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Intersyndicale des enseignants BEJUNE Séminaire syndical Saignelégier, 26 octobre 2002.

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1 Intersyndicale des enseignants BEJUNE Séminaire syndical Saignelégier, 26 octobre 2002

2 Programme

3 1. Changement de la société et de l ’école Les grands moteurs du changementLes grands moteurs du changement : InternesInternes: –Changements de l ’économie, de la structure des inégalités –Changements de la culture, des mentalités et des attentes ExternesExternes: –La mondialisation: système d’interdépendances compétitives entre les pays, les régions, les villes, les gens Les moteurs internes et externes sont interdépendants

4 Un changement d’époque

5 L’inégale richesse des cantons

6 Le niveau général de formation s’élève, en Suisse...

7 Dépendance croissante de la connaissance (savoirs, savoir-faire et savoir être) sociétéDans la société (les relations sociales) : augmentation de la ségmentation des espaces sociaux, de la différenciation des rôles et du pluralisme normatif et idéologique en même temps qu’augmentation des inter-dépendances entre individus, groupes et organisations; complexité croissante, individualisation, exigence de réflexivité Pluralisation des modes de vie et de socialisation familiale Problèmes de la confiance, de l’identité, de l’appartenance, de la citoyenneté économieDans l’économie (la vie de travail) : Évolution technologique très rapide, obsolescence des savoirs pratiques Transformation des marchés et des structures économiques Evolution rapide des profils et des pratiques professionnels Vers une économie et une société basées sur la connaissance ? Savoir et vouloir apprendre tout au long de la vie!!

8 … et dans le monde

9 PISA 2000 Programme International pour le Suivi des Acquis des élèves Premier cycle, enquête au printemps 2000: centration sur les compétences lectrices (literacy, ”littératie”). 250.000 jeunes interrogés dans 27 pays membres de l ’OCDE + 4 pays non-membres (Fédération de Russie, Brésil, Lettonie, Liechtenstein), plus de 13 ’000 jeunes en Suisse. Les résultats internationaux sont représentatifs des compétences des jeunes de 15 ans (indépendamment de leur niveau et type de scolarisation).

10 PISA, un exemple de la mondialisation des enjeux d’éducation

11 Vous avez dit compétences ? de l’ordre du savoir-faireLes compétences sont de l’ordre du savoir-faire, savoir penser, raisonner, interpréter, réfléchir, analyser, agir,... compétences nécessaires dans la viePISA se centre sur des compétences nécessaires dans la vie sociale et civique et dans le travail, après et en dehors de l ’école (option forte). continuumLes compétences se mesurent sur un continuum, du niveau le plus faible jusqu ’au niveau le plus fort. Les compétences ne peuvent pas s’observer directement. On peut observer des performances d’où on induit des compétences. pas directement liées à un curriculumLes tâches proposées aux jeunes de 15 ans ne sont donc pas directement liées à un curriculum ou un plan d ’études, mais à des situations courantes de la vie.

12 Cinq niveaux de compétence en lecture... Niveau 1: localiser une information unique dans un texte simple et établir des liens avec les connaissances déjà disponibles, mais pas capables d’utiliser un texte à des fins d’apprentissage (compétences rudimentaires). Niveau 2: trouver des informations dans un texte pour résoudre des exercices élémentaires: tirer des conclusions simples, dégager la signification d’une partie en exploitant les connaissances acquises. Niveau 3: pouvoir lire et comprendre des textes de complexité moyenne, en identifiant différents éléments d’information + pouvoir mettre en relation différentes parties du texte et raccrocher celles-ci à des aspects de la vie quotidienne (compétences suffisantes). Niveau 4: maîtriser des tâches de lecture difficiles: repérer certaines informations, dégager un sens à partir de finesses linguistiques et examiner un texte sous un angle critique. Niveau 5: comprendre en détail des textes peu usuels, d’en trouver les informations centrales, de porter des jugements critiques et d’échafauder des hypothèses même s’il s’agit de textes spécialisés (compétences supérieures).

13 Des résultats mitigés pour la Suisse: En comparaison internationale, les jeunes Suisses sont... Moyens en lecture Bons en mathématiques Moyens en sciences

14 Répartition des niveaux de compétence en lecture dans les pays, les régions suisses (jeunes de 15 ans) et les cantons romands (élèves du 9ème degré) (indice combiné) Les collectivités sont ordonnées selon les scores moyens de compétences en lecture

15 Que pouvons-nous en apprendre ? faibles écarts entre les élèveshaut niveau des meilleursde faibles écarts entre les élèves sont compatibles avec un haut niveau des meilleurs: parmi les pays qui réussissent le mieux plusieurs ont aussi les écarts de performances les plus faibles l’égalité socialel’égalité sociale devant l’école est compatible avec un niveau élevé de performance d’ensemble ressourcesles ressources allouées à l'Ecole jouent un rôle mais n ’expliquent pas - et de loin - les bons ou moins bons résultats des élèves ’intégration payeaucun des 10 premiers pays du classement ne regroupe les élèves faibles (dans des filières) ni ne pratique une sélection scolaire précoce (dès 12 ans); l ’intégration paye; autonomiede manière générale, les systèmes qui donnent une assez large autonomie aux établissements scolaires et aux enseignants, et qui arrivent à impliquer les parents, réussissent mieux. parmi les pays qui obtiennent de bons résultats, on trouve aussi bien le Canada qui multiplie les épreuves communes, que la Finlande qui n'a pratiquement pas de notes jusqu'à 15 ans. des systèmes réputés autoritaires comme le Japon et la Corée réussissent, d'autres plus "cool" comme les Scandinaves aussi. il faut donc se garder de ressortir isolément un élément et de vouloir le copier sans tenir compte du contexte

16 Conclusions Conclusions (générales) perfection de l ’école perfectibilitésortir de la logique de la perfection de l ’école pour entrer dans celle de la perfectibilité il n ’y a pas de bons vents pour qui ne sait pas où il va !il n ’y a pas de bons vents pour qui ne sait pas où il va ! –politiquement, il s ’agit donc d’abord de décider où on veut aller - où on veut en être dans dix ans - et de le dire clairement –ensuite, on peut chercher les chemins qui y mènent en apprenant des autres pays Proposition d’objectif stratégique dans 10 ans: 20% des jeunes de Suisse romande atteignent le niveau le plus élevé (5) et 5% au plus se trouvent au niveau 1 ou en-dessous.

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18 2. Quelle école demain ? Les 5 scénarios de l ’OCDE : 1 Maintien du statu quo (régulation bureaucratique) 2 L'école au cœur de la collectivité 3 L'école comme organisation apprenante ciblée 4 Le modèle du marché 5 Technologie et société en réseau Appréciation probabilité désirabilité des scénarios Récapitulation

19 Appréciation de la probabilité et de la désirabilité des scénarios de l ’OCDE

20 Une tendance légèrement pessimiste 1. Statu quo régul. bureaucratique 2. L'école au cœur de la collectivité 3. L'école organisation apprenante 4. Modèle du marché 5. Technologie et société en réseau Le désirable n’est pas plus probable que l’indésirable ?

21 Probabilité vs. désirabilité des scénarios dans divers groupes

22 Matériaux pour un diagnostic de la situation des syndicats BEJUNE 3.– Matériaux pour un diagnostic de la situation des syndicats BEJUNE Forces et faiblesses de mon syndicat Les avis des participants Priorisation Synthèse

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24 Les forces perçues sont avant tout dans trois registres: base la base reconnaissance publique la reconnaissance publique structuresstratégies les structures et les stratégies.

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26 Perception des faiblesses Dans quatre registres avant tout : base –La base (passivité et manque d’engagement) ressources humaines –Les ressources humaines (notamment le recrutement des cadres) image –L’image du syndicat (dans la base, chez les non syndiqués et dans le public) stratégie –La stratégie (manque de priorités, de détermination et d’agressivité)

27 Diagnostic global des forces et faiblesses du syndicat

28 Quelles stratégies pour les syndicats d’enseignants ? Où voulons-nous aller depuis où nous sommes et comment ? Les syndicats d ’enseignants veulent-ils participer à la définition des grandes options? Quelle lutte commune pour quels enjeux communs? tels que objectifs et finalités sociales, civiques, économiques la qualité de l ’école la justice sociale la redéfinition de la profession Dans quel espace entre cantonal, romand (CIIP-SER), national et international?


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