas, avocat, banane, citron, clémentine, cœur, coque, couteau, épluchure, feuille, fruit, grain, graine, grappe, jus, kiwi, lychees, mangue, noix, noyau, orange, pamplemousse, peau, pépin, poire, pomme, quartier, queue, raisin, tranche…

14 Verbes : Boire, couper, dessiner, écouter, éplucher, faire cuire, goûter, manger, observer, peler, peser, regarder, sentir, tâter…

15 Adjectifs : Couleur : jaune, marron, rouge, orange, vert… Couleur : jaune, marron, rouge, orange, vert… Taille : allongé, gros, long, petit… Taille : allongé, gros, long, petit… Forme : ovale, rond… Forme : ovale, rond… Goût : acide, bon, sucré… Goût : acide, bon, sucré… Texture : doux, lisse, piquant, dur, mou… Texture : doux, lisse, piquant, dur, mou…

16 Transformations attendues Langage événementiel langage scientifique Pas de connecteurs logiques ou connecteurs inappropriés : et, pour que… Pas de connecteurs logiques ou connecteurs inappropriés : et, pour que… présence de connecteurs logiques : parce que... Verbes souvent au passé : j’ai glissé Verbes souvent au passé : j’ai glissé verbes au présent : la glace est glissante.

17 Description des circonstances : ce matin, dans la cour… marques explicites de la généralité : toujours, chaque fois que…, de la condition : si… Description des circonstances : ce matin, dans la cour… marques explicites de la généralité : toujours, chaque fois que…, de la condition : si… Utilisation fréquente de la première personne : le sujet de la phrase est l’enfant lui-même utilisation de la troisième personne : le sujet de la phrase est l’objet d’étude. Utilisation fréquente de la première personne : le sujet de la phrase est l’enfant lui-même utilisation de la troisième personne : le sujet de la phrase est l’objet d’étude.

18 Un exemple pour résumer Un élève est tombé en glissant sur une plaque de glace… Un élève est tombé en glissant sur une plaque de glace…

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