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l’école classique de gestion L’école néoclassique La théorie de Simon

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Présentation au sujet: "l’école classique de gestion L’école néoclassique La théorie de Simon"— Transcription de la présentation:

1 l’école classique de gestion L’école néoclassique La théorie de Simon

2 L’école classique de gestion

3 Le principe de la structure hiérarchique
L’autorité et la responsabilité doivent s’exercer , selon une ligne directe et claire, de la tête de l’organisation jusqu’aux exécutants;

4 Le principe de l’unité de commandement
Aucun membre de l’organisation ne doit recevoir d’ordres de plus d’un supérieur; en cas de conflits, ce principe l’emporte;

5 Le principe de l’exception
Les décisions récurrentes doivent être programmées et déléguées aux subordonnés tandis que les décisions non récurrentes et les problèmes importants doivent être référées au supérieur.

6 Le principe de l’étendue limitée du champ de contrôle
Le nombre de subordonnés se rapportant à un supérieur doit être limité; ce principe soulève le problème du nombre de niveaux hiérarchiques acceptable;

7 Le principe de la spécialisation
Le travail doit être réparti en fonctions spécifiques et confié à des unités qui deviennent ainsi spécialisées; le problème est de savoir quel critère doit guider la départementalisation en unités fonctionnelles : le produit, le client…?

8 Le principe des centres de profit
Les différentes divisions d’une organisation (de grande taille) doivent former des entités autonomes ayant leurs propres ressources ainsi que tout le personnel de support requis et, en conséquence, fonctionner sur une base de compétition de façon à maximiser les profits.

9 École néoclassique

10 Drucker : le représentant de l’école
S’intéresse aux aspects pratiques de la gestion Principes d’action pour l’immédiat Du devenir de l’entreprise Pour lui, diriger une entreprise : c’est diriger une affaire de façon à ce qu’elle donne les résultats attendus (qui, pour une entreprise, sont économiques). Rendre cette entreprise productive au moyen de ressources humaines et matérielles (c’est donc diriger les cadres supérieurs). C’est organiser le travail pour l’adapter à des êtres humains et organiser les individus pour les faire travailler de la façon la plus productive et la plus efficace possible (c’est donc diriger les exécutants et leur travail). Au total, c’est faire agir l’entreprise comme un tout en fonction des buts fixés et donc en fonction de l’efficacité et ce, tant pour le présent que pour le futur.

11 Les ressources humaines
Drucker admet que les ressources humaines ne peuvent être traitées comme les autres ressources selon la logique de la machine. Il s’est préoccupé de la façon dont les individus travaillent pour donner le maximum de rendement. Il a proposé: d’organiser le travail au plan technique de telle sorte qu’il suscite le plein rendement de celui qui l’exécute et d’organiser les humains pour exécuter ce travail.

12 Des idées progressistes
Procurer à chacun une tâche intégrée dont il se sent responsable. Les employés sont des experts et il faut adapter la gestion en conséquence. L’efficacité de l’organisation doit être la seule référence qui guide le gestionnaire. La gestion par objectif. La décentralisation et ses conditions

13 Herbert Simon économiste américain né 1916- prix Nobel en 1978

14 L’approche de décision
C’est une approche qui vise à analyser et à expliquer le comportement administratif à partir du processus de prise de décision

15 La rationalité limitée les étapes de prise de décision
Établissement de la liste de tous les comportements possibles. La détermination des conséquences de chacun. L’évaluation séparée de ces ensembles de conséquences

16 Définition de la rationalité
La rationalité est la sélection d’un comportement préféré en face d’une alternative faite en terme d’un système de valeurs quelconques par lequel les conséquences de ce comportement peuvent être évaluées

17 Les conditions d’une décision objectivement rationnelle
L’individu voie à l’avance synoptiquement tous les choix de comportement possible. Il considère l’ensemble total dans toute la complexité des conséquences qui suivraient chaque choix. Applique son système de valeur ou d’utilité comme critères à l’ensemble total des conséquences de chaque choix possible.

18 or La connaissance complète et l’anticipation de toutes les conséquences qui suivraient chaque choix est impossible. La connaissance des conséquences est toujours fragmentaire. Ces conséquences se produisant dans le futur , l’imagination doit suppléer au manque de connaissances expérimentales des sentiments perçus en attachant des valeurs à celles qui sont connues. De plus, des valeurs ne peuvent qu’être imparfaitement anticipées. La rationalité exige un choix entre tous ces comportements possibles. En fait, seul un très faible nombre des comportements possibles viendra à l’esprit. La plupart ne sont jamais évalués

19 La rationalité limitée
L’esprit humain est incapable de tenir compte de tous les aspects (valeurs, connaissances, comportements…) Les capacités de conceptualisation et de mémorisation …sont limitées Les connaissances personnelles et les informations sont différentes

20 Le modèle simplifié Confronté à un choix, l’individu construit un modèle simplifié de la réalité. C’est l’expérience passée de chacun qui détermine la définition personnelle de la situation. La plupart des décisions sont de routine, des solutions utilisées, dans des circonstances qui lui apparaissent grossièrement similaires et qui s’étaient révélées satisfaisantes

21 Si certains traits de la situation apparaissent comme fondamentalement différents, alors l’individu va s’engager dans la recherche d’une solution mais du fait de sa rationalité limitée, il ne va pas chercher la solution optimum de toutes les solutions possibles par manque de temps, d’information, de capacités. Il ne va pas essayer de maximiser les rapports cout bénéfice de son comportement d’une manière synoptique , en passant en revue toutes les options et toutes les conséquences

22 Comportement satisfaiseur ou comportement maximisateur
L’individu va rechercher un niveau minimum de satisfaction Il va passer les quelques solutions de comportement possible qu’il a retenues en revue l’une après l’autre (d’une manière séquentielle et non synoptique) Dès qu’il aura trouvé une solution qui satisfasse ce minimum de satisfaction il va l’adopter sans aller plus loin. Si il n’en trouve pas , ou si il en trouve trop facilement , il va ajuster son critère de satisfaction à la baisse ou à la hausse.

23 Questions de réflexion
Quelle est l’utilité de la théorie de Simon? Comparons la conception de l’homme économique et la conception de l’homme de Simon.

24 شكرا على انتباهكم


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