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« La Voie Pour l’avenir de l’humanité »

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Présentation au sujet: "« La Voie Pour l’avenir de l’humanité »"— Transcription de la présentation:

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2 « La Voie Pour l’avenir de l’humanité »
Extraits « La Voie Pour l’avenir de l’humanité » Edgar Morin

3 Citations « Eduquer, c’est apprendre à l’enfant à vivre et lui donner les moyens d’affronter les moments difficiles » E. Morin « Là où croît le péril croît aussi ce qui sauve. » Holderlin Notes :

4 « Le but de la recherche de méthode n’est pas de trouver un principe unitaire de toute connaissance, mais d’indiquer les émergences d’une pensée complexe qui ne se réduit ni à la science, ni à la philosophie, mais qui permet leur intercommunication en opérant des boucles dialogiques. » Edgar Morin définit sa façon de penser comme « co-constructiviste, c’est-à-dire que je parle de la collaboration du monde extérieur et de notre esprit pour construire la réalité ». Notes :

5 Glossaire Le complexus : ce qui est tissé ensemble
Ethique : la morale non complexe obéit à un code binaire bien/mal, permis/défendu. L’éthique complexe conçoit que le bien puisse contenir un mal, le mal un bien, le juste de l’injuste, l’injuste du juste. Le bonheur n’est pas l’absence de malheur. Etre objectif, c’est savoir qu’on est subjectif. Notes :

6 Là où il y a du Yin, il y a un peu de Yang.
Yin / Yang : Là où il y a du Yin, il y a un peu de Yang. Là où il y a du Yang, il y a un peu de Yin. Notes :

7 Glossaire Connaissance : il n’y a pas de connaissance sans connaissance de la connaissance (La méthode, tome 3) Je ne sais pas que je ne sais pas Je sais que je ne sais pas Je sais que je sais J’ai oublié que je sais Toute connaissance et conscience qui ne peut concevoir l’individualité, la subjectivité, qui ne peut inclure l’observateur dans son observation, est infirme pour penser tous problèmes, surtout les problèmes éthiques. On peut développer une connaissance comme une symphonie, en lançant des thèmes qui vont s’entre-nouer d’eux-mêmes. Notes :

8 « Schopenhauer…souligne que lorsque, ayant atteint un âge avancé, on se retourne pour contempler son existence, elle peut sembler avoir respecté un ordre et un plan cohérent, comme si elle avait été composée par un romancier. Des événements, qui lorsqu’ils survinrent paraissaient accidentels et de peu d’importance, se révèlent avoir été des facteurs indispensables dans la composition d’une trame cohérente. Qui donc composa cette trame ? Schopenhauer suggère que, de même que les rêves sont composés par un aspect de nous-mêmes inconnu de notre conscience, la vie dans son intégralité est composée par la volonté qui est en nous. Notes :

9 Et alors que les personnes rencontrées apparemment par pur hasard ont été des agents importants dans la structuration de votre vie, nous-mêmes, sans le savoir, avons été acteurs de la vie des autres à laquelle nous avons donné un sens. Tout s’enchaîne comme une grande symphonie, chaque chose structurant toutes les autres… un rêve d’un seul rêveur dans lequel tous les personnages rêvent également;… chaque chose émerge en relation mutuelle avec toutes les autres, de sorte que nous ne pouvons rien reprocher à qui que ce soit. C’est même comme si une seule intention se cachait derrière le tout, qui a toujours un certain sens, même si aucun d’entre nous ne sait quel peut être ce sens ou n’a vécu exactement la vie qu’il attendait. » Notes :

10 Glossaire Langage : il est sensé de penser que c’est le langage qui a créé l’homme et non l’homme le langage, à condition d’ajouter que c’est l’hominien qui a créé le langage. La pensée est dans le langage, et pas dans le cerveau. Nous faisons le langage qui nous fait. On ne peut pas ne pas communiquer. Tout communique, surtout le silence. Le langage influence le comportement. Logique : il faut abandonner tout espoir de fonder la raison sur la seule logique et reconnaître un principe d’incertitude logique. Pour commencer, la logique rencontre la contradiction au niveau le plus basique. Notes :

11 Glossaire Principe dialogique : deux entités qui se distinguent (ordre / désordre, vie/mort…) mais qui sont liées de façon complexe. Le principe dialogique unit deux principes ou notions antagonistes qui semblent se repousser l’une l’autre, mais qui sont indissociables et indispensables pour comprendre une même réalité. Deux principes en jeu: Distinction / conjonction : articulation (conjonction) Disjonction / exclusion L’organisation, c’est l’ordre du désordre. Unir sans confondre, séparer sans opposer : Le management est la distinction de deux logiques: Résultats / hommes ET leur conjonction Les deux axes : sortir du binaire, faire du « par » Notes :

12 Glossaire La physique quantique : avec la dualité onde-corpuscule conduit à penser que « certains aspects de la réalité micro-physique n’obéissent pas à la logique déductive-identitaire ». Si la logique pouvait s’asservir, la pensée perdrait la « créativité, l’invention et la complexité ». L’usage de la logique est nécessaire à l’intelligibilité, le dépassement de la logique est nécessaire à l’intelligence. La référence à la logique est nécessaire à la vérification. Le dépassement de la logique est nécessaire à la vérité. Concept de rationalité limitée : la vraie rationalité reconnaît ses limites et est capable de les traiter (meta point de vue) donc de les dépasser tout en reconnaissant un au-delà irrationnalisable. Le connu-l’inconnu-l’inconnaissable. « C’est l’inconnu nourricier qui nous lie ». Notes :

13 Glossaire L’information : les données prennent sens dans la tête des individus (support physique) pour devenir de l’information, sinon elles restent du bruit et de l’oubli. « Il faut transformer l’information en connaissance, la connaissance en sensibilité, la sensibilité en engagement » - Elie Wiesel Le monde grouille d’initiatives de vouloir vivre. Faisons en sorte que ces initiatives se connaissent et se croisent. La crise intellectuelle est peut-être la pire car nous continuons à penser que la croissance va résoudre tous les maux alors que la croissance enfonce et accélère, nous projette dans un monde fini qui le rendrait impossible. Albert Jacquart : « Voici l’histoire du monde fini » « Là où croit le péril croit aussi ce qui sauve » Höderlin. L’espérance et la désespérance sont liées. Notes :

14 Glossaire L’indignation : sans réflexion, elle est très dangereuse. L’indignation n’est pas un signe de vérité, une indignation est vraie si elle est fondée sur une analyse. Il faut désormais dépasser ce stade pour un autre, celui de la pensée, et associer les deux. Il faut distinguer ce qui doit croître et ce qui doit décroître. La métamorphose : il faut proposer une voie qui peut créer d’autres voies, et cette voie peut créer la métamorphose. Bienvenue avec la « Pachamama » (Bolure-Morales) la Terre Mère Tenter les symbioses entre les civilisations traditionnelles et les civilisations occidentales. C’est le versant optimiste d’un constat pessimiste. Il faut conjuguer optimisme et pessimisme. La pensée complexe, c’est unir des notions qui se repoussent. Notes :

15 La connaissance « Toutes choses étant causées et causantes, aidées et aidantes, médiates et immédiates, et toutes s’entretenant par un lien naturel et insensible qui lie les plus éloignées et les plus différentes, je tiens pour impossible de connaître les parties sans connaître le tout, non plus que de connaître le tout sans connaître particulièrement les parties » Pascal – Cité par Morin « La Voie » p 147 Dissiper l’illusion que nous sommes arrivés à la société de la connaissance : nous sommes parvenus à la société des connaissances, séparées les unes des autres, séparation qui nous empêche de les relier pour concevoir les problèmes fondamentaux et globaux, personnels et collectifs. De plus, dissiper l’illusion de la rationalité. Notes :

16 La connaissance Il existe différentes formes de rationalités :
La rationalité critique qui utilise le doute La rationalité théorique qui édifie des théories s’appliquant de façon cohérente aux phénomènes (besoin de cohérence) La rationalité autocritique, consciente de ses limites et de la dégradation de la rationalité en rationalisations (concept logique mais ne correspondant à aucune base empirique). La rationalité instrumentale : au service d’entreprises novices, criminelles ou démentes, comme le camp de concentration nazi. Ainsi les aveuglements résultant de connaissances parcellaires et dispersées, ceux propres à une vision unidimensionnelle, vont de pair avec les mirages de la société de la connaissance et ceux de la toute puissance de la rationalité. Notes :

17 La connaissance La connaissance pertinente doit révéler les diverses faces / pôles d’une même réalité et ne pas se contenter d’un seul côté : en général, celui qui nous arrange. Notes :

18 La connaissance On ne peut pas réformer les institutions (exemple: l’Education Nationale) sans avoir au préalable réformé les esprits, mais on ne peut pas réformer les esprits si l’on n’a pas au préalable réformé les institutions. Notes :

19 La connaissance Eduquer, c’est apprendre à l’enfant à vivre et lui donner les moyens d’affronter les moments difficiles. Notes :

20 La connaissance L’enseignement qui part de disciplines séparées au lieu de s’en nourrir pour traiter les grands problèmes casse par là même les curiosités naturelles qui sont celles de toute conscience juvénile qui s’ouvre : Qu’est-ce que la connaissance pertinente ? Qu’est-ce que l’homme ? La vie ? La société ? Le monde ? Notes :

21 La connaissance Substituer au système actuel, séparateur, un nouveau système d’éducation fondé sur la reliance. Sensibiliser à la complexité : à l’ambigüité, aux ambivalences, savoir associer des termes antagonistes pour saisir la réalité. Notes :

22 Les obstacles au changement
La suppression des causes (cf. Kourilsky) Mots plutôt freins Mots plutôt moteurs Pourquoi ? Echec Mais Contre Essayer Soit Explication Problème Cause Connaître Opposer Distinguer Diviser Affronter Ou / et Exclure Frontières Discuter Parce que Ne soyez pas inquiet Limites de la situation Dans quel but ? Résultat Et Avec Faire A la fois Solution Objectif Conséquence Reconnaître Apposer Relier Conjuguer Confronter Composer Par Inclure Passerelles Dialoguer Pour que Soyez rassuré Opportunités de la situation Notes :

23 La connaissance Il enseignerait les différentes formes de rationalité (théorique, critique, autocritique), les perversions de la rationalité (rationalisation, raison instrumentale), la nécessité d’une rationalité ouverte sur les données qui la contredisent et sur la critique extérieure). La rationalité scientifique produit des théories biodégradables, à la différence de la rationalité close (doctrine) qui réfute a priori tout ce qui l’infirmerait. Ainsi, il faut enseigner la différence entre théorie et doctrine. Une théorie, scientifique ou non, est vivante dans la mesure où elle est capable de répondre à ses critiques par une argumentation pertinente ou cohérente, dans la mesure où elle peut prendre en compte des faits qu’on lui objecte et éventuellement les intégrer en les modifiant. Lorsqu’il est démontré qu’elle cesse d’être pertinente, elle accepte sa propre mort. Le propre d’une théorie scientifique ou seulement vivante est la biodégradabilité. Alors qu’une doctrine refuse la mort en se fermant aux arguments contraires, en se référant toujours à la pensée infaillible de son fondateur (« comme a dit Freud », « comme a écrit Marx », etc.) Notes :

24 La connaissance Toute décision, au sein d’un monde incertain, comporte un pari et nécessite une stratégie, c’est-à-dire la capacité de modifier l’action en fonction des aléas rencontrés ou des informations reçues en cours de route. Toute décision est sous-tendue par des valeurs, des croyances, des émotions, des sentiments, tous de l’ordre de l’irrationnel. Notes :

25 Inter-rétro-actions Contrairement à toutes les autres questions, la question humaine n’a aucun expert, elle est l’affaire de tous et de chacun d’entre nous. Elle est une affaire d’expérience, de vie, de sensibilité, de conscience. Chacun a à apprendre de l’autre. Chacun peut et doit se sentir concerné et responsable. Chacun a quelque chose à donner et à recevoir de tous les autres. Notes :

26 « Ici on fait des rencontres ! »
La connaissance Ecrire au-dessus de chaque école : « Ici on fait des rencontres ! » Albert Jacquard Notes :

27 La connaissance La connaissance de la connaissance
Une connaissance n’est pas d’autant plus pertinente qu’elle contient un plus grand nombre d’informations ou qu’elle est organisée de la façon la plus rigoureuse possible sous une forme mathématique ; elle est pertinente si elle sait se situer dans son contexte et, au-delà, dans l’ensemble auquel elle est rattachée. Notes :

28 Glossaire Les analphabètes du 21ème siècle ne seront pas ceux qui ne savent ni lire ni écrire (quoique…) mais ceux qui ne peuvent apprendre, désapprendre, ré-apprendre… Notes :

29 Citations d’élèves… « Rationnaliser, c’est faire passer des faits irrationnels pour rationnels », Julien Aubry (1/12/2010) « Banaliser, c’est rendre normal quelque chose d’exceptionnel », Damien Veler …. ….. Notes :

30 Savoir manager en transversal : Management et prise de décision

31 ENSGSI 2011 Monique C. Lacotte

32 Contenu 1 - L’approche systémique du management :
Qu’est-ce qu’un manager ? Qu’est-ce que changer ? Notions de méthodologie de résolution de problème 2 – Manager, c’est aussi décider : Les ressorts de la prise de décision Exercices 3 – Qu’est-ce que manager ? Que faut-il faire pour manager ? Styles de management et efficacité Ethique et management Permettre la co-existence de logiques dissemblables Notes :

33 où l’espoir du futur s’éteint’’
“Nous sommes dans une culture de l’immédiateté où l’espoir du futur s’éteint’’ Edgar Morin Notes :

34 Situer le champ du management
GESTION (Aspects Financiers) ORGANISATION ANIMATION MANAGEMENT Notes :

35 Les acceptions de l’organisation
Démarche d’études, destinée à définir des concepts ou formaliser des théories sur un plusieurs aspects d’un domaine de fonctionnement d’un système (technique, humain, financier). Ex : l’O.S.T Analyse et représentation de la répartition des ressources au sein du système étudié Ex : l’organigramme MODE DE STRUCTURATION D’UN SYSTEME CHAMPS DE RECHERCHES WERG / WORG = AGIR ORGANON ORGANISATION FONCTION PARTICULIERE D’UN SYSTEME ENSEMBLE DE METHODES ET OUTILS Une entité particulière d’une structure, dont la mission est de proposer des options d’évolution permettant d’améliorer le fonctionnement global du système Ex: Audit d’efficacité Démarches formalisées utilisables pour conduire des projets d’amélioration Ex: Méthode de l’Analyse de la Valeur Administrative Notes :

36 Manager, c’est transmettre.
Qu’est-ce que manager ? Manager, c’est transmettre. Transmettre, c’est rendre visible l’invisible. Manager, c’est accompagner le changement. Notes :

37 Les principales qualités du manager
Animer BOSS Notes :

38 Évaluer, Piloter, Reporter
Les principales qualités du manager Évaluer, Piloter, Reporter Suivre les résultats et savoir les analyser Mettre en œuvre des démarches de reporting Prendre les « bonnes » décisions Notes :

39 Approche complexe Notes :

40 « Le tout est plus que la somme de ses parties »
Edgar Morin Notes :

41 Contexte - Environnement
Approche systémique, vision globale 1 Contexte - Environnement 2 Missions 4 3 Fournisseurs Entrées Clients Sorties 5 Notes :

42 La notion d’interacteurs
Notes :

43 « Le tout est égal à la somme de ses parties
Mais « Le tout est égal à la somme de ses parties quand les parties s’ignorent entre elles… » Edgar Morin Notes :

44 Identifier la cartographie des acteurs
Chargé Commercial Gestionnaire dossier Client PROJET Responsable Recouvrement Notes : Le degré d’implication Le projet et son objectif

45 Un objectif est un but quantifié et échéancé, au service de …
Qu’est-ce qu’un objectif ? Finalité But Objectif Un objectif est un but quantifié et échéancé, au service de … Notes :

46 Qu’est-ce qu’un projet ?
Exercice Qu’est-ce qu’un projet ? Notes :

47 Qu’est-ce qu’un projet ?
AFNOR : « Un projet est une démarche spécifique qui permet de structurer méthodiquement une réalité à venir. Il est mis en œuvre pour apporter une réponse au besoin d’un commanditaire ». Notes :

48 Baliser le déroulement d’un projet
Idée ou Besoin du client Satisfaction du client Définition du projet Réalisation Livraison Clôture Mise en oeuvre Tests Conception Initialisation Lancement Pilotage et suivi du projet Accompagnement du changement Notes :

49 Les principales phases d’un projet
Prioriser Choisir les projets Mettre en place le dispositif Cadrer Conduire Mener les actions Notes : Clore Capitaliser l’expérience

50 Les attentes… de la personne
Une étape capitale en mode projet : faire clarifier la demande 3 niveaux de décodage Exprimée de manière spontanée, souvent sous forme de solution La demande (ex : j’ai besoin d’un nouvel applicatif) Le besoin Aspect vital pour la survie et le développement du système (ex : j’ai besoin de connaître l’évolution des sinistres en volume et en montant sur les dossiers du produit « Risktout » ) Les attentes… de la personne Aspect conscient ou inconscient de nature affective/émotionnelle Notes : (ex : dans le contexte actuel, je ne souhaite pas être sanctionné par un manque de vigilance dans le suivi des risques)

51 Les missions du Responsable de Projet
Choisissez les trois propositions essentielles pour vous, parmi les 11 suivantes :  Représenter ou promouvoir votre projet dans l’entreprise Assurer la liaison, la coordination de votre projet avec d’autres projets ou entités de travail (externes ou internes) Négocier l’obtention de décisions Répartir et contrôler les attributions des ressources dans votre projet Élaborer des propositions et des plans d’actions Exercer votre expertise, en mettant votre expérience au service du projet Maintenir et renforcer la motivation et les compétences des membres de l’équipe projet Développer votre vision personnelle du projet et anticiper les changements à venir Assurer la cohésion de votre équipe et sa cohérence avec les objectifs du projet Chercher à développer en permanence votre base de données d’informations Transmettre et faire circuler l’information Notes :

52 Démarche / Organisation
3 exigences à respecter Qualité du produit Échéance / Délai Temps Charges de travail = J/H Coûts Démarche / Organisation Notes :

53 Pour communiquer, trois postulats
On ne peut pas ne pas communiquer Les 3 postulats pour communiquer Tout communique, surtout le silence Notes : Le langage influence le comportement

54 Communiquer est un art…
Beaucoup de situations relationnelles demeurent stériles ou tournent au conflit, car souvent, nous ne savons pas prendre les choses par le « bon bout »… Nous avons alors parfois l’impression : de ne pas avoir été écouté de ne pas comprendre l’autre ou qu’il ne comprend rien de rester chacun sur nos positions Comment sortir alors d’une position de défense où les tensions s’installent ? Un rappel de quelques principes fondamentaux POUR SE SYNCHRONISER AVEC L’AUTRE. Notes :

55 Ce qui est répercuté, c’est le sentiment que l’interlocuteur retient.
Le processus de communication interpersonnelle : une « pente » de communication entre deux inter/locuteurs Ce que je veux dire Ce que je dis Ce qu’il entend Ce qu’il comprend Ce qu’il retient Ce que l’autre écoute Ce qu’il répercute ++ -- Dans toute communication, il y a déperdition du message. Il est donc primordial d’atténuer l'incidence de ces phénomènes, par la mise en oeuvre d'attitudes et de comportements facilitants. Ce qui est répercuté, c’est le sentiment que l’interlocuteur retient. Dans des conditions professionnelles d’écoute, 70 % du message passe. Sur ces 70 %, 90 % de la communication passe par le non verbal. ce que je ne dis pas Notes :

56 Les 4 outils pour mieux communiquer
Reformuler Ecouter Questionner Encourager Notes : Valider

57 Ecouter de manière active
Que veut dire écouter ? Ecouter, un état d’être Notes :

58 Savoir questionner Notes : Les différentes questions :
ouvertes : c’est-à-dire ? ; comment ça ? ; par exemple ? fermées : oui ou non neutres : qu’en pensez-vous ? Comment allez-vous vous y prendre ? Influencées : ne pensez-vous pas que… ? Les questions influencées sont souvent interro-négatives : « Ne pensez-vous pas que…? ». Adopter dans le questionnement une attitude « résolutive » : la méthodologie de résolution de problème suppose de quitter le registre de la culpabilité pour entrer dans celui de la résolution des problèmes. La grille QQOQC/P (qui, quoi, où, quand, comment/combien, pourquoi) permet de balayer l’existant et d’entrer en résolution de problème. un fait À quelle date aura lieu la mise en place de l’outil ? une opinion À combien estimez-vous le coût de la mise en place de de l’outil ? un sentiment Êtes-vous satisfait de cette nouvelle organisation ? une action Voulez-vous m’adresser le détail de vos observations ? Pour obtenir… Notes :

59 Ecouter et reformuler La reformulation permet de:
S’assurer que vous êtes bien sur la même longueur d’onde que votre interlocuteur, le mettre en confiance Mieux retenir les propos Clarifier la pensée de votre interlocuteur Valoriser les idées de l’autre Faire baisser la tension, éviter les malentendus Les trois sortes de reformulation : 1 – Reflet : « vous disiez que… » 2 – Strokante : « Ce qui est intéressant dans ce que vous venez de dire, M. Dupont, c’est que… » 3 – Reformuler ce qui n’est pas dit : il s’agit de reformuler le sentiment. Notes :

60 Les possibilités offertes par la reformulation
Objectifs Techniques Comment le dire… RELANCER Relancer l’interlocuteur pour l’inciter à développer ou préciser son propos Ecouter votre interlocuteur jusqu’au bout et reprendre ses propres mots sur un mode interrogatif Lui / Elle : « Cette solution n’est pas la meilleure !  » Vous : «  Pas la meilleure ! Qu’entendez-vous par là ? » CLARIFIER Accompagner l’interlocuteur dans la clarification de sa pensée Faciliter la formalisation d’une idée, d’une perception Identifier les zones floues du discours (mots polysémiques, contresens, développement verbeux, relevé des contradictions…) « Vous dites que ce débat est intéressant mais qu’il nous éloigne de l’objectif de notre réunion. Que voulez-vous dire ? Pourquoi ? » ELUCIDER Dévoiler une intention de communication (implicite) des propos de votre interlocuteur Anticiper un point de vue pour en faciliter l’exposé Identifier les opinions de votre interlocuteur, en positivant par exemple une intention exprimée négativement Lui / Elle : « La mise en œuvre de cette solution est trop complexe » Vous : «  Si je comprends bien, votre objectif est de rechercher une solution qui serait plus simple à vos yeux » VERROUILLER Clore un échange en montrant à son interlocuteur que nous nous sommes bien compris (y compris pour un désaccord) Synthétiser votre échange en utilisant les mots de votre interlocuteur Vous : « Résumons nous : pour vous cette solution est trop complexe. C’est bien cela ? » Lui / Elle : « Oui » Notes :

61 Envoyer des signes de reconnaissance : les strokes
Tout sauf de l’indifférence ! Ce sont les signes d’attention portée envers une personne Ils contribuent à la mobilisation des personnes Il faut donc en donner et savoir s’en donner Il faut savoir les accepter ou les refuser On peut aussi les demander Les trois caractéristiques du signe de reconnaissance individuel sincère gratuit « Ce tailleur vous va bien ! » « Bravo pour votre capacité d’analyse… ») « Votre rapport est bien structuré » Notes :

62 Envoyer des signes de reconnaissance : les strokes
Du verbe « to stroke » qui signifie « caresser » et « battre ». Les quatre types de strokes : Positif Négatif Conditionnel (sur du « faire » ou des vêtements par exemple…) Inconditionnel (sur de « l’être ») Le stroke inconditionnel positif est autonomisant. Notes :

63 Envoyer des signes de reconnaissance
Positif Négatif Conditionnel Faire J’ai apprécié la clarté de vos propos Bravo pour les résultats du mois Lors de la réunion, ton comportement m’a déçu Cette semaine, vos résultats sont insuffisants Inconditionnel Etre J’ai confiance en vous J’aime bcp travailler avec vous Vous êtes nul ! Vous me tapez sur les nerfs ! Positif Négatif Conditionnel Faire Encouragement et stimulation Mobilisation de certaines capacités Développement de la confiance en soi Rappel à l’ordre Prise de conscience Facteur de changement Inconditionnel Etre Mobilisation du potentiel Force et confiance Autonomie et épanouissement Dynamique de succès Rejet Dynamique d’échec en renforcement les comportements négatifs Déstructuration Notes :

64 Les positions de vie Les positions de vie sont au nombre de quatre :
« Une position de vie est une véritable décision que nous prenons dans notre enfance pour être O.K. dans la famille» (définition de l’Analyse Transactionnelle) Les positions de vie sont au nombre de quatre : arrogance  j’ai de la valeur, tu n’as pas de valeur dépressive  je n’ai pas de valeur, tu as de la valeur abandon / désespoir  Personne n’a aucune valeur positive  J’ai de la valeur, tu as de la valeur : nous pouvons travailler ensemble. C’est la position de vie de la résolution de problèmes OK / non OK non OK / OK Non OK / non OK OK / OK Notes :

65 Exercice Autodiagnostic des positions de vie
Notes :

66 Quelques repères sur l’Analyse Transactionnelle
Une discipline comportementale issue de l’école de Palo Alto en Californie dans les années Eric Berne en est le père. Les 3 états du moi / Je suis tout à la fois Parent Le Parent est le domaine de l’ appris Adulte L’Adulte est le domaine de l’ expérimenté Enfant Notes : L’Enfant est le domaine du ressenti

67 Quelques repères sur l’Analyse Transactionnelle
Une transaction est un échange entre 2 états du moi Une transaction est complémentaire lorsque l’état du moi sollicité est celui qui répond : les transactions sont alors dites « parallèles » et peuvent se poursuivre sans donner lieu à des résistances conflictuelles Parent Enfant Adulte Notes :

68 Quelques repères sur l’Analyse Transactionnelle
X : Quelle heure est-il ? Y : 8h X : Quelle heure est-il ? Y : Vous pourriez vous acheter une montre ! Tant que les transactions demeurent complémentaires, la communication peut continuer indéfiniment La transaction croisée introduit une rupture dans la communication. Il est nécessaire pour qu’elle reprenne, que l’un des 2 ou les 2 personnes changent d’état du moi Il s’agit de placer l’adulte aux commandes…! Parent Enfant Adulte Notes :

69 Les différents types de parents
NOURRICIER NORMATIF P. NOUR. + CONSEIL P. NORM. + PROTECTEUR P. NORM. - PERSECUTEUR P. NOUR. - SAUVEUR « Je vais vous aider à le faire. » « Ce que vous avez fait est mauvais, voici ce qu’il faut faire. » « Ce que vous avez fait est mauvais, recommencez. » « Ne vous en faites pas, je vais le faire à votre place. » Notes :

70 L’adulte Notes : L’adulte est : Réaliste Froid Négociateur Enquêteur
Expérimental Il peut être : Positif : Négociateur Arbitre Négatif : Froid Technocrate Machiavélique Notes :

71 L’enfant Adapté Astucieux Nature Soumis Rebelle Notes :

72 Les différents types d’enfant
Adapté Enfant Soumis Enfant Rebelle Militant + Rebelle, agressif - Obéissance consciente, bien élevé Soumis, fayot Notes :

73 Les différents types d’enfant
Astucieux Manipulateur, combinard - Astucieux, inventeur, créateur + Nature Voyou, casseur, impulsif - Libre, spontané + Notes :

74 Exercice « Vous faites le portrait d’un grand patron européen, tel que vous le voyez» Notes :

75 un socle solide pour étayer le changement
La méthodologie de résolution de problème La méthodologie : un socle solide pour étayer le changement Notes :

76 Les 7 phases de la résolution de problème
La méthodologie de résolution de problème Les 7 phases de la résolution de problème Poser le problème Phase 1 Phase 2 Phase 3 Phase 4 Phase 5 Phase 6 Phase 7 Recueillir l’information Identifier les causes des problèmes actuels Proposer des solutions innovantes Faire décider Mettre en œuvre le plan d’action Suivre et contrôler les résultats Notes :

77 Phase 1 : Poser le problème
Qu’est-ce qui ne va pas ? Quels sont nos objectifs ? Quelles sont nos contraintes ? Quelles sont les limites de l’étude ? L’espace Le temps Les coûts Notes :

78 Phase 1 : Poser le problème
Etape 1 Définir la situation présente S… comme Situation A… comme Actuelle I… comme Insatisfaisante S.A.I. Etape 2 Définir la situation cible F… comme Future S… comme Satisfaisante S.F.S. Etape 3 Intégrer les limites Temps Espace Coût L Notes :

79 L’outil I.O.L. Phase 1 : Poser le problème Notes : Exemple :
Depuis 6 semaines, nous sommes victimes de fraudes sur les cartes bancaires, représentant un montant total de €uros I L’insatisfaction s’énonce à la forme négative A partir du 1er juillet, nous réduisons le montant des fraudes sur cartes à €uros O L’objectif se formule au présent perpétuel, l’infinitif est interdit en R.P. Les solutions adoptées n’ont aucune incidence sur la relation avec notre clientèle L Notes : Les limites s’énoncent en général en termes de coût, d’espace, de temps

80 Formulez le problème à l’aide de l’outil IOL
Phase 1 : Poser le problème Exercice Formulez le problème à l’aide de l’outil IOL 1 - La panne de voiture J’ai toute une série de rendez-vous aujourd’hui. Ce matin, je dois animer à neuf heures une réunion de douze responsables chez un de mes plus gros clients, la Société JYP. Cette après-midi, j’ai plusieurs autres clients à voir dans les banlieues Ouest et Sud de Paris. Il est huit heures. Je vais en voiture de chez moi au siège de la Société JYP, à Bobigny. Je passe place Denfert Rochereau. Ma voiture s’arrête et je n’arrive pas à redémarrer… 2 - Le passage des touristes Je suis gérant d’une agence de voyages qui travaille surtout avec l’Extrême Orient. Je viens d’aller chercher quarante japonais à Roissy. Ils repartent demain matin pour Nice. Nous arrivons au P.L.M. Saint-Jacques où les japonais doivent loger. J’apprends que la réservation n’a pas été faite et qu’il n’y a plus de chambres. Il est 19h45… 3 - Le recrutement des guichetiers Je suis consultant spécialisé dans les problèmes humains du fonctionnement des entreprises. Le Directeur du Département des Relations Sociales et du Personnel de la Compagnie Financière TOURISK, m’a invité à le rencontrer. Je me présente à son rendez-vous dans son bureau, et il m’explique qu’il souhaiterait que je l’aide à mettre au point un concours pour la sélection de guichetiers de Banque… Notes :

81 Les critères déterminant les priorités
Urgence (nécessité de réagir rapidement) par exemple : opportunité rare à saisir immédiatement Moyens disponibles (technologiques, budget, temps...) trop souvent principal déterminant des priorités Importance (répercussions lourdes de conséquences en valeur, nombre, durée...) devrait être le premier des critères pris en compte Priorité au sens de « poids » à accorder à l’activité Fréquence (répétitivité du phénomène) Priorité au sens de « ordre » dans lequel il convient de prendre les choses Gravité (irréversibilité des conséquences), par exemple : incidences nuisibles quant à la sécurité des biens et des personnes Intérêt (motivation du responsable ou du personnel, goût pour ce dont il s’agit, dispositions d’esprit favorables) Notes : Facilité (temps et efforts nécessités) par exemple : fait qu’il existe des antécédents, expérience, compétence, règles...

82 Inverses et contraires
Notes :

83 « Décrivez le fonctionnement
Quels comportements peut-on attendre ? Exercice « Décrivez le fonctionnement d’une équipe idéale ». « Quelles qualités peut-on attendre du chef de projet? d’un membre de l’équipe de projet? » Notes :

84 Les différents stades de développement d’une équipe
Equipe éclatée Equipe opérationnelle, en période de croissance Equipe maillée, mature Notes : Le développement de l’équipe vers la cohérence (atteinte des résultats), associée à la cohésion (engagement des personnes), est lié à la maturité : capacité à apprendre quelque chose d’une expérience, d’une situation.

85 Assurer les conditions de réussite de l’équipe
2 aspects Développer la cohésion Développer la cohérence Aller dans le même sens Agir collectivement en fonction des objectifs à atteindre Utiliser les moyens et les méthodes pour y parvenir Travailler ensemble Construire des liens qui établissent la qualité de la relation Vivre les situations collectives avec plus de chance de réussite Notes :

86 Développer la cohérence au sein de l’équipe
Objectif Aller dans le même sens Penser et agir collectivement en fonction de l’objectif à atteindre. Utiliser les moyens et les méthodes pour y parvenir Critère de sélection des personnes En fonction de leurs compétences et de leur disponibilité S’entourer des meilleurs Vision de l’équipe et des acteurs L’équipe est une forme d’organisation Les acteurs sont des contributeurs à l’objectif commun Équipe centrée sur L’efficacité « productive » :  « je fais le travail qui m’est assigné » Comportements des membres de l’équipe Auto-organisation, prise d’initiative, coordination, respect des engagements Mode de fonctionnement Centré sur le projet, l’organisation et les tâches Chaque intervenant est une ressource pour le projet L’équipe respecte les dispositifs de pilotage du projet : comités, reporting Notes :

87 Développer la cohésion au sein de l’équipe
Objectif Critère de sélection des personnes Vision de l’équipe et des acteurs Équipe centrée sur En fonction des personnalités, de possibilités d’entente avec les autres membres, de leur sociabilité, de leur aptitude à travailler en équipe Être ensemble Construire des liens qui vont établir la qualité de la relation Vivre les situations collectives avec plus de chances de réussite L’efficacité « relationnelle » :  « je suis bien dans mon équipe » L’équipe est un groupe humain Les acteurs sont des co-équipiers Comportements des membres de l’équipe Solidarité, esprit d’équipe, sens de l’objectif collectif, critique constructive, sens du partage, respect réciproque, entraide, confiance dans les autres Mode de fonctionnement Centré sur la personne Pas de compétition entre les membres Chacun est une ressource pour le groupe Les membres organisent des moments de convivialité Notes :

88 Quel type d’équipe animez-vous ?
COHESION +30 Groupe fusionnel Equipe réelle +15 C O H E R N -30 -15 + 15 +30 Notes : -15 Task Force Boîte à outils - 30

89 Quel type d’équipe animez-vous ?
Groupe fusionnel Cohésion forte/ Cohérence faible C’est un imaginaire commun, une façon de voir commune qui relie ce groupe. Sûr de son identité, il maintient son périmètre en vivant l’extérieur comme une agression Equipe réelle Cohésion forte/ Cohérence forte C'est le résultat d'une véritable construction d'équipe, qui traduit une volonté managériale Boîte à outils Cohésion limitée/ Cohérence faible C'est une collection de personnes plus qu'un groupe. Il fonctionne sans grande synergie mais avec des compétences dans certains domaines. En situation difficile, le groupe peine, et une personne porte le groupe Task force Cohésion faible/Cohérence forte C'est un groupe d'experts avec des métiers différents. Présents pour une mission limitée dans le temps Ils sont clairs sur les objectifs. Notes :

90 Synthèse en termes de management……
Favoriser le travail collaboratif Organiser les règles du jeu Favoriser le travail en groupe, en binôme Susciter un « maillage » entre les membres Accorder la plus grande importance à l’état d’esprit projet Donner l’exemple par ses propres comportements Aider les autres à réussir Se rencontrer, se connaître, se reconnaître Penser que ce qui est évident pour soi ne l’est pas forcément pour les autres Respecter des engagements mutuels et réciproques Reconnaître « le droit à l’erreur » Veiller à ce que chacun ait sa place Pratiquer la transparence Se comporter en co-équipier Notes : S’autoriser des moments festifs L’ enthousiasme décuple l’énergie Se faire plaisir

91 Etablir la cartographie des acteurs Les 8 grands types d’attitudes sociodynamiques
Synergie Déchirés +4 Triangle d’or Engagés +3 Hésitants Révoltés +2 Opposants Notes : Passifs Grognons +1 Antagonisme -1 -2 -3 -4

92 Analyser les comportements face aux changements
Synergie Beaucoup d’énergie + consacrée au projet +4 Déchirés +3 +2 +1 Passifs Faible énergie + consacrée au projet Notes : Antagonisme -1 -2 -3 -4 Faible énergie - consacrée au projet Beaucoup d’énergie - consacrée au projet

93 Établir des règles du jeu liées à la vie de l’équipe
Une règle du jeu est efficace si : Elle est exprimée clairement Explicite, univoque Elle est utile Apporte une aide pratique pour atteindre les objectifs fixés Elle est contractuelle Correspond à un engagement réciproque des membres de l’équipe Elle est protectrice Apporte aux différents membres la sécurité dont ils ont besoin Elle est souple Comporte un certain degré d’adaptation Souplesse ne veut pas dire laxisme Notes :

94 Établir des règles du jeu liées à la vie de l’équipe
Des exemples de règles du jeu définies dans une charte d’équipe projet : Pouvoir se dire des choses tout en respectant l’autre, en interne comme en externe Les décisions d’intérêt collectif sont prises en commun à la majorité Chaque membre de l’équipe est solidaire des décisions prises Chacun s’astreint à préparer les réunions, les décisions Chaque participant, quel que soit son statut, s’engage à rendre compte : Des questions d’intérêt collectif Des informations événementielles …… Notes :

95 Qualité d’un équipier Autonomie Acceptation d’autrui
Tenir sa place Garder le sens de la responsabilité individuelle Acceptation d’autrui Développer sa compétence sociale Rester tolérant face aux limites des autres Sens de la coopération Exercer la coresponsabilité Avoir une attitude gagnant-gagnant Reconnaissance des autres pouvoirs Allégeance continue à autrui (humilité) Respect des règles communes Sens de l’objectif Maintenir continuellement un comportement focalisé sur l’objectif ……… Notes :

96 « Quel profil d’équipier
Quels comportements peut-on attendre ? Exercice « Quel profil d’équipier ai-je? » Notes :

97 Quelques causes de résistances au changement
Désintérêt Crainte de perte des acquis Incompréhension Crainte de perte de pouvoir Inquiétude Crainte des critiques Perte de repères Notes : Inertie des habitudes Esprit de contradiction Et d’autres encore…

98 Une ronde de reformulations…
Exercice Une ronde de reformulations… Notes :

99 Exercice Une ronde de strokes
Notes :

100 Exercice L’egogramme Notes :

101 Module 2 Le décideur irrationnel

102 Objectifs Découvrir la face cachée de la prise de décision : une démarche paradoxale Qu’est-ce qu’une décision ? Qu’est-ce qu’elle n’est pas ? Identifier les ressorts d’une prise de décision fondée L’histoire du nœud gordien La place du non rationnel dans la prise de décision Le concept de rationalité limitée Les points-clés de la prise de décision Notes : Identifier les déclinaisons possibles pour un public de cadres supérieurs

103 Le mythe d’Icare : sortir par le haut
Notes : "Dédale et Icare". Charles-Paul Landon

104 Les différents niveaux d’enjeux : savoir discerner les enjeux cachés
Enjeux apparents Enjeux cachés Financiers Règlementaires Techniques Juridiques Sociaux En relation avec la personne Notes :

105 Les aspects irrationnels de la décision
- + Temps Perspectives d’une nouvelle décision Peur ? Menace? Regrets Projections sur la situation Décision Autoritarisme Insolutions ? Notes :

106 Les mots-clés de la prise de décision
1 - Discerner 2 - Contextualiser 3 - Confort 4 - Emotion 5 - Irrationnel 6 - Regrets 7 - Probabilité Notes : Quels sont les trois mots clés que vous ajouteriez pour compléter cette liste ?

107 Quelques points clés de la prise de décision
Choix irréversible et risqué entre plusieurs alternatives possibles 1 Le passé appartient au passé 2 L’équivalent certain 3 Fausse probabilité ? 4 Le prix de la clairvoyance 5 Notes :

108 Quelques points clés de la prise de décision
6 Le résultat : valeur de la décision ? 7 La « bonne décision » 8 Le bon résultat Notes :

109 Qu’est-ce qu’un « bon » décideur ?
Notes :

110 Hasard et prise de décision
“Dieu ne joue pas aux dés’’ – Albert Einstein Les gens de Pékin ont l'habitude d'aller dans un temple, le temple des 500 bouddhas, le jour de leur anniversaire. A partir d'un Lorhan choisi au hasard ils comptent par année d'âge jusqu'à la date de leur anniversaire, et la tête du Lorhan leur donnera des indications sur l'année à venir cette fois-ci. En racontant cette anecdote, je voudrais introduire l'idée de hasard, de couplage, d'écho, dont nous parle l’approche chinoise du hasard. En quoi cette approche du hasard a-t-elle un lien avec la prise de décision? Notes :

111 Etymologie de « décision » en chinois
Hasard et prise de décision Etymologie de « décision » en chinois Jué DING Ouvrir une brèche Fixer, calmer Notes : - Idée d’ouvrir. - Idée de calme après la décision. - Poser des questions = ouvrir une brèche.

112 Au Moyen-Âge, le danger représente l’expérience initiale du risque.
Qu’est-ce qu’un risque ? Origine arabo-musulmane “Ce que Dieu accorde aux hommes’’ Racine latine : “rescare’’ « couper » : rocher découpé qui se dissimule aux yeux du navigateur Le discernement Notes : Au Moyen-Âge, le danger représente l’expérience initiale du risque.

113 Notion de risque positif Notion de risque négatif
Qu’est-ce qu’un risque ? Notion de risque positif Notion de risque négatif Notes :

114 Analyser les risques du projet
Tout facteur, événement dont l’apparition peut venir modifier/contrarier les objectifs, les délais ou le budget. Probabilité Solution de secours identifiée Solution de secours identifiée et mise en oeuvre CHARGES COÛT QUALITE DU PRODUIT TEMPS DELAI RISQUES Solution de secours identifiée Aucune action préventive Notes : Impact

115 Différents types d’autorité
L’autorité Ce qu’elle est Ce qu’elle n’est pas Différents types d’autorité Autorité Pouvoir Notes :

116 « Le pouvoir est triste » Gilles Deleuze
Pouvoir et puissance Le pouvoir consiste à séparer quelqu’un de sa puissance. « Le pouvoir est triste » Gilles Deleuze Notes :

117 Les critères d’une décision réussie
Intègre dans sa logique toutes les informations disponibles Fait courir au décideur un risque qu’il peut se permettre et qu’il accepte de courir Est conforme à la préférence du décideur quant à la répartition dans le temps Notes :

118 Les pièges à éviter Notes :
La pire décision c’est la « bonne décision » adaptée à un faux problème. Se tromper de risques ou d’avantages. Se tromper de décideur. Se tromper de données – se réfugier dans le « raisonnement marginal ». Ne pas privilégier les données marginales par rapport aux données réelles. Se tromper de moment. Notes :

119 Les pièges à éviter : le gel de la décision
Tendance à adhérer –au sens de rester collé- à une décision et à se comporter conformément à cette dernière. Principe : les individus adhèrent plus aux choix qu’ils ont faits qu’aux raisons qui ont motivé ces choix… Notes :

120 Les pièges à éviter Notes : J’ai envie Options alternatives J’ai peur
Tout ou rien  impasse Sortir du tout ou rien  solution de repli. Notes :

121 Les pièges à éviter L’écueil de la compétition: Vouloir gagner sur l’autre et non pas traiter le problème. Notes :

122 Les pièges à éviter Le piège des pièges : banaliser
« Le consensus, c’est l’accord passé dans un groupe pour éviter les sujets qui fâchent, pour substituer aux questions de simples interrogations » Notes :

123 Questionner pour décider
Différencier une question d’une simple interrogation. Les interrogations servent à banaliser. Notes :

124 Le noeud gordien Notes :

125 Alexandre le Grand, Le nœud gordien, Et la prise de décision.
Le noeud gordien Alexandre le Grand, Le nœud gordien, Et la prise de décision. Notes :

126 force en mouvement, moteur
Les facteurs endogènes qui biaisent la prise de décision : émotions et sentiments On ne peut pas se passer de faits. Les faits n’ont de sens que par rapport aux sentiments qui leur sont associés. Sentiment La socialisation des émotions Accessible avec le langage Emotion force en mouvement, moteur Physiologique, pré-verbal Inné, ne s’apprend pas, ne se perfectionne pas Il y a 4 émotions, faciles à repérer Les sentiments sont difficiles à repérer car le plus souvent interdits d’expression dans nos cultures Notes :

127 Une définition possible : une émotion est une demande non formulée
Connotées négatives La peur demande La colère demande La tristesse demande Connotée positive La joie demande Notes : Une émotion indique un besoin. L’émotion n’est ni positive, ni négative, elle EST.

128 Les sentiments Notes : Nombreux Variables selon les cultures
Nous sommes la plupart du temps incapables de les repérer : - « Que ressentez-vous ? » « Heu ! Je pense que… » Or nous sommes responsables de dire ce que nous ressentons car nous sommes les seuls à le savoir, sinon nous laissons à l’autre le pouvoir sur nous. Notes :

129 Le clavier des émotions
A chaque émotion sont reliés comme par un fil invisible certains sentiments. Par exemple : Le dégoût est relié à … La crainte est reliée à … L’appréhension est reliée à… La panique est reliée à … Notes : OHMS

130 Les quatre mythes du management
Le mythe de la hiérarchie Le mythe de l’importance du leader individuel Le mythe de l’efficience historique Le mythe de la rationalité Notes :

131 Le leadership (critères EFQM)
Les dirigeants définissent la mission, la vision, les valeurs et l’éthique, et ont un rôle exemplaire dans une culture de l’Excellence Les dirigeants s’impliquent personnellement dans le développement, la mise en œuvre et l’amélioration continue du système de management Les dirigeants agissent avec les clients, les partenaires et les représentants de la collectivité Les dirigeants renforcent la culture de l’Excellence auprès du personnel de l’organisation Notes : Les dirigeants identifient le changement organisationnel et le conduisent

132 Modèle 1 : l’action comme choix
Les « modèles » de décision : exemples classiques, c’est-à-dire rationnels Cités par Victor Labouret, CNAM, d’après Allison G.T. Modèle 1 : l’action comme choix Unité d’analyse L’action comme choix Concept L’organisation comme acteur rationnel. Le choix articulé autour de : objectifs, options, conséquences, évaluations. Causalité dominante Les objectifs expliquent les actions Notes : Proposition L’effet de substitution

133 Modèle 2 : l’action comme fruit des processus organisationnels
Les « modèles » de décision : exemples classiques, c’est-à-dire rationnels Cités par Victor Labouret, CNAM, d’après Allison G.T. Modèle 2 : l’action comme fruit des processus organisationnels Unité d’analyse L’action comme fruit des processus organisationnels Concept Constellation de sous-unité. Procédure et répertoire de procédure (sélection de l’information). Problème tronçonné selon le découpage organisationnel (rétention des solutions). Rationalité limitée : séquençage Causalité dominante Les procédures expliquent l’action dans le court terme. Les objectifs des sous-unités expliquent l’action dans le long terme. Notes : Proposition Problématique de l’implémentation. Changement incrémental. Faisabilité administrative.

134 Modèle 3 : l’action comme processus politique
Les « modèles » de décision : exemples classiques, c’est-à-dire rationnels Cités par Victor Labouret, CNAM, d’après Allison G.T. Modèle 3 : l’action comme processus politique Unité d’analyse L’action comme processus politique Concept Les joueurs politiques : qui joue ? Situation, échéances, paroisses, nature de l’enjeu, pouvoir, cheminement, règles du jeu, les réseaux de pouvoir. Causalité dominante L’action comme résultat de négociation politique. Notes : Proposition Les règles de la négociation sont déterminantes.

135 1ère rupture : un modèle différent
Le modèle de la « poubelle » (James March) Notes :

136 Illustration du modèle de la poubelle : ce qui est mis en attente dedans
Décision Problèmes : - résultats - fin de mois peu fiables… Participants : - directs, le DRH et le PDG… et - indirects, le directeur d’usine… Opportunités de choix sous forme de questions : - comment améliorer le management en production ? - Faut-il modifier l’organisation de la production ?... Solutions : - faire un audit d’organisation… Notes :

137 2ème rupture Le storytelling Notes :


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