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Chimiothérapie intra péritonéale et cancer de l ’ovaire

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Présentation au sujet: "Chimiothérapie intra péritonéale et cancer de l ’ovaire"— Transcription de la présentation:

1 Chimiothérapie intra péritonéale et cancer de l ’ovaire
Dr Anne FLOQUET, I Bergonié - Bordeaux NOUMEA OCTOBRE 2004

2 INTRODUCTION 4 000 NC en France par an
Le plus mauvais pronostic du à un cancer gynécologique pas de dépistage 3/4 des cas découverts à un stade avancé Tout stade confondu : SG à 5 ans, 30 à 35 % comment en améliorer le pronostic ?

3 RAPPEL Principaux facteurs pronostiques : le stade le grade
l ’obtention d ’un résidu tumoral minimal après chirurgie l ’obtention d ’une réponse microscopique après traitement initial (chir et chimiothérapie)

4 RAPPEL Comment améliorer la prise en charge thérapeutique :
effectuer une chirurgie optimale : initiale ou après chimiothérapie d ’induction optimiser la première ligne de chimiothérapie : sels de platine - taxanes… et après? Traitement de maintenance ? Traitement de consolidation ?

5 RATIONNEL Une chimiothérapie IP : pourquoi ?
atteinte confinée à la cavité péritonéale une des tumeurs solides la plus chimiosensible ( 70 à 80%) traitement initial par chirurgie et chimiothérapie: 50% de réponse macroscopique seulement 25 % de réponse microscopique notion d ’ effet dose - réponse avec le cisplatine intraveineux limitation de son utilisation par les effets secondaires ( neurotoxicité +++) voie IP : augmentation de la dose à la tumeur

6 RATIONNEL Une chimiothérapie IP : comment ?
Cathéter intrapéritonéal ( PAC ou Tenckhoff ) dans volume d ’au moins 2 litres chimiothérapie ( doxorubicine, méthotrexate, 5 FU, cddp, étoposide, topotécan, paclitaxel , oxaliplatine ) CDDP le plus efficace immunothérapie ( interféron, IL2, LAK …) AC marqués à Y nouveaux médicaments … mono ou polychimiothérapie, association IP/IV

7 RATIONNEL Une chimiothérapie IP : quand ? En cas de maladie résiduelle
limitée à la cavité péritonéale de moins de 2 à 3 mm d ’épaisseur Liberté de la cavité péritonéale Place: En première ligne En consolidation En rechute

8 ETUDES en première ligne Ph III randomisées IP vs IV CDDP/carbo ( st III )

9 ETUDES en première ligne
Etude du SWOG , Alberts : design simple, bras équilibrés amélioration sur la survie sans rechute et la survie globale toxicité : IP: leucopénie, neutropénie, toxicité neuromusculaire et auditive moindre mais: plus de douleurs abdominales et toxicité pulmonaire plus importante. Mais protocole de comparaison = CP IV

10 ETUDES en consolidation Ph III IP vs rien

11 ETUDES en consolidation
Difficultés: qui inclure, qui exclure ? examen complet de la cavité péritonéale au second look nombre de biopsies minimum pour définition de la p CR nombre de cures à effectuer ? validation de l ’impact sur la survie sans récidive ? La survie globale ?

12 TOXICITES douleurs abdominales toxicité hématologique, rénale
péritonite infectieuse, occlusion hémopéritoine cathéter : déplacement, obstruction, perforation hématome de paroi, abcès

13 PERSPECTIVES La voie IP reste une voie intéressante à explorer dans le cancer de l ’ovaire De nouveaux médicaments sont ou vont être testés Des techniques différentes sont en cours d ’évaluation: Péritonectomies et chimiothérapie intrapéritonéale avec hyperthermie.

14 CONCLUSION La voie d ’abord intra péritonéale :
est une technique exigeante, à valider par des équipes entrainées elle reste difficile à diffuser équipe soignante spécialisée niveau élevé de technicité ( contrôle de la cavité, surveillance per thérapeutique…) effets secondaires potentiellement plus importants elle ne doit être pratiquée que dans le cadre d ’un essai thérapeutique.


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