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J’ai pris le temps de prendre le temps Tome 4

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Présentation au sujet: "J’ai pris le temps de prendre le temps Tome 4"— Transcription de la présentation:

1 J’ai pris le temps de prendre le temps Tome 4
C’est la valeur qu’on vous donne qui conditionne la réalité

2 J’ai travaillé fort pour être un menteur crédible
 Tome 4 J’ai travaillé fort pour être un menteur crédible Un cerveau qui veut être équilibré qu'il le soit Jean Luc Archambault

3 Plan du livre Remerciements Dédicace Introduction Le bilan catastrophique de l’immigration Le Québec mérite la crème des immigrants Créer une télé réalité Le rapport de l’étude de l’Institut Fraser Il y a deux raisons d’être chouette : la bonne raison et la vraie raison. Le Moi inc. Sommaire

4 Remerciements Merci à Samia Abdelaziz, à Agnès Monseur, Jacques Reid et Benoît Allaire pour leurs précieux conseils et leur lucidité. Merci à Mathieu Laferrière, Rebecca Joblon, Mathieu Soulayres, Nacer Eddine Ziani, Monique Jutras, Manuel Robert, Ghassan Chemali, Bertin Godé, Marie Josée Plouffe, Arsène Melanoue, Mohamadou Doundèye, Réjean Leblanc, Hélène Chapart, Nacer Eddine Boulekfoul, Herbert Grubel, René Deschênes, William Arruda, Guillaume Labarthe, Denis Poirier, Suzanne Boulianne, Denys Allard, Dale Carnegie, Renaud Dugas, Dominique Crête, Cyril Arnaud, Alain Laferrière, Akila Chentir, Henri Yelle, Alexia Grenier, Mladen Licul, Eric Carioli, Christian Roy, Mathieu Massé, René Lahaie, Gisèle Brunette, Walid Gamoudi, Yves Tremblay, André Richard, Benoît Parent, Daniel Piaget, Jean Guy Leroux, Albert Einstein, Michael Gershon. Votre contribution a été tout simplement géniale. Merci aux nouveaux immigrants algériens et à l’Institut Fraser. Merci à mon comité de lecture qui m’a aligné. Merci donc à Agnès Monseur, à Samia Abdelaziz, à Jacques Reid et à Denis Poirier. Votre lucidité est une vraie bénédiction. Merci aux personnes que j’ai côtoyé lors de l’écriture de ce livre et aux nouveaux immigrants qui ont alimentés mes forums de discussions. Vos commentaires et recommandations confirment que vous êtes des personnes lucides. Je vous avais promis que j’écrirais ce livre. Le travail est fait. Le meilleur est à venir. J’ai certainement oublié beaucoup de monde et je m’en excuse. Jean Luc Archambault

5 Dédicace Je dédie ce livre À ma mère Flore qui m’a dit un jour de miser sur la clé d’or et des valeurs sûres, comme la solidarité, l’entraide et le respect mutuel. À mon épouse Lise qui a fait preuve jusqu’à son dernier souffle, d’une détermination et d’un courage gravés à jamais dans mon coeur. À mes enfants Annick et Julie et à ma petite fille Magalie. Je vous aime beaucoup. Merci de me garder jeune. Aux ingénieurs, chimistes et technologues qui m’ont accordés leur confiance. Je vous remercie du fond du cœur. Votre solidarité me fait vibrer. Aux employeurs, aux candidats et aux partenaires d’affaires que j’ai mobilisés. Ne laissons personne nous dire qu’il est impossible de réaliser ce qui est écrit dans ce livre. On doit le faire car personne ne le fera à notre place.

6 Introduction Guy Chevrette : Vous m’avez suivi? Parfait ! Comme je le disais, on a le droit de se tromper et de se décevoir.  Les nouveaux immigrants qui s’intègrent rapidement, suivent le bon chemin intuitivement plutôt que le mauvais logiquement. Ils savent ce qui alimente la frustration des cerveaux qui embauchent. Ils ne se posent pas les questions : "Pourquoi et à cause de qui?" Mais : "Comment faire et avec l'aide de qui?"

7 Les nouveaux immigrants qui ont fait des témoignages dans ce livre, savent
que la course sera remportée par ceux qui iront jusqu’au bout. Jean Luc leur a enseigné à se passer de lui. Il a mis de l’essence dans leur réservoir et leur a donné une carte routière pour les aider à se rendre à destination. La vie de l’immigrant qui s’intègre rapidement se résume à douze éléments : redéfinir ses problèmes, analyser ses propres idées, faire connaître ses idées, admettre que son diplôme est un couteau à deux tranchants, surmonter les obstacles, prendre des risques, avoir la volonté d’évoluer, croire en lui-même, tolérer les ambiguïtés, trouver ce qu’il apprécie faire, le faire, s’autoriser à prendre le temps de prendre le temps et se donner le droit de faire des erreurs et des gaffes. La course est toujours remportée par celui qui va jusqu’au bout.

8 Le bilan catastrophique de l’immigration au Canada
Kathleen Weil : En 2008, un haut fonctionnaire du Ministère de l’Immigration a présenté à Jean Luc le bilan catastrophique de l’immigration au Canada. Il lui a recommandé de jouer la carte de la solidarité, sinon les employeurs au Québec devront se contenter des miettes. Guy Chevrette : Le Québec doit attirer, accueillir et intégrer des immigrants qui ont du bon sens. On doit répondre à la demande cachée, c’est-à-dire aux besoins non comblés par l’offre actuelle. Un timide : Le Québec attire nouvelles fraises par année mais il n’a pas le courage d’intégrer celles déjà ici !!! Samia : Bonté divine !!! Il lit dans mes pensées !!! Le timide : On doit se mobiliser avant que des nouvelles fraises se pointent ici et non après. Dans la mesure où l'immigration est nécessaire, la priorité doit être accordée aux fraises équilibrées. Kathleen Weil : ‘’La vérité doit sortir du sac Michou. Fait plaisir au timide.’’ Guy Chevrette : La vérité sortira du sac et vous lui verrez la fraise !!!

9 Gérard Bouchard : Il y a trop d’immigrants au Québec dont la fraise n'a rien à voir avec les besoins des PME. Le processus de sélection doit être réaligné afin d’éviter le chaos. Guy Chevrette : Les PME n’ont pas besoin d’immigrants esclaves de leurs habitudes mentales. Le Québec en a déjà trop. Depuis le début des années 80, la majorité des immigrants s’installent à Montréal et à Laval et ce n’est pas demain matin que la situation changera. Un immigrant maghrébin : Il y a trop de maghrébins qui ne travaillent pas à Montréal et à Laval, leur taux de divorce est élevé et leurs enfants sont des clients des centres de corrections juvéniles. Jadis, les immigrants européens étaient une valeur ajoutée pour le Québec et leurs enfants et leurs petits-enfants ont réussi à s’intégrer et ils ont connu un rendement semblable à celui des québécois. Gérard Bouchard : Il n’y a aucune preuve jusqu’ici qui indique que cette tendance se maintiendra avec les maghrébins qui vivent d’importantes difficultés économiques, familiales et psychiques. Il est inutile d‘en attirer des nouveaux et de les entasser à Montréal et à Laval dans l’espoir que leurs enfants et petits-enfants sauront prendre leur place au soleil. Nous avons la preuve qu’ils échouent lamentablement depuis le début des années 80.

10 Un vieux-jeune : Misons sur les babys boomers qui veulent travailler
Un vieux-jeune : Misons sur les babys boomers qui veulent travailler !!! Samia : Bonté divine !!! Gérard Bouchard : Maintenant, parlons des algériens, des marocains et des tunisiens. Ils ont une chance de prouver qu’ils peuvent se mobiliser. Tout est dit.

11 Témoignages Mathieu Laferrière : La solidarité est la pilule à prendre
Témoignages Mathieu Laferrière : La solidarité est la pilule à prendre. Je vous la recommande sans hésitation. Rebecca Joblon : La solidarité incite à avoir la bonne attitude. J’y entrevois une véritable logique. Mathieu Soulayres : La solidarité remet les idées en place face au marché de l'emploi et à nous même. Nacer Eddine Ziani: Chaque immigrant doit suivre une formation pour comprendre les enjeux de la diversité culturelle et apprendre à tisser des liens durables avec les employeurs. Monique Jutras: Nous avons la liberté et les talents pour bâtir un pont de solidarité avec les chefs d’entreprises ayant des emplois cachés à combler. Manuel Robert: On doit faire comprendre aux immigrants que les employeurs recherchent des talents qui font une différence. Ghassan Chemali: Chaque immigrant a un travail sur soi à faire avant d’entrer sur le marché du travail.

12 Bertin Godé: Faite preuve de courage, de patience, d’honnêteté et d’abnégation
car la réussite est à l’image des efforts fournis. Marie Josée Plouffe: Soyez honnête et naturel, sinon votre immigration sera un cauchemar. Je vous recommande de suivre les conseils de votre mentor. Arsène Melanoue: Vous ne pouvez imaginer quelle joie m’anime. Je resterai impliqué et je suis prêt à faire des témoignages qui pourraient encourager les nouveaux immigrants à persévérer. Mohamadou Doundèye: Je pensais connaître le marché de l’emploi. Pour y entrer, il faut d’abord connaître sa vraie valeur. C’est ce qui manque aux jeunes diplômés et aux nouveaux immigrants.

13 Deux exemples d’intégration réussie
Si votre immigration est planifiée et structurée, votre intégration peut se faire en deux semaines. J’en suis la preuve vivante. Votre réussite doit être fondée sur la confiance et l'échange. Soyez fiers de prendre votre place dans votre nouvelle patrie. Jean Luc m'a donné une réelle énergie. Il m'a fait croire en mon rêve mais surtout il me l'a concrétisé. Son savoir m'a été d'une aide cruciale. Le fonctionnement du marché de l'emploi au Québec étant différent du système français, mes démarches ont pu de ce fait aboutir. La base de cette réussite est fondée sur la confiance et l'échange: on doit être à l'écoute et savoir se faire entendre par son interlocuteur. Je souhaite à quiconque d'avoir la chance un jour de faire la connaissance de cet homme aux vertus généreuses, avec qui, j'ai établi une relation amicale et professionnelle de qualité et en qui j'ai une totale confiance. J'aimerai vous faire part du proverbe qui me fait vivre quotidiennement : ‘’Il ne faut pas confondre rêver sa vie et vivre ses rêves.’’ Hélène Chapart

14 J’ai connue la triste réalité de l’immigration au Québec
J’ai connue la triste réalité de l’immigration au Québec. Il ne suffit pas de prendre l’avion, de passer les formalités aux douanes et à l’immigration pour dire qu’on est arrivés au Québec. Les changements sont à l’intérieur du Moi inc. C’est un travail au quotidien et surtout la victoire de toute une vie. Il ne faut jamais oublier que tout part de soi. Étant immigrants mon mari et moi, originaires d’Algérie, nous avons subit pendant trois années la triste réalité et le désappointement de l’immigration. Nous avons suivis les ateliers de Jean Luc et nous n’avons point été désappointés, bien au contraire. En quelques mois, nous avons su prendre le taureau par les cornes et réalisés certains de nos rêves. Nous avons appris que peu importe l’origine, l’éducation ou la culture, la seule chose qui importe est la façon de gérer son savoir être et son savoir faire. Jean Luc est un homme franc, direct, sans équivoque, son intensité peut paraître brutale pour celui qui ne le connaît pas mais elle est essentielle pour celui qui veut sortir de son isolement, avancer et faire de son immigration une parfaite réussite car comme on dit, ça passe ou ça casse. Ses ateliers vous permettront de découvrir vos talents cachés et votre vraie valeur, vous équiper intelligemment, prendre votre place, faire du réseautage responsable, vous vendre et décrypter les emplois cachés dans la tête des employeurs. Les ponts que nous avons bâtis avec lui sont solides et porteurs d’espoir. Il fait partie des personnes chaleureuses, généreuses, qui donnent de leur temps, de leur énergie et de leur passion sans rien attendre en retour.

15 Donner au suivant est la plus belle valeur à préserver au Québec
Donner au suivant est la plus belle valeur à préserver au Québec. Nous souhaitons aux immigrants déterminés et passionnés de réussir leur intégration au Québec. Il ne suffit pas de prendre l’avion, de passer les formalités aux douanes et à l’immigration pour dire qu’on est arrivés au Québec. Il faut s’armer de patience, de courage et de persévérance. Nous pouvons vous assurer que ses ateliers renforceront votre détermination et vous apprendront à gérer votre savoir faire et votre savoir être. Le Québec est une terre d’accueil hospitalière et ouverte à la différence, son multiculturalisme en fait sa force, et chacun peut y trouver sa place à condition d’être bien préparé. Henri le Saux dit : Le soleil ne se lève que pour celui qui va à sa rencontre. Samia Abdelaziz

16 Samia et son mari Toufik veulent aider les nouveaux immigrants algériens à s’intégrer. Jean Luc leur a demandé de bien y réfléchir et de s’assurer que les raisons qui les motivent, soient solides. Jean Luc leur a dit : Êtes-vous assez motivés pour apprendre? Voici les arguments que Jean Luc a utilisés pour les motiver : La pire erreur que vous pouvez faire est d’attendre que quelqu’un d’autre les aident à votre place. N’ayez pas peur d’offrir vos services aux nouveaux immigrants algériens qui ont du bon sens. Vous avez immigrés en 2004 et vous êtes sortis du Bien Être Social en Depuis 2008, vous avez réalisés certains de vos rêves. Jean Luc a ensuite dit à Toufik: Tu as une tête sur les épaules et du cœur au ventre. Il a dit à Samia : Tu es une battante et tu sais faire gros avec pas grand chose. Ils se sont regardés dans les yeux et ils se sont dit : prenons le temps de l’écouter. On n’a rien à perdre et tout à gagner. Jean Luc leur a dit : Je sais que vous savez quoi dire aux nouveaux immigrants algériens pour qu’ils comprennent que le Québec n’est pas le paradis sur terre. Vous savez aussi comment faire pour retirer la corde invisible qui les garde esclaves de leurs habitudes mentales. Vous pouvez le faire car vous l’avez vécu. Parlez-vous et ensuite parlez à des personnes en qui vous avez le plus confiance afin d’avoir leur avis.

17 Posez-leur ses questions :
Quels sont les besoins des nouveaux immigrants? Qu’est-ce qu’ils aimeraient recevoir comme services sur mesure? S’ils devaient revenir au Québec, que feraient-ils différemment? Quels services leurs offrir pour les bichonner et non les bouchonner? Les nouveaux immigrants algériens méritent-ils vos services? Les réponses que vous aurez vous aideront à prendre la bonne décision. Vous devrez préparer un plan de travail et un budget. C’est indispensable pour voir clair. Il vous faudra savoir combien d’argent emprunter pour démarrer votre entreprise. Prenez votre temps pour bien compter et assurez-vous d’intégrer toutes les charges et une marge de sécurité pour les charges supplémentaires imprévues. Vous devez savoir d’où proviendra l’argent nécessaire pour financer votre entreprise. Avez-vous besoin d’un prêt? Avez-vous besoin d’une marge de crédit? Pouvez-vous emprunter de l’argent à des membres de votre famille ou à des amis? Il vous faut connaître les réponses à ces questions étant donné que le flux de trésorerie est vital pour une entreprise.

18 Mettez vos idées par écrit et posez-vous ses questions :
Que voulons-nous vendre et à quel prix? Qui seront nos clients? Où allons-nous les rencontrer? Combien de temps faudra-t-il pour conclure une vente? Combien de temps faudra-t-il pour être payé suite à une vente? Combien d’immigrants sont prêts à payer pour utiliser nos services? Le fait de mettre votre projet par écrit vous permettra de décrire les besoins non comblés par l’offre actuelle, c’est-à-dire la demande cachée. Vous devez répondre uniquement à la demande cachée. Si vous devez emprunter de l’argent, vos prêteurs voudront la comprendre cette demande cachée. Alors, il vaut mieux écrire votre plan de travail et établir vos prévisions budgétaires avant de rencontrer votre banquier. Toufik a dit, on fait ça comment Jean Luc? Jean Luc lui a répondu : Consultez des gens qui peuvent vous aider à développer votre plan de travail. Je connais des gens qui peuvent vous aligner et vous aider à financer votre entreprise. J’ai aussi des contacts qui peuvent vous référer des clients.

19 Si vous n’êtes pas à l’aise pour recruter des clients, qui vous trouvera des clients? Vous devez réfléchir à cette question parce que si vous n’avez pas de clients, vous n’avez pas d’entreprise. Peut-être devrez-vous suivre un cours et lire quelques livres sur l’entreprenariat? Pensez à autant de problèmes et d’obstacles que possible et à la façon d’y faire face. Des événements imprévus vont se produire. Prenez le temps de cibler vos clients. Concentrez-vous sur une ou deux choses pour établir votre marque. Répondez à la demande cachée et soyez à l’écoute de vos clients. Rome ne s’est pas bâtie en un jour. Il vous faudra du temps pour développer votre plan de travail. Ne soyez ni trop optimiste ni trop défaitiste. Vous travaillerez plus d’heures que vous ne le pensiez. Assurez-vous d’être mentalement et physiquement prêt avant de commencer. Gardez vos emplois actuels et prenez les bouchées doubles aussi longtemps que possible. Mettez-vous d’accord avec vous-même et avec vos deux enfants. Vous avez toujours travaillé dans un milieu où on prenait les décisions pour vous. Vous devez réapprendre à travailler et à prendre vos propres décisions.

20 Votre métier de parents vous sera utile
Votre métier de parents vous sera utile. Donnez en impartition les travaux qui ne relèveront pas de votre domaine et faites des ententes avec certains de mes contacts pour ces travaux. Demandez à des experts dans leur domaine de vous aider afin d’être concentré sur ce que vous faites le mieux. Lorsque vous serez prêts à me présenter votre plan de travail, trouvez-vous un nom d’entreprise qui sera collé dans le cerveau de vos clients. Mais il y aura des gens qui tenteront de vous décourager. Soyez prêt à travailler fort. Ne laissez personne vous dire que c’est impossible. Guy Chevrette : On devrait investir dans ce projet !!!

21 Le Québec mérite la crème des immigrants
Guy Chevrette : Le Québec doit attirer, accueillir et intégrer la crème des immigrants qui doivent répondre aux besoins non comblés par l’offre actuelle. Il est inutile d’attirer nouveaux immigrants par année, si on n’a pas le courage d’intégrer ceux déjà ici. Gérard Bouchard : Le temps est venu de parler aux employeurs avant que les nouveaux immigrants arrivent ici et non après. Dans la mesure où l'immigration est nécessaire, la priorité doit être accordée aux immigrants équilibrés. François Legault : Il y a trop de nouveaux immigrants dont les talents n'ont rien à voir avec les besoins des PME. Le processus de sélection doit être réaligné afin d’éviter le chaos. Trop d’immigrants ont les deux pieds dans la même bottine. Le Québec en a déjà trop. Claude Béland : Ce n’est pas demain la veille qu’ils s’intègreront. Pauline Marois: Le travail à faire est énorme, mais quel beau défi. Les nouveaux immigrants doivent tout faire dans leur pays d’origine, et ce sans compromis, pour mettre leurs babines dans la même direction que leurs bottines. Françoise David : Mieux vaut une vérité qui fait mal, qu'un mensonge qui réjouit. Samia: C’est clair.

22 Guy Chevrette : Depuis le début des années 80, il y a au Québec un déplacement vers l’industrie du Savoir. Le traitement de l’information, la capacité à analyser et à transmettre de l’information est capitale pour travailler au Québec. Dans l’industrie du Savoir, nous avons besoin d’individus responsables, intègres, autonomes et équilibrés. Samia : L’offre de formation, de coaching et de mentorat doit répondre à la demande cachée pour attirer, accueillir et intégrer les nouveaux immigrants. Gérard Bouchard : La majorité des nouveaux immigrants sont honnêtes dans leur intention de s'installer au Québec. Ils veulent se bâtir une meilleure vie et mettre l’épaule à la roue. Françoise David : Les nouveaux immigrants qui désirent être autonomes rapidement, doivent être évalués dans leur pays d’origine. Les employeurs et les forces vives du marché du travail doivent s’en charger. François Legault : Jadis, les immigrants européens étaient une valeur ajoutée pour le Québec et leurs enfants et leurs petits-enfants ont réussi à s’intégrer et ils ont connu un rendement semblable à celui des québécois.

23 Samia : Il n’y a aucune preuve jusqu’ici qui indique, que cette tendance se maintiendra avec les nouveaux immigrants qui vivent d’importantes difficultés économiques, familiales et psychiques qui les gardent esclaves de leurs habitudes mentales. Une triste vérité qui vient de sortir du sac. Gérard Bouchard : À la suite de la débandade de notre système d’immigration, d’éducation et de santé, à la ghettoïsation et à la pauvreté grandissante chez les nouveaux immigrants, il y a un risque réel que leur capacité d’encourager leurs enfants à réussir dans la vie, soit compromise et que la pauvreté s’enracine dans la région de Montréal et qu’elle persiste dans les prochaines générations. Guy Chevrette : Misons sur les babys boomers qui veulent travailler. Ayons la décence d’optimiser leur potentiel avant qu’ils prennent leur retraire définitivement. François Legault : Mais il y a des conditions à respecter et des mythes à casser. Les babys boomers ne supportent pas d'être bousculés et ils ne veulent pas bousculer qui que ce soit. C’est un trait de leur maturité et de leur sagesse. Les babys boomers détestent les gens Irrespectueux et irresponsables qui malheureusement font légion au Québec.

24 Françoise David : Les babys boomers ont la foi qui les prend aux tripes. Leur foi est « crois en toi ou écrases toi! » Samia : La liberté des babys boomers a un prix que les jeunes aujourd’hui ne comprennent pas. Guy Chevrette : En effet. La liberté pour un baby boomer signifie la responsabilité d'être entièrement soi et d'assumer des choix, les bons comme les mauvais. Mais quand on est libre, on ne fait pas ce qu'on veut. Gérard Bouchard : ÊTRE LIBRE signifie pour un baby boomer, de gagner sa vie dans des conditions qu’il a choisies. Les babys boomers doivent faire quelque chose, car leur solitude est immense. Si à compter d'aujourd'hui, les babys boomers décidaient de se saluer à nouveau et d’ouvrir leur cœur, je vous garanti que nous serions plus heureux au Québec! Il suffit que ce texte se passe des uns aux autres, pour que tous ensemble, on se décide à reprendre le haut du pavé! Jean Luc, j’ai encore des choses à dire sur les babys boomers mais je préfère y revenir dans le tome 5. ‘’OK Michou.’’

25 Maintenant, je vais parler des nouveaux immigrants algériens, marocains et tunisiens. Ils ont une chance de prouver qu’ils peuvent se mobiliser car une étude confirme que le taux de chômage des algériens, établis au Québec depuis 2006, est à 35,4 %. Je vais aussi prendre le temps de leur donner de l’énergie positive. François Legault : C’est triste à dire, mais ils ne réalisent pas que la notion de travail est différente entre l’Algérie et le Québec. Ils s’imaginent qu’un travail les attend ici. Ceux qui ne veulent pas comprendre doivent s'en prendre qu'à eux-mêmes. Deux choses les caractérise : Ils comprennent que ce qu’ils veulent comprendre et ils ont la réputation d’être des menteurs. Samia : Si au moins ils étaient des menteurs crédibles !!! Françoise David : Lorsqu’ils parlent en anglais, ils ont peur de faire rire d’eux car cela blesserait leur orgueil mal placé. Ils ne réalisent pas qu’ils ne sont qu’une goutte d’eau dans un océan d’anglophones. Gérard Bouchard : Je n’ai rien contre le gouvernement du Québec qui attire des immigrants algériens francophones dans un océan d’anglophones, mais le gouvernement doit avoir la décence de leur dire d’apprendre l’anglais avant d’arriver ici.

26 Une belle vérité qui vient de sortir du sac.
Françoise David : Actuellement, le gouvernement du Québec attire des milliers de nouveaux immigrants algériens francophones et ensuite il subventionne des cours pour leur faire apprendre l’anglais. Gérard Bouchard : Je comprends le rêve des nouveaux immigrants algériens, mais je comprends aussi que se remettre en question, est impensable pour eux. Guy Chevrette : L'essentiel n'est pas ce qu’on leur a fait, mais ce qu'ils font avec ce qu’on a fait d’eux. S’ils ne veulent pas qu’on leur retire la corde invisible qui les garde esclaves de leurs habitudes mentales, qu'ils le disent. Samia : La balle est dans leur camp. Maintenant le temps est venu d’aider les employeurs à attirer, accueillir et intégrer les nouveaux immigrants algériens qui ont du bon sens. D’abord, on doit répondre à la demande cachée, ensuite, les entraîner à développer leur relationnel et les aider à être autonomes, équilibrés et libres. Samia : Les nouveaux immigrants algériens doivent avoir un coach de vie, un coach professionnel et un mentor. Sinon, ce n’est pas la peine d’essayer de les intégrer. La partie est perdue d’avance. Une belle vérité qui vient de sortir du sac.

27 Ceci étant dit, je propose aux nouveaux immigrants algériens, un projet qui me tient à cœur. Un projet pilote d’une durée d’un an, en partenariat avec des entreprises attirantes. Prenons les nouveaux immigrants algériens qui ont de l’expérience en génie civil et qui travaillent au salaire minimum. On leur expliquerait nos critères et nos conditions et ils prendraient connaissance de notre programme d’intégration professionnelle. Ils pourraient travailler comme surveillants de chantier et gagner de à $ de plus par année. L’investissement pour eux serait de X $, et ils comprendraient que des employeurs leurs offriront un travail dans leur domaine. Ils rembourseraient leur emprunt de X $ sans intérêt, sur Y années. Tous y gagnent. Samia : Mais il y a des conditions à respecter. En effet. Il y a deux conditions à respecter. Les nouveaux immigrants algériens doivent prendre le temps de se chrysalider et les employeurs, d’écouter. Plusieurs employeurs ont donnés une chance à des nouveaux immigrants algériens et aujourd’hui ils en payent le prix. Samia : On se casse la tête pour trouver des solutions. La majorité des nouveaux immigrants algériens réussissent à se chrysalider, mais, leurs corps sont tellement maigres et engourdis et leurs ailes sont si peu développées, qu’elles bougent à peine. Ils n’ont pas la force de prendre leur envol. Samia : Plusieurs font des petits boulots ou végètent sur l’Aide Sociale.

28 Créer une télé réalité Le moment est venu de vous parler d’une télé réalité pour aider les nouveaux immigrants algériens à s’intégrer. Dans cette télé réalité, je veux qu’ils réalisent qu’ils se content des histoires depuis plus de trente ans. Même si je connais la réponse, je veux qu’ils disent pourquoi ils ont autant de difficultés à prendre leur envol. La télé réalité leur permettra de partager des petites choses qui les caractérisent, comme par exemple leur naïveté, leur inquiétude maladive, leur lacune en communication, leur difficulté à créer des ponts de solidarité avec des réseaux établis, leur manque d’authenticité et de positivisme, leur crainte de travailler en région et d’admettre que les employeurs n’ont pas besoin d’eux à tout prix. Dans la télé réalité, je veux qu’ils partagent des petites choses concernant leur comportement erratique dû à leur orgueil mal placé et au colonialiste français qui les a divisés. Plusieurs sont des gros parleurs et leur relationnel est déficient. Ils ont une intolérance envers les autres et peurs d’être « à contre coran ». Je veux aussi que la télé réalité les aide à trouver leur identité, à se connecter aux forces vives du marché avant leur arrivée à Montréal, à expérimenter par le travail le contraire de ce qu’ils croient, et à résister au désir de choisir l’Aide Sociale comme style de vie. Samia : La télé réalité les aidera à comprendre les mauvais plis qu’ils ont pris. Voilà une belle vérité qui vient de sortir du sac.

29 Les nouveaux immigrants algériens ‘’perfectionnistes’’ auront leur mot à dire dans la télé réalité. Le travail à faire sur eux-mêmes est satisfaisant s’il est complété à 80%. Le 20% restant demanderait trop d’effort et il n’est pas nécessaire pour l’instant. Ils doivent admettre que la suranalyse, les paralysent. Samia : Ils sont capables de l’admettre. En principe, oui, ils sont capables de l’admettre, mais la motivation n’est pas la même d'une personne à l'autre. Ils peuvent le faire s’ils sont imputables de leurs actes. Samia : Mais c’est impossible, s’ils croient que c’est de la faute des autres et si leur motivation est faible ou que leur source d’énergie est mauvaise. Tu m’enlèves les mots de la bouche Samia. Les hommes algériens seront mis en valeur dans la télé réalité. Ils auront une occasion unique de réagir comme dans l’histoire des sachets de thé dans le chaudron d’eau bouillante.

30 La télé réalité démontrera que ces trois hypothèses sont fausses :
Le niveau de scolarité élevé des immigrants algériens favorise leur intégration. Les gros diplômes obtenus par les immigrants algériens leurs donnent accès au marché du travail. Plus leur niveau de scolarité est élevé, plus leur taux de chômage est faible. L’animateur de l’émission invitera les nouveaux immigrants algériens à faire des choix et à les assumer. Ceux qui veulent être PICHOU (Peureux, Inquiets, Cuits, Honteux, Outrés, Usurpés), qu'ils le soient. Ceux qui veulent être CHOUETTE (Conscients, Heureux, Organisés, Unis, Équilibrés, Tenaces, Travaillants, Efficients), qu'ils le soient. L’animateur de l’émission fera sortir des nouveaux immigrants algériens de leur cocon. Leur besoin d’estime de soi n’émergera pas, si leurs besoins de sécurité et d’amour ne sont pas comblés. Si leur besoin d’estime de soi n’est pas satisfait, leur besoin de réalisation de leur potentiel est une utopie. L’animateur de l’émission nous fera aussi pendre conscience de la richesse que les femmes algériennes portent en elles. Elles sont un capital humain d’une valeur inestimable. Celles qui ont des enfants, veulent une carrière. Celles qui ont une carrière, veulent des enfants. Samia : C’est le meilleur des deux mondes. Des hommes algériens prendront le temps de se regarder dans un miroir. Autour du miroir, il y aura des slogans, tels que : Mets-toi au travail. Cultive ton relationnel.

31 Le temps est venu de fouiller dans le cerveau des nouveaux immigrants algériens.
Voici avec une pointe d’humour, ce que je vois dans leurs cerveaux. Ils savent que nos méthodes de travail ne sont pas définies pour leur faire plaisir. Ils savent que leur relation avec leurs collègues de travail est limitée par leurs agissements, leurs croyances et leur culture. Ils savent qu’ils peuvent écouter la musique ou pratiquer la religion de leur choix et que les québécois n’ont pas à les subir. Ils savent que les employeurs québécois sont tolérants envers eux. Ils savent qu’ils sont perdants s’ils jouent avec les nerfs des employeurs. Ils savent que les employeurs embauchent des débrouillards capables d’apprendre à bien travailler. Ils savent qu’ils ne doivent pas répondre « il n’y a pas de problème ». S’ils ne savent pas, ils le disent qu’ils ne savent pas. Ils savent qu’il n’y a pas de gêne à dire la vérité en regardant leur interlocuteur dans les yeux. Ils savent que la crédibilité se perd facilement si on doute de leur honnêteté. Ils savent qu’ils doivent être allumés et fiers de relever des grands défis dans des petits boulots. Ils savent qu’un jour, ils seront embauchés pour un vrai travail s’ils sont tenaces et équilibrés. Ils savent que leur valeur dépend de leur savoir-être dans un marché du travail un brin perturbé.

32 Mais cette étude est passée inaperçue au Québec.
Le rapport de l’étude de l’Institut Fraser Deux chercheurs de l’Institut Fraser ont pris le taureau par les cornes L’Institut Fraser a publié cette étude sur le coût de l’immigration au Canada. Mais cette étude est passée inaperçue au Québec.

33 À partir données du recensement de 2006, on a analysé les revenus et dépenses en taxes et impôts de 844,476 individus, soit 2,7% de la population canadienne. En 2005, les nouveaux immigrants arrivés au Canada entre 1987 et 2004 avaient un revenu moyen de 25,396$ ; ils payaient 3,438$ en impôts. Les Canadiens avaient un revenu moyen de 35,057$ et payaient 5,995$ en impôts. Les nouveaux immigrants gagnaient donc seulement 72,4% du revenu des Canadiens et ne payaient qu’un peu plus de la moitié des impôts (57,3%) payés par les Canadiens. Pendant qu’un Canadien gagnait 1000$, le nouvel immigrant en gagnait 724$. Pendant que le Canadien payait 100$ d’impôts, le nouvel immigrant n’en payait que 57$. L’étude a analysé toutes les autres taxes. Les nouveaux immigrants paient en moyenne 10,340$ contre 16,501$ pour les Canadiens. La combinaison des taxes et impôts payés vs les bénéfices reçus pendant l’année fiscale 2005/06 a occasionné un transfert fiscal de 6051$ en faveur des nouveaux immigrants comparés aux Canadiens. Voici le cœur du problème selon l’Institut Fraser : les revenus gagnés par les nouveaux immigrants sont trop bas. Ils ne paient pas assez d’impôts et de taxes pour équilibrer le système. Assumant qu’un immigrant passe 45 ans au Canada avant d’y mourir, il recevra donc, en bénéfices nets, la somme de 272,295$. On sait que la plupart des nouveaux immigrants viennent de pays où le PIB per capita est inférieur à 10,000$. On peut donc dire qu’ils ont gagné le gros lot! Comme 3,9 millions de nouveaux immigrants sont arrivés au Canada entre 1987 et 2004, pour l’année fiscale 2005/2006, ils ont coûté la somme fabuleuse de 23,6 milliards! Combien pour le Québec? L’étude ne le mentionne pas. On sait que le Québec accueille moins de 20% des immigrants au Canada. On sait aussi qu’ils gagnent moins au Québec qu’au Canada et qu’ils chôment plus ici. On peut donc supposer que leurs revenus sont inférieurs à la moyenne canadienne qui est de 72%. Avec de plus petits revenus, ils paient moins d’impôts et de taxes que les immigrants du reste du Canada. On sait que le Québec a des programmes sociaux beaucoup plus généreux que dans les autres provinces du Canada. On peut donc conclure que les nouveaux immigrants ont coûtés aux contribuables québécois plus de 5 milliards de dollars en 2005/06.

34 On doit repenser le processus de sélection des immigrants pour qu'ils répondent mieux aux besoins du marché du travail, a conclut l'Institut Fraser. Il est clairement mentionné dans l’étude que ce travail peut être fait plus efficacement par les employeurs et les forces vives du milieu. En résumé, les nouveaux immigrants gagnent en moyenne 72 % du revenu des autres Canadiens, paient environ la moitié de l'impôt que versent les autres contribuables, mais bénéficient à peu près des mêmes services publics. « Ils imposent un lourd fardeau fiscal aux contribuables canadiens », estime Herbert Grubel, coauteur de l'étude. Le processus de sélection devrait miser davantage sur les besoins des employeurs. Monsieur Grubel recommande entre autre de : Fournir des visas de travail temporaires aux candidats ayant reçu une offre pour un emploi dont le salaire égale minimalement la médiane de la province où ils travailleront; Limiter la validité des visas de travail à deux ans et en permettre le renouvellement pour deux autres années si la personne occupe toujours un emploi; Donner un délai de trois mois aux détenteurs de visa qui perdent leur emploi pour en trouver un nouveau; Offrir un visa permanent aux détenteurs d'un visa de travail qui occupent un emploi de manière continue pendant quatre ans.

35 Témoignage Après 15 ans d’immigration essentiellement en provenance du Maghreb, l’intégration des nouveaux immigrants est un échec généralisé sur le plan de l’emploi. En raison du déficit démographique qui frappe le Québec, les immigrés devaient représenter la relève pour les employeurs québécois et être une richesse pour le Québec par leurs contributions en impôts et taxes. On est bien loin du compte. Le rapport d’étude de l’Institut Fraser le confirme. Nous n’attirons pas les talents dont l’économie québécoise a besoin. Le constat est que les nouveaux immigrants sont mal informés de la situation de l’emploi au Québec. Leur perception du Québec y compris le marché nord américain est erronée. Ils sont souvent totalement déstabilisés par le constat des premiers jours dans leur nouvelle terre d’accueil. Les talents venus d’ailleurs ne sont pas assez équilibrés de sorte qu’ils éprouvent de la difficulté à garder un emploi valorisant plus de 3 ans. Au-delà de cette période, une grande portion des immigrants se retrouvent sur l’Aide Sociale, et le manque d’argent engendre des problèmes sociaux importants dans les communautés d’immigrés : chômage, divorce, violence familiale, des enfants avec des problèmes de délinquance. Les femmes immigrantes réussissent mieux que les hommes à s‘intégrer dans leur milieu de vie et de travail; elles utilisent le bénévolat pour établir des contacts et participer à la vie de leur quartier. Elles semblent plus résilientes que les hommes. L’intégration des nouveaux immigrants représente une problématique croissante très importante au Québec. Si on se réfère à ce que la France vit aujourd’hui, il faut s’attaquer aux solutions maintenant avant que cela devienne une plaie sociale et un cauchemar économique pour le Québec. La commission Bouchard-Taylor a touché tout le Québec et a soulevé l’ire des Québécois de souche. Cela n’a rien réglé à part le fait que nous sommes dans un terreau à problèmes sociaux très fertile.

36 Le comité de travail qui a créé la Mutuelle de formation REPCIT, croit fermement qu’il y a une opportunité extraordinaire de dénoncer cette situation et d’amener des solutions pratiques pour résoudre les problématiques qui se rattachent aux nouveaux immigrants et à l’emploi. Le comité base son raisonnement sur le fait que l’absence de travail chez les hommes immigrants engendre un effet domino des problèmes sociaux majeurs dans leur communauté. Nous pensons qu’il y a plusieurs façons de traiter le sujet à travers divers angles. Nous souhaitons débuter par l’angle de l’employabilité des talents d’ailleurs et des talents d’ailleurs nés ici. Plusieurs immigrés ici depuis 5, 10 et 15 ans veulent témoigner sur ce qu’ils ont vécu et vivent, sur comment on pourrait améliorer les choses pour faciliter l’intégration des immigrants et leurs familles. Nous savons quoi faire pour que l’immigration soit une richesse plutôt qu’un fardeau, comme c’est le cas actuellement. Nous aimerions produire du matériel audio-visuel pour informer et éduquer les immigrants avant qu’ils arrivent au Québec. On doit leur expliquer les conditions du marché du travail au Québec. Ils doivent comprendre que 40 heures/semaine, ce n’est pas de l’exploitation. On doit aussi leur expliquer la laïcité de l’État et des institutions québécoises. On doit expliquer aux employeurs québécois qu’ils doivent entrevoir des talents d’ici et d’ailleurs plutôt que des immigrants. Les employeurs doivent apprendre à encadrer et à diriger ces talents. Le matériel produit sera très utile dans les écoles, dans les bureaux du Québec à l’étranger, dans les ambassades canadiennes, dans les bureaux d’Emploi Québec et du Ministère de l’Immigration, dans les bureaux des syndicats et des associations de travailleurs.

37 Les autres angles sont les problèmes sociaux chez les immigrants, pratiquer sa religion et vivre dans une société qui se dit laïque, la discrimination raciale, la comparaison des niveaux d’intégration par source d’immigration (Maghreb, Moyen-Orient, Haïti, Afrique, Europe de l’Est, l’Asie et du G8. Plusieurs instances gouvernementales et privées sont intéressées à participer financièrement au projet car nous sommes en face d’un projet de société parce que les problèmes issus d’une mauvaise immigration touche tout le monde. René Deschênes

38 Le Moi inc. Le concept du Moi inc. permet de faire de votre nom une référence dans votre profession. L’inventeur du concept du Moi inc., William Arruda, a développé un processus en trois étapes permettant de découvrir, communiquer et cultiver son Moi. C’est le résultat de 20 années d’expertise en Branding d’entreprise, appliquées au nouveau monde du travail et aux défis auxquels on doit faire face pour être quelqu’un. Voici une méthode simple et logique pour développer son Moi inc. Samia : Pourquoi développer mon Moi inc.? Je ne suis pas une consultante ni un produit en vente sur une tablette au supermarché. Le Moi inc. n’est pas réservé au consultant. Il sert aussi au salarié qui veut offrir ses services à un employeur. Il permet de faire le point sur ce qu'on peut apporter à une autre entreprise. Ici, il ne s'agit pas d’être un « produit » pas plus qu'une « star ». Il s'agit juste d’être. Ce n'est pas pour être meilleur que les autres. C'est un cheminement pour trouver sa place. On sait ce qu'on apporte et on n'empiète pas sur les autres. Faire le point sur son Moi inc. ce n’est pas qu'un simple bilan personnel et professionnel. C’est l’élément déclencheur de la connaissance de soi, de l’art d’avoir des vraies conversations et du marketing de soi. Il permet de cibler les ressources positives pour avancer dans la bonne direction. Il s'agit d'étudier son parcours professionnel et personnel en valorisant chacune de ses expériences. Cela ne sert à rien de se présenter à une entrevue si on ne se connaît pas. Vous savez qu’il y a quatre profils types d’individu : lièvre, tortue, écureuil et hibou. La principale caractéristique du processus d’indentification de son profil d’individu résulte dans sa finalité. Une fois qu’on a identifié son profil d’individu, on fait en sorte que son Moi inc. soit reconnu. On a des cartes d’affaires à notre image, on fait partie d’un bloque et d’un réseau professionnel. Toutes les options qui ont du bon sens sont permises. Votre Moi inc. est authentique et cohérent avec vous-même. On vous reconnaît et ça se sent dans votre façon d'être. Vous impactez la relation avec les personnes que vous rencontrez.

39 Derrière le Moi inc. il y a la marque, le pouvoir du nom, le pouvoir d'être sollicité pour ce que vous apportez. Le Moi inc. n'est jamais terminé. C'est un processus inconscient qui évolue au fur et à mesure d'une carrière et d'une vie, qui devient une œuvre. Jean Luc accompagne depuis plusieurs années des salariés et des travailleurs autonomes dans leur démarche de développement de leur Moi inc. Il prend d’abord le temps d’établir une relation de confiance. Ils n’ont pas besoin de changer de coiffure, de vie ou de personnalité. Il les fait juste se sentir bien avec eux-mêmes. Le développement du Moi inc. est une façon logique de faire une mise au point. Quand on réfléchit à son Moi inc., on regarde ses acquis. On cherche ses points forts et ses talents. On réfléchit des compétences que l'on doit développer et on se met en accord avec ses valeurs. Une notion qui prend de plus en plus de place avec l'expérience. On n’accepte pas n'importe quoi dans sa vie professionnelle, même si on ne sait pas toujours pourquoi. Le Moi inc. permets d'identifier les valeurs qui font notre authenticité et notre marque de commerce. On devient identifiable car on est soi-même et non pas la copie d'un autre. À la fin du processus, on sent que tout s'est éclairci. On est plus à l'aise parce qu’on sait que c'est celui qui nous convient. On est efficient, performant et notre mieux-être favorise la motivation. C’est comme un grand bol de confiance en soi. Samia : Donc, le Moi inc., c'est avoir une idée claire de qui on est, où on veut aller et comment on veut y aller. Voilà une autre vérité qui vient de sortir du sac !!!

40 Témoignages J’ai rencontré Jean Luc lors d’un tournoi de golf. Il a pris le temps de m’inviter à une soirée de réseautage du CEPS auquel j’ai assisté. Ensuite je n’en ai pas manqué une et je me suis impliqué dans le comité. Jean Luc m’a fait comprendre le bienfait de la solidarité. Jean Luc est une personne qui peut vous aider, comme il m’a grandement aidé, à atteindre vos objectifs. Encore faut-il les connaître et connaître son Moi inc. C’est justement dans ce processus indispensable que Jean Luc saura vous guider en main de maître et saura vous éviter nombres d’erreurs. L’important est de connaître les moyens pour atteindre vos objectifs. Là encore Jean Luc vous donnera les us et coutumes du Québec. Même si la langue et les origines sont semblables, vous ne pourrez vous passer de connaître la structure du marché de l’emploi et les techniques de réseautage au Québec. Son expérience et sa faculté à écouter font de lui le meilleur guide que vous pourriez avoir pour vous intégrer au Québec. Plus vite vous rencontrer Jean Luc plus vite vous êtes sur les rails. Son aide est précieuse et vous ne le regretterez pas. Guillaume Labarthe

41 La recherche du Moi inc., forge des gens de valeurs qui feront les bons choix aujourd’hui, dans l’avenir et en groupe. Moi inc. est un grand défi avant tout personnel. Une démarche où l’on trouve les réponses à l’intérieur de soi alors que la majorité cherche des réponses à l’extérieur. C’est un courant d’air frais et une piste pour ceux qui cherchent un sens à leur vie. Une formation sur le Moi inc. permet de passer à la 2e question: comment démarrer la démarche pour sortir de son cocon. René DesChênes Prenez une pause pour une profonde réflexion sur votre Moi inc., car l’art d’être soi, est tout un art. Être l’artisan de sa vie, c’est se comprendre, s’accepter pour mieux se positionner, s’ajuster, se différencier et prendre sa place dans une société en pleine mutation. Être soi, c’est également communiquer en conscience, car conversation et éloquence, ne sont pas synonymes: parler et bien parler sont deux choses distinctes. Samia Abdelaziz Les changements sont à l’intérieur du Moi inc. C’est un travail quotidien et la victoire de toute une vie. Il ne faut pas oublier que tout part de soi. Marie Josée Plouffe

42 Jean Luc est mon mentor, un grand guide de chasse à l’emploi caché et un fin pisteur d’indices dans l’âme et le cœur des chercheurs d’emploi, des entrepreneurs et des employeurs. Par la simplicité, l’écoute et la mise aux défis, il sait faire sortir le meilleur de vous-même. Aucun déguisement ne résiste longtemps à son miroir de la réalité du marché au travail. Il vous fait résonner le cordon du cœur, réveiller vos valeurs sensibles et briller parmi les opportunités les plus imprévues. Son parcours professionnel compte moult récits d’aide aux ingénieurs, aux technologues et aux chimistes. Il me répète souvent que le meilleur moyen de connaître son Moi inc. est d’observer, d'écouter et d'apprendre sur soi-même. Trop simple vous direz; mais combien d’entres nous auraient avantage à connaître mon mentor. Il m'en fait voir de toutes les couleurs. Sa façon de voir les choses est d'une simplicité déconcertante. Sa façon d’expliquer le fonctionnement du marché caché de l’emploi passe par la chasse à l’orignal, la vie dans une fourmilière et le jeu Serpents et échelles. Il sait que les candidats sont ébranlés et confus sur les possibilités du marché mais surtout de leurs propres priorités. Quand j'ai commencé à le comprendre, j'ai passé à l'action. C’est un homme à connaître car il vous fait découvrir que vous êtes unique et que vous avez une grande valeur. Jean Luc m’a fasciné par sa grande connaissance du marché de l’emploi et son approche axée sur la solidarité. Denis Poirier

43 J’aimerais vous raconter mon expérience avec mon Moi inc
J’aimerais vous raconter mon expérience avec mon Moi inc. Je suis en harmonie avec mon interlocuteur lorsque je suis en entrevue d’embauche et que mon cerveau est nourri par des ondes Alpha. L’hypothèse que le cerveau passe inconsciemment dans les ondes Alpha est pour moi un fait réel. Les étapes d’une entrevue d’embauche se mesure avant, pendant et après. Je m’explique et je tiens à dire que cela est sûrement différent pour chaque personne. Avant : Je suis à la fois excitée de passer une entrevue et en même temps j’ai peur de me planter. Pourtant, je connais la valeur de Mon inc., mais j’ai cette petite voix qui ne cesse de me dire « si tu te plantes ». Cet état d’âme se manifeste généralement quelques jours avant l’entrevue. C’est alors que je commence à mettre en place un processus intérieur qui me permet de me calmer des nerfs. Je planifie les vêtements que je porterai. Je passe à travers mes fêlures. Je sais que j’ai les compétences sur papier. C’est à moi de prouver ce que j’avance et j’en suis capable. Je suis liée avec mon Moi inc., je projette des images intérieures du genre d’entrevue que je veux avoir (mon comportement, mes cinq sens, mon corps, ma voix et mes yeux). Je revoie le contenu de mon CV, de ma lettre de motivation afin d’avoir une préparation mentale et d’être prête à saisir les opportunités de mettre en valeur mon Moi inc. J’arrive 30 minutes avant l’entrevue, je reste à l’écart pour prendre le temps de relaxer, ma concentration est au maximum et personne ne peux me déranger. Je sais où je vais et ce que je veux. Pendant : Je me présente et je regarde dans les yeux mon interlocuteur, j’attends qu’il m’invite à m’asseoir. Je suis au moment présent à tout instant et mes cinq sens sont allumés au maximum. Je n’ai pas de difficulté à gérer cet état d’être. Je suis naturelle et spontanée en regardant les gens dans les yeux. Je réponds aux questions avec des faits ce qui me permet de mettre en évidence mon Moi inc. Je ressens de la part de mon interlocuteur une satisfaction qui m’envahie. Après : Je suis épuisée et à la fois sur un nuage. Je note mes points forts et ceux à améliorer. Je demeure sur un nuage sachant que le tout c’est bien déroulé et que j’ai fais de mon mieux. Suzanne Boulianne

44 Tout le monde a une attitude différente concernant son Moi inc
Tout le monde a une attitude différente concernant son Moi inc. et il est possible que vous vous reconnaissiez dans ces présentations. Si vous êtes du genre orphelin larmoyant Vous voulez être pris en charge. Vous cherchez la pitié, vous voulez émouvoir. Vous vous dévalorisez. Ce n'est jamais de votre faute. Vous présentez très peu vos compétences, mais plutôt vos « non compétences ». Si vous êtes du genre bon élève Vous voulez être approuvé. Vous allez toujours dans le sens de votre interlocuteur. Vous vous adaptez à tous les discours. Il n'y a aucune prise de contact possible avec vous. On n'a pas d'accès à votre personnalité. Si vous êtes du genre super héros Vous vous donnez une mission. Vous êtes peu à l'écoute. Vous valorisez le changement. Vous êtes arrogant, imposant, et vous vous intéressez très peu à la dynamique de votre environnement. Vous êtes peu à l'écoute. Si vous êtes du genre combattant enragé Vous ne voulez pas perdre la face. Vous êtes ironique, vous avez toujours hâte que la conversation finisse. Vous êtes agressif, fermé, cynique, et vous manifestez une tendance au harcèlement. Si vous êtes du genre impuissant bienheureux Vous vous prouvez à vous-même l'absurdité du monde du travail. Vous aimez bien vous déresponsabiliser. Peu importe ce qui vous arrive, votre théorie fataliste est toujours prête. Vous démissionnez prématurément, vous êtes porté à l'autosuffisance. Vous dégagez un sentiment de vide et d'angoisse.

45 Témoignage Je suis un nouvel immigrant qui pensait connaître le marché de l’emploi au Québec. Lorsque j’ai postulé sur une offre d’emploi affiché sur LOOK4CV, j’ai reçu un message personnalisé de Jean Luc qui me conseillait de l’appeler. Lors de la conversation, Jean Luc a déduit que j’avais beaucoup de choses à apprendre pour mieux affronter le marché de l’emploi. Après notre entretien, j’ai suivi l’atelier individuel de chasse aux emplois cachés et l’atelier de groupe sur le réseautage responsable. Les ateliers m’ont permis de connaître ma vraie valeur et de sortir de mon cocon. N’ayez pas peur de dire les vraies choses à l’homme qu’il faut à la place qu’il faut. Mohamadou Doundèye

46 Le travail permet d’expérimenter le contraire de ce que l’on croit
Un nouveau travail provoque toujours une perte de repères et de confiance en soi. Il est normal de perdre ses repères et sa confiance en soi lorsque qu’on commence un nouvel emploi. On doit trouver ses nouveaux repères dans un environnement flou, gérer le stress inhérent au nouvel d’emploi, apprendre à s'ouvrir et à avancer à découvert, "sans filet", se trouver rapidement des alliés, comprendre leur façon de travailler, se fusionner dans l’entreprise par son relationnel, prendre progressivement sa place et laisser sa Marque. Ce n’est pas par hasard que les cerveaux qui embauchent veulent attirer des talents équilibrés, bien dans leur peau, avec une poignée de compétences clairement identifiées, un bouquet d’expériences à mettre en valeur, une pincée de formation sur mesure et un zeste de centres d’intérêt. ‘’Arrosez le tout de relationnel’’. Les employés qui cultivent leur relationnel, sont des ambassadeurs pour leurs employeurs. Ils ont des vraies conversations, ils participent à des activités de réseautage de la bonne pointure, ils ont une carte d’affaires qui dégage les bonnes phéromones et ils donnent au suivant sans rien demander en retour. ‘’Arrosez le tout de poignées de main et de sourires’’.

47 L’histoire de la grenouille en haut de la tour
Il était une fois une course de grenouilles. L’objectif était d’arriver en haut d’une tour. Beaucoup de gens se rassemblèrent pour les soutenir. La course commença. Les gens pensaient que les grenouilles n’atteindraient jamais le sommet de la tour et tout le monde disait : "Elles n’y arriveront jamais!" Les grenouilles commencèrent à se résigner, sauf une, qui continua de grimper et les gens continuaient : " Elles n’y arriveront jamais!" Et les grenouilles s’avouèrent vaincues, sauf une, qui continuait à grimper. A la fin, toutes les grenouilles se désistèrent, sauf une, qui avec un énorme effort, réussi à atteindre le haut de la tour. Les autres grenouilles voulurent savoir comment elle avait fait. L’une d’elles s’approcha pour lui demander comment elle avait fait pour terminer l’épreuve. Elle découvrit que la grenouille était sourde !!!

48 L’histoire de l’immigrante à la recherche de la clé d’or
Jean Luc : ‘’Est-ce que tu es à la recherche d’un emploi Sia’’? Sia : Non, je suis à la recherche de la clé d’or. Samia : C’est quoi la clé d’or? C’est la simplicité même. Elle ne fait pas obstacle au déroulement du processus. Samia : Ah bon !!! C’est bien de me dire. Jean Luc : Parle-moi de toi Sia. Sia : J’ai parlée pendant deux minutes en oubliant presque de respirer. Jean Luc : Parle-moi de tes expériences professionnelles. Sia : J’ai parlée pendant deux autres minutes en oubliant presque de respirer. Jean Luc : ‘’J’ai remarqué que Sia était à bout de souffle. Alors je lui ai parlé en anglais. ‘’ Sia : J’ai répondu à Jean Luc dans mon meilleur anglais. Jean Luc : ‘’J’ai demandé à Sia si elle avait ciblée un employeur. ‘’ Sia : Oui, et je le rencontre dans deux heures, en rajoutant le nom de l’entreprise et de la personne que je voulais rencontrer.

49 Une langue de bois assomme avec des paroles inutiles.
Jean Luc : ‘’J’ai regardé Sia dans les yeux et je lui ai dit : Je vais tester ta valeur et je te donnerai quelques conseils. ‘’ Sia : Je ne savais plus comment me tenir sur ma chaise. Jean Luc : ‘’J’ai regardé Sia en silence.’’ Sia : Je fondais sur ma chaise. Pendant que Jean Luc me posait des questions pour me tester, un éclair de génie m’a traversé l’esprit. J’ai réalisé l’importance de son test et je n’ai pas fait ma langue de bois. Après le partage des précieux conseils… Jean Luc : ‘’J’ai demandé à Sia si elle avait des questions. ‘’ Sia : J’ai posé des questions qui avaient du bon sens. Jean Luc : ‘’Je lui ai souhaité bonne chance.’’ Sia: J’ai répondu «merci, vous êtes très gentil». La leçon à retenir : Sia n’a pas fait sa langue de bois. Une langue de bois assomme avec des paroles inutiles.

50 Voici le résumé du coaching que Jean Luc a fourni à Sia
Voici le résumé du coaching que Jean Luc a fourni à Sia. Le coaching a permis à Sia d’ouvrir son coeur, d’entrer dans cerveau des deux recruteurs et de contrôler le contenu de l’entrevue d’embauche. Jean Luc : Sia, lors de l’entrevue, mets-toi à la place de Monsieur Parent et de Madame Blouin. Que cherchent-t-ils à savoir? Montre-leur que tu as fait tes devoirs. Ne répond pas simplement à leurs questions. S’ils te proposent quelque chose qui t’étonne ou qui te déplaît, dit-le. Certaines de leurs questions seront difficiles à répondre. Pour les déchiffrer, tu dois comprendre ce qui se passe dans leur tête. L’entrevue te servira à déterminer si tu es capable de relever les défis liés au poste à combler. Pour le savoir, Monsieur Parent te posera des questions sur tes expériences de travail. Il te proposera aussi une mise en situation. Son raisonnement sera le suivant : si tu lui prouve que tu es capable de résoudre son problème de façon théorique, tu pourras sans doute le faire dans ton travail. Une fois que tu auras franchie cette étape, Monsieur Parent voudra mieux te connaître.

51 Voici les trois points qu’il voudra clarifier : 1
Voici les trois points qu’il voudra clarifier : 1. Seras-tu capable de prendre ta place? Tu seras heureuse si tu sais gérer ton stress et si tu acceptes facilement l’autorité de Monsieur Parent. En s’intéressant à ta personnalité, à tes intérêts et à tes valeurs, il s’assurera que tu seras à l’aise dans son équipe. Pour évaluer ta résistance au stress, il te demandera de raconter une situation que tu as vécue où tu as été impuissante devant une date de livraison impossible à respecter. Prend soin de lui expliquer ce que tu as appris de cette expérience. 2. As-tu des squelettes dans ton placard? Monsieur Parent voudra évaluer ta crédibilité et ta fiabilité. Si tu es confuse, si tu parles beaucoup mais sans fil conducteur, tu feras mauvaise impression. Même chose si ton discours manque de détails ou s’il est truffé de contradictions et de mensonges. Monsieur Parent te demandera de lui donner des précisions sur tes tâches chez ton dernier employeur et pourquoi ton CV ne fait pas mention d’un mandat important. 3. Monsieur Parent a t’il envi de travailler avec toi? Il voudra prendre une décision objective. Il sera influencé par la première impression qu’il aura de toi. C’est la seule chose qui compte dans une entrevue d’embauche. Es-tu une personne agréable? Polie? Passionnée? Ton non verbal comptera pour beaucoup et certaines questions y seront liées : Comment tes proches te décrivent-ils? Quels commentaires as-tu reçu de tes ex-patrons? Considérer l’entrevue comme un échange Adopte une attitude gagnante en voyant l’entrevue comme une conversation et non comme un interrogatoire. L’entrevue n’est pas un jeu de questions-réponses. Si tu penses ainsi, tu risques de perdre. Tu dois provoquer le dialogue avec Monsieur Parent afin de mettre en valeur tes talents. Un jeu qui se joue à deux Tu seras nerveuse et Monsieur Parent le sera aussi. Considère l’entrevue comme un échange de service entre toi et lui. Cela t’évitera de te sentir en position d’infériorité.

52 Privilégier l’échange Plutôt que d’avoir peur des questions de Monsieur Parent, entame calmement le dialogue et n’hésite pas à lui poser des questions. Pose-lui des questions sur les tâches à accomplir, l’organisation du travail et les perspectives d’avancement. Cela montrera ton envie d’en savoir plus sur le poste et mettra en valeur ta capacité d’écoute. Ton aptitude à bien communiquer sera également mise de l’avant. Monsieur Parent est ton ami Ne subit pas les questions de Monsieur Parent comme des attaques. C’est certain qu’il te demandera pourquoi tu as quitté ton emploi. Il te le demandera parce qu’il souhaitera savoir si cela s’est bien terminé. Ne soit pas sur la défensive. Essaye de comprendre les inquiétudes qui se cachent derrière les questions de Monsieur Parent pour pouvoir le rassurer. Être honnête Si tu n’es pas à l’aise avec les méthodes de travail de Monsieur Parent, il faudra lui dire en faisant preuve d’ouverture et de diplomatie. S’il te demande si tu es familière avec une méthode de travail, confirme-le si tu es à l’aise. Vérifier l’ouverture d’esprit de Monsieur Parent Fait-le en restant toi-même, ouverte et positive. Ne dénigre pas les méthodes de travail de Monsieur Parent. Montres- lui que tu es prête à essayer sa façon de faire, mais expliques-lui comment tu aborderas la tâche. Tente de voir s’il est ouvert à l’idée de faire les choses autrement, par exemple : “Tu n’es pas habituée de fonctionner comme lui, mais tu peux lui expliquer comment tu le feras en situation de travail. Fait la preuve que tes méthodes de travail sont efficaces même si elles sont différentes de celles de Monsieur Parent. Avec des exemples concrets, expliques-lui ce que tu feras et comment tu t’y prendras.

53 Valider ton intérêt pour le poste
Monsieur Parent voudra en savoir davantage sur ta façon de travailler. Il voudra vérifier si cela convient à la culture de son entreprise. Il ne sera pas arrêté à une méthode. Il voudra évaluer ce que tu peux apporter de plus ou de nouveau à son organisation pour la rendre plus rentable et plus efficiente. Si tu crois qu’il n’y a pas possible d’adapter les façons de faire de Monsieur Parent aux tiennes et que tu ne seras heureuse dans ce poste, réévalues ton intérêt à travailler avec lui. Si tu ne te sens pas à l’aise, c’est un signe que le poste n’est pas pour toi. L’erreur à éviter Ne fait pas semblant d’être à l’aise avec une méthode de travail juste pour avoir l’emploi en te disant que tu feras les choses à ta manière une fois en poste. Si Monsieur Parent t’oblige à adopter des méthodes que tu n’aimes pas, tu seras malheureuse dans son équipe. Pour séduire Monsieur Parent et Madame Blouin Tu dois avoir une excellente idée de la vision de l’entreprise et du poste à combler. Tu dois avoir confiance en toi. Tu dois t’exprimer naturellement et avec honnêteté. Tu dois soutenir un dialogue constructif. Tu dois leur poser des questions ciblées et les impressionner. Tu dois jouer ton rôle et être à l’aise même si l’entrevue se déroule mal. Conclusion Sia a reçue une proposition d’emploi qu’elle a acceptée le 4 avril 2011.

54 Témoignages Je suis un gars très méfiant et prudent. La première fois que j’ai contacté Jean Luc, ce fut par téléphone. Trois heures de discussion!!! Il m’a remis les idées en place face aux réalités du marché de l’emploi et face à moi-même. J’ai été comme un livre ouvert, impossible de rien lui cacher. Sa méthode est efficiente, intelligente et respectueuse. Tout immigrant doit le rencontrer pour maintes raisons. C’est un homme aux qualités exceptionnelles. Quel personnage!!! Mathieu Soulayres Lorsque j’ai rencontré Jean Luc, j’étais en chômage. J’ai été fasciné par sa connaissance du marché de l’emploi et son approche axée sur le réseautage. L’heure n’était pas aux cachettes et les tabous devaient tomber. Jean Luc a monté des ateliers avec des outils qu’il a développés au cours des années et qui expliquent bien les étapes pour bien s’ajuster aux démarches. Vous devez être prêts à travailler sur vous-même, à entendre les vraies choses et surtout les choses que vous ne voulez pas entendre. Il vous appuiera dans vos démarches. Ses conseils et son soutien en font un coach hors pair. Denys Allard Jean Luc est un sage des temps modernes. Son flair incroyable lui permet de dépister votre type de personnalité. Il sait s’entourer de gens qui font la différence. Son côté motivateur et provocateur permet de tirer le meilleur de chacun. Je le recommande fortement. Manuel Robert

55 Il y a deux raisons d’être chouette : la bonne raison et la vraie raison.
Dale Carnegie a établi les 30 principes à respecter pour être chouette. Ce n'est pas une recette miracle mais elle marche assez bien. Ces principes sont regroupés en quatre parties : Trois techniques fondamentales pour influencer les autres. Six moyens de gagner la sympathie des autres. Douze moyens de rallier les autres à votre point de vue. Modifier l'attitude des autres sans irriter ni offenser. Trois techniques fondamentales pour influencer les autres 1 - Ne critiquez pas, ne condamnez pas, ne vous plaignez pas. 2 - Complimentez honnêtement et sincèrement 3 - Motivez souvent pour faire ce que vous proposez Six moyens de gagner la sympathie des autres 4 - Intéressez-vous réellement aux autres. 5 - Ayez le sourire. 6 - Rappelez-vous que le nom d'une personne revêt pour elle une grande importance. 7 - Sachez écouter et encourager les autres à parler d'eux-mêmes. 8 - Parlez à votre interlocuteur de ce qui l'intéresse. 9 - Faîtes sentir aux autres leur importance et faîtes-le sincèrement.

56 Douze moyens de rallier les autres à votre point de vue
10 - Évitez les controverses, c'est le seul moyen d'en sortir vainqueur. 11 - Respectez les opinions de votre interlocuteur, ne lui dîtes jamais qu'il a tort. 12 - Si vous avez tort, admettez-le promptement et énergiquement. 13 - Commencez de façon amicale. 14 - Posez des questions qui font dire « Oui » immédiatement. 15 - Laissez votre interlocuteur parler tout à son aise. 16 - Accordez à votre interlocuteur le plaisir de croire que l'idée vient de lui. 17 - Efforcez-vous sincèrement de voir les choses du point de vue de votre interlocuteur. 18 - Accueillez avec sympathie les idées et les désirs des autres. 19 - Faîtes appel aux sentiments élevés (fierté, honneur). 20 - Démontrez spectaculairement vos idées, faîtes appel à la vue et à l'imagination. 21 - Lancez un défi à vos collègues.

57 Modifier l'attitude des autres sans irriter ni offenser
22 - Commencez par des éloges sincères. 23 - Faîtes remarquer erreurs et défauts de manière indirecte. 24 - Mentionnez vos erreurs avant de corriger celles des autres. 25 - Posez des questions plutôt que de donner des ordres directs. 26 - Laissez votre interlocuteur sauver la face. 27 - Louez le moindre progrès et louez tout progrès. 28 - Donnez une belle réputation à mériter. 29 - Encouragez. Que l'erreur semble facile à corriger. 30 - Rendez les autres heureux de faire ce que vous suggérez.

58 Ces 30 principes sont simples et ils peuvent réellement fonctionner.
Le principe numéro 6 nous rappelle que se rappeler du nom d’une personne, revêt pour elle une grande importance. Le principe 15 nous rappelle de laissez notre interlocuteur parler à son aise. S’il ne peut pas parler à son aise, il ne nous écoutera pas et il trouvera à redire par fierté d'avoir le dernier mot. Le principe 6 : Se rappeler du nom d’une personne. Supposons que vous êtes avec des personnes chouettes, mais vous ne vous rappelez pas de leurs noms. Pour vous sortir de cette impasse, voici des trucs pour ne pas oublier leurs noms. Voici comment fonctionne la mémoire. Elle s’articule autour de trois phases : L’encodage, le stockage et les connexions. L’encodage C’est le moment où s’opère l’inscription des faits mémorisables. Le stockage Nos capacités sont infinies mais les faits mémorisés restent latents, inconscients et disponibles. Si on n’arrive pas à s’en souvenir, ce n’est pas qu’ils sont détruits. On n’a tout simplement pas de connecteurs pour les faire resurgir dans notre conscient. Les connexions C’est le moment où le souvenir resurgit dans notre mémoire, sous l’effet d’une ou plusieurs connexions issues d’une démarche personnelle ou provoquées par des événements extérieurs.

59 Regardons de plus près ces deux notions d’encodage et de connexions
Regardons de plus près ces deux notions d’encodage et de connexions. Si une personne se présente à vous en parlant trop vite ou pas assez fort, n’hésitez pas à la reprendre en lui demandant simplement : « Excusez-moi, je n’ai pas bien entendu votre nom » ou encore « Je n’ai pas bien compris ce que vous faites ». Loin de l’importuner, vous lui témoignez une attention particulière à laquelle elle sera sensible. Pour vous souvenir du nom d’une personne, vous devez encoder la rencontre et établir le maximum de connexions. Les connexions sont des ancrages qui favorisent le souvenir le moment venu. Ces connexions fonctionnent sur des associations d’idées. Voici un exemple : Sur la carte d’affaires de Jean Luc, vous voyez le logo LOOK4CV et un œil. En connectant lOgO-LOOK-Oeil, vous avez un dénominateur commun : le O. C’est Monsieur O. Avec ses connexions, vous pensez à Archambault.

60 Vous pouvez aussi créer des représentations personnelles de vos contacts qui vous permettront de les mémoriser davantage. Il peut s’agir d’un personnage symbolique, comme Monsieur O. Vous pouvez aussi créer une phrase-clé, qui fonctionne comme une définition. Si une personne vous aborde et que vous ne vous rappelez pas de son nom, voici comment faire la connexion sans perdre la face. Demandez-lui de vous donner les clés dans sa mémoire. Comment faire? Voici un exemple vécu : « Bien sûr, je vous reconnais, mais je ne me rappelle pas du contexte de notre dernière rencontre ». Vous la verrez alors multiplier les indices. « Mais oui, je me souviens. Vous êtes Hélène Chapart, la petite française aux yeux bridés. On s’est rencontré à une soirée de réseautage à Montréal. Vous avez fait un témoignage !!! ».

61 Samia : Jean Luc a-t’il filmé le témoignage d’Hélène ?
C’est clair. Samia : Non ce n’est pas clair. Pourquoi gigotes-tu comme une anguille Samia? Hélène : OK, OK. Le voici mon fameux témoignage. Le temps est maintenant venu de parler du principe 15 : Laissez votre interlocuteur parler à son aise. Bonjour Renaud En revenant à la maison hier soir, je me suis dit que demain matin, la première chose que je dois faire, est de remercier les membres du comité. Plusieurs personnes m’ont confirmées que la soirée a été géniale. La présentation des surprises m’a demandé de me botter le derrière, car je ne pouvais deviner la réaction des gens. J’ai dû faire avec. Je suis convaincu que des surprises bien dosées sont de mise et que le comité me supporte dans cette démarche. Alors je vais continuer d’innover. Je me permets de te demander si tu peux envoyer un courriel aux personnes présentes hier soir afin de solliciter leur opinion sur le déroulement de la soirée. Cette soirée m’a permis de réaliser que je suis à ma place comme animateur et motivateur. J’ai aussi constaté que le comité a dépassé le point de non retour et qu’il doit continuer à faire son travail. Je ne pourrais jamais assez remercier la Régionale de Plein Sud et les membres du CEPS d’avoir accepté de s’amuser hier soir. On a vibré ensemble et constaté que les ingénieurs, les technologues et les chimistes veulent s’entraider. Merci à l’avance d’envoyer un courriel aux personnes présentes hier soir afin d’obtenir leurs commentaires et suggestions. Leurs réponses serviront de carburant au comité. Je te souhaite de passer une agréable journée. Jean Luc Archambault

62 Bonjour Jean Luc Sur le retour à la maison, j’ai repassée le déroulement de la soirée dans ma tête. Cette soirée fut géniale. Il est vrai que j’ai dû me botter le derrière, en raison de ma timidité. Mais finalement, je crois que j’ai passé le test. Je crois que des surprises lors des soirées réseautage est de mise, tu as une âme de créateur et le comité te supporte dans tes nouvelles idées. Alors continue de pondre et d’innover. Je me demandais également, étant donné que Renaud a les courriels des personnes qui étaient présent hier soir, si nous ne pourrions pas leur demander leur avis? Une idée comme ça. Cette soirée m’a permis de réaliser que je suis à ma place comme secrétaire du comité et que je ne laisserai pas ma place pour rien au monde. Le comité me permet de rester en vie et de me réaliser. Marie-Josée Plouffe

63 Suite à la soirée de réseautage qui a eu lieu hier soir à l'hôtel Sandman de Longueuil, le Comité
Emploi apprécierait obtenir vos commentaires et votre appréciation dans le but d'améliorer les prochaines soirées de réseautage. Vous pourrez faire parvenir vos suggestions et commentaires à l'adresse courriel suivante : Merci de votre présence et au plaisir de se revoir.  Le Comité Emploi Régionale de Plein-Sud Ordre des Ingénieurs du Québec

64 J'étais présente à la rencontre d'hier et j'ai appréciée ma soirée
J'étais présente à la rencontre d'hier et j'ai appréciée ma soirée. J'ai très bien mangé et j'ai fait des rencontres intéressantes. Par contre, je suis en recherche d'emplois et rien ne correspondait à mon profil. Je recherche dans le domaine de la chimie. J'ai constaté qu'il y avait beaucoup d'offres d'emploi dans le domaine de l'ingénierie mécanique, de l'électricité, du bâtiment et de l'électronique. Présentement, je remplace une chimiste qui est en congé de maternité. Je recherche un emploi avec autant de responsabilité et d'autonomie même si je suis que titulaire d'un diplôme d'études collégiales en chimie analytique. Je suis déçue, car je pensais pouvoir trouver quelque chose d'intéressant. Dominique Crête

65 J'ai très apprécié l'accueil, l'animation, le goûter, l'ouverture d'esprit des personnes participantes, les offres d'emploi, le parrainage et les possibilités de coaching. Félicitations, soirée très réussie. Ça vaut vraiment le déplacement. Réjean Leblanc Cela faisait plusieurs mois que je n'avais pas eu l'occasion de venir à une soirée du comité, et j'ai trouvé la dernière intéressante bien que la première partie était un peu trop longue et théâtrale à mon goût. Pour moi 2 ou 3 témoignages auraient été suffisants pour démontrer l'importance du réseautage et l'intérêt des formations et coaching/mentoring que vous proposez. Mis à part ce bémol, je reviendrais avec plaisir à la prochaine réunion. Cyril Arnaud Je vous félicite pour cette soirée réseautage. Je crois que la formule était excellente. Ça valait le déplacement et je compte bien participer aux prochaines soirées réseautage. Merci beaucoup et bonne journée. Alain Laferrière

66 En tant que chercheur d'emploi dans le domaine de la chimie, je tiens à vous remercier pour les efforts que vous faites pour nous rapprocher le plus de nos objectifs, la soirée d'hier était ma première expérience de réseautage et elle ne sera sûrement pas la dernière vue la très bonne impression que j'ai eu. Il est clair que la chimie n'était pas au RDV hier soir mais ça m'a permis de discuter avec des gens qui sont sur la même longueur d'onde que moi. Akila Chentir C'est la première fois que j'assiste à une telle réunion. J'ai trouvé que la technique de présentation et de mixage des chercheurs d'emploi et d'employeurs assez bien réussie. Les employeurs présentent leur marchandise. Faudrait peut-être informer les chercheurs qu'ils auront aussi à le faire et de se préparer en conséquence. Je suggère d'identifier les employeurs au moyen d'un signe apparent : macaron, drapeau à l'épaule, casquette... Henri Yelle

67 Je tiens à remercier tous les membres de la Régionale de Plein Sud pour le succès de la soirée d'hier. Le réseautage est l'une des principales clés de réussite et savoir donner au prochain en est la porte d'entrée. La solidarité, l'entraide et le respect mutuel sont autant d'atouts à utiliser pour combler les emplois cachés alors quoi de mieux que de persévérer dans cette voie pour un meilleur développement de notre pays. Bravo et bonne continuité ! Samia Abdelaziz Comme d'habitude, cela fait 4 fois que je viens, il y a eu de très bons intervenants et des chercheurs d'emploi qui ont fait part de leur expérience. Par contre, j'ai trouvé la partie "avant réseautage" originale mais un peu trop long. Un grand merci au CEPS, vous êtes une équipe vraiment dynamique. A la prochaine soirée de réseautage Alexia Grenier La soirée a été bien orientée, même si au principe j'ai été perdu. Je trouve que la façon de se connaître est intéressante et profitable. Je pense qu’améliorer les réseaux et les agrandir est une chose pour le bien en commun. Mladen Licul

68 J'ai trouvé la soirée réseautage très intéressante
J'ai trouvé la soirée réseautage très intéressante. Depuis peu au Québec et d'origine française, je n'ai pas l'habitude de ce genre de soirée et je trouve que beaucoup de choses ont été faites pour que les gens trouvent de l'intérêt à aller les uns vers les autres sachant qu'une bonne partie des personnes présentes sont des personnes techniques qui ont un peu plus de mal que d'autres à aller spontanément vers l'autre. Si j'avais un tout petit commentaire sur la soirée, lorsque Jean Luc a demandé à un certain nombre de personnes de venir en avant, ça aurait été bien de savoir leur nom, ce qu'elles recherchent à la soirée réseautage, histoire de créer encore plus de liens avec les personnes dans la salle et de faire marcher encore mieux le réseautage ("tiens cette personne cherche dans l'informatique, je connais quelqu'un qui a besoin d'une personne dans ce domaine, je dois lui parler!"). Merci à tous, je reviendrai si je n'ai pas trouvé un emploi avant. Eric Carioli

69 Je tenais simplement à donner mon opinion sur la soirée d'hier
Je tenais simplement à donner mon opinion sur la soirée d'hier. Je crois qu'il est important de sensibiliser les gens aux nouvelles méthodes de recherche d'emploi et que promouvoir le réseautage comme méthode, est fort intéressant, principalement pour les gens qui n'en font pas du tout et qui le découvre. Je crois aussi que l'intervention de Louis-Jacques sur l'importance de l'implication et la continuité de celle-ci était très pertinente. Il est important de faire parler des gens. Le but de la soirée est de favoriser les rencontres entre candidats et employeurs et promouvoir le réseautage responsable. C'est mon humble avis. Jean Luc, si tu veux en discuter, on peut le faire au téléphone ou encore mieux, entre deux parties de billard. Christian Roy

70 Ayant participé à une activité précédente, nous avions décidé de retourner à cette activité de réseautage dans le but de combler nos postes particuliers en plus de faire connaître notre entreprise à titre d’employeur de choix. Malheureusement, cette soirée était destinée à la motivation des chercheurs d’emploi plutôt qu’à faire la promotion des emplois disponibles. En tant qu’employeur, nous n’avons eu accès à l’auditoire qu’à partir de 20h30. Ce fût donc plus de deux longues heures à attendre avant de faire notre propre promotion. Nous comprenons le bien-fondé de la motivation des chercheurs d’emploi, mais cela est plutôt inapproprié devant les employeurs. Nous vous suggérons de faire deux événements différents ou séparer la soirée en deux volets, dont l’un où les employeurs ne sont pas présents. Bref, nous croyons beaucoup en ce type d’activité, mais nous ne sommes pas intéressé à y revenir dans le format de la dernière édition.  À vous de voir !  Bonne réflexion ! Mathieu Massé

71 Bonjour Renaud Je vais appeler Monsieur Massé et lui confirmer que j’aime sa suggestion de séparer la soirée de réseautage en deux volets. Sa suggestion de d’abord chauffer les méninges des chercheurs d’emploi sans la présence des employeurs et ensuite de permettre aux employeurs invités, de présenter leurs emplois cachés, mérite d’être testée lors de la soirée du 23 octobre. Il y a dans l’idée de Monsieur Massé, un processus à tester avec les chercheurs d’emploi avant l’arrivée des employeurs dans la salle. Je vais aussi faire une recherche afin de voir s’il y a des chercheurs d’emploi qui pourraient l’intéresser. Si mes recherches sont infructueuses, je vais lui offrir mes services et afficher certains de ses postes et lui référer des candidats à partir de mes banques de CV. Lors de la prochaine soirée de réseautage, la suggestion de Monsieur Massé sera testée. Je te tiens au courant de la suite des événements. Jean Luc

72 Bonjour Monsieur Massé
Merci d’avoir pris le temps de nous donner l’heure juste suite à la soirée de réseautage du 5 septembre dernier. Votre suggestion est logique et je vous confirme que la soirée de réseautage de 23 octobre prochain sera organisée en deux volets. Nous ferons d’abord chauffer les méninges des chercheurs d’emploi sans la présence des employeurs. Ensuite les employeurs invités entreront dans la salle et présenteront leurs emplois cachés et ils feront du réseautage avec les chercheurs d’emplois. Votre suggestion me permettra d’améliorer la technique que j’enseigne dans mes ateliers de chasse aux emplois cachés et elle donnera plus de panache aux offres d’emplois qui seront présentés par les employeurs. J’ai reçu les textes des emplois que vous avez envoyés hier au comité. Je vais vérifier dans les CV des candidats partenaires du comité et je vous confirmerai s’il y a des chercheurs d’emploi qui pourraient vous intéresser. Si mes recherches sont infructueuses, je vous proposerai d’utiliser mes services et de me donner le mandat d’afficher certains de vos postes et de vous référer des candidats à partir de mes banques de CV. Merci pour vos précieux commentaires. Jean Luc Archambault

73 Bonjour Jean Luc, Tout d'abord, félicitations à toute l'équipe pour tous les efforts qui ont été faits afin de mettre en place quelque chose de si unique et pourtant si nécessaire. Comme vous le savez déjà fort probablement, mon expérience initiale s'est faite du côté "chasseur" d'emploi. Je me fais aujourd'hui un devoir de retourner ce qui m'a été offert en pilotant le dossier de recherches de candidats pour Axor auprès du CEPS. J'ai vu évoluer le concept et je suis très impressionné des énergies et efforts qui ont été faits pour mettre en place ce qui est offert aujourd'hui et je lève mon chapeau à l'équipe. Évidemment, du côté employeur, l'objectif ultime est de trouver le candidat qu'il a besoin et ce le plus rapidement possible. Dans la situation où nous nous retrouvons aujourd'hui, il y a beaucoup plus une rareté de candidats pour combler les postes ouverts. Dans ce sens, toute initiative qui augmentera l'auditoire et ceci est vraie pour tout type de rencontre et c'est le défi, augmentera automatiquement le nombre d'employeurs intéressés. Il en va de même lorsqu'une compagnie loue un kiosque à gros prix lors d'une foire ou d'un événement commercial. La compagnie comprend bien qu'il y a une valeur à l'exposure, mais ce qui compte à la fin de la journée est le nombre de "leads" et le nombre de contrats qui en découlent et du profit qui suivra. Pour que la recherche de candidats soit intéressante pour la compagnie, il faut justifier que l'investissement, ici en temps, rapporte et pour ce faire, avoir dans la salle les candidats intéressants. Voici donc pour le principe. J'aime bien également d'autres types de rencontres puisqu'elles permettent à d'autres gens qui ne sont pas nécessairement à la recherche d'un emploi à se présenter. Et hop une connexion peut être faite et un poste peut être offert... Ainsi, pour augmenter l'auditoire, le cadre des soirées de réseautage pourrait avoir un volet purement réseautage comme un cocktail réseautage ou une formation de 30 minutes sur la motivation ou le réseautage ou quelque autre idée pour offrir une valeur ajoutée aux candidats potentiels. Du côté employeur, l'idée des entrevues éclair est excellente et je crois que cette période devrait être prolongée et présentée comme l'objectif de cette rencontre avec tout le reste en préparation aux entrevues éclair. Voici quelques idées durant mon heure de lunch... Merci pour vos efforts, René Lahaie

74 Bonjour Jean Luc, Ce fut une belle soirée intéressante. La tournée des tables par les employeurs pourrait durer 10 minutes par table et commencer plus tôt. Gisèle Brunette Je n'ai pas senti une grande crédibilité de la part des employeurs, ils sont juste là pour nous "écouter" sans plus, je me suis senti vraiment gêné de répéter tout le temps la même chose durant les présentations tout en étant convaincu et certain que la personne en face de moi ne se rappellera même pas de mon prénom. Le jeu de 5 minutes par table est vraiment ridicule pour ne pas dire autre chose car en présence d'un candidat qui parle beaucoup, tout le reste sont des spectateurs et chaque employeur qui arrive dit la même chose. Je ne vous cache pas que plusieurs fois je me suis demandé qu'est-ce que je fais ici. J'ai eu le sentiment que c'est plus de la pub pour le CEPS. Il y a eu plus de témoignages que de choses concrètes pour un chercheur d'emploi. Si c'est à refaire, je ne serai pas là malheureusement car les employeurs qui étaient là ne montraient pas de la crédibilité, la plupart étaient des gens qui travaillait pour des multinationales. Il y a même des employeurs qui ont fait le tour des tables pour ensuite nous référer au site Internet de leur entreprise. Si c'est pour être référé à Internet, je préfère le faire à la maison. Sinon un grand merci à Jean Luc car c'est la personne qui m'a impressionné le plus par son savoir, son charisme et sa gentillesse, d’ailleurs il m'a fait deux petites remarques et de toute la soirée, se sont ses remarques dont je me rappelle. Walid Gamoudi 

75 Bonjour Renaud, J’ai bien aimé la soirée, cependant j’ai trouvé le cadre très rigide en restant assis toute la soirée. J’ai bien aimé la présence des grosses boîtes, mais le discours de certaines qui nous réfère à leur fameux site Web, m’embête, je connais, je suis déjà sur leur banque. Certains ont compris, comme un employeur régulier de nos rencontres, à qui j’ai demandé si en tant qu’employeur il a trouvé la soirée trop longue, il m’a dit que ça valait la peine pour lui, qu’il avait fait plusieurs bons contacts et que 4-5 candidats potentiels seraient rencontrés. Je n’ai pas pu réseauter avec les non employeurs, ça m’a déçu de ne pas les rencontrer et peut-être de les référer ou de l’être. J’ai fait cependant trois bons contacts parmi les employeurs, c’est très bon pour moi. La nouvelle formule est bonne, faudrait en discuter pour voir si on peut l’améliorer. Yves Tremblay J'ai bien apprécié cette soirée, particulièrement les témoignages et les rencontres des employeurs aux tables. J'ai trouvé certains conseils des animateurs très appropriés: carte d'affaires et CV. Par contre certains représentants ne sont pas assez familiers avec les emplois à combler dans leur entreprise et ils nous réfèrent trop facilement au site Web. André Richard

76 Cette soirée étant ma première expérience de la sorte, j'étais tout à fait déstabilisé. Bien que ma situation personnelle ne soit pas encore bien définie à ce moment, je dois avouer que la soirée m'a aidée à clarifier certaines choses. J'ai été surpris de la qualité générale des emplois offerts. Le fait que les interventions soient dirigées pendant un certain temps est, selon moi, bénéfique. Il est presque impossible de parler à tous, mais les donneurs d'emplois ont fait le tour. Et, malheureusement, non je n'ai pas retenu le nom de tous les participants... Depuis cette soirée, et en partie grâce à elle, j'ai compris quelles options j'allais choisir pour, à tous le moins, les mois à venir. J'attends donc avec impatience contrôlée la première soirée de réseautage s'adressant aux contractuels et aux travailleurs autonomes. Entre temps, je continuerai d'assister aux soirées de réseautage sur la Rive Sud, ou en Estrie s'il y a lieu... En bref, j'ai aimé le repas léger, l'interaction entre les participants, les présentations, le fait d'être regroupé avec des gens qui ont tous le même but, les conseils prodigués par certains intervenants et aussi par certains participants. J'ai moins aimé la longueur de certaines présentations bien que cela soit intéressant, la différence de niveau de préparation des ''donneurs d'emplois'', le manque de rodage de la méthode utilisée (donneurs d'emplois qui se déplacent de table en table). Je crois que cette méthode est très bonne, mais il faut absolument que chaque personne à table puisse avoir au moins 30 secondes à 1 minute pour parler. Benoît Parent

77 J'ai trouvé la soirée très bien organisée
J'ai trouvé la soirée très bien organisée. Sauf, peut être il faudrait recommander aux gens d'apporter des cartes d'affaires. Daniel Piaget Je voudrais vous remercier d'avoir inclus cette plate-forme de réseautage qui me permet de faire de nouveaux contacts. Ceci me donne un bon outil de travail pour ma recherche de nouveaux défis. J'ai apprécié grandement la présence des employeurs recruteurs sur place et la possibilité de connaître leur vue des candidats recherchés. Cette présence devrait être encouragée et développée. Une liste des employeurs recruteurs et les adresses pour les contacter pourraient être publiée ou affichée pour ces employeurs qui le désirent.  Jean-Guy Leroux

78 Lors des soirées de réseautage, Jean Luc prend le temps de parler avec des gens qui veulent tisser des liens solides afin de se bâtir un embryon de réseau de contacts. Dans l’univers du réseautage, la monnaie d’échange, ce sont les contacts. Vous serez chouette en autant que vous connaissez des gens chouettes. Mais ce qui est chouette pour un, n’est pas nécessairement chouette pour l’autre. Prenez le temps d’écrire les objectifs de votre réseautage, les contacts à faire qui vous semblent les plus efficients, le temps que vous consacrerez à faire vos contacts, le temps à investir dans votre chasse aux emplois cachés et les moyens de contrôle que vous utiliserez pour évaluer la soirée de réseautage. Vous devez comprendre que le but ultime est de vous mettre en valeur. Vous devez être chouette aux yeux des autres et être plaisant à côtoyer. N’oubliez pas que c’est votre personnalité et non vos compétences que vous présentez. Les gens vous feront confiance s’ils aiment votre comportement et votre personnalité. Ensuite, ils auront le goût d’avoir une vraie conversation avec vous. Si vous passez ce test, il est possible qu’ils vous réfèrent. Si votre énergie est négative, on s’éloignera de vous. Si elle est positive, on se rapprochera de vous. La seule chose qui compte, c’est la première impression qu’on a de vous. Le reste, c’est du partage d’informations. Samia : Si on se donne un genre qui n’est pas le nôtre, les gens vont nous fuir. Tiens, tiens, une belle vérité qui vient de sortir du sac…

79 Au risque de me répéter, trouver son identité avant de participer à une activité de réseautage, est fait de petites choses qui vous permettront d’aller vers votre but et d’atteindre votre objectif avec efficience. Une fois que vous comprenez ces petites choses, vous avancerez avec sérénité et efficience dans votre plan de vie et de carrière. Trouver votre identité avant de participer à une activité de réseautage, est une « entreprise d’intériorisation », de relecture et d’évaluation qui vous permettra de réussir ce travail important en toute confiance, authenticité, détachement et liberté. Vous ressentirez un besoin urgent d’avancer, de croître et de prendre votre place dans la hiérarchie d’une entreprise qui partage vos valeurs. Le mentorat, le vrai, permet de partager ce qu’on a vécu, ce qu’on a réalisé et apporte une contribution significative au monde du travail et de l’éducation. On fait pour le mieux compte tenu de ses talents, des connaissances qu’on a, des moyens dont on dispose, et on sait ce qu’il a fallu faire pour être la personne qu’on est maintenant. Trouver son identité dans le mentorat, permet de se mettre complètement au monde, de vivre pleinement le moment présent, de s’ouvrir, de transformer ses expériences en service. C’est la voie qui permet de découvrir la profondeur de son ÊTRE et de transmettre ses valeurs et sa sagesse à la relève. Jean Luc a pris le temps de développer des mécanismes de mentorat qui sont devenus sa clé d’or. Les normes et les valeurs qu’il a développées, désignent tout ce qu’un mentor peut et ne peut pas faire et traduisent des valeurs en lois, tel que donner avant de recevoir, être un ambassadeur pour son employeur, respecter un code de conduite.

80 Je vous avait promis dans le Tome 2 que je vous reparlerais du remède de cheval.
À partir de maintenant, ne dites plus jamais « je ne connais pas de mentors et je n’ai pas de réseau de contacts. Mais il y a une condition à respecter : Vous devez prendre un remède de cheval. Un remède de cheval veut dire un médicament très fort et qui goûte mauvais.    Cette analogie du remède de cheval vient de ces trois citations d’Albert Einstein : ‘’C’est le devoir de chaque homme de rendre au monde au moins autant qu’il en a reçu’’. ‘’N’essayez pas de devenir une personne qui a du succès. Essayez de devenir une personne qui a de la valeur’’. ‘’La valeur d’un homme tient dans sa capacité à donner et non à recevoir’’. ‘Samia : L’expression ‘’remède de cheval’’ me fait sourire. Tu as bien raison de sourire Samia. Le remède de cheval permet de travailler en équipe, de rechercher des responsabilités plutôt qu’un salaire, d’apporter des solutions plutôt que de mendier des emplois. Les cerveaux qui embauchent le remarqueront si tu as pris un remède de cheval. Samia : Tu es entrain de me monter un bateau !!! Pas du tout. Ton cerveau droit se nourrit de l'intuition qui te force à sortir de ton isolement tandis que ton cerveau gauche, prend sa source dans ton rationnel, qui te permet de mieux t’isoler. Samia : Je ne savais pas cela. Continue Michou.

81 Le rôle des deux cerveaux est complémentaire et alternatif
Le rôle des deux cerveaux est complémentaire et alternatif. Ils fonctionnent comme un moteur à deux temps : intuition / rationnel / intuition…   Selon Michael Gershon, auteur du livre The Second Brain, presque toutes les composantes chimiques qui contrôlent le cerveau, se retrouvent aussi dans le système digestif. Le cerveau et le système digestif se sont développés à partir des mêmes masses de tissus embryonnaires. Quand cette masse s’est divisée, une section a migrée vers le haut pour devenir le cerveau et le système nerveux central alors que l’autre, est devenue le système nerveux entérique qui contrôle la digestion. Les deux cerveaux sont connectés par le nerf vague. Le nerf vague est le nerf crânien dont le territoire est le plus étendu. C'est un nerf mixte qui convoie des informations motrices, sensitives et sensorielles. Cela explique pourquoi lorsque tu es nerveuse et stressée, que tu as des papillons dans l’estomac, du mouvement dans tes intestins et que tu oublies de respirer. Samia : Je ne savais pas ça. Continue Michou. Suis-je obligé de te croire Samia? Cette sensation provient des neurones disséminés le long de ton tube digestif (ton deuxième cerveau). Le cerveau qui est situé dans ta tête, et l’autre qui est situé dans tes entrailles, travaille en tandem.

82 Voici à quoi ressemblent le cerveau cognitif et le cerveau émotif.
Samia, pour profiter de tes deux cerveaux, voici quelques suggestions :   1. Écoute tes émotions. Les réprimer perturbe tes entrailles. Ceci explique la constipation et la diarrhée. 2. Si tu es penchée longtemps devant ton écran d’ordinateur, tu comprimes ton système digestif.  Lèves-toi et marche un peu ou étires-toi toutes les 90 minutes.  3. Prend de profondes respirations en gonflant ton ventre lorsque tu es stressée. Cela augmente ta capacité à écouter ton cerveau émotif. Voici à quoi ressemblent le cerveau cognitif et le cerveau émotif. Le cerveau cognitif Le cerveau émotif Analyse Associatif  Logique Intuitif  Rationnel Analogique  Numérique Littéraire  Matheux Imaginatif  Linéaire Simultané  Séquentiel Global  Minutieux Créatif Contrôlé Impulsif  Stable Contact humain

83 Samia : Si je comprend bien, le cerveau cognitif permet d’écouter ce qui est dit et le cerveau émotif permet de percevoir comment c’est dit… Voilà une autre vérité qui vient de sortir du sac !!! Le temps est maintenant venu de vous parler des gens qui ont toute mon admiration : Ceux qui souffrent du syndrome d’Asperger et ceux qui souffrent du trouble déficitaire de l'attention avec ou sans hyperactivité (TDAH). Les personnes Asperger sont intelligentes, perfectionnismes, rigides, très sensibles aux détails, respectueuses des règles établies, analytiques, logiques, et honnêtes. Un Asperger : J’ai les mêmes qualités que la majorité des chimistes. En dépit de leur cécité sociale, ils peuvent vivre normalement dans la société. Samia : Je comprends mieux la souffrance des chimistes. Maintenant, parlons du monde qui souffre du trouble déficitaire de l'attention avec ou sans hyperactivité (TDAH). Ce trouble est observé plus souvent chez les garçons que chez les filles et leur souffrance est caractérisée par des troubles d’inattention, d'hyperactivité et d'impulsivité. Le TDAH apparaît rarement seul. Près de 80 % des TDAH, ont d'autres troubles, tels que trouble d'apprentissage, trouble du développement, trouble anxieux, trouble de conduite, trouble dépressif, trouble bipolaire et des tics nerveux. Le TDAH, s'il n'est pas traité, développe avec le temps, des comportements sociaux inadaptés, une faible tolérance à la frustration, des accès de colère, de l’entêtement, des déficits quant à l'autocontrôle, le rejet des pairs, des comportements agressifs verbaux et physiques, des problèmes d'apprentissage, de faibles performances scolaires ainsi que l'échec ou le décrochage scolaire. Selon Braswell et Bloomquist, ces problèmes concourent souvent à une image de soi négative et à une faible estime de soi.

84 Samia : Je comprends mieux la souffrance des TDAH
Samia : Je comprends mieux la souffrance des TDAH. Je sympathise avec eux. Un employeur : J’ai été con de congédier mes employés TDAH. Une maman : Je comprends mon garçon qui ne veut plus aller à l’école. Un professeur : Je comprends la souffrance de certains de mes élèves. Un nouvel immigrant algérien : Le syndrome d’Asperger et le TDAH expliquent en partie pourquoi plusieurs de mes compatriotes ont de la difficulté à s’intégrer au Québec.

85 Sommaire Un talent équilibré est semé dans un terrain fertile et arrosé de solidarité. Déployez vos talents même si vous avez une maladie mentale. Ce n’est pas une tare, c’est une maladie et elle se soigne. N’ayez pas peur d’être à la hauteur de votre maladie et d'être jugé. Le Québec a besoin de votre inestimable contribution.


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