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Place de l’omnipraticien dans la prise en charge intégrée du malade cancéreux Le point de vue de l’omnipraticien  Dr A. SALAH LAOUAR.

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1 Place de l’omnipraticien dans la prise en charge intégrée du malade cancéreux Le point de vue de l’omnipraticien  Dr A. SALAH LAOUAR Congrès National du SNMGSP 2er Journée Médicale Nationale DU SNMGSP Hôtel El Djazair – Alger 24 janvier 2015

2 Définition du rôle du MG
Définition Européenne de la WONCA La SEMG (WONCA) associe la médecine générale à la médecine de famille et définit cette discipline scientifique et universitaire, comme une spécialité clinique orientée vers les soins primaires. Elle constitue habituellement le premier contact avec le système de soins, en permettant un accès ouvert et non limité aux usagers.

3 Définition du rôle du MG
Les MG – MF sont des médecins spécialistes formés aux principes de cette discipline. Ils sont le médecin traitant de chaque patient, chargés de dispenser des soins globaux et continus à tous ceux qui le souhaitent indépendamment de leur âge, de leur sexe et de leur maladie. Ils soignent les personnes dans leur contexte familial, communautaire, culturel et toujours dans le respect de leur autonomie.

4 Définition du rôle du MG
Leur activité professionnelle comprend : La promotion de la santé, La prévention des maladies, La prestation de soins à visée curative et palliative. Ils agissent personnellement ou font appel à d’autres professionnels selon les besoins et les ressources disponibles dans la communauté, en facilitant si nécessaire l’accès des patients à ces services.

5 MEDECINE GENERALE UNE SPECIALITE MECONNUE
Le médecin généraliste est : - Habituellement 1er contact avec le système de soins - Utilise de façon efficiente les ressources du système de santé par le travail de coordination des soins ( collaboration et gestion du recours aux différents intervenants) - Développe une approche centrée sur la personne dans ses dimensions individuelles, familiales et communautaires - Utilise un mode de consultation spécifique qui construit dans la durée une relation médecin/patient basée sur une communication appropriée - Responsabilité d’assurer des soins continus et longitudinaux selon les besoins des patients

6 Place du médecin généraliste dans le domaine de la cancérologie
Le médecin généraliste doit être présent dans la prise en charge du cancer, en particulier dans : Phase du dépistage, Diagnostic précoce, Phases curatives et palliatives.

7 Prévention et dépistage
Le médecin généraliste est capable de toucher les populations les plus démunies et les moins accessibles aux messages de prévention et de dépistage, de part sa proximité et sa relation de confiance avec le patient. Prévention primaire : son rôle est d’identifier les facteurs de risques pour chaque patient, d’informer sur les risques ou les conséquences, et de proposer une aide pour modifier les comportements. Dépistage : place du MG est primordiale dans les programmes de dépistages pour les cancers du sein, du colon/rectum, et du col de l’utérus, grâce à l’information et l’orientation.

8 Consultation du MG= Porte d’Entrée de la filière des soins
Diagnostic Consultation du MG= Porte d’Entrée de la filière des soins Le MG est habituellement détenteur de la plainte ou du symptôme qui conduira à organiser une démarche diagnostique efficiente pour laquelle le patient sera confié aux autres spécialistes. ensuite Le MG doit assurer la coordination des examens et des soins auprès des autres spécialistes.

9 Traitement Choix thérapeutique= mission des cancérologues, radiothérapeutes, oncologues et autres spécialistes d’organes. Décision d’équipe, au mieux, en réunion de concertation pluridisciplinaire (RCP) à laquelle le MG peut participer afin d’apporter la dimension « globale » de la prise en charge du patient en médecine générale. Le traitement lui-même est habituellement administré en milieu hospitalier

10 Le MG interlocuteur privilégié du patient tout au long du traitement
Reformulation des informations données au patient Importance de la communication adaptée au patient. Apporte une réponse aux problèmes intercurrents dans le cadre de la continuité des soins en s’aidant des compétences de l’équipe hospitalière (effets secondaires des traitements) Rôle de coordination des équipes soignantes au domicile du patient (soins infirmiers, kinésithérapeutes, etc.) mais aussi HAD, réseaux; avec les équipes hospitalières Transmission de l’information Prise en compte de l’entourage maillon indispensable de la chaîne des soins au domicile du patient

11 Surveillance et suivi après le traitement
Réinsertion professionnelle : gestion des arrêts et de la reprise du travail en concertation avec le médecin du travail et le médecin conseil pour utiliser les moyens existants: temps partiel, aménagement du poste de travail Planification des examens de surveillance: selon le calendrier établi par l’équipe hospitalière Organisation de la fin de vie à domicile si fin de vie à lieu : Travail de coordination++, anticipation des évolutions possibles, accompagnement du patient et de l’entourage avec possibilité de recours à la structure hospitalière en cas de besoin

12 Conclusions 1 La place du médecin généraliste, dans la coordination des soins et le suivi des patients est essentielle. Le MG reste le point de repère médical du patient en dehors de l’hôpital. La participation du médecin généraliste pourrait être renforcée sous condition de leur intégration dans le parcours thérapeutique du patient et notamment au niveau de la réalisation des soins complémentaires. Les médecins traitants sont confrontés aux effets secondaires des traitements mais aussi au traitement de la douleur, à l’accompagnement de fin de vie et aux soins palliatifs. Enfin, la coordination entre les structures périphériques (EPSP; EPH ) et l’hôpital doit être renforcée notamment dans le cadre des réseaux de soins afin de permettre un meilleur suivi global des patients en dehors de l’hôpital

13 Conclusion 2 Donnons les moyens aux médecins généralistes traitants de prendre leur place : Coordination réelle Formations adaptées Protocoles clairs Confiance de l’équipe hospitalière


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