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notre compétence en communication orale

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Présentation au sujet: "notre compétence en communication orale"— Transcription de la présentation:

1 notre compétence en communication orale
Des grilles d’autoévaluation et de coévaluation pour nous aider à développer notre compétence en communication orale par Christian Dumais et Geneviève Messier, chargés de cours Christian Dumais et Geneviève Messier © 2010

2 Christian Dumais et Geneviève Messier © 2010
Plan de la rencontre Intentions de la rencontre : Comprendre pourquoi le développement de la compétence 2 est essentiel à votre formation initiale; Comprendre les compétences de la grille d’évaluation de la communication orale; Prendre connaissance des grilles d’autoévaluation et de coévaluation. Discussion autour de la compétence 2 en formation initiale; Présentation de chaque volet de la grille d’évaluation; L’autoévaluation et la coévaluation : définition et pourquoi; Présentation des grilles d’autoévaluation et de coévaluation; Propositions d’utilisation des grilles; Atelier : Proposition d’une progression pour le développement de la compétence 2 tout au long de la formation initiale en ÉPEP. Christian Dumais et Geneviève Messier © 2010

3 Christian Dumais et Geneviève Messier © 2010
Compétence 2 Communiquer clairement et correctement dans la langue d’enseignement, à l’oral et à l’écrit, dans les divers contextes liés à la profession enseignante. Les futurs enseignants ont besoin d’être formés à l’oral et de vivre des situations de productions orales afin qu’ils puissent prendre conscience de leur compétence à communiquer, et ce, en s’autoévaluant, en évaluant leurs pairs et en étant évalués (Plessis-Bélair, 2006 ; Fisher, 2007; Dumais, 2008). Christian Dumais et Geneviève Messier © 2010

4 Christian Dumais et Geneviève Messier © 2010
Retour sur le texte d’Olivier Dezutter (2007) : qu’en pensez-vous? Devrait-on exclure les futurs enseignants qui n’ont pas un français soigné à l’oral? À la lumière de l’article de Dezutter, 5 minutes où ils discutent de la question. Équipe de 3 maximum. Autoévaluation de leur performance. Question sur l’autoévaluation. Christian Dumais et Geneviève Messier © 2010

5 Présentation des volets de la grille d’évaluation du test oral
Quatre volets : Voix et diction Langue et lexique Discours Communication Christian Dumais et Geneviève Messier © 2010

6 1. Compétence linguistique — Voix
Le volet VOIX se compose de différents critères liés à l’articulation, à la portée de la voix, à la prononciation, à l’accentuation, au rythme et à l’intonation. Articulation : Ensemble des mouvements physiologiques des organes de la parole qui ont pour but d’influer sur la circulation de l’air expulsé des poumons ou de l’interrompre. Cela concerne l’enchainement et le détachement des sons. La langue et les lèvres sont les principaux outils de l’articulation des sons. Il s’agit de vérifier ici si les sons sont distincts à l’aide de ces outils. Christian Dumais et Geneviève Messier © 2010

7 Problèmes les plus souvent recensés de l’articulation :
Mâchoires trop tendues ou lèvres peu mobiles : les sons ne sont pas articulés aisément et s’entendent difficilement; Escamotage : prononcer un mot en sautant quelques sons, voire une syllabe entière. Souvent en lien avec un débit rapide; Balbutiement : articulation hésitante, un bredouillement. Escamotage : Les diff’cultés des élèves du s’condaire embêtent le gouvern’ment féd’ral (Les difficultés des élèves du secondaire embêtent le gouvernement fédéral) Balbutiement : Le... le balbutiement se confond par... parfois... avec... avec le... le bégaiement. Christian Dumais et Geneviève Messier © 2010 7

8 1. Compétence linguistique — Voix
La portée de la voix : Une bonne portée de voix permet de se faire entendre sans effort. Voix : Ensemble des ondes sonores produites dans le larynx par la vibration des cordes vocales sous la pression de l’air (Dubois et al., 1994). Christian Dumais et Geneviève Messier © 2010 8

9 Problèmes les plus souvent recensés de la portée de la voix :
Voix éraillée : voix plus ou moins brisée que l’on pourrait décrire comme enrhumée. C’est un peu comme si la voix s’accrochait contre les parois de la gorge, devenait plus rauque. Exemple :      Voix haut perchée : voix un peu trop haute; comme si la cage de résonance était dans la tête. La voix haut perchée n’est que rarement la voix naturelle d’une personne. Une telle voix se fatigue généralement vite dans un contexte d’enseignement. Exemple :  Voix voilée : voix qui laisse passer un peu d’air en même temps que le son. Une telle voix exige beaucoup des organes phonateurs, car laisser ainsi passer de l’air n’est pas naturel et exige un travail supplémentaire. Exemple : Christian Dumais et Geneviève Messier © 2010

10 1. Compétence linguistique — Voix
La prononciation : La manière d’oraliser une lettre ou un groupe de lettres selon une norme établie, comme celle que fournissent les dictionnaires. Ex. : Cantaloup, juin, lichen, agenda. C’est la capacité à prononcer correctement selon le français québécois standard, c’est-à-dire à exprimer de façon naturelle sans accent régional trop fort. Ainsi, certaines manières de prononcer assez répandues au Québec seront pénalisées, car jugées non standards. Référence : Multidictionnaire. Christian Dumais et Geneviève Messier © 2010 10

11 Problèmes les plus souvent recensés de la prononciation :
Grasseyement : Le véritable grasseyement consiste en ce que, dans les mots où la lettre « r » se trouve seule ou jointe à une autre consonne, on fait entendre une sorte de roulement guttural dans la partie postérieure de la cavité buccale, sans intervention de la langue. Le grasseyement affecté consiste à ne prononcer nullement la lettre « r », en disant pa-ole, Pa-is, pour parole, Paris, etc. Liaison : Il peut y avoir trop de liaisons et des liaisons mal placées. Exemples : -Une liaison t’inadéquate s’appelle t’un « pataquès ». (une liaison inadéquate s’appelle un « pataquès ».) -Ça l’arrive régulièrement.   (ça arrive...) Diphtongaison : Changer la valeur d’une voyelle dite longue  en commençant à prononcer une voyelle qui se modifie en une autre voyelle à la fin. Exemples : -scolaère (pour ‘scolaire’)  baeur(pour ‘beurre’) Nasillement : parler du nez Christian Dumais et Geneviève Messier © 2010 11

12 Problèmes les plus souvent recensés de la prononciation :
Relâchement des voyelles [i] [ou] ,[u]  et transformation du [a] en [â] Exemples : Prononciation archaïsante : Certaines formes verbales sont employées au détriment de leur forme plus moderne. Exemples : — il essaye …     (il essaie…) — il faut qu’ils aillent des devoirs (il faut qu’ils aient des devoirs) Effacement de consonnes finales : À la fin d’un mot, lorsque plusieurs consonnes se trouvent réunies et suivies d’un e muet, il est fréquent de réduire le groupe de consonnes à une seule. Exemples : — rentab  (pour « rentable »)                      — quat  (pour « quatre ») Christian Dumais et Geneviève Messier © 2010

13 1. Compétence linguistique — Voix
L’accentuation : La mise en relief d’une syllabe d’un mot ou d’un groupe de mots. L’accent tonique en français se place sur la dernière syllabe d’un mot ou d’un groupe de mots. Christian Dumais et Geneviève Messier © 2010 13

14 Problèmes les plus souvent recensés de l’accentuation :
Accent tonique mal placé : Placer au mauvais endroit l’accent tonique. Exemples : Accent d’insistance : Déplacer l’accent tonique sur la première syllabe d’un mot (normalement, il devrait être sur la dernière). Comme son nom l’indique, ce type d’accent permet d’insister ou de mettre l’emphase sur un mot en particulier. Or il est très important de constater que ce déplacement a un sens. Changer constamment l’accent tonique de place devient un défaut, car le discours se retrouve ainsi criblé d’éléments sur lesquels on insiste, sans raison particulière Exemples :  Christian Dumais et Geneviève Messier © 2010

15 1. Compétence linguistique — Voix
Le rythme : La cadence, le mouvement du discours. Le débit est la vitesse ou le rythme que l’on donne à notre parole. Certaines pauses sont naturelles dans un discours, d’autres moins. Christian Dumais et Geneviève Messier © 2010 15

16 Problèmes les plus souvent recensés du rythme :
Pauses mal placées ou excessives : Elles peuvent être le résultat d’hésitations, d’une mauvaise habitude, ou d’un désir de ne pas trop parler rapidement. Quelle que soit la raison, on constate qu’un discours criblé de pauses nuit à une bonne compréhension et finit par miner l’attention que l’auditoire y porte. Présence de mots tics : Cela consiste à meubler toutes les pauses (qui devraient être silencieuses) de sons qui n’ont pas lieu d’être, comme « euh » (un des parasites les plus fréquents) et « tsais ». Absence de pauses : Parler sans faire aucune pause. Un débit rapide et l’absence de pause entrainent souvent des conséquences pour l’articulation, comme des problèmes d’escamotage.  Christian Dumais et Geneviève Messier © 2010

17 1. Compétence linguistique — Voix
L’intonation : L'intonation est le mouvement mélodique de la parole. Elle permet la variation de hauteur à certains endroits. L’intonation permet de rendre l’ironie, l’exclamation, l’admiration, l’émotion. Christian Dumais et Geneviève Messier © 2010 17

18 Problèmes les plus souvent recensés de l’intonation :
Ton de la récitation : Impression de manque de sincérité ou de véracité, impression pour l’auditoire que le locuteur récite un texte appris par cœur. Les fins de phrases qui meurent : La fin d’une phrase déclarative est marquée par un accent tonique sur la dernière syllabe, et par une intonation. Souvent les gens ne font pas descendre l’intonation d’une phrase déclarative en marquant la dernière syllabe, mais diminuent plutôt l’intensité du son en fin de phrase. Le ton monocorde : Le discours se fait alors toujours sur la même note. Aucune surprise, aucun étonnement, aucune émotion... Le manque de vigueur : La vigueur, c’est la force et l’énergie que l’on met dans son discours et son élocution pour séduire le public. Un manque de vigueur rend un discours déficient en expressivité. Christian Dumais et Geneviève Messier © 2010

19 2. Compétence linguistique — Langue
Morphologie : La morphologie regroupe ici les phénomènes de flexion (variation de la forme du mot). En français, ce sont généralement les règles d’accord qui font varier la forme des mots. Christian Dumais et Geneviève Messier © 2010 19

20 Problèmes les plus souvent recensés de la morphologie :
Mauvais choix de genre : une agenda, une cantaloup Erreur d’accord en genre* : Les phrases que j’ai écrit au tableau Erreur d’accord en nombre : Les journals disent toujours que les enseignants parlent mal. Erreur d’accord en personne et en nombre : C’est moi qui est l’enseignante de 1re année Christian Dumais et Geneviève Messier © 2010

21 2. Compétence linguistique — Langue
Syntaxe : La syntaxe concerne la structure des phrases, ainsi que les relations entre les éléments constitutifs de celles-ci (Legendre, 2005). La syntaxe comprend ici tout ce qui touche la coordination, la subordination, la pronominalisation, ainsi que la concordance des temps. Christian Dumais et Geneviève Messier © 2010 21

22 Problèmes les plus souvent recensés de la syntaxe :
Choix erroné du pronom relatif : La personne que je parle est absente aujourd’hui. Antécédent du pronom ambigu ou absent Structure de phrase pauvre : Suremploi de phrases simples et de groupes de mots sans complément Emploi abusif du subordonnant que : Quand qu’on planifie nos cours, (…). Interrogative indirecte mal construite : Je me demande qu’est-ce que le gouvernement fera de cette réforme. Christian Dumais et Geneviève Messier © 2010

23 2. Compétence linguistique — Lexique
Lexique : Le lexique concerne l’ensemble des mots employés par un locuteur dans la situation de communication. Christian Dumais et Geneviève Messier © 2010 23

24 Problèmes les plus souvent recensés pour le lexique :
Suremploi de mots « passepartouts » ou de mots vides : faire, dire, avoir, être, comme, genre Création de néologismes Choix de mots ou d’expressions issus du registre familier Suremploi d’un même mot Christian Dumais et Geneviève Messier © 2010

25 3. Compétence discursive
Cette compétence touche principalement le discours. Elle comprend quatre composantes : l’organisation du discours, la délimitation du sujet/fil directeur, la pertinence et la crédibilité, et l’appropriation du texte. Organisation du discours : Structuration du discours selon un ordre établi. Christian Dumais et Geneviève Messier © 2010

26 Problèmes les plus souvent recensés de l’organisation du discours :
Désorganisation du discours Aucun plan perceptible Manque d’articulation entre les idées Absence d’enchainements entre les idées (aucune progression thématique) Sauts « du coq-à-l'âne » Mauvais dosage de l’intensité des informations à transmettre Superposition d’idées Confusion Répétition inutile des idées Christian Dumais et Geneviève Messier © 2010

27 3. Compétence discursive
La délimitation du sujet/fil directeur : Sujet circonscrit et fil directeur. Christian Dumais et Geneviève Messier © 2010

28 Christian Dumais et Geneviève Messier © 2010
Problèmes les plus souvent recensés de la délimitation du sujet/fil directeur : Sujet trop vaste ou mal délimité Digressions : Éléments qui ne sont pas tout à fait en rapport avec le sujet. Absence de synthèse ou de mise au point : Absence d’un résumé des différents points abordés avant de passer à l’idée principale suivante s’il y a énumération de plusieurs idées secondaires. Absence de fil directeur Absence de relief dans le discours : Toutes les idées sont sur le même plan Christian Dumais et Geneviève Messier © 2010

29 3. Compétence discursive
La pertinence et la crédibilité : Tous les exemples, tous les arguments, tous les supports pour les idées utilisés lors d’un exposé oral doivent être pertinents pour éviter toute perte de crédibilité. Christian Dumais et Geneviève Messier © 2010

30 Christian Dumais et Geneviève Messier © 2010
Problèmes les plus souvent recensés de la pertinence et de la crédibilité : Manque de support (matériel) pour les idées et les thèses Choix inadéquat d’exemples Surutilisation d’exemples sans arguments pour les soutenir Évacuation du cadre théorique (hors sujet) Christian Dumais et Geneviève Messier © 2010

31 3. Compétence discursive
Appropriation du texte : Appropriation personnelle par l’étudiant du contenu de sa présentation. Christian Dumais et Geneviève Messier © 2010

32 Problèmes les plus souvent recensés de l’appropriation du texte* :
Mauvaise compréhension de l’intention de l’auteur : C’est le résultat d’une lecture inadéquate ou parfois d’une trop grande appropriation par lequel l’orateur confond ses idées et celles de l’auteur, semant la même confusion dans la tête de ses auditeurs. Tenir pour acquis que l’auditoire connait le texte : ne pas tenir compte du fait que l’auditoire n’a pas lu le texte. * Lorsqu’on demande de présenter un texte. Christian Dumais et Geneviève Messier © 2010 32

33 4. Compétence communicative
Registre de langue : Caractérisation des variétés de langue selon leur usage (dans une situation de communication donnée). Christian Dumais et Geneviève Messier © 2010 33

34 Christian Dumais et Geneviève Messier © 2010
Problèmes les plus souvent recensés en lien avec les registres de langue : Choix d’un registre inapproprié à la situation de communication : Registre littéraire Manque de tact envers l’auditoire (familier) Intention de communication non respectée Christian Dumais et Geneviève Messier © 2010

35 4. Compétence communicative
Interaction : Ce critère touche trois aspects essentiels de la communication orale : la motivation personnelle de l’orateur, la prise en compte de l’auditoire et le contact avec l’auditoire. Christian Dumais et Geneviève Messier © 2010 35

36 Problèmes les plus souvent recensés en lien avec les interactions :
Fermeture à l’auditoire Regard constant sur ses notes Difficulté à susciter l’intérêt Difficulté à saisir l’auditoire Christian Dumais et Geneviève Messier © 2010

37 4. Compétence communicative
Le non-verbal : Il s’agit de tout mode de communication n’ayant pas recours à la parole. La posture, les gestes et le regard sont trois aspects généralement rencontrés dans ce critère. Christian Dumais et Geneviève Messier © 2010 37

38 Problèmes les plus souvent recensés en lien avec le non-verbal :
Présence de tics nerveux ou de gestes répétitifs Manque de contact visuel avec l’auditoire Manque de tonus Manque d’aisance ou de naturel dans les gestes, la posture ou le regard Gestes trop théâtraux Christian Dumais et Geneviève Messier © 2010

39 Christian Dumais et Geneviève Messier © 2010
L’autoévaluation « L’autoévaluation est une appréciation ou une réflexion critique sur la valeur de ses idées, de ses travaux, de ses apprentissages ou du développement de ses compétences, elle contribue ainsi aux habiletés métacognitives » (Lafortune et Dubé,2004, p. 48). Un étudiant qui est en mesure de s’autoévaluer est beaucoup plus susceptible d’accepter une démarche de coévaluation et d’évaluation par des pairs, des professeurs, des chargés de cours, etc. Si un étudiant a de la difficulté à s’autoévaluer, il sera difficile pour lui d’entendre et d’accepter ce qu’un étudiant ou un évaluateur peut dire à propos de sa langue orale (Lafortune et Dubé, 2004). L’autoévaluation est donc nécessaire dans le processus d’apprentissage et d’évaluation. Christian Dumais et Geneviève Messier © 2010

40 Christian Dumais et Geneviève Messier © 2010
La coévaluation La coévaluation est un moyen d’évaluer l’oral de façon interactive et participative. Il s’agit de la confrontation de l’autoévaluation d’un étudiant avec l’évaluation d’une autre personne (Lafortune et Dubé, 2004). Pour que la coévaluation soit réussie, « l’étudiant doit être en mesure de poser un regard évaluatif sur ses propres performances […], l’étudiant doit être capable de s’autoévaluer avant de pouvoir s’engager dans une démarche de coévaluation » (Durand et Chouinard, 2006, p. 241). Christian Dumais et Geneviève Messier © 2010

41 Présentation des grilles d’autoévaluation et de coévaluation
Chaque grille est divisée selon les quatre volets. Ceux-ci sont divisés selon les critères de la grille d’évaluation; Chaque critère comporte des items en lien avec des comportements « observables » en terme de fréquence (souvent, parfois, jamais); Trois questions ouvertes pour la grille d’autoévaluation (diagnostic, objectifs, moyens d’y arriver); Pour la grille de coévaluation, espace pour une évaluation du formateur et pour une autoévaluation. Christian Dumais et Geneviève Messier © 2010

42 Christian Dumais et Geneviève Messier © 2010
Pistes d’autoformation pour développer sa compétence à communiquer oralement Évaluation diagnostique; Ateliers sur les différents volets des grilles de communication orale; Écoute active d’extraits sonores ou de conversations pour identifier les « erreurs »; Se donner des défis linguistiques; Grille des traits de prononciation du français québécois avec le livre Les prononciations du français québécois : normes et usages (Ostiguy et Tousignant, 2008). Date des ateliers : Volet 1 : 25 octobre et 2 novembre : lieu à préciser; Volet 2 : 9 et 16 novembre : lieu à préciser Volet 3 : 23 et 30 novembre : lieu à préciser Volet 4 : 18 et 25 janvier 2011 Christian Dumais et Geneviève Messier © 2010

43 Merci de votre écoute et de votre collaboration!
Christian Dumais et Geneviève Messier © 2010 43

44 Christian Dumais et Geneviève Messier © 2010
Voici quelques références utiles sur la communication orale : Cajolet-Laganière, H., Martel, P. (1995). La qualité de la langue au Québec (Diagnostic 18). Québec : Institut québécois de la recherche sur la culture. De Vito, J. (1993). Les fondements de la communication humaine. Boucherville : Gaetan Morin. Dumais, C. (2008). Effets de l’évaluation par les pairs sur les pratiques d’expression orale des élèves de troisième secondaire : une description. Mémoire de maitrise inédit, Université du Québec à Montréal, Montréal. (Disponible en ligne à la bibliothèque de l’UQAM) Gélinas, M.-C. (2001). La communication efficace. De l’intention aux moyens d’expression. 2e éd. Montréal : CEC. Léard, J.-M. (1995). Grammaire québécoise d’aujourd’hui : comprendre les québécismes. Montréal : Guérin universitaire. Leclerc, J. (1989). Qu’est-ce que la langue? Laval : Mondia. Martel, P. et Cajolet-Laganière H. (1996). Le français québécois. Usages, standard et aménagement. Laval : PUL. Ostiguy, L. et Tousignant, C. (2008). Les prononciations du français québécois : normes et usages. Montréal : Guérin universitaire. Préfontaine, Cl., Lebrun, M. et Nachbauer, M. (1998). Pour une expression orale de qualité. Montréal : Logiques. Tremblay, M. B. (2003) La communication chez les enseignants. Savoir-être et savoir-faire pédagogiques. Montréal : Guérin. Site de l’UQAM : explications des critères d’évaluation de l’oral et exemples d’erreurs fréquentes : Christian Dumais et Geneviève Messier © 2010


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