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Les Méthodes de préréglages

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Présentation au sujet: "Les Méthodes de préréglages"— Transcription de la présentation:

1 Les Méthodes de préréglages
Pierre FLEURIOT Audioprothésiste D.E Fougères Septembre 2010.

2 Quelques notions - Une lésion cochléaire implique trois distorsions.
Une baisse de la sensibilité. Une baisse de la sélectivité fréquentielle. Un recrutement de sonie.

3 Quelques notions L’audiométrie
L’audiométrie tonale liminaire (quantitatif) L’audiométrie vocale (qualitatif)

4 Plan Normalisation de l’audibilité au sens liminaire du terme
Normalisation de sonie non linéaire. Normalisation de l’audibilité de la parole Normalisation de l’intelligibilité de parole Méthodes de contrôle de l’audioprothèsiste

5 Normalisation de l’audibilité au sens liminaire du terme
Normalisation des seuils auditifs Miroir total WATSON et KNUDSEN (1940). L’amplification correspond à la perte auditive tonale Exemple: HTL= 60 dB HL & UCL= 100dBHL Inconvénient: La méthode du miroir tonal ne tient pas compte du recrutement.

6 Normalisation de l’audibilité au sens liminaire du terme
Normalisation des seuils auditifs Miroir total Miroir total corrigé d’une intensité constante Même esprit que la méthode du miroir tonal avec un coefficient correctif (10 à 20 dB selon les auteurs) Le gain prescrit = HTL – une correction constante. Exemple: HTL = 60 dBHL & UCL = 100dBHL G = 60 – 15 = 35 dB sur toutes les fréquences.

7 Normalisation de l’audibilité au sens liminaire du terme
Normalisation des seuils auditifs Miroir total Miroir total corrigé d’une intensité constante Miroir fractionné « Half gain rule » ou méthode du ½ gain C’est l’exemple typique du miroir fractionné, puisque la perte auditive prévue par LYBARGER en 1944 est divisée par 2 pour obtenir le gain fonctionnel. Exemple pour une perte à 60 dBHL, le gain fonctionnel sera de 30 dB. LYBARGER a été un grand précurseur car cette méthode basée sur le seuil recherche le confort.

8 Pour les pertes moyennes et légères, L’UCL est très proche de l’UCL du normo entendant. On constante que le MCL est approximativement entre le HTL et l’UCL. Il existe donc une relation entre MCL et méthode du ½ gain.

9 Normalisation de l’audibilité au sens liminaire du terme
Normalisation des seuils auditifs Miroir total Miroir total corrigé d’une intensité constante Miroir fractionné Half gain rule Méthode POGO et POGO II PRESCRIPTION OF GAIN AND OUTPUT (1983) Mc CANDLESS & LYREGAARD. Nouveauté: Il existe un facteur correctif suivant la fréquence. Ce facteur est basé sur des données expérimentales qui montrent que la méthode du ½ gain donne un gain trop important sur les basses fréquences.

10 Méthode POGO II POGO II pour les perte sévères et profondes. POGO apportait une correction insuffisante. Pour les pertes < 65 dBHL IG = 0.5 * HTL + K Pour les pertes > 65 dBHL IG = 0.5 * HTL + K + (0.5 * (HLT – 65)) MPO = (UCL500 + UCL UCL 2000) / 3

11 Normalisation de l’audibilité au sens liminaire du terme
Normalisation des seuils auditifs Miroir total Miroir total corrigé d’une intensité constante Miroir fractionné Half Gain Rule Méthode POGO et POGO II Méthode LIBBY ou Méthode du 1/3 de Gain LIBBY en 1986 préconise de modifier pour les pertes légères et moyennes la méthode du ½ gain avec celle du 1/3 de gain. Il existe un facteur correctif sur les gaves. - Pour les pertes faibles et moyennes, IG = 1/3 *HTL + K - Pour les pertes sévère, IG = 1/2 *HTL + K - Pour les pertes profondes, IG = 2/3 *HTL + K

12 Normalisation de l’audibilité au sens liminaire du terme
Normalisation des seuils de confort Approche de Watson & Knudsen (1940) Ils préconisent d’amplifier le voix de façon à la transférer au niveau de la zone de confort.

13 Normalisation de l’audibilité au sens liminaire du terme
Normalisation des seuils de confort Approche de Watson & Knudsen (1940) Méthode de KEE basée sur le seuil de confort KEE préconise de chercher le niveau de confort du sujet sur toutes les fréquences. Le gain requis est alors la différence entre le le MCL mesuré et l’intensité 65 dHBL à chaque fréquence.

14 Normalisation de l’audibilité au sens liminaire du terme
Normalisation des seuils de confort Approche de Watson & Knudsen (1940) Méthode de KEE basée sur le seuil de confort Méthode CTM La méthode CTM pour CONFORTABLE TRANSFERT MATRIX mise au point par F. LE HER en cette méthode est une méthode supraliminaire de type MCL issue du courant WATSON & KNUDSEN (1940)

15 La méthode CTM. Le principe général de la méthode C.T.M. est fondé sur une analyse comparative du champ auditif du sujet normal avec le champ auditif du sujet malentendant. L’objectif de la méthode C.T.M.est de réaliser un transfert de l'énergie moyenne des signaux acoustiques perceptibles par un sujet normal dans le champ auditif résiduel du malentendant en respectant le principe de base suivant :

16 La méthode CTM.

17 La méthode CTM.

18 La méthode CTM.

19 Normalisation de l’audibilité au sens liminaire du terme
Normalisation de la médiane de la dynamique, Méthode du Pré-Réglage, Monsieur RENARD en 1980. Principe: Le principe du PR est de transférer, par le gain de la prothèse, le milieu de la dynamique statistique de l’audition du normo entendant au milieu de la dynamique de l’audition du malentendant, sur chaque fréquence comprise entre 250Hz et 4000Hz.

20 Méthode du Pré-Réglage.

21 Méthode du Pré-Réglage.

22 Normalisation de Sonie non linéaire
Notion de base sur la sonie Trouble du codage de l’intensité Le seuil absolu

23 Le recrutement et fonction de sonie
Un sujet souffrant d’une lésion cochléaire présente un recrutement de sonie. Le recrutement de sonie est la conséquence directe de la disparition de la compression cochléaire. Le recrutement entraine une croissance anormalement rapide de la sensation de force sonore, ie de la sonie. La perception est « retardée » par l’élévation du seuil absolu et comme la perception des sons fort est normale, on observe un pincement de la dynamique auditive résiduelle.

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26 Méthode de mesure de la sonie.
Exemple de mesure LGOB (LOUDNESS GROWTH IN ½ OCTAVE BANDS, ALLEN et AL)

27 Mesure qui est faite en 2 phases:
1- On évalue la dynamique du sujet. 2- La mesure proprement dite.

28 BUT de la méthode de normalisation de sonie.
Rendre au sons de l’environnement leur juste sonie. On recherche à normaliser toute la dynamique du ME dans celle du NE.

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30 Avantages et inconvénients de cette méthode de normalisation de sonie non linéaire.
AVANTAGE: Méthode qui tient compte du recrutement. INCONVENIENTS: 1- Méthodes qui demande d’appliquer de fortes amplifications pour les faibles niveaux d’entrées. 2- Demande des taux de compression relativement élevés. Est-ce vraiment très bon pour le ME?

31 La méthode DSL. DSL, THE DESRED SENSATION LEVEL ( Le niveau de sensation désiré), SEEWALD, ROSS et SPIRO en 1985. But de cette méthode : rendre la parole amplifiée suffisamment AUDIBLE pour le malentendant et de lui permettre de la percevoir SANS AUCUN INCONFORT…(Méthode basé sur la philosophie Audibilité.) La méthode DSL I/O L’utilisation de DSL I/O avec des processeur de type WDRC, fourni quelque soit le type de surdité, un signal audible, confortable et tolérable.

32 Notion de compression. Gain statique + seuil d’enclenchement + taux de compression. (Philosophie SIEMENS)

33 Gain « faible », gain « fort ».
2 gains : 1 seuil d’enclenchement. (RESOUND)

34 Les courbes de niveaux de sortie.
Si on augmente la compression, les 2 courbes de niveau de sortie se rapprochent et inversement si on diminue la compression, les 2 courbes de niveau de sortie s’écartent.

35 Les courbes de niveaux de sortie.
Si on diminue la compression les 2 courbes de niveau de sortie s’écartent.

36 Normalisation de l’audibilité de la parole
Notions BUT: On ne cherche plus à normaliser tous les sons, ie des bas niveaux jusqu’aux hauts niveaux, mais on cherche à normaliser les sons de parole de la voix faible à la voix forte. Notion ILTASS: distribution énergétique d’un son de parole en fonction de la fréquence.

37 Normalisation de l’audibilité de la parole
Graph du « speech banana » Fréquence (Hz) Niveaux (dB HL) 120 Zone conversationnelle

38 Normalisation de l’audibilité de la parole
Notions Miroir partiel à coefficient multiplicateur différent suivant la fréquence Le fait que le coefficient multiplicateur soir différent en fonction de la fréquence provient du poids fréquentiel relatif des graves et des aigus dans la compréhension de la parole. Le but ici est de modifier les formules de calcul en tenant compte du spectre à long terme de la parole. 1- Méthode du ½ gain prenant en compte le spectre de la parole. LYBARGER en 1944 défini un complément de sa méthode du ½ gain à laquelle il applique un coefficient multiplicateur dépendant de la fréquence. (0,3 à 0,7 en fonction de la fréquence)

39 2- Méthode NAL (NATIONAL ACOUSTIC LABORATORIES OF AUSTRALIA, BYRNE & DILLION, 1986) But: Maximiser l’intelligibilité de la parole au niveau d’intensité préféré par le porteur de l’aide auditive. L’intelligibilité est supposée être maximisée quand toutes les bandes de fréquence de la parole sont perçues au même niveau d’intensité.

40 Normalisation de l’audibilité de la parole
Notions Miroir partiel à coefficient multiplicateur différent suivant la fréquence Exemples et comparaisons: POGO II, NAL-RP, DSL

41 Pour une perte légère moyenne de type presbyacousie.

42 Pour une perte moyenne plate

43 Pour une perte moyenne de type pente de ski

44 Pour une perte profonde

45 Normalisation de l’intelligibilité de la parole
Notions

46 Normalisation de l’intelligibilité de la parole
Notions L’index d’articulation Méthode basée sur le seuil d’auditif et la perception de l’index articulation.

47 Normalisation de l’intelligibilité de la parole
Notions L’index d’articulation graph. But: prédire le score de perception de la parole sur la base de l’audiogramme

48 Normalisation de l’intelligibilité de la parole
Notions L’index d’articulation NAL NL1 (maximiser l’index d’articulation sans excéder le niveau de sonie normale

49 Méthode de contrôle de l’audioprothèsiste
Le gain prothétique

50 Méthode de contrôle de l’audioprothèsiste
Le gain prothétique Mesure in-situ - LE REUR = C’est la différence, oreille nue, entre la pression acoustique en fond de CAE avec la pression acoustique dans le plan du pavillon (Niveau en dB SPL) Le REUR représente la résonnance du CAE. Il exprime les propriétés acoustiques du volume, de la forme et de la consistance de l’oreille externe. 120 110 100 90 80 70 60 50 40 30 Real Ear Unaided Response K K K K Microsonde

51 Mesure in-situ Qu’est ce que le REUG ?
Le REUG (Real Ear Unaided Gain) est le gain naturel de l’oreille REUR - Niveau d’entrée = REUG 80 60 40 20 Fréquence dB SPL REUG Micro de référence REUR Différence

52 Mesure in-situ Mesure du REAR (Real Ear Aided Response) Apport de cette mesure in-situ - Le REAR (Real Ear Aided Response) est le niveau de pression sonore mesuré près du tympan, oreille fermé, appareil en marche. Il est composé de l’apport de l’appareil et celui du gain engendré par la résonance de la cavité résiduelle.

53 Real Ear Unaided Response
Mesure in-situ Le gain d’insertion GI : GI = REAR - REUR 120 110 100 90 80 70 60 50 40 30 dB SPL Real Ear Unaided Response K K K K Hz

54 Méthode de contrôle de l’audioprothèsiste
Le gain prothétique Mesure in-situ Coupleur


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